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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Kekione
A l'intérieur du moulin, ce matin très chaud et très ensoleillé de juillet

KEKIONE soupira d'aise en sentant la fraicheur de l'intérieur du moulin. Il sourit de ne plus sentir la chaleur étouffante.
Il chercha du regard sa belle compagne, mais il ne vit personne.
Il n'entendait pas un bruit.
Elle devait être sortie pour travailler.
Il pensa : tant pis pour moi !
Cette réflexion le fit rire.

Il se dirigea vers le saut. Il enleva sa chemise, ses chausses et ses braies.
Tout nu, il attrapa une serviette qu'il mouilla abondamment et entreprit de se laver.
Il frottait tout son corps énergiquement pour faire disparaitre la sueur.
Le vieil homme frémit en sentant la fraicheur du tissu mouillé sur sa peau.
Il sourit et continua à se débarrasser de la crasse et de la chaleur en prenant son temps.
Valentine.


A l'intérieur du moulin, ce matin très chaud et très ensoleillé de juillet, au bas des marches

Tine s'arrêta net, presque en lévitation sur la pointe de ses pieds nus, fixant le tableau qui s'offrait à ses yeux. Aël collé au flanc de sa mère, la tête sur son sein, n'émettait aucun bruit, trop heureux du contact, sa bouche cherchait le téton nourricier au travers du tissus, remuant la tête grandement, il parvint à attraper le mamelon et aspira son suc qui trempa la chemise.


Elle resta là de longues minutes à admirer son homme, nu. Un léger sourire au coin des lèvres se dessina, un sourire divin qui illuminait son visage, comme un rayon de soleil éclairant une rose, lorsqu’elle vit les formes de son bonhomme, un grand chavirement émotif l'envahit. La danse lascive d'une toilette en règle, de la main de son homme qui consciencieusement glissait sur ce corps de vieillard encore vert qu'elle désirait tant chaque minute.


Kio très vigoureusement frottait sa peau comme si sa vie en dépendait, penché légèrement en avant offrant une vision particulière de son anatomie entre ses cuisses.
Avec une certaine aisance, elle traversa la carrée, et frôla délicatement son épaule.
Le malheureux tressaillit au contact de sa main, et son visage trahit une sensation d’une ineffable douceur, il se redressa, et, dans un élan irrésistible se colla à sa belle pour un baiser langoureux, enlaçant de son bras le corps de sa femme et du petit.

Aël surpris dans son suçotement se manifesta en babillant. Les deux amants échangèrent un regard complice comprenant que leurs envies devraient patienter. Tine posa un doux baiser sur l'œil de son homme et un autre sur celui de l'enfant.


Bien messieurs mes amours, la journée s'annonce merveilleuse, ne trouvez vous pas ?
Mon cœur ton baluchon est prêt, faudra-t-il te préparer quelques victuailles ou l'église y pourvoira.


Le regard de la belle, ses yeux pétillants, trahissaient son désir. "Qu'il allait être dur d'attendre le crépuscule" se dit-elle.
Kekione
A l'intérieur du moulin, ce matin de plus en plus chaud et de plus en plus ensoleillé de juillet, au milieu de la pièce :

KEKIONE sursauta lorsque sa belle l'effleura. Il ne l'avait pas entendu venir.
Lorsqu'il eu embrassé sa compagne s'écarta de lui en lui parlant de ce qu'elle avait mis dans son baluchon. Le vieil homme resta sans voix.

Le gribouilleur, comme un idiot, les bras ballants, regarda sa belle s'activer avec son enfant sur la hanche.
Le vieux resta ainsi un long moment, son désir montrant le plafond et ses yeux une lueur animale.

Après quelques instants, il se rhabilla, alla embrasser sa belle et partit en direction de sa roulotte pour se changer les idées... bien qu'il savait déjà qu'il ne peindrait que des choses extrêmement érotiques et im-montrables aux savoyards.

Il lui tardait que le soir tombe.
Valentine.


Tine durant une semaine n'avait rien fait, mais RIEN FAIT, le moulin était une vraie porcherie, pas un coup de balai, pas un chiffon de poussière n’avaient eu à se plaindre d'être sali, les herbes folles avaient envahi le tour du moulin, les draps froissés de nuits agitées par manque d'amour n'avaient pas été changés et KIO allait arriver de l'église.

Tine se leva ce matin-là avant le soleil et sans attendre que l'eau soit chaude pour ( le petit déjeuner, pieds nus commença à remettre de l'ordre.

A grands seaux d'eau tirés au puits, elle inonda les sols et elle frotta comme une acharnée, ne voulant pas laissait voir à son homme à quel point elle avait déprimé durant son absence.

Le soleil commençait à monter, Aël appelait dans son lit, elle fila le chercher et l'installa sur le tissus pendu à la poutre, le tissu rouge que KIO avait installé pour... bref, le gamin balançai au-dessus du sol, semblant être très amusé des galipettes ménagères de sa mère, en sueur, en haillon, pieds nus qui courrait dans tut les sens, essuyant les meubles, rangeant la vaisselle, chantonnant une chanson qui n'avait ni queue ni tête.


PLOUM PLOUM PLOUM DES BI DES BO MON KIO T ES BO MON KIO RIGOLO MON KIO LIBIDO

La matinée avançait et la maison retrouvait son état dit normal, plus rien ne trainait, tout brillait.

Elle décida de s'attaquer au jardin,les tomates avaient desséchées sur pieds, les haricots étaient jaunis du soleil d'été. Elle soupira, installa son petit sur l'herbe et s'allongea à côté

La mon cœur, rien à faire, je ne saurai réparer les dégâts. On va attendre gentiment mon gribouille, il fait trop chaud à cette heure pour continuer à travailler.


Elle commença à jouer avec l'enfant pensant aux bons moments des retrouvailles.

Rasmoquette
Rasmo prit le chemin du moulin, il y avait un bon moment qu'elle n'y est pas passé. Elle avait tellement de travail avec sa forge.
Elle venait de passer au marché y déposer une belle épé fait avec délicatesse.

Le moulin avait changer, kékione et sa maman y avait travailler malgré leurs travail chaque jours.

MAMAN? je suis passé chercher ael pour partir a Belley

Rasmo commenca a y faire son sac de voyage, elle prit tout ses affaire de forgeron, elle parta pour donner son aide a la création du port.

Rasmo était fier d'y participé.
Valentine.


Tine vit arriver sa fille et l embrassa tendrement en la serrant dans ses bras.

Que tu es devenue belle ma chérie, bon pour Aël, tu sais les recommandations, pas n'importe quoi a tout heure a manger, bien le couvrir les matins sont frais, et ne pas le lâcher des yeux.

Tine lui prépara une besace avec les affaires du petit et y rajouta quelques biscuits.


Bonne route mes chéris.


Elle les accompagna jusqu'au chemin allant vers Belley, les embrassa fort mille fois et les regarda un instant partir.

Dans un long soupir, partagée par la séparation de ses enfants et le plaisir de se retrouver seule avec son Kio, elle se dirigea vers la roue à aube du moulin, sourit voyant la retenue d'eau claire et s'imagina un bain amoureux au clair de lune, un frisson la parcourra et elle rentra pour préparer le repas et se faire belle pour l'arrivée de son amour.
Kekione
KEKIONE arriva au moulin pour manger.
Sa belle Tine avait préparé un bon repas et mis une belle table.
La jeune femme était tout à fait splendide comme a son habitude.

Mhhhhhh !
Ca a l'air excellent ma mie.


Le vieil homme embrassa tendrement sa compagne.

Je ne vois pas Aël.
Tu en as fait quoi ?
Valentine.


Tine sourit en voyant son homme entrer, la table était mise, elle avait coiffé ses cheveux qui lui tombaient sur les épaules dénudées, une chemise entrouverte laissait voir sa poitrine bombée superbement, elle s'approcha de lui, pieds nus et jambes nus, la chaleur de l'été se prêtait à une tenue plus que légère et l'intimité du moulin dans le crépuscule la rendait plus sensuelle encore, elle l'embrassa longuement.

Rasmoquette est passée, elle est devenue belle jeune fille, elle va à Belley aider au port et a voulu emmener Aël, on va être seuls un moment mon cœur.

Un sourire et un regard qui en disait long sur son envie de passer de doux, tendres, passionnants moments avec l'homme qui la rendait si heureuse depuis plusieurs mois et pour encore mille cinq cent ans.
Kekione
KEKIONE était ébloui par sa belle compagne.
Elle était remarquablement sensuelle.

Tu es si belle mon cœur.

Il l'embrassa longuement et se mit à table.

Tout ceci me met l'eau à la bouche : le repas tout comme toi.


Le vieil homme sourit à sa belle en lui faisant un clin d'œil.
Il regardait sa douce avec envie.
Valentine.


Tine sourit aux douces paroles de son homme, ils s'installèrent à table, le silence en disait long sur ce qu'ils ressentaient chacun au fond d'eux, seuls, ils étaient seules pour cette soirée superbe ou la lune éclairait déjà la cime des arbres.

La question qui turlupinait la tête de Tine
"comment pourrais je le surprendre ?"

Elle manger avec sa bouche le plat préparé avec amour et buvait du regard l'homme en face d'elle, celui qu'elle avait envie d'aimer de tout son corps, son âme, elle en frissonnait, le voyait-il ?
Kekione
KEKIONE sourit en voyant que sa belle le mangeait plus de regard que les plats qu'elle avait préparé.
Il mangeait lui même très lentement, sentant des fourmillement dans son entre-jambe.
Lorsqu'ils arrivèrent aux douceurs, il trempa son doigt dans son bol et le glissa dans la bouche de sa Tine pour qu'elle le suce.
Il refis la même chose plusieurs fois, puis, il prit une cuillère du dessert dans sa bouche et l'embrasse follement.
Alors tout s'enchaîna très vite... il passa par dessus la table sans se soucier de ce qu'il faisait tomber.
Il renversa sa compagne sur le sol et se mit à la deshabiller à toute vitesse.
Il se mit nu en 4 secondes.
Et la suite n'est pas racontable ici...
Valentine.


Le jeu commençait à révolutionner sa tête, délicatement elle prenait la cuillère entre ses lèvres la suçant sensuellement, lorsque son homme prit de folie la renversa sur le sol et leur deux corps se retrouvèrent nus en si peu de temps, chaudes leurs peaux se collèrent amoureusement, il lui saisit la poitrine d'un main, de l'autre lui caressait les fesses, leur bouches se dégustaient mutuellement follement, avec toute la passion de leur amour.

Tine et KIO, nus sur le sol frais, s’enlaçaient tendrement, une brise tiède entrait par la fenêtre ouverte, à la lueur de la nuit claire qui éclairait leur corps. Prêts à assouvir leur désirs les plus fous… Ses caresses descendaient le long de sa colonne vertébrale, sollicitant cette zone sensible du bas du dos, arrivant jusqu’à ces fesses pour redescendre sur ces cuisses. Elle, impatiente, s’abandonnait à son partenaire sur les dalles déjà humides de leur sueur, parcourue qu’elle était de frissons et de soupires languissant d’amour et de plaisir. Le poussant de ses mains posées sur son torse de soixantenaire, encore musclé, elle admira toute son anatomie au mieux de sa forme et l enlaça sauvagement de ses jambes pour qu'il la possède complétement.
Elle avait senti ses mains puissantes lui saisir les fesses, la guider dans un va-et-vient de plus en plus rapide, mille sensations explosaient dans leurs têtes. Ils étaient sur le point d’exploser, elle le sentait.

Dans un cri commun de jouissance, l'extase était là, de longues minutes ou plus rien n'existait, qu'eux.

Éreintés de fatigue, en sueur, ils restèrent ainsi pendant quelques instants, encore envahis par la sensation que le Bonheur se résumait à eux deux.
Kekione
Au lendemain de leur folle soirée, le vieil homme était encore tout engourdi de leurs ébats torrides.
Ils avaient pleinement profité de la maison vide, de chaque pièce et même du jardin.

KEKIONE se posa sur un coude et regarda sa jeune compagne encore assoupie à côté de lui.
Son amour pour cette femme dépassait tout ce qu'il avait connu jusqu'à ce jour. Lui qui avait pourchassé de ses assiduités tant de femmes durant sa longue vie, jamais il n'avait rencontré un être tel que Valentine.
Tout en elle évoquait l'amour.

Il soupira de bien-être.
Il avait enfin atteint la plénitude.
Plus rien en ce monde ne pourrai plus l'atteindre tant qu'elle serrait à ses côtés.

Il se pencha en avant et lui déposa un baiser doux et léger sur le front.
Valentine.


Elle se sentait si bien avec son gribouille, son age certain et sa sagesse lui apportait souvent calme et sérénité. Tine avait la fougue et les défauts de la jeunesse et s'emportait souvent pour des détails sans importance.

Elle se leva ce matin prête à tout faire pour passer une journée de plénitude mais c'était sans compter son travail à la mairie. En passant au marché, elle ne put que constaté qu'un déséquilibre certain régnait, trop de légumes, pas assez de carcasses, elle se rendit au bureau pour une journée de travail qui s'annonçait grinçante en espérant qu'au soir venu, son KIO ne rentrerai pas trop épuisé pour lui faire passer de bons moments amoureux.

Avant de quitter le moulin, elle laissa un mot doux à son tendre et doux KIO.
Citation:

Mon Amour,

Tes baisers sont des mots d'amour
Tes mots d'amour sont des caresses
Tes caresses des bijoux

Je t'aime et ce mot d'amour est infiniment minuscule
pour l'amour grandiose que j''ai pour toi.





Kekione
KEKIONE passa au moulin en pleine journée pour se changer.
Il avait déchiré ses braies avec une branche et pestait comme un diable.
Le vieil homme se changea en vitesse et s'apprêtait à repartir lorsqu'il vu le billet sur la table.
Il le lu et un large sourire vint fendre son visage.
Il pris un bout de charbon, retourna le feuillet et y inscrivit :

Citation:
Je t'aime


Puis s'en retourna en forêt finir d'élaguer son arbre, le cœur léger et l'âme en paix
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