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[RP] Chez Mel et ses 2 Amours

Chocolatines


Chassée de la maison et sachant sa Melinou pris au dépourvu, Choco se rendit chez son amie. il faisait bien beau aujourd'hui et l'air pas trop frais.
elle avait fait quelques emplettes pour faire un pique nique.
Pendant que les enfants joueraient sur l'herbe, elle pourrait toutes les deux se confier et parler un peu travail.

Arrivée devant la porte elle toqua:

TOC TOC IL Y A QUELQU'UN? c'est Choco je suis interdite de séjour à la maison! dit elle en riant aux éclats.

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Melisse


Mel était occupée à habiller Tristan quand on toqua à la porte et une voix qu'elle connaissait bien l'accompagnait

TOC TOC IL Y A QUELQU'UN? c'est Choco je suis interdite de séjour à la maison!

Elle alla ouvrir en souriant, la bisouilla en l'invitant à entrer. De suite Abigail et Killian descendirent l'escalier et lui sautèrent dans les bras.

- Ben ma Choco, qu'est-ce qui arrive que tu n'aie pas accès à votre maison ???


Melisse souriait, car elle savait que ce jour était un anniversaire pour le bougon et sa petite blonde, elle était heureuse pour eux, lui sourit

- Tu vas ou avec ton panier ma petite peste ?

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Chocolatines


Les enfants courraient vers "la sans logis pour une journée" et c'était partit pour la chasse aux bisous et aux câlins.
Arrivait sa Melinou tout sourire. Elles s'embrassèrent et échangèrent quelques mots.

Pourquoi? bien il faurait demander à mon Haly, lui répondit elle souriante. Tu sais à quel point il aime déjouer tous mes plans. Pas grave il l'aura malgré tout sa vieille dinde aux marrons!


Choco éclatait de rire.

Ce que je fais avec mon panier?

elle regardait le enfants curieux qui essayait de retirer le linge sur le panier et y trouver un trésor.

Bien je vais vous chercher pour aller pique niquer. Ce serait dommage de ne pas profiter de cette belle journée!
Pas vrai les enfants?!


Abigaelle et Killian courraient dans tous les sens en poussant des cris de joie.

Aller Hop je vous emmène tous, et pas questions de me dire que tu as fort à faire toi hein, ne te débine pas ma Melinou, c'est trop tard pour reculer tout est prêt!

elle souriait et la bisa.

ensemble ils allèrent passer une belle après midi sous les rires et dans la joie.

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Halvarik
"Holà la Melisse" criais je en direction de la paisible demeure. Les deux enfants jouaient devant la maison. Ma choco les bisouillait tandis que j'allais frapper à la porte.

"Ouvre donc la porte la Mel" clamais-je dans l'air frais.

Melisse ouvrit la porte chiffon sur la tête, tablier à la taille, balai à la main.

"La Mel on te dérobe tes rejetons pour la châsse aux oeuf !"
Les gamins sautèrent de joie à l'écoute de ma phrase et couraient en tout sens, leur mère ne pouvait s'y opposer au risque d'être une maman peu gentille aux yeux des deux lardons.

Nous voilà parti, choco tenant la mimine de Kylian et moi sur mes épaules la petite Abigail.
Ensemble nous chantonnions un petit air sous le soleil printanier.
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Cadastre : http://coeur.comtois.free.fr/royaume/Bourg.htm
Chocolatines


Arrivés devant la maison de notre Melinou je lâchais la main de mon Haly pour tendre mes bras vers les petits bouchons.
Abigail et Kilian me sautèrent dessus et notre partie de bisouilles débutait.

Mon haly expliquait ce que nous allions faire. Je l'apprenais en même temps que Melisse et les enfants ce que nous allions faire.
Ils sautaient de partout, de même que dans les jambes de mon bougon.
J'étais aussi surprise qu'eux et j'en aurais eu les larmes aux yeux.

Mon Haly prit la petite Abigail sur ses épaules et killain me donnait la main.
J'embrassais mon amoureux sous les ricanements des enfants et ensembles nous allions partir à la chasse aux œufs.

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Sir_vincent


Vincent de retour de promenade, vint toquer a la porte de madame le maire afin de retrouver son fils qui lui manque tant. il compte l emmener avec lui vivre d autres moments fort comme la pêche . il toqua et attendit que la porte s ouvre.
Sir_vincent


Vincent frappe fort a la porte en criant ouvre moi je veux mon fils.
Melisse


La nuit était déjà fort avancée, Mel était rentrée de la mairie et s'appretait à aller dormir, quand elle entendit frapper à la porte.

Surprise, elle sursauta en se demandant qui pouvait bien venir tard. Elle ouvrit la porte et trouva Vincent, fronça les sourcils en l invitant à entrer

"Vincent, il est tard, tu veux que je réveilles Tristan à cette heure ci ?"

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Sir_vincent


Vincent regarde mélisse dans les yeux, et lui dis d une voie ferme avec le regard vide de toute expression.

je te remercie de tout ce que tu as fais pour lui, mais a partir de ce soir mon fils va dormir avec moi.

il reste planter la devant la porte.
Melisse


Mel pinçait les lèvres, s adressa à Vincent

Tu peux entrer deux minutes, le temps que j aille chercher Tristan


Elle tourna les talons, monta l escalier et alla chercher le petit ange, le réveilla doucement en lui chuchotant de petits mots, prit son sac empli de vetements et de ses jouets.

Avant de descendre, elle le serra dans ses bras, lui fit plein de bisous en lui promettant que tout ira bien, inspira, refoulant ses larmes et descendit rejoindre Vincent.

Voilà, ton fils est réveillé, ses affaires dans ce sac.

Tristan, tu vas aller avec ton papa et avoir une belle vie avec lui, et nous on sera toujours là pour toi, on t oubliera pas , jamais.

Elle déposa un baiser sur ses joues, un câlin sur sa jolie tête blonde, les larmes coulaient de ses joues et elle ne savait plus les contenir.

Maintenant, tu peux le prendre Vincent, je sais qu'il sera très bien avec toi, tu es son père, j'espère avoir de ses nouvelles de temps à autre....


Donnant le petit à son père, Mel se retourna et attendit au moins un mot de Vincent.

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Sir_vincent


Prend son amour dans les bras. l embrasse et regarde la mairesse qui c est occupé de lui depuis si longtemps.

Je vous remercie de tout se que vous avez fais pour lui, je sais au combien vous lui étiez dévoué. Je sais aussi qu'il a grandit dans l amour et vous admire pour ceci. pour le reste je vous souhaites le meilleur comme on dit.

Se retourne et avança doucement dans la nuit.
Melisse


Mel , en l'écoutant, ne savait pas quelle attitude adopter, s'il avait été seul, elle lui aurait mis une claque de lui parler ainsi, à lui donner du "vous" et de "madame la mairesse", mais à quoi bon......, elle soupira et referma la porte...

Demain, le soleil se lèverait et avec lui, l'espérance du bonheur pour tous.

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Sir_vincent


Vincent apporta Tristan, chez sa douce deuxième maman afin qu elle puisse le voir un peu. Fit une bise a Melisse et partit dans la nuit
Melisse


Melisse était à peine levée, préparant le petit-déjeuner qu'on frappa à la porte. Elle s'empressa d'ouvrir et sourit en voyant Tristan dans les bras de son papa, lui tendit les bras, couvrit le petit ange des bisous.

Elle remercia Vincent de laisser quelques jours son fils chez eux et lui fit une bise pour le saluer, referma la porte après son départ.


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Tomvic
Pather se leva tôt ce matin-là. Il avait peu dormi, gracieuseté de ses voisins de chambre ronflant au 2e étage de la Burgienne, mais il était curieusement en forme malgré tout. Il avait une mission à accomplir ce matin là… une mission de reconnaissance de la plus haute importance. La fébrilité des matins des grands jours l’habitait : un soupçon d’anxiété, une bonne lampée d’inquiétude mais aussi une bonne rasade d’emballement pour les découvertes à faire. Il s’habilla de ses vêtements de voyage, enfila un manteau sombre, laissa son bouclier dans sa chambre mais emporta avec lui son épée, une miche de pain et une pomme.

Discrètement, il sortit de la Burgienne encore endormie. Il passa en souriant devant la porte de la chambre d’un ronfleur particulièrement bruyant, qui ronronnait de son mieux afin de réveiller ceux au sommeil léger. L’air frais et humide du printemps lui picota les narines lorsqu’il mit les pieds dehors. Le soleil n’avait pas encore franchi les montagnes, mais déjà, on pouvait apercevoir à l’est que la nuit perdait sa domination sur le ciel. Il arpenta silencieusement les rues de Bourg qui sommeillait encore. Il croisa 2 ou 3 maisons faiblement éclairés dans lesquelles un artisan s’activait : des boulangers sans doute, si on se fiait à l’odeur qui trainait dans les rues.

Il sortit ainsi de la ville, en prenant la route de Belley, sans trop se faire remarquer. La campagne environnante était calme et douce, seul les oiseaux avec leurs chants et leurs piaillements répétitifs osaient troubler le silence de l’aube à venir. Par chance, aujourd’hui serait une journée calme et ensoleillée, Pather félicita sa bonne étoile. Il prit une bifurcation sur le chemin, traversa un petit pont et coupa à travers champs. Les herbes étaient hautes et pleines de la rosée du matin, mais il avait mis ses bottes en pensant qu’elles lui seraient utiles pour cette équipée et il aimait bien le chuintement de l’herbe mouillé à chacun de ses pas. Ses bottes seraient dans un piteux état, humides et pleines de boue, mais peu lui importait pour le moment.

Il aperçut au loin le but de son court voyage : la maison de Melisse. Il s’approcha doucement, inspectant les alentours, surveillant si des gens pouvaient surprendre sa présence d’une manière ou d’une autre. La honte qu’il aurait de se faire surprendre!

De savoir qu’il était si près de son amour le rendait si heureux qu’il se souriait à lui-même : si quelqu’un l’avait épié, sans doute qu’il l'aurait pris pour un parfait idiot! Il se concentra sur sa tâche du mieux qu’il put et se glissa vers la maison en silence. Il fit le tour de la maison, inspecta les alentours afin de trouver un endroit d'où il pourrait observer sans être vu. Il trouva un vieil arbre noueux qui bourgeonnait de jeunes pousses de feuilles, dont l’enchevêtrement des branches et son emplacement pouvait convenir à ce qu’il cherchait : un observatoire discret.

La maison était calme, et il n’y avait pas de lumière à l’intérieur, mais il fallait se presser s’il ne voulait pas être surpris : la nuit perdait sa bataille contre le soleil qui pointait déjà le bout de son rayonnement sur le nez des montagnes et la maisonnée allait sans doute se mettre en branle bientôt.

Il grimpa non sans difficulté, arrachant quelques craquements à l’arbre qui semblait protester contre l’envahisseur. Après quelques efforts, il atteignit le centre de l’arbre, trouva un endroit commode et discret dans le méandre des branches et s’installa pour sa garde le plus confortablement possible.

Il fut satisfait de sa cache : malgré la distance, l’endroit offrait une vue parfaite du devant de la maison et de la porte d’entrée tout en étant assez dissimulé parmi les arbres pour ne pas être aperçu facilement.

Mi-assis, adossé a une grosse branche, il profita de l’air humide du matin en savourant la vue du levée du jour et des premiers rayons de soleil. Il sortit son pain et sa pomme de son manteau, et mangea doucement, observant la nature qui s’éveillait tranquillement.

Il y avait maintenant une heure que le soleil s’était levé lorsqu’il vit Melisse sortir de la maison avec un seau et sans doute son fils, à en juger par son allure. Le petit sautillait partout autour de sa mère en agrippant parfois ses braies, sa maman répliquait en essayant de le chatouiller ou de carrément l’attraper. Les petits cris et les rires du jeu de la mère et de son fils réussirent à émouvoir Pather, qui, du haut de son perchoir ne manquait pas une miette du spectacle. Cet instant de pur bonheur, très simple, lui fit regretter d’être là, espion d’un plaisir qui ne lui appartenait pas. Melisse revenait maintenant avec son seau rempli d’eau, en renversait un peu sous les douces attaques de son fils, et finalement, ils entrèrent dans leur maison.

Depuis qu’il connaissait Melisse, Pather savait qu’il devrait un jour ou l’autre rencontrer ses enfants. Il se savait sauvage et de caractère difficile face à une situation nouvelle et il avait pensé que, s’il pouvait apprivoiser et s’habituer à la présence des enfants, la rencontre en serait facilitée autant pour lui que pour eux. Il songeait au ridicule de sa situation : lui, Baron de Savoie, espionnant des marmots qui finalement, lui faisaient peur! Il songea aussi à sa propre fille, séparée depuis bien trop longtemps de son père… Il revit le doux visage de Melisse, mère aimante rayonnante de bonheur… Un bonheur semblable était-il possible pour lui et sa fille?

Perdu dans ses pensées, il resta un moment au sommet de son arbre. Il se prépara finalement à descendre, afin de reprendre la route et de retourner d’où il venait. Mais la porte de nouveau s’ouvrit et la famille au complet sortait maintenant. Il demeura donc à son poste, figé sur place. Le petit garçon jouait maintenant avec une épée de bois, donnait des coups à droite et à gauche, imaginant on ne sait quel combat épique… Pather arrêta un moment de respirer lorsque la petite famille passa devant son arbre, le petit garçon ayant même l’audace de frapper le tronc de l’arbre sur lequel il se tenait…

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Baron de Bellecombe
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