L'église s'était remplis, les murmures s'entassaient dans la résonance de la grande salle.
Simonin, saluait un à un les invités ayant pris place. Les regards étaient tourner sur lui, étonnant non pour un homme qui se marrie ?
Quoi qu'il en soit , il n'aimait guère cette situation, si ça ne tenais qu'à lui, il s'assiérait dans l'assemblé en attendant que la reine du jour face son entrée et éblouisse se monde de commérage.
Il la regarderai toute éblouissante sans qu'il ne puisse bouger, elle aurait toute la gloire qu'elle mérite.
Ces pensée le calmait de façon religieuse, Aristote avait envoyé ses grâces.
Balayant la salle des yeux, il voyait tout d'abord la témoin de la marié, respirant la noblesse, l'élégance et la fierté, elle avait l'habitude de ce genre de représentation mondaine, et se sentait donc logiquement dans son assiette, bien qu'elle demeurait pure comme la porcelaine..Il fait quand même bon être riche...
Puis il aperçut en fond de salle Théa qui avait rejoins Kachina, ces deux jumelles n'en manquait pas une pour se retrouver, les voyants papoter il se dit que les ragots de tavernes n'avaient pas été laissé sur le parvis. Les deux compères paraissait plus soudée que jamais depuis son retour, Kachi aura donc trouver compromis à ses malheurs en amour comme quoi il ne faut jamais désespérer, tout le monde trouve son bonheur là où il le cherche, c'était une bonne chose.
Il sourit, le grand moment ne devrait pas tarder.
C'est Guilhem qui en retard, était arrivé avant la mariée, quel luxe que de l'avoir à ses cotés. Le jeune homme avait appris à se faire désiré..En l'observant, il retrouvait de plus en plus les traits de son père dans le garçon, il murissait à vu d'il et bientôt son vieux maitre ne sera plus qu'une négligence, le garçon pourra voler dans le royaumes de son plein grès. Mais l'heure n'était pas à ça,pour le moment, il était de corvée de mariage, car aucun doute que venir était pour lui un enfer..et le voir las de tout cet attirail complaisait Simonin dans une sorte de plaisir sadique, il fallait bien abusé un peu de son pouvoir...
Il ne prêta cependant attention à sa remarque, bien qu'un léger sourire s'esquissa sur ces lèvres. Mais fort de sa diplomatie, il s'était assuré que personne, ni même guilhem, n'est la joie de l'apercevoir.
Puis vint une floppé de bambin dont il ne connaissait ni la couleur ni le genre, fantaisie dont il se serait bien passé, surtout à vu leur tenu, les pauvres n'avait il aucune honte à laisser s'illustrer leur marmaille de la sorte ? Trainant leurs godasses salles sur le sol de l'église, ils avaient même le toupet de s'installer au premier rang, histoire qu'on ne les loupes pas, sait on jamais ?
Avec un tel auditoire, pendant la cérémonie, monseigneur Navigius pourrait même avoir l'impression de célébrer un mariage de cerf. Mais la maison du seigneur accepte tout le monde, et bien heureusement pour eux d'ailleurs, leurs bonnes âmes les forceront peut être à donner la pièce lors de la quête ? Après tout, cela passé bien au dessus de la tête de l'italien, qui avait bien d'autre chat à fouetter...
D'ailleurs, n'eut il temps de chassait ces pensées de la tête, qu'une jeune fillette attira son attention, dans sa robe blanche, une petite brune aux yeux d'azur..son visage lui paraissait presque familier alors qu'il ne l'avait jamais rencontré.. Elle avait ces traits fin auxquels on ne peut résister, une petite bouille un peu meurtri par la douleur et la vie qui lui donnait un air aussi mystérieux que tragique. La voyant discuté avec Kachi, il se convaincu qu'elle n'était pas inconnu au bataillon lectourois, il aurait vite fais de mettre un nom sur ces deux prunelles d'azurs. Sa petite robe blanche lui allait à merveille, aucun doute, la petite l'intriguais.
Ce n'est que Bee qui lui en fit décrocher du regard, son arrivé dans l'église était remarqué, de par l'élégance de ses tenus. Sa petite, loger dans le creux de son bras, était soigneusement vêtue, un détail de classe en accord avec l'élégance de sa génitrice. Simonin leur sourit, Bee paraissait souriante et cela lui donné chaud au cur, ses dernières entrevue avec celle ci, lui avait laissé un tout autre souvenir, et autant dire qu'il n'était pas question qu'il refasse aujourd'hui. La mère autant que la fille méritait beaucoup de bonheur, et le chevalier espérait de tout cur qu'Aristote aujourd'hui comprendrai cela pour lui donner le coup de pouce dont elle a besoin,ce coup de pouce qu'elle mérite.
Ses pensées se dissipèrent, son cur prenait le battement des cloches, alors que les murmures avaient déferlées comme une vague dans la chapelle, la mariée arrivait.
Les yeux pétillant, il ne voyait plus que l'allée centrale, adieu beautés éphémères, la référence est en marche.
Le flou gaussien planait autour de la net et divine femme qui s'avançait. Elle était de grâce.
Son palpitant avaient atteint le sommet de son crescendo, et l'italien sombrait dans ses plus beau souvenir, alors que la chaleur du sud, la chaleur de leur amour qu'il ressentait, ferait faire fondre n'importe quelle neige présente ici.
Il l'observait comme si il la voyait pour la première fois, avec sa chevelure blonde soyeuse, son sourire angélique et son visage d'une pureté incomparable. Il se remémore alors ses périples pour la séduire, ses veillées passé à ses cotés, son amour florissant pour cette fleur venue de nulle part.
Elle mettait doucement un pied devant l'autre, comme si elle se faisait désirée un peu plus à chaque pas. Alors que l'autre, observait chacun de ses pas comme si il allait différé de l'autre. Il lui semblait que l'ange de ses rêves marchait dans un de ces divin cieux qu'il ne connaitra jamais... Mais après tout, les anges n'ont rien d'exceptionnel dans le ciel ? Le sien l'était.
Elle se dressait maintenant face à lui, il ne put s'empêcher de faire une humble révérence face la femme du jours, sa future épouse. Les yeux pétillants encore et toujours, il ne pouvait quitter ses prunelles tirant au sinople, le sourire dessinait sur son visage ne s'était pas dessiné depuis fort longtemps, son cur à la chamade, à un tel point, qu'il avait peur que ses vieilles veines n'exploses et redécore cette robe d'azur qu'elle portait à merveille..Heureusement, les vieilleries ne cassent jamais quand on s'y attend.
Avant que Navigius n'ai le temps de commencer, Simonin lui glissa à l'oreille.
« Je crois devant Aristote, que tu es l'apothéose de toute une vie »