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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Kekione
KEKIONE sourit en entendant sa belle crier sa joie d'être de retour.
Il embrassa sa compagne toute chiffonnée du voyage mais toujours aussi belle.

Je t'aime ma Tine.


Ils entrèrent dans la bicoque.

Ca sent un peu le renfermé ici.

Le vieil homme ouvrit toute les fenêtres.
Il jeta son baluchon sur leur couche et s'y laissa tomber.

Viens ma Tine !

Il lui tendis la main pour qu'elle le rejoigne sur leur lit...
Valentine.


Tine attrape son homme et le jette sur le lit pour le chatouiller en riant.

On est bien chez nous amour, n'est ce pas ?
Mon amour, il va falloir s'occuper de notre moulin, on la trop délaissé, surtout moi d'ailleurs entre la politique et les voyages. Fini tout ça, au boulot.


Elle lui pinça une fesse et sauta du lit pour aller faire sa toilette.
Kekione
KEKIONE rit.

Pas de câlins... bon, d'accord.
Au boulot alors !


Le vieil homme se leva en riant.
Il regarda sa magnifique compagne se diriger vers le broc pour faire sa toilette.
Il prit un vieux chapeau et cria à sa belle en sortant pour aller bêcher un champ.

A tout à l'heure mon cœur...
Je t'aime


Le gribouilleur fit demi-tour.
Il s'approcha de sa belle, l'attrapa par la taille, la tourna face à lui pour l'embrasser comme un fou très longuement.
Il rit et partit travailler le cœur léger.
Valentine.


Tine se doutait que son homme aurait aimé rester au moulin une heure ou deux, partager avec sa belle des moments de complicité comme ils aimaient à le faire pour finir dans des ébats amoureux brulants, mais la journée s'annonçait chargée.

Elle le croyait à la porte qu'elle sursauta quand il lui prit la taille,l'embrasa follement sentant elle aussi une envie folle de lui mais ne le retint pas.


JE T AIMEEEEE MON CŒUR, fait ça bien, mon champs est précieux.

Elle rit de bon cœur et se mit à ranger un peu le moulin qui avait su se couvrir de poussière. Elle se mit à chantonner en pensant à tut ce que ce voyage lui avait appris. De drôle de rumeurs sur eux et leurs amis circulaient.


Nous on s'en fout, on a pas la variole
Nous on s'en fout pourvu qu'on s'aime comme des fous..........♫♪♥♫♪♥♫♪♥

làlàl la lalère...♫♪♥


Elle était particulièrement de bonne humeur, continua son travail avant d'aller récupérer son petit qui lui manquait tant et peut-être avoir la chance de revoir sa Rasmo.
Valentine.


La journée avait été longue, mais Tine savait que bientôt elle pourrait profiter pleinement de son petit qui grandissait si vite.

Elle rentra au moulin et bien sur son KIO n'était pas rentré, il passait son temps à la roulotte et elle ne lui en voulait, sauf quand certains soir il ne rentrait point du tout, là elle devenait désagréable.

Elle rentra son gamin sur la hanche.


Mon tibout, maman a récupérer des légumes bien frais pour toi, je vais te faire une tit soupe comme tu aimes.


En réponse quelques gazouillis encore incompréhensif, elle le posa dans le coin de la cuisine aménagé pour lui et l'enfant, habitué à jouer seul, entreprit de taper sur une boite avec un bâton. Tine rit et se mit à cuisiner après s'être changer pour retrouve sa tenue légère, son haillon fétiche et adoré.
Kekione
KEKIONE qui était resté collé sur un travail fort tard, revint au moulin complètement vanné.
Lorsqu'il entra dans la pièce et qu'il vu sa belle légèrement vêtue, toute son énergie lui revint.

Bonsoir mon amour.
J'étais en train de peindre et je n'ai pas vu l'heure passer.


Le vieil homme humait l'air avec envie.

Ca sent bon, qu'est-ce que tu prépares ?

Il s'approcha de sa belle, la prit par la taille et l'embrassa dans le cou.

Mhhhhhhh ! Je t'aime, toi !
Valentine.


Une soupe amour, une soupe froide, une soupe d'été, il fait chaud maintenant.

Tine sourit à son amour et lui tendit une cuillère en bois pour qu il goutte.


Alors ??

Sans attendre sa réponse elle lui mangea la bouche comme jamais, un baiser mémorable, se collant à lui sans retenue, l'embrassa encore plus langoureusement.
Un regard vers Aël qui jouait sagement a essayer de rentrer dans sa petite charrette un immense bout de bois, Tine sourit et chuchota à l'oreille de l'homme qui la comble.

On va attendre son sommeil amour, mais ce soir tu ne vas pas dormir si tôt, j'ai une folle envie d'abuser de toi.

Kekione
Le vieil homme sourit.

Vivement qu'il dorme... alors !

Kekione embrassa sa compagne en riant.
Valentine.


Tine se dit que son homme devait être bien fatigué pour ne plus réagir à ces avances brulantes. Un froid lui parcourra le corps, elle l'embrassa et finit de s'occuper de la soupe et du petit qui commençait à donner des signes de sommeil.


Allez viens mon tendre Titou, la soupe est prête.


Elle l'installa sur son genou et le fit manger sans plus prêter attention à son gribouille, mais ses pensées se bousculaient dan sa tête, l'aimait-il moins, était ce l'age qui commençait à perturber la libido de son homme, ne faisait-elle plus assez pour qu'il meure d'envie d'elle, tout ça la perturbait quelque peu et elle ne prit pas garde qu'Aël avait attraper un couteau sur la table.
Kekione
KEKIONE, fou d'impatience de pouvoir sauter sur sa belle, trouvait qu'Aël mangeait bien lentement ce jour là.
La bosse dans ses braies lui faisait trouver les petites chansons de sa Valentine pour endormir son bambin remplies de couplets inutiles.
Il n'osait dire mot pour ne pas allonger le coucher du bébé.

Il se demandait à quoi pouvait penser sa belle.
Elle devait se réjouir de tout l'amour qu'il lui donnait.
Elle devait admirer tous les efforts qu'il faisait pour la satisfaire pleinement.
Elle soupirait certainement d'aise par tant de compréhension et de patience, lui, prêt à attendre des soirées entières que son amante ait fini son travail.
Il se disait qu'elle se rendait bien compte de la chance qu'elle avait d'avoir un vieux bonhomme si gentil comme compagnon.

Le vieil homme se mit à rire tout seul... et si elle pensait tout le contraire ???
Valentine.


AHHHHHHHHHHHHHHHH

Elle lui arracha le couteau des mains, le gamin se mit à hurler de peur, elle le serra fort dans ses bras, laissant couler ses larmes tellement elle s'en voulait de ce moment d'hésitation.

Pardon, pardon, mon ange, maman est vraiment imbécile.

Elle s'approcha de son homme la tête défaite.


Amour, prends le s'il te plaît, je suis courge courge.

Elle lui tendit Aël, sans pouvoir se calmer vraiment et honteuse elle tournait autour de la table attendant que KIO arrive à calmer le petit.
Kekione
KEKIONE se retrouva avec le petit dans les bras avant d'avoir pu dire ouf.
Sa belle tournait comme les ailes d'un moulin.
Elle avait les joues rosies par la moiteur de cette fin de journée.
Le vieil homme souriait.
Il se leva et entrepris de bercer le bambin tout en s'approchant de sa belle.
Il l'embrassa dans le cou.

Tu as chaud ma douce courge....
Tu devrais enlever quelques couches de vêtements ?!?


Le gribouilleur regardait la chemise de sa compagne collée à sa poitrine par la sueur.
Il était lui même en nage.
La lourdeur du temps, la pièce chauffée par le feu et le désir que les 2 amants ressentait rendait l'air irrespirable.

Le vieux arriva assez vite à calmer le bambin.
Il le coucha dans son landau et entrepris de lui raconter une petite histoire.
Il lui massait les pieds ce qui avait pour effet d'endormir Aël plus rapidement.
Et effectivement, le bébé ne mit pas long à s'assoupir.

KEKIONE se précipita alors vers son amante magnifique.
Il la couvrit de baisers.
Leurs 2 corps trempés de sueur et de désir se collaient, comme aimantés l'un à l'autre.
Leurs mains dansaient sur leurs corps.
Leurs bouches mangeaient la peau de l'autre.
Ils se déshabillèrent précipitamment, là, au milieu de la pièce, oubliant tout.

Ils firent l'amour longuement sur le sol froid, emmenant leurs âmes au delà de leurs corps vers le plaisir total.
Valentine.


Elle le regardait faire et son visage plus calme retrouva son sourire, que de bonheur de voir son gribouille prendre autant de plaisir avec son enfant, qui aurait put dire à ses gestes protecteurs, à l'amour qu'il mettait à bercer l'enfant, qu'il n'en était pas le géniteur.

Il s'approcha d'elle et la fit frémir d'un baiser dans le cou, elle posa un baiser sur le nez de l'enfant, un baiser sur les lèvres de son homme. elle essuya ses joues cramoisies, luisantes de sueur d'un revers de chemise qu'elle défit lentement pendant qu'il massait les pieds d'Aël pour s'endormir.

La jeune courge finit par dévoiler son opulente poitrine, s'approchant du baquet d'eau, se débarbouilla largement d'eau froide, espérant que le feu qui l'envahissait allait se calmer.

Malgré cela, une vague de chaleur la submergeait, l'enfant endormi, il s'approcha d'elle, se colla de tout son corps lui faisant ressentir toute son envie, leur lèvres s'étaient soudées à nouveaux, ses mains plutôt maladroites, maintenant gourmandes commençaient à lui caresser le haut des jambes, puis la rondeur de son fessier, elle lui caressa tendrement le crane et l''attira tout contre sa douceur intime.

Leur souffle devinrent alors saccadés, les battements de la porte arrière rythmaient l'entrelacement de leur deux corps à la fois vif, torride, joueur mais surtout... brulants.
Ils ne formaient qu'un physiquement, un Plaisir fou à l'unisson. Elle était noyée, ivre de bonheur, ivre de caresses, ivre de son corps.

la folie était devenue Reine. Ils ne cessaient la métamorphose...Elle était sa proie, il était la sienne.

La grande table de ferme habituée à leur ébats ne sourcilla pas, la lune curieuse laissa passer son rayon dans la cuisine assombrie, épuisés, il la prit dans ses bras et se dirigea vers la chambre ou ils trouvèrent le sommeil au petit matin.
Kekione
Par un beau matin de juillet, chaud et ensoleillé :

KEKIONE avait astiqué les bancs de l'église, ce qui lui avait pris finalement peu de temps.
Fier d'une réputation meilleure que le jour précédent, le vieil homme revint au moulin le sourire aux lèvres.

Quand il passa près du puits, il se remémora cette nuit torride où lui et sa belle s'étaient aimé sur le muret au risque de tomber au fond du trou.

Alors qu'il contournait le pommier, son esprit retourna à cette soirée où l'arbre avait observé les 2 amants faisant de folies sous ses branches.

Il arriva prêt du banc posé contre le mur du moulin. Il y faisait une chaleur déjà torride alors que le soleil n'était pas encore au zénith. Le gribouilleur transpirait à grosse gouttes. Sa chemise lui collait au corps. Il ferma les yeux et repensa à cette journée quand, malgré la chaleur étouffante, il avait culbuté sa Tine sur une table en plein milieu de l'après-midi, ressortant trempé de leurs folles étreintes.

Il resta un bon moment assis sur le banc vermoulu.
Il était bien.
Sa vie ressemblait à un comte de fées depuis qu'il avait rencontré Valentine.
Il sentait son désir et son excitation grimper en flèche à chaque fois qu'il pensait à elle, et tout ceci se transformait en frénésie amoureuse lorsqu'il la voyait.
Son corps tout entier changeait lorsqu'elle le touchait ou lorsqu'elle l'embrassait.
Le vieil homme était complètement esclave de sa belle amante, mais n'y voyait vraiment rien à redire.

Il se leva, la braie rebondie d'un désir animal, et entra dans le moulin dans l'espoir d'y croiser sa Valentine afin de lui prouver combien il pouvait l'aimer.
Valentine.


Le même matin chaud et ensoleillé de juillet

Tine était restée au moulin ce matin pour faire grand ménage et préparer le départ de son homme qui avait décidé de se retirer pieusement vers l'église une huitaine de jours.

Le petit Aël essuyait le sol de la cuisine, les genoux et les mains noires , il jouait à suivre sa mère partout ou elle allait, Tine très amusée par son tibout, faisait plus de pas que prévu, le gamin trainer une jambe s'usant un genou et commençait de temps à autre à prendre appui sur son autre pied ce qui lui donner un déséquilibre certain.


Elle s'accroupit derrière la grosse table en chêne cachée du regard de l'enfant qui s'arrêta net, perturbé de ne plus la voir. Elle l'observa un instant puis lui parla avant qu'il ne grimace

Aël, elle est ou maman ?

Le gamin cherchait du regard lorsque volontairement elle se montra légèrement , un large sourire orna la figure de l enfant qui se précipita dans sa démarche particulière vers sa mère qui le prit au bout des bras et porta son visage a sa bouche pour le bizouter en riant.

Je t'aime mon tibout je t'aime je t'aime, tu es un concentré de bonheur. Allez maman va finir le baluchon de KIO, on va être bien seuls mon cœur pendant huit jours.

Elle soupira se dirigeant dans la chambre, posa l'enfant sur le lit et étala les braies, chemises, bas et autre vêtements de son homme pour les plier consciencieusement afin d'en faire un petit tas bien compact qu'elle devait entrer dans un baluchon pas trop grand.

Elle entendit la porte grinçait


Tiens tiens, on dirait que KIO est de retour,


Elle finit rapidement de fermer la paquet en tirant sur le long cordon qui servait de bandoulière, attrapa l'enfant sur sa hanche et descendit les marches doucement tentant de surprendre son amour.
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