Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP] La Taverne / Auberge des "Anges protecteurs"

The_undertaker
[hrp : je ne laisse pas bloquer mon rp 3 jours ! ]

Tak servit la dame et retourna près de sa filleule :

Alors Cilou, quelle est votre decision ?.... la froideure de votre parrain, ou vous laissez votre jeunesse faire comme elle aime ?
_________________
Cilou73
Pendant que son parrain, s'occupait de son rôle de tavernier, Cilou méditait sur ses paroles.
Elle savait qu'il était un homme sensé et fiable.
Devait elle aller contre sa natureet se réfugier dans ce "mégérisme" qu'elle pronait tant...
Elle vait beau prendre des conseils avisés avec son parrain il n'en restait pas moins qu'elle était seule maitresse de son destin...


En effet parrain , je ne peux aller contre ma nature...Et je suisjeune comme vous le dites , j'ai encore bien des choses à vivre , aussi agréables que douloureuse...Vous même n'êtes pas devenu cette "perfection" en naissant...


sourire amusée

[i]N'est ce pas ?[/i]
_________________
The_undertaker
Le visage de Tak se fit plus grave d'un coup...

C'est pour vous eviter de passer par là où je suis passé que je vous le dis... maintenant, faites comme vous voulez...
Je vous aurai prevenu ....
Mais ...
.... Je serai toujours là au cas où ....

_________________
Cilou73
Elle sourit chaleureusement à son parrain.

Parrain...j'aimerai tellement ne pas vous décevoir...Votre avis m'est précieux...Plus que vous ne pouvez l'imaginez...Et j'aimerai tellement que vous soyez fièr de votre filleule...
_________________
The_undertaker
Mais voyons Cilou , je suis fier de vous...

Apparement il y était encore allé un peu fort avec la jeune femme...

Ecoutez au moins ce conseil ou plutot, dites à votre coeur de l'ecouter avant de s'emballer... : un homme qui se cache pour vous declamer son amour ou qui se precipite sur vous le premier soir, fuyez !
Quand on aime d'un amour vrai, on est fier de le montrer , et s'il ne peut se retenir de vous sauter dessus c'est qu'il n'en veut qu'à votre corps.

_________________
Max_premier
Max avait rattrapé l'évêque et les soeurs et tenait toujours Lillaka par les épaules, elle grelottait.

Vient par ici, la table est près de la cheminée.

Max fit un tour d'horizon, il ne connaissait pas cette taverne. Il laissa ses invités s'installer et s'assit lui aussi à la table la plus proche du foyer où crépitait un bon feu.

hrp : rappel, ceci est la suite du baptême mais n'a rien à voir avec les autres RP en cours, au niveau du temps.

_________________
Cilou73
Elle savait que son parrain disait vrai. et ne put s'empecher de trinquer à son discours.

J'pourrais pas dire le contraire parrain j'suis bien d'accord avec vous ...
Elle acheva son verre

Parrain c'est pas le tout mais mon moulin va pas tourner tout seul ! alors je vais rentrer par chez moi...

Le gratifiant d'un large sourire


Merci pour tout ....

Puis la meunière retourna au 4 rue du maine.
_________________
Lillaka
Entrant enfin dans la chaleur de la taverne, la jeune femme laissa tomber le capucon de sa cape sur ses épaules, révélant sa longue chevelure rousse ondulée. Encore très fatiguée, elle était sensible au froid saisissant de cette nuit d'hiver, son visage d'opaline constellé de tâche de rousseurs était pâle, vraiment très pâle....

Viens par ici, la table est près de la cheminée.

Merci Max.

Enlevant sa cape, elle regarda l'établissement le sourire aux lèvres, puis chercha du regard une, ou deux silhouettes familières.
Je n'avais pas encore eu l'occasion de venir depuis l'ouverture.
J'espère que Tak et Lys sont là.


Puis s'installant près de la cheminée, une fois que Max fut assis également, le temps que les autres convives s'installent, elle prit les mains de son ami et le regarda dans les yeux
Alors maintenant racontes moi ! Je veux tout savoir !

_________________
Eloin
[Au carrefour de la rue des Ambuleurs et de la rue des Comtes]

Enfin...

Enfin ce voyage, du moins sa première partie, venoit à s'achever. Un long soupir s'échappa de la silhouette enveloppée dans l'épaisse cape de laine, et la cavalière se laissa glisser le long du flanc senestre de sa fidèle jument. Sentir ses pieds toucher le sol à nouveau luy fict grand bien, et elle prit un instant pour observer le village.

Bien des choses sembloient avoir changé depuys son départ, Handek et Lanayabel n'avoient point menti ! Son regard tomba presque aussitost sur une masure en ruines, et un nouveau soupir affaissa ses épaules. Le Moulin à Paroles, autrefoys rutilante auberge peuplée de rires et de beuveries en tout genre, n'estoit désormais plus qu'un informe amas de pierres abandonnées entre deux maisons.

De nombreux souvenirs affluoient à son esprit, remembrances d'un temps de joie et d'insouciance. Une époque définitivement révolue, désormais, puisque plusieurs membres de la joyeuse troupe qu'il formoient alors estoient morts. Beren, Morgauth, et plusieurs aultres, dont un en particulier, auquel elle se refusa de songer, du moins pour le moment. Il serait jà assez difficile d'évoquer son souvenir dans quelques jours, lorsque la messe débuterait...

Le regard de la brune encapuchonnée dériva vers l'église, ceste église en laquelle elle avoit aymé célébrer messes et offices, ce sainct lieu qui estoit toujours bien entretenu grasce à une femme de foy qui sembloit avoir faict bonne impression à Lys. Voir le presbytère réparé et visiblement occupé et entretenu luy réchauffa le coeur, à elle qui avoit un temps prit la décision de résider en ceste grande bastisse pour éviter qu'elle ne tombe en désuétude...

Un peu plus loin, ce fut une haulte et mince demeure qui attira son attention, et son visage se décomposa quand elle se rendit compte de l'état extérieur de l'habitation. SA maison... Dans un pareil état de délabrement... Les volets de bois qu'elle avoit faict poser sur les fenestres des chambres pendoient lamentablement aux murs ; des herbes folles avoient faict leur apparition entre quelques pierres descellées ; le potager -du moins, le peu qu'elle en vict de sa position- sembloit bien peu entretenu ; le carreau d'une fenestre de l'étage estoit mesme brisé, laissant le vent et le froid entrer dans la demeure.


Mon Dieu... Murmura-t-elle, dépitée, n'osant imaginer que son mary ait pu vivre dans ceste demeure sans en prendre soin.

Jetant un dernier regard sur la maison, elle fict faire demy-tour à sa monture et entra à pieds dans le quartier des Ambuleurs, pensant aller toquer à la porte d'une certaine herboriste, en espérant que la damoyselle en question résiderait toujours en la cité mainoise. Une façade attira néanmoins son attention. La bordelaise décida, au bout d'un infime temps de réflexion, d'entrer dans la taverne, non sans avoir attaché les resnes de sa monture à un anneau de fer planté dans le mur.


[Dans la taverne, parce qu'il faut bien entrer à un moment...]

La main pousse la porte de l'establissement, le coeur bat à se rompre dans sa poitrine tant elle craint de déranger un quelconque rassemblement d'amys qui ne voudront peut estre plus d'elle parmi eux, le regard se voile un instant à cause de la fatigue, les prémices d'un vertige manquant la faire trébucher. Se ressaisissant en inspirant profondément, l'encapuchonnée se dirige vers la silhouette du tavernier en boistant légèrement, tant elle estoit ankylosée par ce voyage à dos de cheval, et pose sa main dextre sur le bois resche du comptoir.

Elle n'a point vu le couple assis près de la cheminée, aussi ne regarde-t-elle que sa main étalée sur le comptoir, qui, lorsqu'elle la retire, dévoile quelques pièces déposées là, en échange d'une commande de victuailles, la première depuys dix jours, puisqu'elle se contenta de pain sec durant son voyage.


Un potage et un verre de vin chaud, je vous prie...

Et, d'un geste souple et ample, elle abaissa la capuche de sa cape, laissant apparaistre son visage entourée de la guimpe blanche, puys dégrafa l'attache du vestement de voyage et le déposa sur un tabouret, dévoilant ainsi son immaculée tenue de veuve.

Brune aux yeux verts, le teint un peu plus pasle qu'auparavant, mais le mesme visage, quoiqu'agrémenté de quelques fines ridules, désormais, l'arrivante n'estoit point une inconnue pour certains montmiraillais.

Eloin Bellecour estoit de retour, pour quelques jours certes, mais elle estoit là...

_________________
Irella
Irella entra accompagnée de l'évêque à la suite de Max et de la jeune femme qui l'accompagnait. Sœur Marie-Thérèse les avait quittés en chemin devant reprendre le chemin de son couvent. Ils ne furent pas mécontents de trouver un peu de chaleur.

Ils entrèrent alors qu'une femme venait de pousser la porte de la taverne. Celle-ci passa une commande et enleva son vêtement de voyage, laissant apparaître son habit de deuil. La pâleur de son visage contrastait avec ses vêtements. La guimpe qui encadrait son visage prouvait qu'elle était religieuse. Irella passa à ses côtés, lui fit une révérence et n'osa l'aborder.

Le feu crépitait dans la cheminée. Max et son amie s'étaient installés près de l'âtre et parlaient à voix basse. Irella les rejoignit.


Bien le bonsoir Dame... Je me nomme Irella... Max, vous préféreriez peut être rester seuls? demanda-t-elle, ne sachant si elle devait s'asseoir.
Max_premier


9 février au soir à la suite de l'église

Ses mains dans celles de Lillaka, il la regardait, hormis le fait qu’elle avait les traits tirés, elle avait toujours ses adorables tâches de rousseur et ses immenses yeux verts qui arrivaient tellement à connaître ce qu’il ressentait sans même le questionner; si bien qu'un temps, il avait été très gauche, ayant toujours peur de mal faire, manquant de faire quelques catastrophes qu’elle ne lui reprochait même pas. Avec patience, elle lui expliquait les choses et tout alors paraissait naturel comme certaines autres émotions qu'il avait ressenti, mais cela resterait de très beaux souvenirs.

Tak et Lys et bien cela fait un moment que je ne les ai vu moi non plus. Tak est escorteur et fait de nombreux voyages et Lys avec sa grande famille est bien occupée, elle dirige toujours de main de maître les arrivants qui veulent s’installer, remplissant avec soin le cadastre.

Et puis tu sais… en ton absence, j’ai été amené à plusieurs reprises à aider des gens, je faisais ce que je pouvais avec les choses que tu m’as apprise et puis ce que j’ai essayé en regardant dans quelques livres. J’ai fait un jardin rue des Ambuleurs, un jardin de plantes et mon potager lui, se trouve au pied des remparts avec les jardins des autres villageois.

Tu veux tout savoir ?
Il lui sourit… je te reconnais bien là, mais moi aussi je suis curieux hein.. tu le sais. On commande à boire ? Il reposa les mains de son amie en voyant Irella se présenter. Ah Irella. Non, non bien sûr, nous avons beaucoup de choses à nous dire mais nous avons le temps, je ne veux pas saouler mon herboriste préférée le premier soir.

Lillaka, je te présente Irella, Sœur Irella. Venez vous assoire vous aussi, près du feu. Nous allons commander à boire. Une préférence ? Il tâcha de se rappeler ce que Lilla aimait mais les émotions de la soirée lui avait vidé un peu l’esprit.
_________________
Honore.saint_cyr
[Le 9 février après le baptême de Max]

L'évêque avait été facilement rattrapé par le sieur Max qui était entré le premier dans la taverne, il avait pris place avec la dame qui l'accompagnait et pendant qu'Irella s'était dirigée vers la tablée, Honoré , quant à lui, s'était débarrassé de son mantel et l'avait pendu au crochet réservé à cet effet, il y avait peu de monde en ce début de soirée, le prélat s'approcha du reste du groupe et demanda s'il pouvait s'installer:

- Je puis m'asseoir les amis?

L'évêque regarda la dame et se présenta:

- Bonjour Dame, je suis Honoré.Saint_cyr, parrain du sieur Max et occasionnellement évêque..hum..enfin ce serait plutôt évêque et occasionnellement parrain, à qui ai-je l'honneur? Honoré se demandait si c'était la promise du sieur max mais étant donné qu'il ne souhaitait commettre d'impair, il avait formulé sa question de façon à ce que son embarras ne se remarquât pas...
_________________
Evêque du Mans
Lillaka


Auberge des Anges Protecteur - 9 février

Lillaka écoutait Max sourire aux lèvres quand les amis de Max arrivèrent.
Max fit les présentation. Lillaka les salua de la teste en se présentant à son tour.

Dame Irella, Messire Honoré Saint Cyr, enchantée, Lillaka Sandrelune.
Nous allons pouvoir commander à boire. Que prendrez vous ?
Pour moi ce sera un verre d'hypocras blanc.

Attendant les commandes des autres convives, elle se tourna vers le comptoir espérant y aperçevoir Lys ou bien Tak plutôt que l'un de leur employé. Elle aperçu alors une silhouette familière, celle d'une femme. Cependant un élément ne concordait pas... sa tenue probablement... Puis apercevant le profil elle reconnu une amie partie depuis longtemps... La surprise pu se lire sur son visage mélé au son de sa voix Eloin...?!
Puis regardant Max, Irella et Honoré en même temps qu'elle se leva...Pardonnez moi un instant... il semble qu'une amie de longue date soit de passage dans nostre belle ville...
Lillaka s'approcha de la femme en tenue de deuil... puis d'une voix douce s'adressa à celle-ci... Bonsoir... Eloin ?

_________________
L0velune
Gaelant aux basques, Marylune se rendait à pied à la taverne. À pied? Bah oui, une petite promenade de santé, histoire de perdre ce qu'il lui restait de kilos en trop depuis son accouchement. Oui, vous aurez compris que la rouquine portait une attention toute particulière à son image. Cape en fourrure (riche, les Mirandole) sur les épaules, elle tenait la main de son fiancé, un gros effort pour elle que de démontrer un minimum d'affection.

Arrivée devant la porte de l'auberge de Tak et Lysesl, Marylune s'arrêta.


Tu m'ouvres la porte ou quoi?

Gaelanterie oblige.
_________________
Gaelant
Gaelant a la traine...

Forcément, il portait Ember dans le bras. De quoi la changer si besoin et aussi de quoi la nourrir. Le lait tiré de la nourrice bien au chaud dans son biberon en bois.

Heureusement que la petite était emmitouflée et bien couverte, cette ballade impromptue pour la "ligne" de sa fiancée n'était pas forcément au goût de Gaelant, heureusement que la chaleur des Anges était proche.

Une main le bébé, une main pour sa fiancée.


Tu m'ouvres la porte ou quoi?

Ou quoi... il avait eu envie de répondre plein de choses, puis dépité, tourna le dos à la porte, barrant le passage à sa fiancée.

Tu paies combien ?

Sourire narquois, il n'attendit pas de réponse, appuyant son dos doucement sur la porte faisant bien attention de ne pas perdre l'équilibre avec la petite dans son bras.

Tu rentres par la porte ou quoi ?
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)