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[RP] Chez Mel et ses 2 Amours

Melisse


La journée s'écoulait dans les rires et les babillages de tous, Abigail parmi toutes ses nouvelles poupées leur racontait des histoires alors que Killian faisait des tours de ronde autour de son cheval, casque sur la tête, veillant à ce que l'on ne vienne pas lui reprendre ses biens.

Melisse sursauta quand elle entendit la voix de son Pather, enfin, il était là et soulevait Abigail pour lui faire une bise et tendait la main à Killian, pour leur souhaiter bon anniversaire.

Il faisait le tour des invités, Mel le regardait tendrement, il paraissait fatigué mais souriait en saluant chacune des personnes présentes. Quand il la rejoignit et la prit dans ses bras pour un doux baiser, elle y répondit tendrement, se blottissant près de lui, tant il lui avait manqué.

Enfin, mon coeur, nous t'attendions avec impatience, tu dois être affamé et assoiffé du chemin.

Elle lui sourit et alla lui chercher une part de gâteau et un bon verre de vin, en profita pour refaire le tour des verres de ses amis, leva son verre en regardant son homme, trinqua joyeusement.

Déjà la fin de journée arrivait, Mel et Pather devaient encore offrir leurs cadeaux aux enfants, elle chuchota à son homme : amour, tu viens avec moi, je m'occuperai de prendre le chaton et toi tu t'occupes du poulain, tu en as plus l'habitude que moi.

Mel jeta un oeil pour voir les enfants bien occupés, prit la main de son homme et s'éclipsèrent à la grange. Pather prit la longe et sortit le poulain pour aller l'attacher dehors, Mel, le panier où le chaton poussait de petits miaulements, cherchant à sortir de l'endroit; elle lui fit de petites caresses et alla sortir Killian et Abi de leurs occupations.

Elle prit la main de son homme dans la sienne, le regarda et lui vola un petit baiser, sourit et appela les enfants :

Mes Chéris, venez donc un peu près de nous, Pather et moi avons encore un cadeau pour chacun de vous.

Ils accoururent près d'eux, les yeux brillants de bonheur, Mel prit le panier et le tendit à Abigail ...

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--Abi





Abigail trépignait en prenant le panier, son sourire dévorait son visage quand elle retira le linge qui cachait le dessus du panier, là une petite boule de poils l'accueillit d'un long miaulement, l'appelant à le délivrer de l'endroit.



Ohhhhhhhh un bébé chat, merciiiiiiiiiii Maman et Pather, c'est le plus beau de tous les chatons.

Elle sauta au cou de Mel, attrapa le cou de Pather aussi et les serra fort pour leur faire de gros bisous, les remerciant encore du bonheur qu'ils lui faisaient, se hâta de redescendre pour prendre son chaton dans les bras et le couvrit de bisous et caresses.
Melisse


Melisse serrait plus fort la main de Pather, le regardait, les yeux brillants d'amour qu'elle lui portait, comblée de l'amour de ses enfants, de la présence de ses amis merveilleux et du bonheur que son homme lui offrait à chaque seconde depuis leur rencontre.

Elle regarda son petit garçon qui s'impatientait lui aussi de recevoir son dernier cadeau, Pather avait laissé le poulain sans attache dans le petit pré, sourit à son fils :


Mon chevalier magnifique, regarde un peu là dans le petit pré, ton cadeau t y attend.

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--Killian_




Killian ouvrit de grands yeux en voyant le joli poulain dans le pré, se mit à courir pour le rejoindre en criant de joie :

Yahouuuuuuuuuuuuuuu mon cheval rien qu'à moiiiiiiiiiiiiii



Il s'arrêta de crier quand il fut près de son poulain, lui passa sa petite main sur le museau et déjà lui parlait surement de leurs futures chevauchées dans les prairies savoyardes.

Killian se retourna vers Mel et Pather, hésita un instant et courut sauter dans les bras de sa maman et son amoureux, les embrassa et les serra fort contre lui.

Merciiiiii Maman, Merci Pather, je suis le chevalier le plus heureux du monde entier, il est très beau mon poulain et puis ...... *regardant Pather.... tu m'apprendras à m'en occuper, je te promets que je ferai tout ce que tu me dis pour qu'il soit heureux mon cheval.

Killian fit son plus beau sourire à Pather, s'empressa ensuite de retourner vers sa monture, attrapa la magnifique selle qu'il avait reçue de sa marraine Tine et alla la poser près de poulain, lui expliquait déjà qu'il devrait, plus tard, lui mettre ça sur le dos, pour aller en balade.
Valentine.


Tine était sur un nuage, la fête, que de l'Amitié et du bonheur, les cris des enfants lui rappelait que son petit Aël promenait avec sa Rasmoquette, elle sourit, que la journée était belle.

Elle se sentait bien, là, tout simplement.
Chocolatines


Choco vit son nourson arriver le dernier.
Elle soufflait rassurée de ne pas être encore à la traine...

Et bien alors comme ça on est en retard monsieur Nourson?! dit elle dans un éclat de rire puis lui cola deux grosses bises avant qu'il mêle ses lèvres à sa Melinou.

Cette dernière semblait heureuse, de même que ses amour de petits gâtés tellement ils le méritaient.
Tout était préparé pour que tout le monde se sente à l'aise, et Melinou avait de vrais talents pour recevoir ses invités.
Comme toute cette bonne humeur l'avait manqué, elle était aux anges.

Les enfants, comment allez vous appeler vos nouveaux compagnons?

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Melisse


Les enfants, comment allez vous appeler vos nouveaux compagnons?

Abigail et Killian regardèrent Choco qui leur posait question. En choeur, ils répondirent

Ben on sait pas encore si c'est des filles ou des garçons d'abord hein, on demandera à Pather et à maman, après on choisira.

Ils avaient les yeux rieurs et coquins en regardant leur maman près de Pather, attrapèrent un petit gâteau sur la table et chacun repartit près de ses cadeaux.

La journée s'écoulait joyeusement, Mel passait papoter avec tout le monde, les remerciant de leur gentillesse et générosité, servait à boire et à manger. Les invités allaient rentrer chez eux peu à peu, les enfants allaient les embrasser pour les remercier chaleureusement, Louise qui avait dormi une bonne partie de l'après-midi était maintenant en pleine forme et allait et venait en rangeant plats et verres vides à la cuisine.

Mel rejoignit Pather, lui sourit en l'invitant à rentrer une fois les derniers amis partis, le poulain était à l'écurie, Killian était resté un peu près de lui de peur qu'il s'ennuie et Abigail, au paradis au milieu du salon, entourée de toutes ses nouvelles poupées, de son chaton qui jouait avec les cheveux des poupées, était à ce moment la plus heureuse des petites filles. Elle remercia Louise de toute sa gentillesse, lui demanda si elle voulait qu'on la raccompagne, mais elle riait déjà en l'entendant rouspéter qu'elle était capable de tout faire encore toute seule.

Elle prit la main de Pather et l'attira au salon, s'installèrent sur le divan, laissèrent le temps s'écouler sur eux, se racontant quelques discussions de l'après-midi. Cet journée entourée de ses meilleurs amis, des êtres chers à son coeur, avait été grand bonheur, elle s'assoupit légèrement dans les bras de son ours qui la serrait contre lui... en demi-sommeil murmura : je t'aime mon coeur.....[/
rp]
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Melisse


Le coeur brisé, Melisse était rentrée en courant chez elle, trébuchant sur une pierre, se relevait, les larmes l'aveuglaient, la détresse lui faisaient hurler le prénom de celui qu'elle perdait...... son amour, son âme, sa moitié la quittait.

Longuement, ils s'étaient parlés, elle le comprenait et puis non ne le comprenait plus, elle était cmais il ne pouvait en être autrement, son choix, elle devait respecter, mais n'y arrivait pas, des erreurs elle en avait fait, voulant le garder trop pour elle, elle s’en voulait........ Il savait qu'elle serait toujours là pour lui, son coeur lui appartenait depuis l'instant où ils s'étaient déclarés tous les deux, depuis leur premier baiser.... débordante d'amour pour lui, elle vivrait près de ses enfants et amis, espérant qu'il reviendrait près d'eux. Il ne voulait pas qu'elle l'attende, lui disait de regarder en avant, de ne pas être amère....... L'amertume elle ne l'avait pas, elle l'aimait tout simplement... Cet amour il ne le désirait plus, avait d'autres besoins qu'elle n'avait sû lui donner.

Désespérée, elle se laissa tomber près du grand arbre, l'herbe humide la transperça sans douleur, les souvenirs se bousculaient au plus profond d'elle-même, lui arrachaient le coeur, les larmes coulaient sans pouvoir s'arrêter, les mots dans sa tête défilaient, le sourire de son amour, son regard, sa présence, les sept mois merveilleux passés près de lui, leurs balades près de la rivière ou en forêt, leurs projets, leurs rires, leur complicité à se comprendre à demi-mot, leur passion, sa douceur, sa gentillesse toujours envers tous, ses grognements qu'elle adorait, ses moments de doute qu'elle partageait et tentait de calmer, sa vie......, il était en elle à tout jamais.

Les yeux troublés de larmes, elle regarda le ciel sans étoiles, la lune était pleine.... Secouée de sanglots, un cri de douleur crevant la quiétude la nuit sortit du plus profond de son âme...


PATHERRRRRRRRRRRRRRRRRRR JE T'AIMEEEEEEEEEEEE

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Maelysse


Maëlysse, sautillant dans la rue, s'apperçut qu'il était bien tard et que le soleil allait se coucher.
Alors elle se mit en route pour rentrer chez Méli.
En arrivant, elle toqua et attendit à l'extérieur.
Déjà, elle sentit la vanille.
Melisse


Mel était affairée à préparer le repas quand elle entendit toquer à la porte, s'empressa d'aller ouvrir et accueillit la petite haute comme trois pommes qui riait de tout son visage.

Ohhhhhh Maelysse, te voilà, entre vite.... Space t'a accompagnée un bout de chemin ?... il m'avait dit qu'il le ferait.

Elle referma la porte alors que Mae déjà furetait partout, sautillait de bonheur. Mel était attendrie par cette petite qui avait fait irruption hier, apeurée, en taverne. De suite, elle avait adopté ses genoux, lui avait donné à rire, taquine la petite Maelysse. Elle avait expliqué un peu que son papa lui avait dit de fuir, que sa maman ne l'avait pas vue partir, la pauvre petite avait dû échapper à quelque chose de grave, mais elle se renseignerait sur le sort de ses parents en contactant le maire de la ville d'ou elle disait venir.

Mae, viens un peu par là, assieds toi, il faut que je te dise... Tu sais qu'Abigail et Killian sont mes enfants, qu'ils ont vécu des choses tristes aussi il y a déjà longtemps et puis dernièrement ..... encore une séparation.... Alors, je vais les appeler et te présenter à eux, j'aimerai que tu comprennes qu'ils ne te feront peut-etre pas le meilleur accueil tout au moins ce soir......mais ils sont de vrais petits anges et on leur expliquera que tu vas rester un peu avec nous, tu es d'accord ?

Elle appela ses enfants qui dévalèrent l'escalier, s'arrêtant net au bas en regardant l'enfant qui était là, Killian les sourcils froncés et Abi, souriait déjà à la petite qui lui rendait son sourire.

Abi, Killian, voici Maelysse, elle a sept ans. Elle va rester un peu chez nous parce qu'elle est loin de chez elle et je devrai chercher ses parents. Soyez gentils tout comme vous l'êtes toujours, Mae a besoin de compagnie et d'une maison où pouvoir vivre en attendant.

Abigail et Killian avancèrent et tendirent leur main à Maelysse pour lui dire bonjour. Mae était intimidée aussi, mais elle ne doutait pas qu'ils s'entendraient tous les trois, juste laisser le temps qu'ils s'apprivoisent.

Allons les enfants, afin de mieux faire connaissance, on va se mettre à table, le repas est prêt et pour le dessert, une bonne tarte aux pommes, ca vous va ?

Les trois applaudirent et se mirent à table, se scrutant sans parler au début et doucement l'ambiance se détendit, elle les écoutait sans trop intervenir, le repas et la tarte avaient été engloutis, elle les emmena à l'étage, faisant visiter à Mae toute la maison, lui montra sa chambre qu'elle avait aménagée à la hâte.

Voilà les enfants, il se fait tard maintenant, vous trois allez vite vous coucher, demain vous profiterez de la journée avec moi et on ira en balade.

Elle alla les embrasser l'un après l'autre, leur souhaitant de doux rêves et rejoignit sa chambre, se déshabilla et se coucha, ce moment qu'elle détestait, désormais.... ces nuits où les cauchemars venaient lui faire mal. Un long soupir s'échappa, prenant l'oreiller à coté d'elle dans ses bras, elle le serra et ferma les yeux.....

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Maelysse


Acceuillie chaleureusement par Mélisse, Maë entrant t fut conduite partout dans la mainson et avait même du mal à retenir toutes les pièces de la maison.
Assez timide, elle rencontra les deux amours de sa "sauveuse" Mélisse.
Tout de suite enthousiamés par le dîner, les trois enfants rigolèrent tranquillement.

Méli, merci beaucoup pour tous. Je t'aime crééééé fort !

Puis les enfants furent invités à rejoindre leur chambre respective pour dormir.
Ainsi, après un calin collectif, les enfants mirent au lit.
Première nuit chez Méli. Ne connaissant pas les lieux ni les habituelles ombres, Maë eut très peur des ombres que faisaient les arbres sur les murs, et il faisait tout noir dans cette immense chambr bien préparée pour l'arrivée d'une fillette.

Très apeurée, elle décida de rejoindre Méli.
Elle toqua, entrant en pleurant doucement pour ne pas réveillant les deux autres enfants.

Méliiii... Z'ai snif très peur snif des bêtes snif dans la chambre snif...
Melisse


Elle ne dormait pas comme souvent quand sa porte de chambre s'ouvrit, elle se redressa et la petite Maelysse, pleurant, tremblant de peur la rejoignait. Elle la prit dans ses bras, la rassurant, la berçait doucement

Maelysse, calme toi, tu sais il n y a rien qui puisse te faire du mal ici, tout est nouveau pour toi et je comprends que tu ne te sentes pas en sécurité, mais je suis là et rien n'arrivera je te promets.

Elle prit un tissu, essuya les petites larmes de Mae, la garda contre elle en chantonnant doucement pour la rendormir. La petite ferma les yeux et doucement repartait en sommeil, Mel la garda un peu contre elle et bien plus tard, la ramena dans son lit, déposa un petit baiser sur son front, s'en retourna continuer sa nuit.

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Maelysse


La petite n'ayant rien retenu de la veille, se réveillant du cri des petits oisillons et des charettes de la rue qui s'en allaient aux champs ou au marché.
Maë ouvrit les rideaux, et souria en appercevant le soleil qui lui blondissait les cheveux. On pourrait presque la voir de chez ses parents, enfin, s'ils étaient toujours là...
C'était très rare d'avoir un aussi beau soleil en octobre.
Ainsi, elle déscendit en toute hâte, embrassant les enfants déjà levés depuis plusieurs minutes.
Elle acourat dans les bras de Méli qui la rattappa avec justesse et lui dit :

Avec tes enfants, on peut louper une journée d'école pour aller te cueuillir des fleurs.
Peu-Peu-Plait, bientôt il n'y aura plus de fleu-fleurs !!

Elle la supplia avec des yeux magnifiques.
Melisse


Les matins se suivaient, se ressemblaient plus ou moins, elle était installée à table avec ses amours, quand un petit ouragan blond lui sauta dessus, elle l'attrapa de justesse et lui fit deux grosses bises.

Eh bien bonjour Maelysse, je vois que tu es toujours aussi débordante, viens vite t'asseoir et manger des tartines. Je vais devoir partir travailler bientôt.

Quand Mae lui demanda d'avoir congé et d'aller cueillir des fleurs avec Killian et Abigail, Melisse grimaça un peu puis, comme toujours, cédait à leurs petits yeux implorants.

Soit, je vous autorise à aller cueillir des fleurs, nous travaillerons ce soir un peu à la maison pour l'école, mais je vous interdis de vous approcher de la rivière tous les trois d'accord ? Et quand vous aurez terminé, je vous attends à mon bureau de mairie, nous rentrerons ensemble.

Les trois petites têtes acquièsserent, un grand sourire aux lèvres. Ils terminèrent de manger, de ranger la cuisine et tous les quatre se mirent en chemin pour le village.

Dites les enfants, je vous quitte ici, n'oubliez pas mes recommandations et revenez avant la fin d'après-midi au bureau d'accord ? Je ne veux pas qu'il vous arrive quoi que ce soit, soyez prudents.

Elle les embrassa tous les trois tendrement, Abigail la serra plus fort contre elle et chuchota *maman, on t'aime et on sait que tu es triste, mais tu seras heureuse à nouveau bientot dans ton coeur dis*. Melisse ne put empêcher quelques larmes de couler, les chassa et prit sa petite contre elle, chuchota à son oreille : *je vous aime par dessus tout mes amours, vous êtes ce qui fait mon bonheur de toute façon et puis l'avenir nous ne le connaissons pas, je vous promets d'etre plus près de vous bientot, je t'aime ma puce*.

Après avoir embrassé à nouveau les trois petits, elle s'en alla au bureau, avait hâte de les retrouver plus tard.

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Melisse


La journée s'était terminée dans l'énervement. Mel avait attendu en mairie que les enfants viennent la rejoindre comme ils l'avaient promis, personne.... Elle finit par envoyer un pigeon à Louise, lui demandant d'aller à la maison s'occuper des petits jusqu'à son retour.

En arrivant près de chez elle, Melisse inspira profondément avant d'ouvrir la porte. Abigail et Killian étaient là, tête basse tous les deux, soulagée déjà de les voir, elle masqua son bonheur et s'approcha d'eux, prenant un ton sévère.


Abi, Killian, vous n'aviez pas promis de venir à mon bureau pour que nous rentrions ensemble tout à l'heure ? Et ou est Maelysse ?

Les enfants levèrent les yeux vers elle, son coeur bondit dans sa poitrine en les regardant.

Que se passe-t-il Abi, Killian, dites moi !

Killian balbutia : maman, on a été cueillir des fleurs les trois ensemble et puis quand on a dit qu'on allait vers toi, Mae elle a voulu encore aller faire un tour, moi je voulais pas c'était tard, elle a dit qu'elle allait rentrer vite qu'elle voulait juste encore faire quelque chose, l'a pas voulu nous dire où elle allait. Maman, je m'excuse, on a désobéi

Son fils avait les larmes qui coulaient sur ses joues, Abi était en larmes aussi, elle s'agenouilla près d'eux et malgré qu'elle était fâchée de leur comportement, elle les serra dans ses bras, les embrassa tendrement.

Bon mes chéris, je vais devoir aller chercher Maelysse, il va faire nuit et je m'attends à tout avec elle, vous allez manger et faire votre toilette et Louise va venir près de vous. Moi je file à la recherche de Mae, je reviens au plus vite.

Elle les embrassa encore, les prit contre elle en leur murmurant tout son amour : mes chéris, je vous adore, ne me faites plus ce genre d'inquiétudes s'il vous plait, j'en mourrai s'il vous arrivait quelque chose. Maintenant je vous laisse tous les deux, je passe chez Louise et elle va venir bien vite. Soyez sages mes coeurs, je reviens au plus vite.[/i]

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