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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine était étonnée mais la journée de ce samedi se passait presque calmement, elle fila au moulin, Aël sur sa hanche elle décida de nettoyer les abords du moulin. Elle était sereine malgré les évènements qui laisser sur les villes et la capitale un vent de folie comme à chaque élections.

Son KIO lui avait dit qu'il allait être absent toute la journée jusqu'au soir tard sans lui dire ou il allait, elle détestait ça, ne pas savoir ou il est. Il s'évertue à penser que c'est par jalousie mais Tine est plus inquiète pour son homme que jalouse. Bien sur comme toute femme, elle est possessive avec ses enfants et l'homme qu'elle aime, mais on sentait un Amour tellement fort chez ces deux là, que la confiance l'un dans l'autre était totale.

Arrivée dehors elle installa son enfant sur une couverture au mille couleur de son gribouille avec quelques bout de bois lissés et bien choisit afin qu'il ne se blesse pas. Le petit maintenant avait 6 mois et se déplaçait sans jamais sortir des bords de la couverture, comme si il comprenait que sa maman ne voulait pas, il la regardait, penchée sur ses fleurs et des gazouillis accompagnaient le chant de Tine.

Elle se tournait vers lui et lui parlait en souriant.



Tu sais mon Aël, maman va bien nettoyer tout l'abord du moulin, tu vois ça c'est une ellébore, et ça une jonquille, le printemps est là, on va bientôt pouvoir retourner à la rivière faire les fous avec nos amis.




Tine regardait le soleil descendre peu à peu et elle voulait quand même faire un repas bien chaud pour le retour de son homme, il serait surement fourbu de sa journée, quel qu'elle est été.

Elle rangea ses outils, laissa le tas de mauvaise herbes pour le bruler, attrappa son Aël, le levant au dessus de sa tête et lui poutounant le visage.


Allez mon titou, on va faire à manger à papa.

Elle n'employait ce mot que lorsque KIO n'était pas là, Aël ne connaissait que lui et il s'en occupait si bien, le petit l'aimait tant qu'elle n'arrivait pas à penser autrement que de croire comme l'enfant que son homme était son père.
Kekione
Lorsque KEKIONE arriva au moulin, la nuit était tombée depuis longtemps.
Sa Tine était sur le point de se coucher.
Il l'embrassa tendrement, lui dit quelques mots gentils et la regarda s'endormir.
Alors, il se leva pour aller voir le petit Aël qui dormait comme un ange le bras et les jambes en croix.
Il le couvrit pour qu'il ne prenne pas froid.
Puis, il se servit une assiette de ce que Valentine avait préparé et prit un grand gobelet d'eau qu'il alla manger et boire devant le feu.
Il réfléchit à sa situation et en arriva à la conclusion qu'il savait enfin ce que : être heureux, signifiait.
Il remit une bûche dans l'âtre et alla s'allonger à côté de sa magnifique femme qui dormait sereinement.
Il s'endormit rapidement et partit au pays des songes.
Melisse


Sa journée de travail terminée, Melisse était passée à la maison préparer de quoi retaper son ami Kio. L'ayant croisé durant la journée, il lui avait dit ne pas être en forme. Il avait petite mine, les yeux cassés de fièvre. Mel lui avait conseillé d'aller se mettre au chaud au moulin et qu'elle passerait apporter de quoi faire une bonne infusion pour soigner son mal.

Son mélange thym-tilleul-camomille dans un petit sachet,elle approchait de du moulin.

Mel frappa quelques petits coups à la porte, espérant que Kio et sa Tine soient chez eux.

_________________
Kekione
KEKIONE ouvrit la porte et tomba nez à nez avec Melisse.

Citronelle, entre !
Tu m'apportes de la tisane, j'en suis sure.


Le vieille homme souriait.

J'ai justement de l'eau qui bout sur le feu.

Il prit une tasse qu'il remplit d'eau et la posa sur la table.

J'en mets combien de tes plantes séchées ?
Melisse


Melisse sourit en voyant la porte s'ouvrir sur Kio, il paraissait avoir dormi et semblait un peu mieux qu'au matin en taverne.

Elle entra en le remerciant et lui tendit le sachet de plantes. Mel fût ravie de le voir sourire.

Ohhh bien, tu as de l'eau déjà chaude, alors, tu peux sans autre en mettre quatre bonnes pincées et laisser infuser dix bonnes minutes.. Tu verras,après cinq tisanes de ce genre , tu te sentiras bien mieux et tu vas te reposer encore.

Ca va aller pour la suite hein Kio, tu sauras passer le liquide et ne pas avaler les fleurs ? Tine s'occupera de toi après cette tisane là, je l'ai croisée tout à l heure, m'a dit de se hâter à te retrouver pour te guérir de bien autre façon....

Melisse sourit malicieusement et alla faire une bise bien baveuse à Kio.

Il faut que je reparte déjà Kio, je suis désolée, mes petits me voient trop peu et j'ai hâte de les retrouver aussi. Dépêche toi de boire ta tisane ensuite et hop tu retournes te mettre au chaud sous ta couette, jusqu'au retour de ta douce Tine.

Elle le quitta après avoir reçu une bise et hâta le pas jusqu'à chez elle.

_________________
Valentine.


Tine avait promis de rentrer tôt, son Kio se sentait tout drôle, sans avoir de fièvre, cela l'inquiétait un peu, elle se demandait si il ne lui faisait une maladie dans sa tête pour la rapprocher de lui. Il était vrai qu'elle était fort occupée depuis des semaines et ne lui consacrait peut-être pas tout le temps qu'ils auraient aimé.

Elle courrut jusqu'au moulin mais arrivée à quelques pas elle croisa le chemin de Mel


Bonjour ma Mel, tu sors de chez nous, tu lui a emmené des remèdes, t'es un amour.

Elle l'embrassa très fort et s'excusa de la laisser pour filer vers son homme.

Mel n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu'elle vit Tine ouvrir la porte de la masure et l'entendit crier


"Amourrrr"


Tine vit son homme, couvert de couvertures planté devant l'âtre à attendre que l'eau bouille.

Va t'allonger mon cœur, je m'occupe de t'emmener ton remède, il est ou Aël ?
Kekione
KEKIONE était un peu groggy par la maladie et avait du mal à suivre les aller et venues dans le moulin.
Pas le temps de dire merci à Melisse que Tine était déjà là.
Le vieil homme sourit.
Cela lui faisait du bien de savoir que des gens pensait à lui.
Et sa Tine allait s'occuper de lui... il était aux anges malgré son petit coup de moins bien.

Merci ma Tine.
Aël est à la sieste dans son couffin.
Il va très bien.


Le gribouilleur se leva pour rejoindre sa couche.

Ce ne doit pas être bien grave ma belle.
Juste un coup de fatigue.
Une bonne nuit de sommeil et je serrai sur pied, tu verras.


Il se traina jusqu'au lit et s'allongea sous les couvertures en grelotant.
Il n'était pas si bien que ça, en fait.
Valentine.


Tine se mit à l'aise, enleva sa houppelande et enfila un haillon léger, la pièce avait été surchauffée par son homme qui semblait greloter. Que pouvait-il bien couver ?

Elle vérifia qu'Aël dormait toujours, jeta quelques poignées des herbes de Mel dans l'eau bouillante. Approchant son nez au dessus de la gamelle, elle essaya de reconnaitre les odeurs, romarin, thym, mais ces plantes n'étaient pas vraiment de nos montagnes, elle secoua la tête se demandant ou son amie trouvait toutes ses herbes.

Quelques minutes d'ébullition, elle poussa le récipient hors du feu le couvrit et laissa infuser.

Tendant l'oreille vers la pièce qui leur servait de chambre, elle n'entendait pas un bruit, à peine le grignotage d'une souris qui avait du investir la boite de petits gâteaux, elle s'approcha doucement, entrouvrit la porte et vit détaler la petite bête dans un trou au con de la pièce. Elle sourit à la souris, elle les trouvait jolies ces petites choses, si seulement elle mangeaient pas les réserves.


Passant la tête par la porte de la pièce, elle chercha du regard la tête de son homme dans le lit mais ne vit qu'une masse de peaux empilées, il allait mourir étouffé la dessous, elle s'approcha leva délicatement les peaux une a une ou il lui semblait que devait se trouver la tête et surprise trouva un pied peu content d'être découvert remonta rapidement sous les couches. Elle retint un petit rire pour ne pas réveiller son homme avant d'avoir le breuvage dans les mains, elle fila dans la cuisine pour passer la boisson finement dans un linge, y plongea deux pierre de sucre qui fondirent presque immédiatement tellement c'était chaud.
Kekione
KEKIONE tremblait sous ses couvertures et autres peaux.
Soudain il eu froid à un pied... comme si il était à l'air libre.
Le vieil homme se recroquevilla en attendant la tisane.
Kekione
Après une bonne nuit de sommeil, une multitudes de tisanes et de nombreuses attentions de toutes sortes de sa Valentine, KEKIONE se leva dans de bien meilleures dispositions que la veille.
Le vieil homme n'avait plus de fièvre et ne ressentait plus de douleurs.

La maison était silencieuse.
Il se couvrit plus que de coutumes et sortit pour aller couper du bois.
Il remarqua que le petit Aël n'était plus là.
Tine avait du l'emmener avec elle.

Lorsqu'il sortit un vent glacial lui piqua le visage.
Il remonta le col de sa pelisse et partit d'un pas rapide à la cabane des bûcherons.
Valentine.


Tine avait passé son temps entre le château de Chambéry, et toutes les institutions durant trois jours, confiant son Aël à une dame du village elle rentra voir au moulin si son amour était revenu. La maison était toujours fermée, elle se dit qu'il ne rentrerai que demain et repartie en courant vers son travail.
Kekione
4 jours chez les moines avaient mis les nerfs de KEKIONE a rude épreuve.
La chaleur du moulin et surtout l'absence de sa Tine lui avait été très difficile à supporter.
Lorsqu'il entra dans la bâtisse, elle était froide.
Visiblement, sa belle avait été élue Duchesse et elle n'avait pas eu le temps de passer au moulin.
Le vieil homme fit repartir le feu.
Il prit un quignon de pain et un morceau de Beaufort et commença à manger tranquillement devant le feu naissant.
Enroulé dans une couverture il rêvait à sa compagne, se réjouissant de la serrer dans ses bras.
Valentine.


Tine avait laissé son homme rentrer se coucher seul, elle lui réservait un peu de temps entre deux dossiers au conseil mais son cœur son corps se plaignaient du manque de lui, ce soir là elle classa plus vite ses affaires pour le retrouver endormi au moulin.

Elle entra sans un bruit, se détendant en inspirant longuement, savourant l'odeur de l'âtre se consumant encore, se prépara une boisson à base de feuille de menthe séchée, la savoura longuement installée sur la chaise favorite de son homme, hésitante à le réveiller connaissant les dures journées qu'ils avaient à s'occuper de son petit Aël, sourit mais ne résista pas à le rejoindre, se glissant délicatement tout contre lui après avoir fait un brin de toilette, ses pieds souffraient moins sur le marbre du château mais conservaient la noirceur des dalles pas souvent nettoyées.

Elle l'admira de longues minutes se disant qu'elle était surement la plus heureuse des femmes, des maitresses, des mères que le royaume puisse porter, se blottit contre lui l enlaçant de son bras avec l'espoir peut être que le contact de leur peaux le réveille doucement.
Kekione
Lorsque KEKIONE se réveilla de bonne heure, il sentit le corps chaud de sa belle tout contre lui.
La respiration calme et régulière de Valentine dans son cou le fit frémir.
Il resta longuement à apprécier le moment.
Leurs horaires respectifs les faisaient se croiser constamment en leur laissant peu de temps pour se retrouver. Il le regrettait, mais savait combien ce que faisait son amour était important pour la Savoie.
Il se leva en faisant bien attention de ne pas la réveiller.
Il s'habilla en la regardant dormir.
Il admirait son visage si beau et si serein.
Son cœur faisait des bons dans sa poitrine.
Il était fou amoureux.
Il lui fit un petit baiser sur le front et partit travailler à la mine.
Kekione
KEKIONE errait comme une âme en peine dans le moulin désert.
Il ne voyait plus beaucoup sa Tine, tant elle était prise par les devoirs dû à sa charge de Duchesse de Savoie.
Le vieil homme était très fier de ce qu'accomplissait sa douce compagne.
Il l'encourageait et l'aidait du mieux qu'il pouvait lorsqu'ils se croisaient enfin, tard le soir, fatigués et hagards de journées fastidieuses.
Sa Valentine lui semblait accuser le coup depuis quelques jours.
Il se mit en tête de lui cuisiner quelque chose pour la surprendre et lui changer les idées.
Cuisiner, lui, un vieux grognon qui savait à peine couper du saucisson... voilà qui s'annonçait comme un vrai chalenge pour le gribouilleur.
Il commença par mettre la table pour eux deux, prenant soin d'ajouter un bouquet de fleurs fraichement cueillies entre les 2 assiettes.
Il se mit alors en tête de lui préparer une omelette aux champignons.
Il en avait ramassé suffisamment en coupant du bois.
Il les coupa avec soin après les avoir lavé à l'eau fraiche.
Il prit les 8 œufs pondus du jour et les cassa dans un saladier.
Le vieux prit une spatule et les battit jusqu'à ce que la consistance lui sembla bien.
Il y ajouta les champignons, quelques herbettes dont il ignorait le nom mais dont il avait déjà vu sa Tine les mettre dans des plats.
Avec soin, le gribouilleur, maintenant apprenti cuisinier, mit une grande assiette en fonte sur le feu.
Il attendit qu'elle soit brûlante pour y déverser le contenu du saladier.
Les œufs prirent presque instantanément.
Il était assez fier de lui.
Il coupa l'omelette en deux et la mis à reposer sur une pierre au coin de l'âtre en attendant sa belle qui ne devait plus tarder
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