Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 17, 18, 19   >   >>

[RP] Chez Mel et ses 2 Amours

Kekione
KEKIONE embrassa longuement sa Tien et ne se fit pas prier pour s'assoir.
Il grimaçait aux enfants de Melisse qui le lui rendaient bien.

Avec grand plaisir Melisse... je meurs de faim.

Le vieil homme était tout sourire.
Melisse


Avec grand plaisir Melisse... je meurs de faim.

Elle alla chercher la bouilloire de tisane, en servit un grand bol à Tine et Kio, s'assied à son tour, invita tout le monde à se régaler du petit-déjeuner.



"Kio, tu veux que je te prépare une tartine ou tu te débrouilles, le pain est tout frais, ta dent ne souffrira pas"

Melisse lui sourit, prépara les tartines des enfants, leur servit un grand bol de lait. La maisonnée était emplie de babillages, de rires, un plaisir débuter la journée dans la bonne humeur.

_________________
Kekione
KEKIONE regarda sa Tine l'air étonné.

Elle me prend pour un débile profond notre bonne Melisse... elle pense que je ne sais pas me faire une tartine.
Elle me crois peut-être revenu en enfance.


Le vieil homme embrassa sa belle compagne délicatement.
Puis, se tourna vers la Mairesse.

Je te remercie Melisse, j'arrive à faire mes tartines.
Ce pain à l'air excellent, effectivement.


Le gribouilleur se fit 2 grosses tartines et commença à les sucer avec application.. et oui, plus de dents, plus possible de croquer.
Tomvic
Pather avait préparé un petit mot pour Melisse. Il prenait la route et il savait qu’il ne la reverrait pas pendant quelques jours ce qui le rendait un peu grognon mais surtout mélancolique. En s’approchant de la maison, il remarqua des rires et des discussions animées.

Il s’approcha discrètement et coinça son petit mot entre deux planches de la portée d’entrée. Il s’éclipsa ensuite doucement



Citation:
Dame Maire,
Ma petite Paysanne,
Ma Melissinette,


Je pourrais prendre des mots empesés et courtois, dignes d’un noble, pour te dire ce que je ressens au fond de mon cœur. Je pourrais te chuchoter mille fois « je t’aime » dans le creux de ton oreille. Je pourrais prendre ta main dans la mienne, caresser ton doux visage, effleurer de mes lèvres ta peau si délicieusement exquise…

Tout cela, je l’ai déjà fait et je le referai encore et encore, pour toi. Parce que tu es ma source, ma vie, mon essence. Tu sais déjà ce qu’il y a dans mon cœur comme nulle autre ne le saura jamais, mais il n’est jamais mal de le répéter, n’est-ce pas?

Malgré tout, il est temps pour moi de me compromettre autrement, de m’impliquer davantage que dans mon plaisir égoïste de ne t’avoir que pour moi. Passons a une autre étape si tu le permets, importante pour moi : Je voudrais connaître tes enfants…

Certes, cela m’effraie un peu… en fait, plus qu’un peu… J’ai peur que la rencontre ne se passe pas bien vu mon caractère d’ours, mais il le faut! Et nous ferons ce qu’il faut pour que tout se passe bien.

Ils font partie de ce que tu es, et je veux tout de toi.

Si tu le souhaites, nous organiserons un pique-nique à mon retour de campagne avec l’armée?

Tu te moqueras un peu de moi sans doute, mais j’ai beaucoup moins peur des vilains brigands que de tes petits…

N’oublie pas, je t’aime

Ton Ours
Ton Baron,
Ton Amour…

_________________
Baron de Bellecombe
Valentine.


Tine était heureuse de ce petit rassemblement autour des tartines de Mel, elle ne cessait de bisouiller les enfants en tenant tout contre son cœur son petit Aël qui lui avait réclamé les bras.

Elle embrassa son homme après qu'il est finit de sucer ses tartines, prépara les petites affaires de son bébé et ils rentrèrent au moulin enfin tous les trois réunis, bientôt quatre sa fille devait rentré aussi et Tine était très excitée de la revoir.
Melisse


Le moment de rentrer pour Tine, Kio et Aël était arrivé, ils avaient passé un moment très agréable,à rire tous ensemble.

Mel les accompagna au dehors, les bisouilla bien fort en les remerciant d'avoir fait que ce petit-déjeuner n'était pas comme les autres.

Elle se retourna en direction de sa maison, pensait à son Pather, son tendre amour qui lui manquait tant, elle aurait adoré qu'il soit près d'eux, s'arrêta devant sa porte en voyant un parchemin glissé entre les planches de la porte.


Melisse le prit délicatement, son coeur s'emballait dans sa poitrine... prit place sur le banc devant la maison . Dépliant le parchemin, elle commença sa lecture, sourire aux lèvres à chaque mot qu'elle lisait, releva les yeux, des larmes de bonheur coulaient doucement sur ses joues, murmura pour elle-même ...

"Mon tendre amour, tu es si merveilleux, jamais ne cesserai de répéter que je t'aime, que tu combles mon coeur, mon âme et mon corps"

Son coeur battait à tout rompre en continuant sa lecture... Ses mots la touchaient tellement, l'amour qu'il lui portait le faisait avancer doucement, les enfants lui faisaient peur, elle le savait et pourtant.... il réussirait à les apprivoiser, elle le savait, sans contrainte, ils apprendraient à se connaitre, son ange grognerait peut-etre un peu, mais Abigail et Killian sauraient ne pas lui en tenir rigueur... *sourit en pensant à ses petits amours*...

Mel vivait des moments merveilleux depuis sa rencontre avec son ours sauvage, chaque instant n'était que pur délice. Elle pensait au jour de leur rencontre à Chambéry, aux jours suivants jusqu'à celui où il était venu à elle. Elle se redressa, frissonante, déposa le parchemin sur son coeur, se releva pour aller s'occuper de ses petits et du rangement de la maison.

Ce soir, son ange la quitterait pour quelques jours, pas trop elle l'espérait tellement, elle enverrait son pigeon le plus rapide pour lui transmettre tout son amour, même loin d'elle, il ne la quittait jamais....

Dans un murmure, comme si elle lui chuchotait à lui..
. *amourrr de ma vie, n'oublie jamais.... je t'aime*

_________________
Melisse


Le soleil déjà haut lui picotait le visage au travers de la fenêtre, Melisse n'avait aucune evie de se lever ce matin. Elle se tourna sur le côté, ouvrit à peine les yeux et sourit tendrement. Son ours d'amour dormait paisiblement à ses côtés, un léger sourire aux lèvres.... la première nuit près d'elle, comme elle l'avait tant rêvé, avait été magique, les laissant épuisés, heureux au petit matin où le sommeil avait eu raison de leurs désirs... Elle sourit doucement, frissonna en se pelotonnant contre lui, se redressa un peu, effleura ses lèvres d'un léger baiser, murmura ensuite à son oreille : Je t'aime tellement mon coeur.

Les yeux emplis d'étoiles, émue du bonheur qu'il lui apportait, elle se nicha au creux de son épaule, déposa sa main près de son coeur... Pather émit un léger grognement et instinctivement la serra contre lui.

Elle ferma les yeux, sourire aux lèvres, soupira en pensant à hier soir quand elle l'avait emmené, les yeux bandés, au seuil de sa maison; elle avait rêvé ce moment, chaque nuit où il l 'avait raccompagnée à sa porte, triste de le quitter ainsi , mais heureuse et impatiente en pensant au lendemain où ils se verraient à nouveau. Une larme de bonheur lui chatouilla la joue, elle la laissa glisser sur sa peau sans la chasser, frissonna de plaisir d'être tant aimée de son baron d'amour. Doucement, le sommeil la gagna à nouveau, enveloppée de son ange, s'endormit à nouveau....

_________________
Tomvic
Pather se réveillait sans cesse, la peur animale au ventre de la voir disparaître soudainement. Il l’a ramenait toujours plus près de lui, se lovant contre son corps, gardant contact avec elle de la tête au pied, enfouissant son nez dans ses cheveux, l’entourant de son bras protecteur, caressant la plante de son pied de son gros orteil.

Même lorsqu’il bousculait un peu son sommeil, elle semblait si paisible, si bien. Elle dormait du sommeil de celle qui n’était inquiète de rien, et pourtant, il savait qu’elle avait ses angoisses et ses incertitudes, comme lui.

« Prendre le moment »


Pather se répéta la phrase dans sa tête, chassant ses angoisses du lendemain, chassant les peurs des questions sans réponses. Il se savait inquiet de tout, l’empêchant de savourer chaque moment de bonheur. Il prendrait exemple sur elle, si courageuse, croquant à pleines dents dans le bonheur présent. L’amour n’est-il pas ainsi? Une suite de petites et de grandes victoires des sentiments, laissant derrière des âmes un peu moins pâle qui s’abandonne à la vie?

Pather souriait pour lui-même, se trouvant bien grave pour l’heure. Il regarda Melisse dans la pénombre, la trouva si belle… se serra un peu plus contre elle, couvrit son épaule dénudé de la couette, se rendormit doucement, le nez empli du parfum de sa peau, l’âme plus sereine.

_________________
Baron de Bellecombe
Melisse


Un rêve merveilleux.... un corps doux et chaud qui l'enveloppait de douceur... Mel ne voulait pas sortir de cette torpeur délicieuse.. au loin.. elle entendait les cloches de l'église, ouvrit doucement les yeux, sourit en contemplant son amour près d'elle, endormi un sourire aux lèvres.... Emue de l'avoir à ses côtés, ses yeux brillants de la nuit merveilleuse passée et de tous les moments passés avec lui depuis plus d'un mois maintenant.

Elle effleura doucement ses lèvres d'un baiser, s'efforçant de ne pas le réveilller, à regrets quitta ses bras merveilleux... il émit un léger grognement, Melisse sourit à l'entendre, le recouvrit un peu pour lui laisser repos.

Près de la fenêtre, elle sourit, s'étira aux rayons du soleil qui picotaient son corps envahi de bonheur, sans bruit, enfila une chemise qui lui parut bien grande, la serra contre elle en sentant l'odeur de son ange. Elle prit le temps de dompter un peu sa chevelure, souriait en se regardant dans le miroir...chassant ses idées,elle se releva et descendit préparer le petit déjeuner, nul doute que son ours aurait grand faim à son réveil. Elle remit une buche dans le feu, l'attisa pour y mettre ensuite la bouilloire.

Mel chantonnait en préparant un plateau, prépara de belles tartines de confiture, gourmande, trempa son doigt dans le pot, y gouta avec délice. L'eau bouillissait maintenant, elle mit à infuser la tisane, sortit de chez elle et alla cueillir, pieds nus et à peine vêtue une rose pour orner son plateau.

Satisfaite, elle déposa le tout sur le plateau, monta l'escalier pour rejoindre la chambre, sourit en regardant son ours toujours endormi. Elle posa le plateau sur la petite table à côté, s'assied sur le lit près de lui, glissa sa main sous la couverture, le câlina doucement pour le réveiller, murmura à son oreille : "mon coeur je t'aime"..., sourit en le voyant réagir à son murmure ou à sa caresse, souffla encore quelques mots près de son oreille, les ponctuant de petits baisers...

Mel aimait le taquiner, adorait l'entendre grogner quand elle exagérait, il ouvrit lentement les yeux et l'attrapa entre ses bras.......

_________________
Melisse


Ce matin là, malgré le soleil déjà bien présent, la joie n'était pas au rendez-vous dans la maisonnée. Ce jour-là serait difficile, malgré les heures passées à expliquer aux enfants la raison du départ de Tristan, le moment pour le petit de rejoindre son papa était venu et pour eux deux ce serait grand bonheur de partir sur les chemins où une nouvelle vie les attendait....
Les enfants aimaient Tristan comme leur petit frère, s'étaient attachés à lui, tout comme elle...

Ils prirent le petit déjeuner en silence, Melisse avait le coeur serré de les voir si tristes tous les trois, elle-même se cachait sous un faux sourire, son coeur lui faisait mal de laisser partir ce petit ange dont elle s'occupait depuis tout bébé.

Le repas terminé, elle débarassa la table machinalement, Abigail et Killian couvaient Tristan du regard, lui tendaient des jouets qu'ils lui offraient en souvenir... le moment étant venu d'emmener le petit près de Vincent, elle prit le gros sac empli de vêtements, de souvenirs, de jouets, annonça le départ.

Ils sortirent tous les quatre, en chemin vers l'atelier. Tristan qui ne marchait pas encore bien vite chouinait, Mel le prit dans ses bras, Abi et Killian de chaque coté d'elle...

_________________
Melisse


Le retour à la maison se fit en silence, Abigail errait en regardant autour d'elle, Killian, lui, prit son épée et alla au dehors, défiant le gros arbre, donnait des coups. Elle savait qu'à ces moments là, Mel ne pouvait lui parler, il lui fallait laisser passer ce moment, sa façon d'évacuer sa tristesse.

Melisse alla rejoindre Abigail au salon, la prit sur ses genoux et la serra fort dans ses bras, lui murmurait des paroles de réconfort,la couvrant de baisers.


Ca va aller ma princesse, nous savions qu'un jour Tristan partirait n'est-ce pas, nous en avons parlé souvent, alors il ne faut pas être triste, ils vont apprendre à vivre ensemble maintenant et ils seront heureux.

Abigail, pour toute réponse, passa ses bras à son cou, la serra fort en lui disant *Je t'aime maman*.

Abigail, je vais aller voir ton frère dehors maintenant, lui aussi est triste et a besoin de réconfort. Ensuite, nous rentrerons tous les trois et on fera des jeux, je vous lirai une magnifique histoire tout en mangeant des gâteaux.

La petite sauta directement des genoux de sa maman, sortit rapidement rejoindre son frère, maintenant assis au pied de l'arbre. Mel les rejoignit, s'assied près de Killian, le prit dans ses bras, en silence, couvrant ses joues de baisers et lui murmurant des mots de réconfort et d'amour.

Mon Chevalier, Petite Princesse et moi-même avons quelque chose à proposer. Des jeux, une histoire que je vous lirai tout en dévorant de bonnes petites choses. Nous y allons tu veux ?


Killian embrassa sa maman, se leva, tendit sa main à Mel qui se releva en lui souriant.

Allez hop vous deux, on fait la course, le premier arrivé aura droit à plus de gâteaux.

Ils rentrèrent en riant à la maison, terminèrent la journée ensemble à jouer, rire et se remplir l estomac de bonnes choses. Puis il fut temps d'aller dormir pour les enfants, Mel les accompagna à leur chambre, ils se débarbouillèrent rapidement et sautèrent dans leur lit. Elle alla les embrasser, leur souhaitant de merveilleux rêves...

Mel redescendit, rangea les restes de leur agape, sortit s'asseoir sur le banc devant la maison, elle pensa à son amour qui lui manquait tellement, encore quelques jours sans lui, son absence lui semblait une éternité et un léger sourire aux lèvres, se mit à rêver de son retour près d'elle.

_________________
Tomvic
Pather avait quitté tôt sa maison ce matin là, peu de temps après le chant du coq. Il savait que Melisse se levait aux premières notes de son chant … enfin, pensa-t-il, plutôt un cri assez déplaisant plutôt qu’un chant… Il songea à tous ces matins où il serait rester plus longtemps dans son lit et que ce damné coq chantait toujours trop tôt… Il rêvassait en souriant intérieurement au prochain pique-nique, ou le volatile ferait sans doute un très bon repas…

Il n’était pas un très bon cuisinier. Jusqu’à maintenant, les seuls repas qu’il avait eu à préparer était pour lui seul et n’aimait pas perdre son temps à apprêter ces repas. Cela se limitait souvent à quelques tranches de viande salée, du pain, et comme dessert, un fruit de saison. Cela convenait fort bien à un homme seul, habitué à vivre sur la route ou à l’intérieur d’une troupe armée.

Aujourd’hui, c’était différent. Il avait choisi avec soin quelques fruits et légumes qu’il avait ensuite découpé en petits morceaux. Il était allé chez le boucher et avait fait cuire sur un feu très doux la viande qu’il avait choisi. Il avait aussi préparé des œufs durs, du lait, quelques morceaux de fromages et bien d’autres choses. Il ne savait pas trop ce qu’aimait manger les enfants, c’est pourquoi il avait préparer plusieurs plats, en quantité suffisamment grande pour combler leur désir. Bien sur, il aurait pu nourrir une armée complète avec toutes ces victuailles, mais il n’avait pas osé choisir, de peur d’abandonner derrière leur met préféré…

Il scella son cheval, déposa sur son dos les ballots qu’il avait préparés pour le pique-nique. Il s’habilla sobrement avec ces vêtements de voyage, emporta avec lui son épée, son bouclier marqué de ces couleurs ainsi que son casque.

Il inspira fortement, tenant la bride de son cheval dans sa main il prit la route vers la maison de Mel. La route n’était pas longue, mais il prenait son temps. Pour la première fois, il allait rencontrer les enfants… Il pensa en lui-même qu’il n’avait jamais été aussi nerveux que maintenant… même le matin avant une grande bataille. Il ria doucement, se trouvant un peu ridicule. Il prit deux bouffées d’air frais, ferma les yeux, et avança résolument vers la porte de Melisse, cognant deux petits coups, et attendit, sourire aux levres.
Melisse


Melisse s'affairait déjà depuis un moment ce matin, le satané coq ne lui laissait jamais loisir de grasse matinée, sourit en pensant que dans trois petits jours, elle lui clouera le bec afin de prendre repos plus long chaque matin.
Les enfants jouaient dans leur chambre, elle les entendait rire et souriait de leur complicité. Tout en terminant la vaisselle du petit déjeuner, elle chantonnait gaiement.

Deux petits coups à la porte la firent sursauter, passa ses mains dans sa chevelure et lissa sa jupe, intriguée d'avoir visite ce matin, se dirigea à la porte et ouvrit. Son cœur bondit dans sa poitrine en voyant son amour, son Pather tout souriant et bien fier devant elle, vêtu de sa tenue de voyage, elle pensa un instant à un départ imprévu, mais voyant son sourire, oublia cette idée.


Mon cœur d’amour quelle suprise.... heureuse qu'il soit là, s'empressa de passer ses bras à son cou en lui offrant ses lèvres…., tendrement plongea son regard dans le sien,tout sourire..

Ne restons pas sur le devant de la porte amour, viens entre sans crainte , les monstres ont mangé ce matin ...*taquine lui fit un clin d'oeil, prit sa main dans la sienne et entrèrent.

Pather avait le sourire en prenant place dans le petit salon, elle le savait inquiet tout de même, souvent ils avaient parlé de ce moment et elle comprenait fort bien cette angoisse, elle le rassura en prenant sa main et lui chuchota : *ne sois pas sur la peur amour, Abigail et Killian connaissent déjà un peu de toi, tu te souviens, je t’ai dit que je leur ai parlé de toi et de l’amour que nous ressentons l’un pour l’autre, ils sont grands maintenant et comprennent et je suis sure que tu les apprivoiseras vite comme eux le feront pour toi.

A peine sa phrase terminée, qu’elle entendit dégringoler les escaliers, sourit en se retournant vers ses enfants qui avançaient près d’eux, intimidés, mais un petit sourire espiègle sur son visage, Abigail se postait déjà devant Pather, lui donnant une petite révérence….

Melisse avait les yeux embués de voir sa fille se comporter en jeune damoiselle, Killian, lui, attendait que sa sœur se soit présentée, il restait un peu en retrait comme à son habitude, détaillait discrètement Pather, les yeux brillants. Elle chuchota à son ange, pressant sa main dans la sienne: * je suis là amour, tout ira bien...

_________________
Tomvic
Pather entra avec plaisir dans la maison de Mel. Comme a chaque fois, il était surpris de la voir si belle… enfin, pas surpris mais, attiré vers elle, comme un aimant… Il oubliait à chaque fois comment elle l’envoûtait, et encore une fois, son charme opérait instantanément sur lui, oubliant le souci qui le tracassait.

Lorsqu’il passa au salon, souriant, et qu’il entendit les enfants déboulant les escaliers a toute vitesse, son cœur manqua un battement mais se força à retrouver son calme. Lorsque la petite fille fit sa révérence, il ne pu s’empêcher de sourire et fit de même à son tour, en exagérant le mouvement, comme s’il se trouvait devant la personne la plus importante de l’Empire.

Bonjour Damoiselle Abigail, je suis Pather, Baron de Bellecombe et Seigneur de Saint-Ours, pour vous servir.

Pather s’approcha doucement, fit un délicat baisemain sur la petite main de la jeune fille.

Pather ensuite détourna son attention sur le petit homme qui se tenait derrière, essayant de montrer un visage bienveillant et souriant.

Bon matin messire Killian, Enchanté de faire votre connaissance!
Votre maman m’a dit que vous deviendrez un bon soldat.
La Savoie a toujours besoin de bras valeureux pour la défendre.


Il s’approcha ensuite du petit garçon, lui tendit la main pour echanger une vigoureuse poignée de main avec lui.

Il jeta un regard à Melisse pour regagner un peu de réconfort dans son sourire et s’adressa aux deux enfants à la fois.


Je voulais vous inviter vous deux ainsi que votre maman pour un pique-nique.
C’est une belle journée, vous ne trouvez pas?
Rien de mieux qu’une ballade dans la forêt et un bon repas.
Qu’en dites-vous?
--Abi




Bonjour Damoiselle Abigail, je suis Pather, Baron de Bellecombe et Seigneur de Saint-Ours, pour vous servir.

Abigail gloussa quand Pather lui fit un petit baise-main, rougit et lui sourit en regardant sa main, ébahie en écoutant leur visiteur s'annoncer.

Mais, je vais pas me rappeler de tout votre nom, M'sieur Pather, ca va si je dis comme ça . Pis, je comprends mieux, Saint-Ours, maman dit tout le temps "mon ours" quand elle parle de vous? .

Taquine, elle se hâta de rejoindre les genoux de sa maman, cacha son rire dans son cou.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 11, 12, 13, ..., 17, 18, 19   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)