Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP] Un borgne en galère

Dorennor
Dorennor s'aventura dans les ruelles.

Brrrr, que c'est lugubre! Quand je oense que je me sentais à l'aise ici....tout change...devriendrais-je une poule mouillée? Aurais-je trop de choses à perdre?

Dorennor avança, perdue dans ses pensées. Un coin de maison l'inspira. Elle remonta sa jupe et mit en évidence une belle jambe galbée et dégrapha partiellement son corsage.
Elle n'attendit pas longtemps qu'un messire vient l'accoster.L'homme était habillé correctement et ne puait pas.

Tant mieux se dit Dorennor.


Alors la belle, on cherche un peu de bon temps?

Possible, sire ... si vous me donnez ce que je cherche.

Ce que tu cherches? N'est-ce pas ce que cherche toutes les femmes?

L'homme ricanna et empoigna le bras de Dore.

Je vais te donner ce que tu cherches.

Dore n'hésita pas une seconde, au moment où l'homme l'empoigna , elle lui prit ses bijoux.
L'homme s'arreta aussitôt.


Hum, j'ai l'impression que tu vas un peu vite en besogne. Fait doucement.

Oui, j'ai un peu d'expérience mais je cherche un renseignement ou plutôt un homme, vétu de ses atours de l'ordre teutonique, vous savez...une croix....il est borgne.

Un homme ? Pourquoi celui-là? Je ne fais pas l'affaire?

Un sourire lui vint aux coin des lèvres.

Lache moi et je te dirai ce que j'ai vu.

Comment vous faire confiance?

Parce que je ne suis pas un vil manant.Je sais ce qu'est l'ordre teutonique et que j'ai vu ton bonhomme.

Dore relacha son étreinte mais resta sur ses gardes, le genou prêt à intervenir.
L'homme sourit.


je l'ai vu passer sur le quai, près de la nouvelle caravelle. Il était accompagné d'un homme en bure. Le contraste était frappant, c'est pour cela que je l'ai retenu. J'aime observé les gens......et les décolletés des jolies femmes.

Là-dessus , il mit une main sur le sein de Dore et lui plaqua un baiser puis la laissa là et partit sans se retourner.
Dore le regarda partir un sourire sur les lèvres.

chuuut! ne rien dire à Ricco, on ne sait jamais.

Dore se rajusta et prit le chemin du port. Après un bref détour vers la nouvelle caravelle, elle prit le chemin du domaine de la Comtesse.

_________________
Qui mieux qu’une femme peut mener des hommes par le bout du nez?
Ricco
[De retour au port après son entre-vue avec Valnor]

Ricco était revenu au port pour continuer son investigation mais autant chercher une aiguillette dans une meule de fin. Ricco ne savait pas où commencer car de l’eau avait coulé sous les ponts depuis l’enlèvement.

Ricco soupira !

Il regardait autour de lui, bon commençons dans cette taverne. Ricco se dirigea ensuite vers une des tavernes près des quais, on ne savait jamais que Aristote soit avec lui.

Il perdit quelques heures à écouter les chants et les histoires de vieux loup de mer mais a part quelques écus de perdu pour avoir toujours une chopine en main, il n’apprit rien de probant dans cette première taverne.

Il sortit pour prendre l’air ou bien pour retourner vers le domaine de Castelmont quand il aperçut des ouvriers entrain de décharger des marchandises d’un bateau.

Mais c’est bien sûr ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé plutôt, les ouvriers sur les quais l’auront probablement vu avec son accoutrement. pensa-t-il en se tapant le front du plat de sa main gauche.

Ricco fonça sur les ouvriers.

bonsoir, cava ? voila, je suis à la recherche d’un homme !

s’scusez-nous mais vous voyez pas qu’on bosse ??

je disais que je suis à la recherche d’un homme !

Mais je vous dit qu’on bosse

wi et alors ça vous empêche pas de parler de réfléchir ??

L’ouvrier soupira et déposa son fardeau puis regarda Ricco droit dans les yeux

Alors y ressemble à quoi vot’bonhomme ?

c’est un homme de taille moyenne, il est borgne et il portait un tabar avec une croix noire dessus.

L’homme réfléchi un peu puis dit : Désolé, mais j’ai pas vu ton homme. et il repris ensuite son fardeau et continua sa tâche.

Merci quand même !

Ricco questionna encore d’autres ouvriers sur le port et sa persévérance fini par aboutir.

Ton gars, wai j’l’ai vu ! Il était sur le quai, devant un beatau et y parlait avec un cureton ou un moine !

un curé ou un moine ?

Ben wai ! C’était un mec avec une bure ? et a part les curetons, z’en connaissez-vous des mecs qui veulent porter ces vêtements ?

Ricco sourit ! Non de fait ! et c’est tout ? Avez-vous vu son visage ? Y ressemblait à quoi ? Et c’était quel bateau ?

Hée ho !! on se calme ! Y ressemblait à quoi ? Ben a un homme normal, qu’est-ce que j’en sais ! Chais plus moi le nom du bateau !

Merci bien ! Ricco partit vite avant que le badaud s’énerve pour de bon.

Le soleil commençait déjà à poindre son nez quand Ricco reprit le chemin du domaine de Castelmont

Est-ce que Dore a eu plus de chance que moi ?? pensa-t-il sur la route et bien je vais en avoir la réponse dit-il en lançant son cheval au galop car il pouvait apercevoir sa croupe ( au cheval de Dore bande mauvais esprit) au loin.
_________________

Le vrai courage consiste à vivre quand il est juste de vivre, à mourir quand il est juste de mourir.
citation du Bushido
Valnor
Valnor remercia Melior.

- Vous êtes d'une grande bonté. J'espère que nous retrouverons Flex en un seul morceau, seul Aristote peut savoir dans quel guêpier il a pu se fourrer. Mes hommes en auront peut-être appris plus cette nuit.


La soirée passa à parler de temps ancien. Paradoxalement, ils rirent ensemble d'anecdotes et d'événements qui à l'époque n'avaient pas déclenché autant d'hilarité.
_________________
Archybald
[Castelmoron d'Albret.]

Franchissant l'entrée du domaine de madame la vicomtesse pour être cueilli par un valet, le Capitaine ficha les rennes de sa monture dans les mains de son homme d'accueil, sans attendre qu'il se propose pour conduire le percheron à l'écurie.

Et bien ne vous souciez pas de moi, je trouverais la porte moi-même. Je n'ai pas la vue qui flanche à mon âge.

Il partit à la recherche de l'entrée sans avoir la bonté d'attendre un guide, visiblement offensé qu'on le considère comme un attardé à qui tenir le bras pour trouver son chemin.
_________________
"Je vends du rêve, mais surtout des armes"
--Le.black


Carvin dit le Black, matelot méditerranéen dont les exploits font l'éloge de légendes appréciées dans les bas fonds de Bordeaux ajustait son chapeau triangulaire pour se cacher son seul œil actif du Soleil brulant. Un mercenaire tel que ce vieux-loup de mer se faisait payer une fortune et acceptait toute sorte de rémunération. La clope au bec, il mimait de laver la coque du petit navire suite au départ d'Archybald tôt dans l'après-midi.

Oui cap'taine Archybald, je vais garder le poisson au frais !

Carvin tira son col afin de laisser s'échapper une chaleur accumulée par le dur labeur de gratter la mélasse à l'eau bouillante. Des bruits sourds se déchainaient sur la porte, stupéfiait il redressa son visage pour contempler l'acharnement de Sire Flex. Tout ceci semblait provenir d'un grand désespoir, que Calin reconnu comme instinct de survie. Mais la marchandise allait faire repérer le complot, et ça il ne pouvait pas laisser échapper 7000 écus.

Putain la Mirandole tu vas te la fermer !

En dévalisant les escaliers qui reliaient la coque à la cale, Carvin hurla de tout ses poumons infestés de tabac. Sa voix roque grésillait tel un écho.

Si tu continues je t'ouvre le bide. J'ai pas la même patience que le cap'taine, et j'ai pas envie que tu fasses merder la mission. Alors, votre grandeur va gentiment se rasseoir et lire ses bouquins.


L'air qu'il adoptait fut menaçant. Une courte dague dans sa main gauche pointait la direction de Flex, et son visage embrumé par la fumée de cigarette le rendait encore plus mystérieux.
Flex
Dans un état squelettique, le deuxième jour fut plus pénible sans nourriture. Mise à part les quelques insectes qu'il avait réussit à extirper des poutrelles par chance et les mousses verdâtres collées aux parois de la cale, Flex n'avait rien ingurgité de bon & de chaud depuis son interpellation avec Archybald. L'encre des livres avait un gout immonde mais faisait taire pour quelques heures son ventre qui criait famine. Les gargouillis réguliers venaient accompagner ses folies, où envoutés par des spasmes Enguerrand frappait jusqu'au sang la porte qui le bloquait à a vie.
« - Je veux sortir.. Comtesse ! Comteeeeesseee ! Il ne possédait même plus la force de crier le nom de celle qu'il aimait. Il ne se contentait de penser à sa famille ici bas.
Agenouillé au sol sur une planche mal enfoncée, son buste dodelinait sans cesse. Il récitait des phrases incomplètes à voix basse pour rester éveiller et ne pas perdre sa tête.
Quand tout à coup un inconnu déboula telle une avalanche et le rejoignit.


Parlez-moi autrement goret.. Vous n'êtes qu'un esclave du Louvelle, un gueux. Un espoir naquit en lui. Ses jambes le portèrent à sa hauteur. Il fit ce dont sa vie se résuma pour certain : marchander. Je vous paierai dix fois plus qu'il ne vous paye. Vous deviendriez seigneur. Vous aurez des femmes et.. Et, et un navire rien qu'à vous ! si vous me laissez sortir. » Il le suppliait. La peau sur les os, Enguerrand ne pouvait pas s'armer de ses atouts naturels, ni même jouer d'être un fameux bretteur. Rien de tout cela, seule sa confiance et sa dissuasion feraient basculer la balance de son côté.
_________________
--Le.black


Il connaissait bien le fils du duc Vaxilart pour s'apercevoir qu'un avenir pouvait se dessiner en un rien de temps. Il fit mouche et avait su trouver les mots qui satisfassent toutes les plus grandes rêveries qu'avaient put imaginer Carvin. Il doutait de toutes ses convictions, et se laissa submerger par les promesses du condamné. Une terre sous sa tutelle munit d'un fort puissant, des vignes abondantes d'alcool et des femmes qui dansent sur les tables remplies de nourritures copieuses. Dans le port était accosté son bateau qu'il intitulera " Black C.", comme ses initiales. La réputation du fils Mirandole ne faisait aucun doute, et sa puissance jouait en cela.
Mais.. Par honneur, mais surtout par une envie machiavélique d'être, ne serait-ce que pendant dix minutes, plus puissant que le Parrain du royaume surgit de sa conscience.


Tu sais parler aux hommes, et ça je le reconnais Mirandole..

Le loup de mer cracha un mollard par terre.

Seul un simple d'esprit refuserait ta proposition, et je sais que tu tiens tes promesses comme tu aimes jouer de la vérité.. Mais j'ai juré de te faire la peau. Parole donnée, parole donnée !

Le Black assigna un coup aussi rapide que l'éclair à Flex, la dague charcuta sa joue d'une longue et profonde ouverture. Cette pièce l'excita au plus haut point, un filet de sang chaud s'étalait le long de sa main et ruisselait sur le coupant de son arme blanche.

Hahaha ! Mirandole, Mirandole.. Ne vois-tu pas que personne ne veut de toi ? Cela fait quatre semaines que la rançon a été demandé, et personne n'est venue l'apporter ! Personne tu m'entends Mirandole ?

Carvin riait aux éclats.

Pas même tes vassaux, pas même tes employés... Pas même ta petite putain chérie, Mirandole.

Carvin s'approchait de lui, le ton redoutable.

Elle ne t'aime pas, et elle va te laisser crever comme un rat dans ce bateau ! Hahaha ! Je te jure que quand tu seras mort je viendrais prier sur ta tombe, car tu le mérites. Et je m'occuperais de faire un fils à ta comtesse, Mirandole, et à ta fille la jeune pucelle. Je serais leur protecteur, et je vais les engrosser toutes les deux ! Hahaha !

Les bras écarté, le loup de mer était heureux comme un ange. Toute cette force l'amenait au septième ciel, il en redemandait à chaque instant. Il se sentait fort, très fort même, et ne considérait plus Flex que comme un simple cadavre animé par des faux-espoirs. Il jeta un rapide coup d'œil au travers du hublot pour se rassurer de la faible présence de gens aux alentours. Il avait entendu qu'on était venu enquêter sur sa disparation, mieux valait être prudent.
Dorennor
Dorennor fut rapidement rattrappée par Ricco.

Ah ! te voilà! Nous allons pouvoir finir la route ensemble.
Une halte au chateau et un arrêt "pose santé" dans le foin des écuries avant une bonne nuit de sommeil......mon rêve de ce jour.


Dore regarda Ricco avec des yeux plus malicieux encore que d'habitude.Son aventure l'avait stimulée.

Pour l'enquête ...pas beaucoup de résultat mais notre homme a été vu sur le port en compagnie d'un autre, de modeste condition apparemment.....ou qui veut le faire croire.
Toi ,qui connait Flex...il fréquenterait un éclésiastique? un homme pauvre et rugueux?


Dore regarda Ricco. Il lui avait déjà parlé de Flex.

Le chateau s e profila à l'horizon.
Ils s'arretèrent devant le chateau et laissèrent leurs chevaux aux bons soins des palfreniers.
Dore vérifia sa mise avant d'être introduite auorès de la vicomtesse et du lieutenant.


Dorennor au rapport, mon lieutenant.

Dore raconta ce qu'elle avait appris et ce qu'elle avait observé lors du tour fait sur le port.
Puis elle attendit la permission de se retirer, le foin attendait dans les écuries...

_________________
Qui mieux qu’une femme peut mener des hommes par le bout du nez?
Lotx
[J'attendrrrrrrrai, le jourrrrrr et la nuiiiiiiit, j'attendrrrrrrai toujourrrrrrs...]

Affalé sur sa table, bouteille vidée ainsi que sa petite sœur de vin de Bordeaux le gamin s'impatientait. Et quand un gamin périgourdin ivre mort -ou en bikini comme on disait là bas- s'impatientait, c'était toute une taverne qui s'agaçait.

(Lotx): Bon on va faire plus simple, y a t-il un brigand dans ste foutue taverne?
(Gégène): Quoi qu'es-ce qu'y dit?
Stéphanielafolasse se penche vers Kévindu93 et lui murmure quelque chose.
(Lotx): Bordel, quel duché pourri! Même ceux qui enlèvent des gens y sont pas ponctuels!
(Vienspoupoule): Eho! Du calme le mioche, si t'es pas content tu te barres! La Guyenne tu l'aimes ou tu la quitte!
(Cassandradesvertesvallées): (je re)
Kévindu93 se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.
(Lotx): Ah mais j'domande que ça moua 'croyez bien! Seulement spa d'ma faute si j'ai un vicomte qu'a choisi votre trou paumé pour s'faire enlever hein?
Lareinedespaupiettes entre dans la taverne.
(Vienspoupoule): Non mais dis donc l'nain! T'as qu'à dire que notre duché c'est un ramassis de...
Lareinedespaupiettes sort de la taverne en grommelant et claque la porte.
(Lotx): Nan, nan, j'oserai jamais... M'enfin faut avouer que...
(Gégène): Bonjour!
Vienspoupoule se lève, énervé.
Stéphanielafolasse se penche vers Kévindu93 et lui murmure quelque chose.

(Gégène): Ah ben mince alors, trop tard...
(Lotx): Euh...
Kévindu93 la chevauche sauvagement.
Lotx se tourne vers Kévindu93, yeux ronds.
Vienspoupoule tourne la tête.

(Kévindu93): Oups désolé, fausse manip'
(Lotx): "Fausse manip'"? Dans ste... euh... position?
Lotx détourne le regard et grimace.
Kévindu93 se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.
Vienspoupoule revient à ses moutons.

(Vienspoupoule): Tu sais que je pourrais t'embarquer pour "insultes envers les institutions Guyennoises"?
(Cassandradesvertesvallées): (re)
(Lotx): Oh l'autre eh!
Sifflard entre dans la taverne.
(Vienspoupoule): Et puis il a bu combien de bouteilles hein? Hmm... Ivresse sur la voie publique ça.
(Cassandradesvertesvallées): Bonjouuuuuuuuuuuur!
(Sifflard): Bonzour, bonzour!
Cassandradesvertesvallées le bisouille.
(Lotx): Nan mais dites donc! J'sais bien que z'êtes complètement demeuré dans s'dûché mais ça commence à suffir hein pasque là!
Stéphanielafolasse se penche vers Kévindu93 et lui murmure quelque chose.
(Sifflard): Oh ma dame, vous me zénez à me mettre en branle comme ça.
(Vienspoupoule): Insultes à agent, eh ben voyons!
(Cassandradesvertesvallées): Hi, hi, hi, hi!
Kévindu93 se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.
Sifflard se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.

(Vienspoupoule): Bon allez, fini d'rigoler, j'vous embarque!
(Lotx): Ah mais nan, mais nan!
(Stéphanielafolasse): Comment ça à trois???! Mais vous êtes complètement taré vous!
(Vienspoupoule): Ah mais si, mais si!
Sifflard soupire et retourne vers Cassandradesvertesvallées.
(Vienspoupoule): Maréchaussée de Bordeaux j'ai tous les droits.
(Cassandradesvertesvallées): Hi, hi, hi, hi!
(Lotx): Ah mais vous pouvez pas! J'suis procureur moua môssieur!
(Cassandradesvertesvallées): Vous voudriez pas m'épouser monsieur?
(Vienspoupoule): Ouais, ouais c'est ça, et l'autre là c'est l'duc de Guyenne!
(Sifflard): Mais avec zoie ma dame!
(Lotx): Ah bon?
Lotx se tourne vers Kévindu93.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.
Gégène offre une tournée générale.

(Cassandradesvertesvallées): Roooooh j'ai pas décoché, vilain!
(Lotx): Scusez votre glandeur d'vous déranger pendant qu'vous chevauchez sauvagement mais permettez moua d'vous dire que...
Kévindu93 se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.
Vienspoupoule se sent pris d'une grande lassitude...

(Lotx): Votre dûché là...
Stéphanielafolasse se penche vers Kévindu93 et lui murmure quelque chose.
(Lotx): Youhouuuu? Vous m'écoutez?
(Cassandradesvertesvallées): Tu aimes les quintuplés messire Sifflard?
(Vienspoupoule): Bon allez, fini de rigoler le gosse, je t'embarque!
(Sifflard): Ah mais z'adoooooooooore les quintuplés!
(Lotx): Ah mais nan! Mon comte serait pas content, pis y sorait obligé d'vous déclarer la guerre étou étou... Nan, nan, j'pense pas qu'ce soit...
Vienspoupoule menotte Lotx.
Kévindu93 se penche vers Stéphanielafolasse et lui murmure quelque chose.
Sifflard lance un regard intéressé à Lotx.
Lotx boude.

(Vienspoupoule): Mesdames, messires, je dois l'embarquer, la bonne soirée à vous.
(Lotx): Je m'plaindrai! J'écrirai à mon comte! Pis à votre procureur! Pis au roy! Pis au pape aussi! Et même que je!
Cassandradesvertesvallées les bizouille.
(Lotx): Enfin ma dame on s'connaît même pas...
Sifflard les bizouille.
(Lotx): Enfin Sifflard on s'connaît même... euh...
(Vienspoupoule): Allez, hop!
Vienspoupoule sort de la taverne en grommelant et claque la porte.
Lotx sort de la taverne en grommelant et claque la porte.
Sifflard chevauche sauvagement Cassandradesvertesvallées.

(Gégène): Ah tiens, c'est à la mode en ce moment?

Évidemment, cette scène en taverne est purement fictive, toute ressemblance avec des faits existant ou ayant existé serait totalement fortuite!

_________________
Flex
Le Black assigna un coup aussi rapide que l'éclair à Flex, la dague charcuta sa joue d'une longue et profonde ouverture. Du sang s'accumulait alors que le borgne s'écrasait face contre terre par la puissance de l'impact. Il ressentit une métal froid ouvrir un trait limpide de sa bouche jusqu'à sa oreille, et tentant de garder le peu de sang qu'il avait encore cachait ce visage désormais mutilé de sa main. Flex avait mal, et le sel dissout dans ses larmes ne faisaient que brûler la chair ouverture. Il balbutia ce quelques mots,
« - C'est faux, c'est complètement faux.. Tout comme le jeune Mirandole avait réussit à convaincre Carvin de ses belles promesses, le loup de mer avait brisé le point faible du borgne. Il doutait plus qu'il ne l'avait jamais fait, et il le savait au fond de lui même que tout n'était que mensonge. Mais comment ne pas le croire ? Il disait vrai, pourtant. Personne n'était venue l'aider de sortir de ce trou à rat.. Et il mourrait comme eux, seul, affamé.
Le visage ensanglanté, une rage divine souleva le balafré dans les airs, et avec la rapidité d'un lion il surgit sur Carvin. Dans ses veines circulaient de la folie surhumaine, une crise provoquée par tous les évènements récents. Cette goutte d'eau fit déborder le vase, et c'est dans un furie guerrière que Enguerrand se jeta contre le pirate de toute ses forces.

Je vais te tuer !
Il pleurait, il criait en même temps. Cette extasie que produisit une forte dose d'adrénaline le fit halluciner. D'un geste puissant, il brisa le bras de Carvin en deux et s'empara de la dague. D'un coup sec dans le dos, Monsieur Black s'écroula par terre et n'eut le temps que de se retourner. La peur peignit ses yeux, sa bouche et ses front. Jamais il n'avait vu autant de détermination chez un homme. Il eut à peine le temps de le supplier de le laisser en vie que le borgne planta avec conviction la dague dans son cœur.

Puis dans sa cervelle, dans son visage.

Puis dans son torse, son ventre & ses entrailles. Carvin mourut dès le premier coup. Flex se tenait à califourchon sur le corps décédé. Mais il continuait sans s'arrêter..

10 fois..

30 fois..

60 fois..

.. Pour finir à bout de nerf. Ce n'était plus qu'un ramassis de chair, de sang, d'os broyés qu'il labourait de ses deux mains. Ses vêtements étaient devenus carmin et des gouttelettes de sang perlaient sur son visage. Penché sur le corps, il répétait inconsciemment.


C'est faux, c'est faux, c'est faux, c'est faux, c'est faux.. » Il délirait impitoyablement. On aurait dit qu'il jouait comme le faisait un enfant sur le sable d'une plage. Or, Enguerrand n'était plus à ce moment du même monde, il s'imaginait dans le sien. Totalement déconnecté du réel, ses muscles se laissaient aller dans un même rythme de bascule, qui à chaque poignée mélangeaient tout ce dont un corps humain possédaient de l'intérieur.
_________________
melior
[Castlemoron d'Albret]

Melior avait goûté avec plaisir la conversation de deux vieux de la vieille ressassant leurs souvenirs.
Un pas reconnaissable entre tous, sans nulle escorte, Archybald pénétra dans la salle principale. La jeune femme se leva d'un coup.


Archybald...

Elle le salua d'une inclinaison de la tête.

Je vous remercie d'être venu.

D'un geste gracile :

Mais permettez moi de vous présenter un mien ami, le Comte d'Aubeterre.

Se tournant vers Valnor :

Comte, voici le capitan de l'ost guyennoise, le sieur Archybald.

Posant de nouveau ses yeux d'onyx sur le Louvelle, tâchant de réprimer ce qui l'agitait, le désir de lui dire combien il lui manquait, elle dit :

Le Comte désire vous questionner au sujet de la disparition du Vicomte de Mussidan.
Peut-être souhaitez-vous que je vous laisse ? Vous pourriez ainsi vous entretenir librement.
_________________
Tubafat
[Une quelconque taverne sur les routes cotières de la Guyenne...]

Nouvel ambassadeur du Périgord-Angoumois en charge des relations avec la Guyenne, Saint Claud effectuait un voyage diplomatique en ces lieux autrefois convoités par d'anciens régnants de son comté. Attablé devant un godet de vin bordelais... plutôt savoureux... Le seigneur vit arriver un messager habillé de la livrée comtale.
Il prit le billet tendu et le lut en fronçant les sourcils… Il prit quelques temps de réflexion et s’adressa aux deux jeunes soldats qui l’accompagnaient en guise d’escorte en murmurant.


Changement de missions mes jeunes amis… D’une mission diplomatique des plus banales, nous passons maintenant à une mission de sauvetage. Nous devons coûte que coûte récupérer le Vicomte de Mussidan qui a été enlevé. Je pense que nous pourrons difficilement compter sur les autorités locales qui doivent préférer s’occuper de leurs élections.

Il continua à parlementer avec ses soldats, cherchant la meilleure façon de faire, afin de préserver la vie du Vicomte. Il se tourna vers le messager qui était resté mis à sa disposition et lui expliqua sa nouvelle mission. Il rédigea à la hâte un parchemin, y apposa son sceau et le lui remit.
Le messager partit au pas de course remplir sa tâche.

Se tournant vers les deux jeunes soldats.


Préparez vos bagages, nous repartons ce soir, nous devons impérativement être à Bordeaux demain.

Il les regarda un moment sortir avant de se repencher sur sa table, écrivant un nouveau courrier, cette fois-ci à l’attention d’un vassal de Mussidan, qui l’accompagnait à l’époque de sa disparition.





[Quelques heures plus tard, sur les quais de Bordeaux]

Le messager avait cavalé comme jamais pour arriver le plus rapidement possible en la capitale de Guyenne. Les moines copistes avaient réussis à réaliser les copies de la lettre de Saint Claud en un temps record… mais la bourse du jeune homme en avait pris un coup ! Il terminait d’afficher la dernière affiche, après avoir parcouru tous les quais les posant à intervalles réguliers. On pouvait y lire.

Citation:
Au Chacal, ou à quelque autre nom que vous portez…

Moi, Waldo d’Azerith, Seigneur de Saint Claud sis en Périgord et Angoumois, Ambassadeur du Périgord-Angoumois en charge des relations avec la Guyenne, suis chargé en ce jour par mon Comte de négocier avec vous la libération du Vicomte de Mussidan.

Le Comte Plantajeunet, dans sa grandeur, et dans le respect de son serment de suzerain, a décidé de se plier à vos exigences, en contrepartie de quoi, le vicomte de Mussidan devra nous être remis sain et sauf.

Je serais présent en la bonne ville de Bordeaux dans la journée du 26 mars. Vous pourrez facilement me trouver puisque je serais, accompagné de deux gardes aux couleurs du Périgord-Angoumois, présents sur ces mêmes quais durant tout la journée.

Je fais confiance à votre débrouillardise pour me contacter durant cette journée, m’engageant par la présente, devant toute la population Guyennoise, qu’aucun mal ne sera fait au messager que vous m’enverrez.

Faict en la campagne bordelaise, le 25 mars de l’an de grâce 1458,
Waldo d’Azerith,
Seigneur de Saint Claud,
Ambassadeur du Périgord




Ayant terminé, le pauvre messager, qui devait regretter d'avoir été choisi pour cette mission, partit en toute vitesse trouver un cheval frais et rapide... Il devait faire l'aller retour dans la nuit entre la capitale Guyennoise et la capitale Périgourdine... Le temps était compté...
_________________
Valnor
A l'arrivée de ses deux enquêteurs Valnor prit les nouvelles puis les invita à prendre quartier en le domaine. Il fallait un peu de repos à tous car les jours à venir sauraient leur donner encore bien du travail.

C'est à ce moment qu'un invité fit son entrée dans le salon. Valnor se leva et laissa Melior faire les présentations.


Comte, voici le capitan de l'ost guyennoise, le sieur Archybald.

.....

Le Comte désire vous questionner au sujet de la disparition du Vicomte de Mussidan.
Peut-être souhaitez-vous que je vous laisse ? Vous pourriez ainsi vous entretenir librement.


Valnor s'inclina en guise de salutations comme il en avait l'habitude.

- Enchanté de faire votre connaissance, même si j'aurai préféré que cela se produise dans d'autres circonstances. Puis regardant Melior. Vous pouvez rester en ce qui me concerne, chère amie.
_________________
Tubafat
[Vendredi 26 mars 1458 au petit matin sur les quais de Bordeaux]

Comme prévu Saint Claud état arrivé sur Bordeaux, il avait retrouvé le messager qui avait fait diligence pour arriver à revenir dans la nuit. Le coffre qu'il avait ramené de Périgueux était maintenant dans un endroit sur.
Accompagné des deux soldats qui constituaient son escorte, l'ambassadeur commença sa longue attente.
Un des soldats s'adressa à lui.


Excellence, vous croyez que quelqu'un viendra?
Je l'espère soldat, je l'espère...
Vous semblez soucieux... vous avez peur?
Peur? Oui j'ai peur... j'ai surtout peur que cette histoire ne soit qu'une vaste mascarade...
Que voulez-vous dire?
Eh bien... imaginez un instant... que le seul but de cet enlèvement n'ait pas été la rançon?
Vous pensez à un règlement de compte envers messire Flex?
Non... même si ça serait possible vu son caractère belliqueux. Non je pense plutôt à une machination... dont le véritable visé ne serait pas Flex.
Qui donc alors?
Le Comte du Périgord-Angoumois...
Pardon?
Oui j'ai reçu un courrier hier soir... Du vassal de Flex qui l'accompagnait en Guyenne avant sa disparition. Et il a jugé plus utile de cracher sur le comte et me menacer que de me donner les quelques informations qu'il pouvait avoir... Et il a parlé d'un dossier... un procès héraldique sans précédent... comme si l'issue de cet enlèvement était déjà courue d'avance... Je n'aime pas ça, pas ça du tout...


La mine soucieuse Saint Claud faisait les cents pas en pleine réflexion... le soldat jugea alors plus sage de ne plus le questionner...
_________________
Valnor
Tout le monde s'était installé, et Valnor débuta.

- Messire Capitaine. Je me permets de vous poser quelques questions afin d'avancer notre enquête.

Connaissez-vous personnellement le Vicomte de Mussidan et connaissez-vous les raisons de sa venue à Bordeaux ?

Nous avons aussi appris par le Seigneur Ioz, vassal du Vicomte de Mussidan qui l'accompagnait à Bordeaux, que le soir de l'enlèvement, Flex avait rendez-vous avec vous. Aussi avez-vous rencontré Flex ce fameux soir ?

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)