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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine, fatiguée, épuisée, desséchée, rentra enfin au moulin, elle poussa la porte et vit son amour assis comme une âme en peine près de l'âtre. Elle s'approcha et l'enlaça comme jamais, posa ses lèvres près de son oreille amoureusement et ses yeux se mouillèrent en silence quand sa bouche lui chuchota "tu me manques mon amour, tu me manque tellement".

Les larmes coulaient sur ses joues, des larmes d'épuisement, de questionnement, d'émotion de le serrer dans ses bras, elle se glissa tendrement sur ses genoux et l'embrassa passionnément sans le laisser répondre.

Elle posa son doigt perpendiculairement sur ses lèvres.


Chuuuuuuuuutttttt

Tu as fait à manger mon amour ? ça sent bon quand on entre.

Son petit Aël était encore éveillé, Kio l'avait installé sur une de ses couvertures qu'il ne mettait plus avec les beaux jours. Elle s'avança vers lui et le couvrit de bisous maternelle, le serra fort dans ses bras. Son visage marqué l'émotion qu'elle avait à les retrouver tous les deux.
Kekione
KEKIONE se laissa faire par sa belle sans résister.
Il la regarda tourné comme une abeille dans le moulin.

Tu es encore toute excitée de ta journée ma douce.

Il se leva, prit l'omelette et la servit dans les assiettes.

J'ai fait un petit quelque chose pour t'éviter d'avoir à cuisiner ce soir.
Viens donc goûter, s'il te plait !


Il profita que sa magnifique compagne passe à côté de lui pour l'attraper par la taille, l'assoir sur ses genoux et l'embrasser follement et longuement.

Mhhhhhhhh ! Mon cœur, je t'aime tant.
Valentine.


Ils se voyaient peu mais plus intensément que jamais sauf que depuis deux jours, voir trois, Kio ressemblait vraiment à un petit vieux qu'il était d'ailleurs, courbé mais à peine, raide complètement, il n'arrivait plus à faire honneur à sa belle et son caractère s'en ressentait.

Mon cœur, calme toi, ça va passer, allonge toi je te fais une tisane et un massage mais attention pas de folies hein, c'est pas bon pour ton lumbago.

Elle commença à le masser, se moquant gentiment des petits cris qu'il poussait quand elle forçait un peu le massage.
Kekione
KEKIONE essayait de se détendre, mais les douleurs étaient encore vives.

Un peu plus doucement ma belle... ça me fait encore souffrir quand tu appuies sur le bas de mon dos.
Mais continue... ça me détend bien.


Le vieil homme lui sourit.
Valentine.


Tine adorait s'occuper de son homme mais le temps lui manquait pour lui et son petit, sa fille était à la pêche et elle la savait heureuse, il lui tardait malgrè tout de retrouver un peu de liberté, le manque de sa famille et de ses amis était si fort mais les affaires du duché passaient avant tout.

Ce matin là KIO partait pour quatre jours, une éternité pour elle, elle le réveilla tendrement, amoureusement, pré&par son baluchon avec quelques vivres et les adieux se firent langoureux.

Une fois la porte passée, Tine resta là, prépara son Aël, elle avait décidé de l'emmener voir Melisse et les enfants. Si son amie pouvait s'en occuper le temps d'absence de KIO, elle pourrait finir quelques dossier brulants et dormir au château.
Kekione
KEKIONE entra dans le moulin qui était froid et vide.
Visiblement, sa Tine n'était pas repassée ici depuis plusieurs jours.
Le vieil homme alluma le feu et ouvrit les fenêtre pour aérer un peu.
Il alla dans leur chambre pour changer de vêtements et s'arrêta en voyant les robes de sa belle. Il l'imaginait à l'intérieur, son corps splendide dessinant des courbes merveilleuses sous le tissu.
Il s'allongea sur le lit et plongea son visage dans la literie pour sentir son odeur.
Il resta ainsi à rêver un long moment.
Il pensait à la chance énorme que le destin lui avait donné de rencontrer une jeune femme comme Valentine.
Il était reconnaissant chaque jour à la vie de partager son existence avec une personne aussi formidable que sa Tine.
Il se leva, se changea et sortit pour retrouver sa belle.... il avait besoin d'elle... maintenant... tout de suite...
Valentine.


Leur amour était intact mais l'épuisement de critiques incessantes dans son rôle de duchesse la rendait fébrile et tout ce qu'elle n'avait pas le droit d'exprimer dans sa fonction se reportait sur son caractère lorsque le soir venu ils se retrouvaient.

Ce soir là, elle l'avait attendu, le sommeil la terrassait mais ne l'ayant vu de la journée, elle tenait à être éveillée à son retour. Erreur, ce fut une soirée des moins amoureuses qu'ils aient pu vivre, discussions de travail, divergence d'opinion, incompréhensions, tout y était, ils s'endormirent sans avoir su se retrouver comme ils aimaient à le faire et la nuit dans la tête de Tine n'allait surement pas être des plus reposante.
Kekione
KEKIONE sourit en arrivant au moulin, sa Tine était revenue avec le petit Aël.
Il y avait de nouveau de la vie dans la maison.
Le vieil homme était heureux de retrouver son amour.

Je t'aime ma belle.

Il attrapa le visage de sa belle entre ses mains et l'embrassa longuement.

Je t'aime pour la vie et pour les mille et cent années à venir.
Je veux rester à tes côtés pour toujours.


Il embrassa encore et encore sa douce compagne.
Valentine.


Après de longs, tendre, fougueux baisers, Tine repris ses habitudes au moulin. Elle installa son enfant dans son coin de jeu et se mit à la cuisine, sa fille devait rentrer, la famille réunie, cela faisait si longtemps.

Le soleil entrait dans la maison, Tine oubliait dans l'instant qu'elle devait partir le soir même et profitait pleinement de ce moment.

Elle s'approcha de son homme et lui caressa les fesses avant d'aller chercher les légumes dans l'appentis.
Kekione
Valentine n'était partie que depuis l'aube mais déjà le moulin semblait bien vide sans la présence de sa maitresse.
KEKIONE s'occupa d'Aël de son mieux. Il commençait à maitriser le sujet, d'autant mieux que le petit était toujours très facile avec le vieil homme.
Le gribouilleur ne pensait pas qu'il aurait pu un jour s'attacher à un bébé... mais il se devait de reconnaitre qu'il aimait beaucoup le bambin.
Lui qui n'avait jamais voulu d'enfant, se retrouvait plus souvent qu'à son tour à s'occuper du gamin et il trouvait la chose plaisante.
Peut-être aurait-il du en avoir quand il était plus jeune.
Il aurait essayé d'être un bon père.
Mais peut-on être un honnête homme quand on gagne sa vie en faisant de la peinture.. et plus spécialement de femmes nues ?
KEKIONE écrivit un poème qu'il envoya par pigeon à sa belle.
Elle lui répondit rapidement qu'elle revenait déjà.. et que la nuit serrait des plus torride.
Le vieil homme sentit ses braies le serrer soudain.
Il soufflait.

Du calme.... du calme... elle arrive, garde ton énergie pour la...

Il vit alors le bambin et lui sourit.

Viens, on va prendre l'air derrière la maison.
Je m'assiérai sur le banc contre le mur et tu joueras dans l'herbe.


Il pris Aël sous le bras et sortit faire ce qu'il venait de lui dire.
Valentine.


- quelques jours plus tard -

Tine avait récupéré son amour à la porte du monastère, ils rentrèrent au moulin, heureux de se retrouver enfin, une nuit blanche pour eux, impossible de s'endormir, seul Aël avait un sommeil de plomb malgré les ébats amoureux un peu bruyants des retrouvailles.

Le petit matin était arrivé si vite, Kio s'endormit lorsque le soleil apparut, Tine savait que les tâches l'attendait et après avoir donné les soins à son bébé qui gazouillait déjà, elle l'enveloppa dans l'écharpe autour de sa taille et l'emporta avec elle jusqu'au bureau laissant dormir son homme profondément.
Kekione
La vie du moulin avait repris son cours.
Valentine avait un peu plus de temps. Elle passait maintenant quelques soirées complètes avec KEKIONE.
Le vieil homme était ravi.
Il profitait intensément de ces moments doux avec sa magnifique jeune compagne.
Tout les matins, il passait de longues minutes à la regarder dormir paisiblement.
Détaillant son visage d'ange... soulignant du regard sa silhouette parfaite.
il se demandait à chaque fois par quel miracle le destin lui avait glissé une femme pareille entre les bras.
Lui qui ne croyait pas en grand chose, se surpris même à remercier le ciel d'une telle chance.
Souvent, il se penchait vers elle pour un doux baiser sur le front et lui murmurait : mon amour, je t'aime
Kekione
Voilà quelques jours que sa merveilleuse Valentine n'était plus Duchesse.
Comme ils en avaient discuté, ils allaient faire le tour de la Savoie.
Le gribouilleur n'était jamais allé plus loin que Belley et Bourg.
Il était encore temps pour lui de visiter les autres villes du Duché... avant que son vieux corps ne lui laisse plus le loisir de voyager

Il se vêtit de sa cape et de sa toque.
Il fixa une hache à son flan et pris son bouclier.
Il fit un baluchon avec quelques affaires de rechange et quelques miches de pain.
Il sella sa mule et accrocha ses affaires avec une corde.

Le vieil homme était à la fois inquiet et excité.
Il se tourna vers le moulin.

Mon amour, je suis prêt.
On peut partir quand tu veux.


Il attacha sa mule à un volet et entra dans le moulin pour voir où en était sa belle dans ses préparatifs.

Tu as besoin d'aide ?
As-tu pris assez de rechanges pour Aël ?
Valentine.


Tine était heureuse de voyager enfin avec son amour et son fils. Excitée du départ, elle tournait en rond, peur d'oublié quelque chose.

Mon cœur, tu as prit les petits gâteaux d'Aël dans la besace, ça aidera si il chougne un peu.

Elle embrassa longuement son homme, le regarda et sourit.

Tu as l'air fin prêt oui, allez hop, on y va amour.
Valentine.


- A L'aube -

Tine et Kio arrivèrent au moulin, le jour pointait à peine, fatigués, vidés, mais le sourire aux lèvres de retrouver leur "chez eux".

Tine hurla un

BONJOURRRRRRRRRRR NOTRE MOULIN
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