[RP] Au 1 place de la Sainte Reyne Nathan, une installation

Voila quelques jours que j'étais arrivée à Vannes, je ne possédais pas grand chose, mais j'étais maintenant, grâce aux bons soins de dame Lallie au cadastre, propriétaire de cette charmante demeure sise au 1 place de la Sainte Reyne Nathan.

La demeure était inoccupée depuis un certain temps à en juger par l'épaisseur de poussière qui s'était accumulé sur le manteau de l'âtre où avait du brûler un bon feu par le passé. Un âtre autour duquel il ferait bon se réchauffer sous peu, tandis que les nuits commençaient à réellement rafraîchir.

J'avais passé mes premiers jours entre des travaux aux champs ou en forêt pour faire quelques économies, quelques passages sur le marché en quête d'aliments goûtus reconnus pour leur qualité nutritive, du nettoyage d'hiver puisque le printemps s'en était allé, et un début d'installation. Une maigre paillasse me servait de lit. Ce qui ne me quittait point, c'était cette malle que ma mère avait eu tant de mal à me confier. Depuis des années, elle avait commencé à constituer ce qui aurait du être, dans ses rêves, mon future trousseau de femme mariée. J'avais semble-t-il atteint ma taille adulte, aussi ce trousseau contenait il déjà quelques robes en plus des linges qui auraient du me servir à être une bonne maîtresse de maison.

J'avais qui plus est, par hasard, retrouver William. Cela avait achevé ma félicité. Ma demeure prenait forme jour après jour. Tout était pour le mieux.

Et voilà qu'il me conviait à un évènement de la cité. J'étais à la fois flattée et anxieuse.

J'étais rentrée ainsi de notre discussion en taverne, légèrement affolée à me demander bêtement ce que j'allais pouvoir me mettre. Pas de bleu, j'en portais déjà la dernière fois. Pas de blanc, il avait dit que c'était une union, même druidique, je ne savais pas bien en quoi cela consistait mais je jugeais préférable d'éviter le blanc. En fouinant avec délicatesse dans le coffre, je trouvais une robe rouge, simple, serrée sur mes hanches, point trop ostentatoire, mais dans laquelle je me sentirai sans aucun doute fort à mon aise.

La passer releva un peu plus du défi que je ne l'aurais pensé. Il faut dire que j'avais fait légèrement reprendre mes robes après mon départ, mère les ayant faites volontairement évasées, alors que je les voulais soulignées.

Je passai également un coup dans mes cheveux qui pour une fois acceptèrent de se laisser discipliner à peu près sans opposer trop de résistance.

Tout cela m'avait pris un certain temps et je ne doutais pas que William ne tarderait plus trop, il serait dommage de rater la cérémonie.
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J'entendis frapper à la porte, cela ne pouvait être que lui, je m'armai alors de mon plus beau sourire, réajustant ma robe rapidement, dégageant une mèche rebelle qui ne prétendait pas se placer correctement, je traversais la demeure.

Je pris une seconde en posant la main sur la poignée, je contrôlai ma respiration, affichant sur mon visage le sourire qui lui avait visiblement plu lors du buffet d'intronisation.

Je tournai la poignée... La porte tourna sur ses gonds, grinçant légèrement. Et là...

Je restais perplexe. Il n'y avait personne devant la porte !

J'avançai un petit peu, prudemment car je n'avais pas pris de châle à poser sur mes épaules et que pourtant l'air se faisait frais. Je jettai un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche. Rien. Personne.

Etrange. Une facétie de mes nouveaux voisins peut être ? Une boutade d'un enfant qui s'ennuyait ? Je haussais les épaules et refermait la porte. Il faisait meilleur à l'intérieur, j'y serai plus confortablement installée pour attendre William.
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J'entendis sa voix. Mais elle avait une étrange intonation. Je descendis rapidement l'escalier, ouvrit la porte.

Je vis William, sur mon balcon. Il avait l'air paniqué.

Et bien entrez donc, vous savez, le mieux c'est encore la porte, je n'ai pas pour habitude de faire entrer les gens par les fenêtres. A moins que vous n'y teniez absolument...

Je m'écartais pour lui laisser le passage.

Vous avez l'air dans un drôle d'état.

Ce n'est qu'à ce moment que j'avisais les fleurs qu'il tenait. Elles avaient visiblement souffert d'un voyage mouvementé.

Entrez donc, racontez moi ce qui vous arrive qui vous mette tant sans dessus dessous.
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Instantanément, je devins rouge comme une pivoine, de quoi faire très honorablement concurrence à la robe que je portais. Je pris doucement les fleurs qui m'étaient tendues. J'humais leur parfum. Les fleurs étaient d'un bleu magnifique, je ne puis m'empêcher de me demander futilement un instant s'il les avait choisi en souvenir de la robe que je portais lors de notre rencontre, mais je ne laissais rien paraître de mes questionnements. Je les mis dans un récipient approprié, que je posais alors sur la table.

Je repris une contenance. Lorsqu'il me parla d'y aller.

Oui bien sûr mon cher. Cependant permettez un instant, je suis descendue en toute hâte pour vous ouvrir et ai donc oublié là haut le châle que je comptais prendre, car je ne doute que l'air se rafraisse sous peu.

Je n'attendis pas sa réponse, je relevais légèrement le bas de ma robe afin de libérer mes petits pieds de son emprise, et je montais l'escalier rapidement. Arrivée en haut, je me saisis de mon châle, jettais un rapide coup d'oeil à la psychée, et je redescendis un peu plus dignement que j'étais montée, souriant en voyant William m'attendre dans l'entrée.

Je suis prête. Je vous suis, m'offrirez vous votre bras ?
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Je pris le bras gauche, de manière à me trouver à sa droite. Je me sentais presque fluette à côté de William. Je rougis lorsqu'il me parla des deux bras. Je ne pouvais nier y avoir songer, sans oser cependant en émettre le souhait si vertement. Nous sortîmes de la maison, la bête enragée s'était fort heureusement éloignée.

Je ne pipais mot, me contentant d'avancer tant bien que mal au rythme de William, qui avait des foulées bien plus grandes que ne me le permettaient mes petites jambes et ma robe.

Nous arrivâmes alors sur le lieu de la cérémonie...
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Je ne pus m'empêcher de sourire. La manière de William de tourner un compliment était toujours si particulière. Pour un peu j'aurai cru qu'il était troublé. Mais cela me faisait rire intérieurement.

Fort agréable ma foi mon cher. Toujours un plaisir quelque soit les circonstances, de passer du temps en votre charmante compagnie.

Je piquais instantanément un fard lorsqu'il saisit mes mains dans les siennes. Plus intense encore lorsque ses mots me parvinrent comme dans une sorte de rêverie. Ce compliment ci était fort bien tourné je devais l'admettre.

Les étoiles ne sont là que la nuit malheureusement.

Je souris, les yeux brillants, et sortis un petit carré de tissu de ma manche, sur lequel était brodé mon prénom, du moins son diminutif. Je plantai alors mon regard dans celui de William.

Prenez ceci comme un cadeau William, mon nom est brodé dessus, ainsi, même lorsqu'il fera jour, que vous soyez ou non loin de moi, vous aurez quelque chose de moi avec vous.

Je lui tendis le carré de tissu, d'une blancheur immaculée, les bords étaient brodés d'un fin liserai bleu, et "Mary" apparaissait dans un angle.

Il se fait tard mon cher.

Pour cacher mon trouble, j'avais lâchement opté pour la fuite. Je déposai alors un furtif baiser sur sa joue, attendant qu'il prenne mon cadeau pour rentrer.

La bonne nuit mon ami, espérant vous revoir bientôt icelieu.
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Je rentrais précipitamment à l'intérieur de ma demeure, le souffle légèrement coupé. J'avais lu dans son regard, quelque chose qui m'avait à la fois flattée et apeurée.

La porte refermée derrière moi, je m'y adossais négligemment quelques instants qui semblèrent infinis. Une partie de moi espérait un signe, un geste. L'autre craignait ce qui semblait chaque jour davantage inéluctable, telle la guerre qui se livrait en mon propre sein.

J'étais à deux doigts de me gifler moi même, pour m'obliger à reprendre mes esprits. Je préférai finalement monter dans ma chambre, jeter un oeil à la psyché, avant de venir m'approcher de la fenêtre en rêvassant. Visiblement William ne marchait pas de son pas rapide habituel, car j'eus tout loisir, à travers la fenêtre de le voir s'éloigner de chez moi. J'espérais à la fois qu'il ne sente pas mon regard dans son dos, et qu'il se retourne, j'eus sans doute considéré cela naïvement comme un signe.
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William avait mit la clé dans la porte de sa forge..ses affaires étaient dans la charette , il était pret a partir. Mais le pire restait a faire...faire ses adieu a sa jolie fleur bleu...celle pour qui il éprouvait un sentiment de plus en plus fort...

..il arriva devant la demeure de Mary...il resta assit dans la charette fixant la porte de la maison essayant de trouver les mots qu'il utilisera...

..il descendit finalement de la charette et alla frapper a la porte.
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*Frère de Roxadana.
*Chef du défunt Clan écossais Duncan.
*En exil

En voyant le visage de Mary changer en appercevant la charette William se dit qu'il aurait été plus judicieux de se garer plus loin.

..il n'osait même plus la regarder dans les yeux...il regardait par terre.

-Bonjours Mary. J'peux entrer?
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*Frère de Roxadana.
*Chef du défunt Clan écossais Duncan.
*En exil

Une réponse parvient chez la blonde jeune femme.

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J'hésitais encore entre stupéfaction et colère. J'avais écouté William sans piper mot, mais lorsqu'il se leva et qu'il eut posé la main sur ma joue, je ne puis plus me contenir.

Je suis blessée...

Je pris un instant.

Blessée que vous me croyez si peu forte, si inapte à affronter toute épreuve. Vous allez quitter Vannes, quoique je dise la décision est déjà prise je ne le sais que trop bien. Mais avant vous entendrez ce que j'ai à dire.

Fichu caractère aurait dit ma mère...

Comment osez vous décider ce qui est mieux pour moi ? Je ne vous ai jamais connu dites vous ? Pourtant vous vous tenez devant moi à cet instant, et ce que je lis dans vos yeux je ne pourrais jamais l'oublier. Vous êtes en danger, c'est un fait, mais parlez pour vous, ne dites pas que vous risquez ma vie, c'est encore à moi d'en décider cela il me semble.

Les mots fusaient dans la pièce, sur un ton qui changeait de ma douceur habituelle.

Je savais que vous étiez exilé, vous ne vous en étiez pas caché, et je ne suis point naïve au point de penser que votre vie était exempte de dangers, mais je l'ai accepté que je sache et ne vous en aurai jamais fait reproche.

Je restais là, plantée devant lui, ridiculement petite, et pourtant bientôt ma voix aurait fait tremblé les murs.

Vous me laisserez donc ?

Je me repris.

Ne dites rien, je connais déjà la réponse. Mais reviendrez vous ?

La colère qui brillait quelques instants plus tôt dans mes yeux était en train de se muer en une tristesse infinie. Mon regard, qui n'avait pas quitté le sien un instant, se voila l'ombre d'une seconde. Une larme coula le long de mon visage, qui vint s'arrêter sur le pouce de William, dont la main n'avait pas quitté ma joue. Je ne voulais pas pleurer, j'étais forte, pleurer lui dirait le contraire. J'avais encore une simple once d'espoir, et je lâchais dans un soupir...

Y a t il quelque chose que je puisse dire ou faire ?
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A peine remise, et pourtant cela hante sans cesse son esprit depuis qu'elle a reçu la missive... Elle se porte mieux désormais, et cela ne peut attendre davantage. Le visage de Lilyangel flottant devant ses yeux, le rire du petit Kelyan aux oreilles, elle se dirige donc vers la maison de la jeune Maryana, toute à ses pensées.

Une fois parvenue sur le seuil, elle ôte le gant qui recouvre sa main et frappe quelques coups à la porte avant d'abriter ses doigts frileux dans un pli de son manteau.

Comment va Maryana? Longtemps qu'elle ne l'a pas vue, cette jeune femme qu'elle a si rapidement appris à apprécier. Elle le saura peut-être bientôt, bien que l'occasion soit un peu maladroite pour prendre des nouvelles.
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C'est un visage, toujours souriant, qui l'accueille, bien qu'elle se doute que le moral n'est pas forcément au beau fixe... Un peu de compagnie en ces moments, pour partager des souvenirs... Bien peu à Vannes ont eu la chance de rencontrer Lilyangel, et ceux qui l'ont eue s'en rappelleront...

Elle salue Maryana d'un sourire.

Demat Maryana. Une tisane sera parfaite. Merci beaucoup.

Défaisant son manteau, elle regarde autour d'elle.

Je vois que vous êtes bien installée! En y pensant, j'ai été rustre de ne pas vous proposer davantage mon aide lorsque vous avez emménagé, veuillez m'en excuser. Si vous avez besoin de quoique ce soit, surtout n'hésitez pas, n'importe où n'importe quand!

Sourire.
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Trugarez, répond-elle en prenant sa tasse à deux mains, ravie d'accueillir cette source de chaleur supplémentaire.

Elle avait résolu de changer de sujet après s'être inquiété de l'ombre qui avait survolé le visage de sa jeune hôtesse. Tu manques parfois de délicatesse ma grande, c'est malin, s'était-elle dit alors que Maryana s'absentait pour préparer les tisanes.

Je suis heureuse de vous voir également. Il est vrai que nous nous sommes à peine aperçues ces derniers temps. Vos mots m'inquiètent vous savez. Je vous en prie ménagez vous dame Maryana, je ne voudrais pas que vous attrapiez du mal en vous surmenant. Vannes survivra si vous prenez un peu de repos au lieu d'aller aux champs. Et si un soir vous avez envie d'un moment de détente, venez frapper chez nous, vous y serez toujours la bienvenue.

Pour répondre à votre question je vais mieux oui, doucement. Je ne regrette pas d'avoir été ainsi alitée, j'ai eu l'occasion de réfléchir à un certain nombre de choses...

Elle la regarde et, après un long silence:

Je crois que nous avons tous eu des épreuves à traverser récemment...
Comme l'hiver est l'épreuve de la nature... Un gouffre, de l'obscurité, torpeur... et puis la vie reprend inévitablement le dessus, sans qu'on sache trop comment...
Nous sommes après tout des créatures de Nature, je ne vois pas pourquoi nous échapperions à ce cycle.
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Eoghann va bien je vous remercie. Il pousse en effet à vue d'œil, nous avons tout intérêt à le surveiller de près, de peur qu'il ne soit un homme avant que nous n'ayons eu le temps de nous en apercevoir!

Sourire jovial.
Elle rechigna à revenir à ce sujet, d'autant plus que Maryana semblait avoir fait beaucoup d'efforts pour s'en eloigner. Mais c'etait en grande partie pour cela qu'elle etait venue...
Aussi, après avoir pris une nouvelle gorgée de tisane, elle reprit d'une voix douce:

Au sujet de Lilyangel... je compte faire une discrète cérémonie à sa mémoire en forêt un jour prochain. Je voulais vous en avertir, si jamais vous avez envie de vous joindre à moi... Je sais qu'elle appréciait les anciennes traditions, et c'est un hommage que j'aimerais lui rendre.

Il semblerait malheureusement que je sois amenée à étendre la cérémonie à d'autres vannetais.... au vu des tristes événements qui se sont déroulés ces derniers-jours...

Elle tourna la tête vers la fenêtre, songeuse soudain. Ces départs d'un genre bien plus radical que ceux que Vannes avait déplorés auparavant faisaient relativiser ceux plus temporaires qui les avaient précédés, et n'en semblaient que plus cruels... Lilyangel, Abby, Godefroy... ils étaient partis, et ne reviendraient pas. La terre qu'ils étaient partis découvrir n'était pas de ce monde, et leur nouveau départ... C'en était un oui... La pensée lui apporta un peu de consolation...
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Effectivement oui... mais il apporte également son lot de bonnes nouvelles, voyez la naissance du petit de dame Lilith... ce sont pour ces choses que nous vivons...

Après un doux sourire, elle termina sa tasse et la reposa délicatement sur la table.

Bien, je vais devoir m'en aller. J'ai des bagages à faire.
Je pars quelques jours pour Rieux, avec Mumia, Eoghann et quelques vannetais. J'y suis née, vous savez? A Rieux... C'est toujours un peu chez moi... Alors je vais y faire une visite, pour le salut du souvenir. Nous ramènerons probablement quelques fruits!
Court silence, puis murmure:
Cela sera peut-être l'occasion d'en apprendre davantage sur les circonstances de sa disparition...

Elle se leva.

Merci beaucoup, Maryana, pour la tisane et le reste.
Et à bientôt dans ce cas.

Nouveau sourire. Il était temps oui.

Prenez soin de vous...
Je vous ferai signe à mon retour...
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Rhinowyth ce matin là , ce promener dans les ruelles de vannes.
Ils ce baladât sur le marché , puis passât a la mairie et une envie lui prit de
errer dans les rues , a la recherche de mon ombre.
Je passa alors dans un chemin sombre , humide et peu clair.
Cette rue m'inquiétât quelque peu et je décidèrent de passer le pas.
Soudain, un grand rayon lumineux m'éblouit. J'était arriver sur une place que je ne connaissez encore pas. Je décidât alors de me mettre a la recherche d'une personne qui pourrait me le dire. Mais , je trouvât mieux. Sur un mur de Brique rouge , des inscription était gravée sur une plaque de bois :

"Place de la Sainte Reyne Nathan"

Ce nom me dit quelque chose , je cherchât quelque minutes et puis j'eus une sursaut de joie.

Sainte Reyne Nathan , C'est chez Maryana !!

Plusieurs personne me regardâmes dans la rue avec étonnement.
Avec un peu de folie je regarda autour de moi , au bien ce pouvait le numéros 1 ?
Puis au détour d'un regard , je trouvât un fleuriste.
Je me précipitât vers le fleuriste et lui dit :

Vous avez des roses ?!

Le fleuriste me regarda sans rien dire avec lassitude.
Il bougea la tête et détournât le regard.
Je suivis mon regard et celui si me conduisit à un bac de roses rouge.
Je fit signe au fleuriste de me faire un bouquet , puis je le paya.

Une fois les roses acquises, je me remit a la recherche du numéros 1.
Après 10 longue minutes, je me lassât et me dit :

Réfléchit , trouver un numéros , c'est pas COMPLIQUÉE ?

Puis il ce résignât.
Fatiguez et las , il s'adossât a une porte et s'écroula dessus en attendant , un signe de Maryana. Mais le nîgot , ne remarquât , que au dessus sa tête , une pancarte indiquez :
"n°1 place de la Sainte Reyne Nathan"

Rhinowyth ce les geler de dehors , et il ne réagit pas de suite a la vue de Maryana.

Ah! Maryana......... excuse-moi, j'était distrait !

Rhinowyth entrât et attendit que son amie son retourne pour lui offrir les fleurs.

Tient , c'est pour toi.

Il lui tendit les fleurs a Maryana avec un grand et large sourire niai.

Euh ? oui ...........

Rhino regarda un moment son amie avec un léger sourire.

Comment vas tu Maryana ? Tu a l'air soucieuse.

Rhino atttendit un réaction de Maryana.

Moi , je vais bien .


Rhinowyth sourit et pris un verre de chouchen.
Le Havre de Paix ? c'était bien difficile de s'occuper entièrement d'un tel batiments !
Rhino était fatigué et énerver.

Le Havre de Paix ? Oh ma fois très bien mais je suis très fatigué.

Rhino finit son verre chouchen avec en petit sourire mais de grosses cernes .