Maliern
[Le lendemain... Si le loup y était..?]
Maliern en revenant du bourg (qu'il avait traversé tel un coq, paradant avec sa nouvelle chemise rouge) décida ce soir là de refaire le périple qu'il avait fait la nuit précédente, mais, dans l'autre sens. C'est pourquoi il empruntât de nouveau le dyogène des contrebandiers et se rendit d'un pas lourd vers les mégalithes qu'il avait repérés la veille.
Il faisait encore jour lorsqu'il arriva, et, le crachin qui c'était calmé depuis un moment reprit de plus belle. Un merle, perché sur le plus grand des menhirs, semblait faire le guet. Maliern en fit le tour cherchant des symboles plus anciens que ceux des aristotélichiens (cette pensée lui valut un sourire...).
Un sifflement le fit sursauter, il se retourna et vit quelques bâtons dépasser derrière la futaie un peux plus bas sur le chemin. Le merle ressifla alors que Maliern se glissait difficilement derrière un buisson. Juste à temps néanmoins pour que les deux miliciens qui faisait leur ronde ne le voient poins.
L'un d'eux envoya une pierre sur l'oiseau, qui l'esquiva vivement. L'autre immédiatement se mit a gesticuler en assénant le premier :
Tu est malade? Cette endroit est maudit ! D'aucun disent que c'est là où l'Ankhou réside ! Ne refait jamais çà ! Malheureux !
L'autre rétorqua qu'ils n'était pas du coin et qu'il pouvait pas savoir et que...
Ils contournèrent prudemment le site tout en continuant leur route.
Maliern saisissant sa cognée ressortit de sa planque et recommença son inspection minutieuse. Il repéra quelques marques et les étudia jusqu'au retour du merle à la tombée de la nuit. Maliern sortit alors la couenne de son jambon qu'il avait conservée pour une éventuelle soupe et la déposant sur une rocaille lui dit :
Tiens Melen, j'te doit bien çà !
Il fit quelques pas attendant que le merle aille chercher son tribu (ce qui ne tarda pas à venir). Puis il s'éloigna.
Sur le chemin il esquiva le retour des miliciens puis arrivant au promontoire, obliqua directement dans la foret. Il n'emprunta pas directement le chemin du retour et prit au hasard quelques sentiers...
Arrivé dans une clairière, il pu se rendre compte qu'il y avait du passage. Observant autour de lui, il vit une superbe maison juchée sur les arbres. Sans se poser de questions il décida de s'y rendre et emprunta l'escalier qui permettait d'atteindre la première balustrade...
Édit : rouge réservé aux senseurs
La.Sang.Sure
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Maliern en revenant du bourg (qu'il avait traversé tel un coq, paradant avec sa nouvelle chemise rouge) décida ce soir là de refaire le périple qu'il avait fait la nuit précédente, mais, dans l'autre sens. C'est pourquoi il empruntât de nouveau le dyogène des contrebandiers et se rendit d'un pas lourd vers les mégalithes qu'il avait repérés la veille.
Il faisait encore jour lorsqu'il arriva, et, le crachin qui c'était calmé depuis un moment reprit de plus belle. Un merle, perché sur le plus grand des menhirs, semblait faire le guet. Maliern en fit le tour cherchant des symboles plus anciens que ceux des aristotélichiens (cette pensée lui valut un sourire...).
Un sifflement le fit sursauter, il se retourna et vit quelques bâtons dépasser derrière la futaie un peux plus bas sur le chemin. Le merle ressifla alors que Maliern se glissait difficilement derrière un buisson. Juste à temps néanmoins pour que les deux miliciens qui faisait leur ronde ne le voient poins.
L'un d'eux envoya une pierre sur l'oiseau, qui l'esquiva vivement. L'autre immédiatement se mit a gesticuler en assénant le premier :
Tu est malade? Cette endroit est maudit ! D'aucun disent que c'est là où l'Ankhou réside ! Ne refait jamais çà ! Malheureux !
L'autre rétorqua qu'ils n'était pas du coin et qu'il pouvait pas savoir et que...
Ils contournèrent prudemment le site tout en continuant leur route.
Maliern saisissant sa cognée ressortit de sa planque et recommença son inspection minutieuse. Il repéra quelques marques et les étudia jusqu'au retour du merle à la tombée de la nuit. Maliern sortit alors la couenne de son jambon qu'il avait conservée pour une éventuelle soupe et la déposant sur une rocaille lui dit :
Tiens Melen, j'te doit bien çà !
Il fit quelques pas attendant que le merle aille chercher son tribu (ce qui ne tarda pas à venir). Puis il s'éloigna.
Sur le chemin il esquiva le retour des miliciens puis arrivant au promontoire, obliqua directement dans la foret. Il n'emprunta pas directement le chemin du retour et prit au hasard quelques sentiers...
Arrivé dans une clairière, il pu se rendre compte qu'il y avait du passage. Observant autour de lui, il vit une superbe maison juchée sur les arbres. Sans se poser de questions il décida de s'y rendre et emprunta l'escalier qui permettait d'atteindre la première balustrade...
Édit : rouge réservé aux senseurs
La.Sang.Sure
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