[RP]Jusqu'à ce que...

Soleil radieux , des nuages qui taquinaient celui ci , un jour comme les autres , pratiquement comme les autres , effectivement pour Angel ce n'était pas un jour tout a fait banal.

Jour de résultats , tel un fils qui consulte sur un tableau ce qu'a produit sa mère , paradoxal non ? Pour le jeune homme la consternation fut surprenante , les yeux fixés sur ce panneau d'affichage qui en dit finalement long sur ces fameux nobliaux de Gascogne.
Déception perceptible , dans l'expression qui se dessine dans le visage du jeune adorateur de carotte MimiZanaise , l'effet produit par un culbutteur de Biscarosse le fit mettre dans une couleur orange carotté pas très aimable .
Debout raide comme un I, il ne savait que faire , que dire à sa mère , pire son père ?! Bouffée d'oxygène prise dans les bois , ou proies et prédateurs se cherchent , se provoquent , se guettent mais une chose paraissait clair pour le petiot , c'est que jamais ils n'étaient l'arroseur arrosé .Balancant des cailloux , faisant quelques ricochets dans la rivière Angel passait ses nerfs comme il pouvait.Remonté , triste et impuissant c'est dans cette atmosphère la qu'Angel décida de se rendre au chateaux afin de comprendre la nature d'un tel geste .

Arrivé près de l'édifice , son coeur battait de plus en plus fort , sentiment de répugnance , il sentait surement l'odeur noséabonde de matière fécale sauce Biscarosse de nouveau ."Tant pis " se dit il , continuant sa route vers la grande porte des "sacrilèges" ou il put apercevoir , un groupe d'hommes , s'approchant vers eux , il put distinguer un homme qui ne l'était pas inconnu à la moustache joliement déssiné .Curieux , intrigué mais tout de meme poli , le jeune Von Witteslbach , s'approcha de l'homme pour lui dire son bonjour .
Adishatz !! Messer ! Vous allez bien ?

Le jeune homme fut quelques peu surpris de voir que le regard du Messer qui était dirigé vers le ciel , Angel se demanda si ce n'était pas dans le but de scruter un des fameux pigeons provenant de Biscarosse expliquant ce geste qui hantait l'esprit de l'enfant .

Hum..je suppose que vous avez vu les résultats , Cousin Godgaby a fait belotte et rebelotte , avec atout au pique de Biscarosse , vous le saviez hein ?

Le jeune homme sourit , leger clin d'oeil aux gardes qui le regardait niaisement , ébahis de voir le Von Wittelsbach s'exprimait de la sorte sur son cousin , balspheme , rage ou scrupule ? Tel était la question , dans ce jour presque comme les autres ...

[Le matin des elections]

Ce matin là , Kassandra n'est pas pressée de ce rendre au chateau pour aller travailler, avait elle eu un pressentiment? Seul Aristote le savait...Malgres tout, elle se prepara, frappa à la porte de la chambre de son fils mai s aucune reponse, est il dejà parti vu l'heure? Elle rentra dans la chambre et vit une chambre vide, sa premiere pensée fut qu'il etait surement partie se ramasser des carottes pour son petit dejeuner puis descendit les marches lentement pui s trouve un peti tmot de son fils lqui lui disait qu'il etait parti de bonne heure au chateau.....
Elle enfila sa cape, et se rendit au plus vite au chateau.......

Arrivée au chateau, celle ci vit un petit attroupement de personne au niveau du panneau d'affichage, etant concernée, elle y jeta un coup d'oeil et là elle ressentit deux coups de poignards, elle avala difficilement sa salive pui s de dirigea vers l'entrée ou se trouvait habituellement deux grands molosses.....
Et là quelle belle surprise elle aperçut son petit lapin mangeur de carottes pres de Riwenn....

Adishatz messer, Belle journée n'est ce pas?Elle essayait de paraitre bonne figure malgres les resultats. Elle se pencha vers son fils et lui fit un gros bisous matinal et lui murmurre ne fait pas cette tete mon petit ange, il y a des choses que l'on ne controle pas malheureusementElle inclina sa tete afin de saluer les deux grands molosse...Je vous ai peut etre deranger dans une grande conversation? Si tel est le cas je m'en excuse....

La vie estait parfois mal faicte.

L'on entendit le clocher tinter au loin. Heure d'un nouveau règne. Heure d'un ultime règne. Espérons-le.

Riwenn l'entendit d'une oreille guère attentive. Il scrutait le ciel, à la recherche d'il ne savait quoi. Les gardes le regardaient, sans piper mot, attendant sans doute une quelconque suite à la conversation.

Là un jeune garçon arriva dans le dos du patriarche La Duranxie et le sortit de ses pensées qui ne se dirigeaient alors que vers un certain néant.

Adishatz !! Messer ! Vous allez bien ?

Il soupira une fois encor avant de respondre, reconnoissant en se retournant le jeune Von Wittelsbach, fils de Kassie et d'Adhémar.

Adishatz. Je vais...souffla-t-il

Le jeune homme renchérit directement sans que Riwenn n'ait eu le temps de rajouter quelque chose, ce qui l'arrangea d'un certain costé.

Hum..je suppose que vous avez vu les résultats , Cousin Godgaby a fait belotte et rebelotte , avec atout au pique de Biscarosse , vous le saviez hein ?

Relevant un bref instant les yeux au ciel, il finit par les poser sur le jeune visage.

Oui, je l'ai appris à l'instant. J'ai...

Et là encor, il fut coupé, non pas par le gamin, mais par sa mère qui venait de les rejoindre.

Adishatz messer, Belle journée n'est ce pas ?

Il se retint de soupirer une nouvelle fois et tenta un sourire qui avait bien du mal à se montrer. Il espérait néanmoins que son malaise ne se verrait point trop. Bien qu'il en ressentait un face à lui, mais n'en disait rien.

Bonjorn mon amie. J'ai connu meilleur jour pour la Gasconha, je dois avouer.

La jeune femme embrassa son enfant, qui rappelait au percurayre sa petite Maëlya, qui elle-mesme lui rappelait sa mère, Reine, trop loin, tant absente, tant manquante. Un vide incomblé. Kassie regarda les quatre hommes à tour de rosle.

Je vous ai peut etre deranger dans une grande conversation? Si tel est le cas je m'en excuse....

Riw se contenta d'un bref rire, caché au fond de sa gorge, à peine audible, tel un sursaut, un hoquet. Ce à quoi il ajouta quelques mots.

Tu ne déranges pas le moins du monde Sames. La conversation n'est pas bien grande, et le sujet est facilement devinable.

Il n'avait pas besoin de lui faire un dessin pour lui faire comprendre, il savait très bien qu'elle comprendrait par elle-mesme.

La vie estait parfois mal faicte.

nandédjiuuuuuuuuu, ce que ça fait du bien l’air gascon de bon matin !

Frog arriva en bas des escaliers, les joues rouges, le souffle court. Petit dérapage contrôlé, la grenouille se redresse, et hop, se dirige vers la sortie. Il voit à l'entrée que le petit groupe ne s'est pas dissous, mais bien au contraire une discussion semble s'être engagée.

Bien le bonjour dame présidente, bonjour sire procurator! Salut à toi jeune lapinou!

Grands sourires au fils et à sa mère, frog se tourna vers sire Riwenn. Reprenant son sérieux devant la mine sombre du procureur, frog scruta les traits tendus de son interlocuteur.

Il semblerait sire, que vous ayez la mine plus chafouine que d'habitude. Des mauvaises nouvelles en ce matin ?

Et sous le regard noir des gardes qui n'avaient pas pris habitude des manières du jeune conseiller roturier, la grenouille attendit la réponse.

Il y aurait pu avoir meilleure journée pour eux.

Gassan et Linon, couple bayonnais, demeurent de braves et vieux paysans qui avaient eu envie de découvrir un peu plus leur duché et de parcourir ainsi ses routes, afin de faire en sorte de finir leurs vies en ayant au moins connu ça. Malheur leur en prit. En effet, ils avaient fait une rencontre pour le moins inattendue. Et pas des plus joyeuses, encore que...Oui, il y avait une part de joie dans cette journée.

La vie.

Les voilà donc ce jour qui arpentent les ruelles de la capitale à la recherche du château dont ils ont entendu parler mais qu'ils n'ont jamais vu. Il passe devant une taverne de laquelle un homme sort.

Ad'shatz l'interpelle Gassan pouvez-vous nous dire où s'trouve le château ?

*Hips* répond l'homme Voui, je...le...le château ? bah...

La réponse ne viendra pas de la part de ce poivrot.

Et là, un autre sort de la taverne avec un bout de bois dans la main qu'il lève vers le ciel.

Va-t-en, 'spèce d'ivrogne ! va mendier et reviens boire quand t'auras une bourse pleine d'écus !

Le poivrot prend ses jambes à son cou et disparait en peu de temps.

Le couple approche de celui qui avait tout l'air d'être le tavernier.

M'sieur dame, chuis l'propritaire de c't'établissement, que puis-je faire pour vous ? leur demande-t-il en tapotant son bout de bois sur son autre main, le bout de ses lèvres esquissant un sourire.

Bah, c'est qu'on cherche le château rétorque Linon.

L'homme regarde la charrette recouverte d'un grand drap qui suit le couple, tirée par un cheval.

Vous y m'nez de la ripaille ?

On veut juste savoir où s'trouve le château ! réplique Gassan d'un ton quelque peu agacé.

Bien bien... fait le tavernier calmant le jeu suivez cette direction fit-il en tendant le bras et vous tomb'rez pile dessus.

Le couple le remercie et reprend la route.

Le vieux couple traverse la ville dans la direction que le tavernier leur a donnée. Le temps n'est pas des meilleurs, le vent souffle encor, mais ils se sont donné une mission qu'ils veulent accomplir avant de reprendre leur route à travers le duché cher à leurs cœurs.

Ils tombent enfin sur l'édifice qui semble estre ce qu'ils recherchent depuis quelques temps. Ils avancent dans sa direction et voient devant les portes quatre hommes dont deux semblent garder l'entrée du Castel gascon, une femme et un jeune garçon. Leur charrette a pris du poids au cours de leur voyage, ce qui les a d'ailleurs obligés à se rendre icelieu. Mais ils demeurent bons, leur âge bien avancé leur a sans doute appris la sagesse et la bonté. Ainsi continuent-ils de la tirer vers le groupe qu'ils ont vu.

Le gamin s'agite.

Hééééé hoooo !!!! Vous savez ce qu il y a sous les draps blancs de la charrete vous ? Ils sont bizarres les manants quand meme !!!!non ?

S'il savait... se dit le viel homme, jetant un regard à son épouse qui continue d'avancer à ses côtés depuis plus de trente ans.

Ad'shatz fait Gassan, un léger sourire qui fait éclore sa dentition usée accompagnant la salutation lorsqu'ils approchent du but.

Frogard n'avait pas l'air des plus heureux, et il régit tel que s'attendait Riw.

Résultats ? Vous voulez parler du déni de la voix du peuple gascon? Tssssssssssssss... Mais je suppute qu'au vu de votre vote, ce n'est poinct cela qui vous chagrine, non?

El Procurador retint un soupir, mais sa mine tout déconfite laissait transparaistre son ressenti. Ah la politique ! Riw estait déçu. Par tant de choses. Il allait respondre à l'homme quand celui-ci détourna son regard, attiré par les cris du jeune Von Wittelsbach qui montrait un couple de vieillards venant dans leur direction avec une charrette.

Hum... Mais qu'est qui nous arrive là?

Et à y regarder de plus près, la charrette avait l'air d'estre pleine, recouverte d'un drap qui dissimulait ce qu'elle transportait.

Et à vrai dire, Riwenn ne connoissait pas ce couple, et ne savait pas du tout ce qu'il venait faire icelieu.

Bah... fit-il en se grattant l'arrière-teste je n'en ai aucune idée.

Il croisa le regard de Frog, de Kassie puis des gardes, qui semblaient dans la mesme incompréhension que lui. Cependant il aurait esté surprenant qu'il faille les considérer comme dangers, car ils n'avaient pas l'air de toute jeunesse, et un seul garde aurait pu les assommer, voire pire, mettre fin à leur jour.

Riw respondit au vieillard qui les salua.

Bonjorn messer.

Le couple s'arrête devant le groupe. Le jeune garçon les regarde, étrangement attiré par la charrette, ils lui sourient des quelques dents qu'il leur reste.

L'un des hommes du groupe salue Gassan. Et tandis qu'il tente de l'approcher, le gamin avance d'un pas décidé vers lui et sa femme, sort une plaque d'agent de guet et leur ordonne de montrer le contenu de la charrette.

Dites donc Messer , avant tout moi j'veux voir dessous le drap , Montre moi ! C'est un ordre !

Linon sursaute face à cet élan enfantin et approche de son époux pour s'accrocher à son bras.

Bah, c'ty pas que j'veuille pas vous montrer bonhomme répond le vieil homme en montrant ses mains toutes ridées mais ajoute-t-il presque solennellement c'qu'on doit d'bord passer un m'ssage à m'sser de Castel Vilar, et j'pensais qu'on l'trouverait près du château...

Le couple a une promesse à tenir, et il ne pourra montrer ce qu'il y a sous le drap tant qu'il n'aura pas dit ce qu'il a à dire à cet homme que sa femme et lui sont venus chercher, en espérant pouvoir le trouver icelieu.

Angel acquiesça tout en gardant un oeil attentif aux couples de manants , sans oublier de zyeuter à chaque clignement d'yeux la fameuse cargaison.

Que cela pouvait bien etre ? Qui étaient ces deux paysans ? Comment connaissaient ils le nom du Messire Riwenn ? Tous cela restait une énigme pour le jeune Von Wittelsbach.

Tenté ? Omnibulé par cet objet qui attirait l'oeil et les esprits , Angel commis l'irréparable , tenté par la tentation tentaculaire , hypnotisé par ce blanc couleur d'Ange . Il ne put s'empeché de poser sa main sur ce drap blanc d'en tater les formes , et de le retirer d'un fil ; malheur , stupeur , horreur , ce qui se cachait dessous fut bien un Ange , il put deviner dans ce bref isntant , la couleur pale d'une femme à la peau claire .

Angel ravala sa salive , confronté pour la première fois à un tel spectacle , il interpella le conseil des "sages" réunis autour du sieur Riwenn montrant du doigt l'objet de curiosité, telle une danse macabre réunis en farandole jusqu'a ce que les masques tombent....

Riwenn approcha du couple. Le petit lui avait donné d'un signe de teste autorisation de leur parler avant de lever le voile sur la mystérieuse cargaison. Il attendait que l'une des deux vieilles personnes lui parlent mais cela ne semblait point advenir. Qu'avaient-elles de si important à lui confier, sachant qu'il ne les connoissaient aucunement ? La response à cette question advint bien plus rapidement qu'il n'eût pu s'y attendre. Et non par la parole. Mais par la vue.

En effet, il sentit le jeune Von Wittelsbach lui passer dans le dos comme un souffle de vent à l'assaut de la charrette. Le vieillard se retourna, sans doute pour arrester le garçon. Riw n'y voyait rien, le couple lui obstruait la vue. Il savait simplement que derrière eux se trouvait la charrette. Les deux vieillards firent alors un pas en arrière et l'homme eut alors une vision d'horreur.

Une peau bien plus blanche qu'à l'accoutumée. Un léger sourire au coin des lèvres. Sa chevelure brune mal coiffée au travers de laquelle les quelques rayons de soleil se faufilaient. Des yeux toujours aussi beaux, cependant plus rien ne s'y reflétait.

Reine. Son épouse.

Il resta là, quelques secondes, sans bouger, immobilisé par cette vision, son léger sourire ayant totalement disparu. Puis il regarda chacune des personnes présentes, comme pour avoir confirmation de l'un d'entre eux que tout cela n'estait qu'un songe, qu'il allait se réveiller. Mais les visages décomposés de chacun d'eux ne laissaient place à aucune illusion à ce propos. Il avait bien devant lui le cadavre de son épouse !

Tout le monde s'estait tu, mesme le garçon qui montrait du doigt la mystérieuse cargaison qui n'en estait plus une. Mais Riw n'y presta guère attention. Il finit par accourir auprès de Reine et passa son bras derrière son cou pour poser quelques baisers sur son front, sans avoir bien remarqué que les larmes coulaient abondamment sur ses joues. Une colère l'envahit rapidement, colère pour lui-mesme en faict, il l'avait laissée partir seule, il l'avait délaissée. Bien entendu il savait qu'il n'avait pas le choix, il ne pouvait quitter le duché vues ses charges au sein de celui-ci, mais il culpabilisait malgré tout. Il lança un regard noir au couple, bien qu'au fond, il devait savoir que ces gens n'y estaient pour rien dans la mort de sa douce.

Que ... lui avez-vous faict ??? hurla-t-il, tourmenté par le chagrin qui l'envahissait.

Le vieil homme ne se laissa pas démonter par le cri de Riwenn. Il lui expliqua ce pourquoi lui et sa femme estaient là en cet instant, et ce pourquoi il avait le cadavre de son épouse avec lui. La vieille dame donna les explications du décès, et Riw put voir alors que la robe que portait Reine semblait salie d'une large tache de sang. Elle estait morte en mettant deux enfants au monde.

Pourquoi lui avait-elle caché sa grossesse ? Il estait vrai qu'elle pensait qu'il ne voulait plus d'enfants, cela venait peut-estre de là, mais au fond elle devait bien savoir que ç'eût esté un plaisir pour son époux que d'avoir d'autres descendances. Est-ce pour cela qu'elle avait accepté de partir pour le compte du Duché ? Afin de lui cacher leur progéniture ? Tant de questions parcouraient l'esprit de l'homme.

Reniflant, il desserra son estreinte et plongea son regard embué dans les yeux vides de sa douce.

Pourquoi ?

Puis il leva les yeux au ciel, comme pour parler avec le Très-Haut, comme si lui aurait la response que le cadavre ne lui donnerait jamais, comme si là-haut il pouvait trouver quelqu'un pour mettre fin à ses questionnements.

Pourquoi ? hurla-t-il Pourquoiiiiiii ?!!!!!

Son cri réveilla les deux enfants, endormis jusqu'alors dans deux paniers aux pieds du cadavre de Reine. Il entendit leurs pleurs mais ne s'en soucia guère, préférant demeurer en cet instant terrible auprès de son épouse. Ses sanglots signaient l'éclat de son cœur en mille et un morceaux. Ses larmes caressaient les cheveux de son aimée, tel un ultime geste de tendresse que personne ne pouvait percevoir. De sa main libre, il serra celle de son còr, durcie par l'appel de la mort, il la serra si fort qu'il sentit la bague de leur mariage lui effleurer les doigts, témoignage d'un amour éternel.

Frog assistait sans mot dire au spectacle désolant. On n'a beau dire, on a beau faire ce n'est jamais réjouissant de voir la souffrance d'un homme. Surtout que cette souffrance avait l'air de conduire le procurator à la folie. La grenouille jeta un regard a dame Kassie, interrogateur. Elle semblait elle aussi immobile que lui. Diantre!

Et voilà la mère noupi qui en rajoutait, où était la comédie, où était la sincérité, Frog ne put le dire et venant de la pécore anoblie, il s'en foutait pas mal. Ses yeux se redirigèrent vers sire Riwenn. Que pouvait-il lui dire pour le réconforter?

Pour une fois Frog choisi de fermer sa bouche, c'était pas si souvent qu'il choisissait cette solution, mais devant les événement, hein!