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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Kekione
KEKIONE sourit en voyant débarquer soudain Killian et Tine.
Il serra sa belle contre lui en lui montrant le dessin.

Merci pour le compliment mon cœur.

J'ai bien demandé à ce qu'elle se détende... mais elle a pas voulu s'allonger nue sur la table pour me montrer sa magnifique intimité.

C'est dommage, je suis sure qu'elle a une très jolie petite cha....


Remarquant que le garçon et la fillette étaient à nouveau présents, le gribouilleur se retint de justesse alors qu'il allait entreprendre une description détaillée des parties intimes de Chocolatines.
Il regarda la jeune femme maintenant habillée en homme.

Tu sais, Chocolatines, tu as un très beau corps, très féminin, avec de belles rondeurs.
Tu devrais les montrer.
Je te convaincrai de me laisser en voir plus pour te peindre dans toute ta splendeur .

Tu ne risques rien avec moi. J'admire la beauté du corps.
Je ne touche pas... et d'ailleurs, j'ai la plus belle, la plus douce et la plus aimante des femmes à la maison... pourquoi irais-je papillonner ailleurs.

N'est-ce pas ma belle Valentine ?


Le vieux embrassa alors follement sa compagne comme si sa vie en dépendait.
Chocolatines


Les enfants arrivaient dans la pièce, suivit de Tine.
Killian courait après sa sœur autour de la Blondinette comme s'il gravissait les escalier d'un château fort.
Elle s'écroula au sol, les attrapant un après l'autre et les embrassait tant qu'elle pouvait leur disant qu'elle avait pour eux un petit quelque chose qui leur ferait grand plaisir.
Curieux de savoir ce dont il s'agissait, ils se calmèrent.

Le gribouilleur s'adressa à Choco et la complimenta. Jamais à l'aise dans ce genre d'instant, et toujours aussi espiègle elle ne pouvait s'empêcher de renverser la situation.

MAIS ma Tinou, je suis TOUJOURS sage mais ça ne dure hélas pour vous jamais vraiment longtemps...

Elle ne put s'empêcher d'insister sur certains mots un large sourire aux lèvres.

Quant à toi Kio , le compliment te revient car il fallait avoir de la patience de dessiner quelqu'un qui ne tient jamais en place.
Puis regarde dans quel état de me met lorsque je suis déguisée en fille.


Elle s'éclata de rire avant de continuer.

Je suis obligée d'implorer la grâce que quelqu'un pour me libérer ce ce fardeau.

Les enfants s'impatientaient. Elle chercha donc dans sa besace en continuant la conversation.

Un jour peut être, mais pour que je garde la pause, et ce en tenue légère, il faudra que je sois dans un endroit bien chaud et que la bière coule à flot afin que je ne sois pas tout à fait moi même.

Elle agrémenta son argumentaire par un clin d'œil et saisit enfin le parchemin qu'elle cherchait.

Les enfants, j'ai quelque chose pour vous.
Ce matin à l'aube, le pigeon de Maman roucoulait devant ma fenêtre et il portait sur sa pâte cette missive pour vous.
Z'êtes prêts à l'entendre?


Les enfants étaient émerveillés. Leur sourire était aussi grand qu'un soleil et leur yeux pétillaient de bonheur.
Blottis tout contre la Blondinette pour mieux voir la missive ils écoutèrent le défilement de mots écrit par leur maman.

Citation:
Bonjour mes petits cœurs,

Déjà plus d’une semaine que je suis partie et pas une seconde je n’ai cessé de penser à vous. Le voyage se passe sans embûches, mais je m’y ennuie totalement. L’Helvétie est désolante, pas âme qui vive, je ressens encore plus l’envie de rentrer à la maison et de vous serrer dans mes bras.
Ce matin, nous sommes sur le retour, près d’Annecy, mais en rase campagne. J’ai trouvé un petit coin au soleil, y ait déposé une couverture et je pense à vous, en espérant que vous vous plaisez chez Tine et Kio, que vous vous amusez bien, je ne doute point de cela, ils sont adorables ces deux là de vous avoir accueilli durant mon absence…, mais j’espère aussi que vous les taquinez, comme vous savez si bien le faire avec moi en me forçant parfois à hausser le ton avec vous deux.
Il faut aussi que je vous dise mes petits anges…….. il est possible que je ne puisse rentrer de suite, car une rumeur de guerre gronde en Savoie, peut-être Tata Tine vous en a-t-elle parlé… alors il se peut que je doive rester pour défendre, mais si ma présence n’est pas demandée, je vous assure que je ferai galoper mon cheval jusqu’à l’épuisement pour vous retrouver mes trésors et retrouver nos amis qui me manquent aussi à Bourg. Je sais bien Killian qu’à l’instant où tu liras le mot « défendre » tu aimerai déjà être à mes cotés pour me protéger, toi mon vaillant chevalier. Et toi ma puce, ma petite princesse Abigail, je vois tes yeux malicieux à l’instant, ton sourire merveilleux et devant lequel je n’arrive plus rien à te refuser et là mes yeux s’embuent, mon cœur empli d’amour pour vous et une envie de crier combien je vous aime.
Mes trésors, je vais enrouler maintenant ce parchemin et l’attacher à la patte de mon pigeon le plus fiable et l’envoyer vous délivrer message. Embrassez Tine et Kio pour moi, si vous voyez Choco et Loulou, profitez aussi de les bisouiller pour moi …. embêtez-les un peu tout de même hein, il n’y a aucune raison de vous gêner et moi mes amours, je pense à vous très fort, je vous embrasse et vous serre tout contre moi en pensées.

Votre Maman qui vous aime plus que tout au monde

_________________
Valentine.


Je ne touche pas... et d'ailleurs, j'ai la plus belle, la plus douce et la plus aimante des femmes à la maison... pourquoi irais-je papillonner ailleurs.

N'est-ce pas ma belle Valentine ?


Tine fit une moue comique à son homme, voulant dire, mouais mouais, et se jeta dans ses bras ou elle resta blottie le temps de la lecture de la lettre de Melisse.

Non, elle n'avait pas parlé de la guerre aux enfants, parce quelle n'y croyait déjà pas à cette guerre et affoler les foules pour leur faire penser qu'ils sont utiles servait à ceux qui s'ennuyaient dans leur vie privée, elle, ne s'ennuyait jamais avec ses amis, ses enfants, son amour.

Elle sourit aux enfants.


Ne vous inquiétez pas, votre maman est forte et sera protégée par des soldats encore plus forts.
Chocolatines


Oui votre tata Tine a raison, votre maman est trop trop forte!

elle leur sourit et ébouriffa la tignasse de Killian heureux d'avoir eu des nouvelles de sa maman.

Bon aller;! je ne vais pas vous embêter plus longtemps.


Elle embrassa les enfants bien fort et fit de grosses bisouilles à ses amis.

Encore mille mercis pour votre accueil et surtout de m'avoir délivré de ce satané corset.

Elle leur sourit

Quant à toi Kio, un jour peut être.....


Elle lui sourit amusée.

Je vais rentrer à la maison et y faire un brun de nettoyage.
merci encore pour tout.


La blondinette prit sa besace et repris le chemin du retour.

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Kekione
KEKIONE regarda partir la Chocolatines.
Il se tourna alors vers sa belle Tine.

Je sais qu'elle posera nue pour moi.
Elle en a envie, mais elle n'ose pas se l'avouer.


Le vieux souriait.

En parlant de femme nue.. quand est-ce que ces fripons vont dormir, hein ?

Il montrait les enfants de Melisse de la tête.

Parce que j'utiliserai bien mon pinceau pour tracer les courbes splendides de ton corps mon amour.

Le gribouilleur remit en place son entre-jambe qui se trouvait à l'étroit dans ses braies.
Son regard déshabillait sa compagne avec envie.

Allez les enfants !
Au lit !
Tine et moi avons du travail ce soir.
Je dois me rattraper de plusieurs soirées moribondes...

Il profita de fesser gentiment le postérieur majestueux de son amante en passant à ses côtés.
Valentine.


Tine remercia sa Choco amusée par les échanges avec son homme.

Tout en jouant avec les enfants, elle entendit son Kio.


Oui, surement qu'un jour elle cèdera.

Tine ne fut pas surprise des mots qu'il prononça ensuite, plusieurs soirs s'étaient passés sans qu'il ne veuille ou ne puisse assouvir les envies de sa belle, l'excuse des enfants en était peut--être la cause ou l'age du bonhomme ou la routine ou la passion qui s'éteignait. Elle lui sourit sans mot dire et s'adressant aux enfants.


Allez les pitchounes, on va monter se mettre bien au chaud au lit et faire de beaux rêves, Maman doit bien penser à vous et je suis sur que dans nos rêves nous allons la voir.

Elle sourit à la tape coquine de son amour et suivit les enfants qui grimpaient les escaliers en râlant de se voir envoyés si tôt au lit.
Melisse


Le jour n'était pas encore levé quand elle franchit les portes de son village......... sourit largement en se sentant déjà bien mieux d'être parmi les siens. Ici et là quelques bruissements, quelques craquements sous les sabots de son cheval. Elle resserra sa cape contre elle, n'ayant qu'une hâte, celle de retrouver ses petits anges au moulin de Tine et Kio. Elle ne les avait pas avertis de son retour et nul doute que le moment où ils la verrait serait très fort.

Melisse passa donc un moment à la taverne, se servit une bonne tisane et mangea son pain, les souvenirs des trois dernières semaines défilant devant ses yeux. Un voyage qui aurait dû lui apporter sérénité, plaisir elle avait eu bien sûr de parcourir les chemins avec Space, Pet, No et Bali, Gauvin et la petite Mae, mais à chaque endroit où ils s 'étaient arrêtés, le calme régnait, quatre helvètes croisés durant une semaine, de qui déprimer.

Alors, pour pallier à l'ennui, elle s'était retirée aussi, avait beaucoup prié et réfléchit sur son passé, avait calmé certaines douleurs de son coeur, sans toutefois trouver la paix, mais l'espoir de jours meilleurs était présent maintenant.

Et ensuite, le retour vers la Savoie, alors qu'on parlait guerre, il avait fallu rejoindre avant de se trouver enfermés chez les helvètes. Durant une semaine, elle avait défendu Annecy, tout était calme là bas et pourtant on continuait à parler conflit, guerre... Le calme avant la tempête, nul ne le savait.

Puis, vendredi dernier, elle prit décision de quitter cette armée, de rentrer chez elle où elle avait à faire aussi, où tout son petit monde l'attendait. Son groupe ne la suivrait pas ce soir là, elle s'en alla seule sur le chemin bien tranquille, le coeur battant plus fort en apercevant son village.

Son repas consommé, sa tisane l'avait réchauffée et maintenant le jour pointait. Il fallait qu'elle aille voir ses petits, trop impatiente, elle emmena son cheval à l'écurie, puis se dirigea en direction du moulin de Tine.

Le coeur battant, les pas qui s'accélèrent et le sourire aux lèvres et la voilà devant la porte, ses mains qui tremblent, les yeux brillants d'émotion et puis quelques coups donnés contre la porte, l'attente qu'on lui ouvre et qu'elle puisse enfin serrer ses amours contre elle.....

Toccccccccc Toccccccccc Tocccccccc........

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Kekione
KEKIONE était en train de raviver l'âtre lorsqu'on frappa à la porte.
Le vieil homme alla ouvrir et tomba nez-à-nez avec Melisse.
Le gribouilleur la prit dans ses bras et lui bava généreusement sur les 2 joues.

Melisse, quelle joie.. entre donc !

Il laissa passer la jeune femme devant lui et ferma la porte derrière eux.

Valentine est partie en retraite chez les nonnes.
Je suis presque tout seul au moulin...


Sans prévenir il cria :

Les enfants, descendez vite, il a une surprise !

Le vieil homme était content de revoir Melisse et un large sourire éclairait son visage.
Melisse


Quand la porte s'ouvrit sur Kio, Melisse lui sauta dans les bras, accueillant ses bavouilles qui lui avaient manqué, ravie de le revoir le serra amicalement contre elle aussi, le gratifiant de bavouilles aussi, lui sourit ensuite.

Je suis si contente d'être rentrée Kio, je vois que tu n'as pas l'air trop en mauvaise forme, mes enfants ne t'ont pas donné trop de mal j'espère. Ah oui, Tine m'a écrit qu'elle serait en retraite, je tombe à pic n'est-ce pas, ainsi tu pourras profiter de te reposer un peu les jours prochains.

Elle était impatiente de voir ses petits et quand Kio s'exclama :

Les enfants, descendez vite, il a une surprise !


Son coeur cognait dans sa poitrine, attendait le moment depuis si long de revoir ses petits, de pouvoir les embrasser et les serrer contre elle. Chaque moment où elle était loin d'eux était difficile et elle se promit dès maintenant que le prochain voyage, elle les emmènerait avec elle, il ne serait plus possible de les quitter dès à présent.

Une dégringolade au bas des escaliers, Killian en tête, suivi d'Abigail, Mel leur tendit les bras où ils sautèrent joyeusement, la couvrant de bisous et de cris de joie, manquèrent la faire tomber sur les fesses. En choeur, ils répétaient sans cesse


Mamannnnnnnnnnn Mamannnnnnnn tu nous as fait la surprise, enfin tu es là, ne pars plus jamais sans nous.

Ohhh mes amours, trois semaines et vous avez encore grandi, vous changez tellement vite, je veux plus jamais partir sans vous, vous m'avez tellement manqué en voyage. Je vous raconterai à la maison.

Elle les couvait de regards, caressait leurs cheveux, ils étaient magnifiques ses petits, regardant Kio, qui avait un grand sourire, elle s'adressa à lui.

Kio, grand merci d'avoir accueilli mes petits monstres, j'espère qu'ils ne vous ont pas trop donné grand mal, mais ils sont aussi braves que moi, donc je suppose que c'était parfait.

Mel laissa échapper un rire de joie, son bonheur était là près de ceux qu'elle aimait plus que tout, ses amis, les vrais, ceux qui ne la trahirait jamais.

Dis Kio, tu vas te sentir bien seul les jours prochains, alors tu viens quand tu veux à la maison d'accord ? Dès ce soir, je t'invite à venir manger, j'ai rapporté du fromage de l'Helvétie et crois-moi que c'est le moment de le manger ou il va être vivant sous peu... grimace en pensant à l'odeur qu'elle maitraisait dans un grand tissu depuis quelques jours.

Abigail et Killian remontèrent l'escalier sans mot dire, à peine le temps de parler un peu à Kio que les voilà redescendus avec leur baluchon. Tout sourire, ils allèrent vers leur ami et lui firent de gros bisous sur les joues en le remerciant de les avoir gardés près d'eux. Mel aussi était impatiente de retrouver sa maison, depuis trois semaines, elle n'avait connu qu'auberges en Helvétie et durant une semaine, un campement à Annecy où elle avait trouvé repos au petit matin après la défense sur une paillasse. Elle alla vers son ami, le remercia encore pour tout ce qu'il était et faisait pour eux, lui bavouilla encore les joues.

Kio, comme tu vois, Abigail et Killian sont aussi impatients que moi de retrouver leur maison, j'ai pour ma part hâte aussi de pouvoir faire toilette et me changer, on se revoit très vite hein et si tu ne passes pas à la maison pour ne pas déranger, je viendrai te chercher, sois-en sûr. Là je suis un peu pleine d'émotions de tous vous revoir, me manque que ma Tine, faut qu'elle revienne vite... On s'en va tous les trois et à très viteeeee vieux gribouille.

Les enfants firent encore signe à Kio, Melisse lui sourit encore avant de passer la porte du moulin, les mains de ses enfants dans les siennes, ils repartirent en direction de leur maison.

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Kekione
O... je... mais non... ils... je... A très bientôt.

Voilà les seuls mots que KEKIONE put articuler dans le flots de paroles que Melisse déversa à l'arrivée de ses enfants.
Il souriait de voire tant de joie.
En moins de 2, le vieux gribouilleur se retrouva tout seul au moulin.
Il écouta le silence qui l'entourait.
Il ajouta une bûche dans le feu, poussa le fauteuil à bascule devant l'âtre, recouvrit ses jambes d'une couverture et commença à dessiner.
Valentine.


Tine avait réussit à convaincre la vieille nonne qui surveillait les entrées de la laisser sortir quelques heures. Elle lui promis de ne pas rentrer trop tard mais savait par avance qu'elle aurait besoin d'une bonne confession car bien décidée à passer au moulin, il lui serait impossible de quitter son amour si vite.

Elle s'approcha du moulin en courant, arriva à la porte à bout de souffle, la poussa et, sans que le vieil homme ne puisse paraître étonné, elle était déjà enfouie entre ses bras, l'embrassant à l'étouffer.
Kekione
KEKIONE accueillit le retour de sa belle avec soulagement.
Le moulin était bien froid et vide sans elle.
Il était fatigué car il ne dormait pas assez, repoussant sans cesse l'heure d'aller se glisser entre les draps froids du lit délaissé.

Il serra sa belle contre lui longuement.
Il aimait à sentir son odeur en plongeant son nez dans sa chevelure.
Ses mains caressaient fébrilement le corps parfait de sa compagne.
Le vieil homme ne cessait de l'embrasser avec fougue.

Tu m'as manqué mon amour.... terriblement manqué.

Le gribouilleur ponctuait chacune de ses courtes phrases d'un long baiser.

Tu m'es indispensable ma belle.

Je ne suis rien sans toi.

Je déteste quand tu pars.


Il l'emmena derrière lui jusque devant l'âtre qui crépitait avec force.
Il la dévêtit lentement et lui fit l'amour à même les peaux devant le feu.
Valentine.


Tine était épuisée de son long périple chez les moines. Son homme pensait toujours qu'elle avait été accueillie par les nonnes mais Tine ne supportait que rarement les présences féminines à part quelques unes de ses amies, la compagnie masculine lui permettait de se concentrer, de se ressourcer, et le vin était largement meilleur, les nonnes ne buvaient que de l'eau, vraiment pas fait pour Tine.

De retour au moulin, elle ignora le désordre que son Kio ne voyait même pas comme tout homme tenant une maison, elle se jeta dans ses bras et ne les quitta lus, écoutant l'homme de sa vie lui exprimer son manque d'elle.


Oh mon amour, tu m'as manqué si horriblement, les journées étaient fort occupées mais mes nuits si longues, je n'ai jamais aussi mal dormi, mon corps, vide de toi, me tenaillait, vidant les larmes de mes yeux à chaque endormissement, je t'aime si fort, plus jamais je n'irai loin de toi.


De longs, beaux ébats durèrent une grande partie de la nuit avant que tous les deux s'endorment bien collés l'un à l'autre.
Valentine.


Les jours passaient et la routine s'installait peu à peu, le vieux Kio vieillissait, se couchant de plus s en plus tôt lorsqu'il rentrait au moulin, et de plus en plus tard quand il partait faire la fête dans les rues e la ville.

Tine ruminait dans sa barbe, la situation commençait à l'angoisser, l'attente du retour de Rasmo et d'Aël la crispait.

Et voilà, que par dessous tout, une guerre pointait son nez, elle aurait surement à quitter Bourg pour rejoindre les défenses du château.

Rien n'allait plus, son cœur serré, elle laissa son gribouille s'endormir et fila à l'atelier aiguiser sa lame et essuyer ses larmes.
Valentine.


Tine a passée la nuit, la joue collée à la lame de son épée, endormie après des heures de réflexion.

Elle se réveilla, les yeux rougit mais sortit de l atelier et s'aspergea de l eau du puits profonde, presque gelée.

La journée s'annonçait ardue, préparer le départ, recruter des courageux, aimer son homme, ah peut-être ne le verrait elle pas, SI elle le verrait, elle le voulait, partir sans savoir la date de retour l'angoissait.

Elle entra dans le moulin, son Kio n'y était pas elle prépara son baluchon, scella Crin blanc, écrivit un petit mot à son homme et fila.


Citation:
Amour, mon homme, mon gribouille d'amour, mon amant

Je pars le coeur gros comme toujours et j'espère que nos pigeons sauront éviter les combats pour que tu puisse me dire tout ton amour.

Je t'aime

Ta femme, ta Tine, ton Amante brulante.
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