Fubuki S
Sur la belle route de Nakatsu, la ville forestière d'Hita, pale miroir de Kurume leur forêt, mais charmante étape avant le lac. Avec ses gargotes bien connues et aux étales diversement achalandées. Porte du Kuni Uchi si semblable à celui d'Otomo...
La route est lumineuse et facile, si habituelle maintenant. Et en bonne compagnie le chemin file vite. De son pas sûr et bien mesuré, la fille d'Amateratsu guidait le groupe, qui s'étire doucement pour finalement se scinder: les jeunes femmes devant, le sage guerrier derrière. Fubuki aime parler avec ses compagnes. Mais elle le sait, se babillage devrait un peu lasser les oreilles paternelles si attentives aux bruits de la nature en pleine effervescence printanière. L'hiver n'est plus. Le monde danse sous les caresses du soleil et déploie tous ses atours avec les jours qui s'allongent et la chaleur qui revient.
Les bourgeons gonflés par les pluies et le redoux explosent un peu plus chaque jour, vert tendre, fleurs blanches et jaunes, bientôt les tons roses et lilas seront là!
Le concert des petits êtres mêle gazouillis et trilles, bourdonnement et vrombissement, les torrents galopants sur les cailloux distillent leurs mélodies cristallines...
Elle avait jeté un coup d'il en arrière de temps à autre pour voir si elles ne distançaient pas trop le patriarche, mais le terrain était plus accidenté maintenant et la route serpentée de plus en plus... Fubuki était un peu en avant de Mahiro et Suzuni, Amateratsu n'est plus en vue. Elle pense qu'il va falloir faire une courte pause pour se regrouper, après cette courbe que fait la route et que l'on aura bientôt fini de
Deux forme humaines jaillissent! La main de la jeune samouraï retrouve automatiquement son prolongement en bois. Suzuni devient une toupie dispersant les assaillants. L'homme fut projeté vers elle. Fubuki à un boken, celui donner par son père. Les pieds stables, en fente, les deux mains sur la poignée, les bras levés, elle fait un pas de coté pour se retrouver sur le coté droit de l'homme trébuchant. Un mouvement sec et précis sur les reins. L'être s'écroule la joue droite contre le sol. La jeune femme lui attrape le bras droit d'une main en se mettant à genoux, pose son boken pour libérer son autre main et l'immobilise. L'homme reste le nez dans la poussière, gémissant un peu. Elle maintient sa prise, ses yeux fixe, comme pour la bruler, la nuque du malfaiteur mal tombé. Elle appuie un peu plus, il se tait le souffle couper par la douleur. Elle regarde en direction de l'autre agresseur.
Sa jeune cousine a hérité, d'une femme...
La route est lumineuse et facile, si habituelle maintenant. Et en bonne compagnie le chemin file vite. De son pas sûr et bien mesuré, la fille d'Amateratsu guidait le groupe, qui s'étire doucement pour finalement se scinder: les jeunes femmes devant, le sage guerrier derrière. Fubuki aime parler avec ses compagnes. Mais elle le sait, se babillage devrait un peu lasser les oreilles paternelles si attentives aux bruits de la nature en pleine effervescence printanière. L'hiver n'est plus. Le monde danse sous les caresses du soleil et déploie tous ses atours avec les jours qui s'allongent et la chaleur qui revient.
Les bourgeons gonflés par les pluies et le redoux explosent un peu plus chaque jour, vert tendre, fleurs blanches et jaunes, bientôt les tons roses et lilas seront là!
Le concert des petits êtres mêle gazouillis et trilles, bourdonnement et vrombissement, les torrents galopants sur les cailloux distillent leurs mélodies cristallines...
Elle avait jeté un coup d'il en arrière de temps à autre pour voir si elles ne distançaient pas trop le patriarche, mais le terrain était plus accidenté maintenant et la route serpentée de plus en plus... Fubuki était un peu en avant de Mahiro et Suzuni, Amateratsu n'est plus en vue. Elle pense qu'il va falloir faire une courte pause pour se regrouper, après cette courbe que fait la route et que l'on aura bientôt fini de
Deux forme humaines jaillissent! La main de la jeune samouraï retrouve automatiquement son prolongement en bois. Suzuni devient une toupie dispersant les assaillants. L'homme fut projeté vers elle. Fubuki à un boken, celui donner par son père. Les pieds stables, en fente, les deux mains sur la poignée, les bras levés, elle fait un pas de coté pour se retrouver sur le coté droit de l'homme trébuchant. Un mouvement sec et précis sur les reins. L'être s'écroule la joue droite contre le sol. La jeune femme lui attrape le bras droit d'une main en se mettant à genoux, pose son boken pour libérer son autre main et l'immobilise. L'homme reste le nez dans la poussière, gémissant un peu. Elle maintient sa prise, ses yeux fixe, comme pour la bruler, la nuque du malfaiteur mal tombé. Elle appuie un peu plus, il se tait le souffle couper par la douleur. Elle regarde en direction de l'autre agresseur.
Sa jeune cousine a hérité, d'une femme...