Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 20, 21, 22, ..., 31, 32, 33   >   >>

[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine laissait passer les jours d'hiver lentement.
Elle réfléchissait à la routine qui s'était établie comme dans chaque vie de couple après un certain temps.
....

Elle travaillait fort toute la journée au château, au cadastre, dans les champs, au marché de la foire ducale a chavirer des tonnes de sacs de maïs et de blé, en forêt dès qu'elle pouvait bucheronner, la viande manquant sur le marché, une heure à dépecer, viander, et sitôt rentrée, elle s'occupait de son petit Aël qu'elle ne voyait que trop peu, son amant qu'elle commençait à délaisser.


Ce soir là, comme tous les soirs, elle avançait lentement, lasse, fatiguée vers le moulin lorsqu'elle entendit un cri de bête en Ruth. Elle se mit à courir et poussa la porte violemment se demandant si son enfant n'était pas en train de se faire manger par un animal monstrueux et vit son homme à moitié dé-poilé criant son manque d'amour.

Mon cœur, calme toi, je suis là, tu vas réveiller tout bourg avec des cris pareils.

Elle s'aprocha et l'embrassa, l'entourant de ses bras amoureusement et l'embrassa passionnement.

Qu'à tu fais d'Aël, il va bien ? Il dort ?
Kekione
KEKIONE était presque entièrement nu lorsque sa belle l'enlaça.

Hein.. qui.. Aël...
Couilles-de-Boucs !.. Aël... plus pensé à lui.


Le vieil homme regardait autour de lui.

Il joue si tranquillement dans sa chambre que je n'y prête même plus attention... il est presque trop sage ce petit.
Je me rhabille. on ferra des cabrioles plus tard..
On en ferra, n'est-ce pas ?


Il l'embrassa comme un fou et entreprit de retrouver ses vêtements afin de se couvrir.
Valentine.


Tine rit en voyant son homme gesticuler dans tous les sens a ramasser ses guenilles de travail au sol, le cul à l'air elle ne put s'empêcher de lui mordre la fesse gauche et de partir en gravitant les marches quatre à quatre pour rejoindre le petit dans sa chambre en riant de bon cœur.

Mon bébé d'amour, tu es bien sage.

Elle le prit dans ses bras et commença à lui faire la toilette pour le préparer à une belle nuit calme espérant pouvoir profiter de son sommeil pour abuser de son homme qui avait l'air en forme.


Mon coeurrrrr, tu montes, j'ai besoin de toi pour endormir Aël, il veut une histoire de la foret.
Kekione
KEKIONE se frottait la fesse en montant vers la chambre du petit.
Elle l'avait mordu fort, la coquine.
Ca promettait une nuit plus que torride.
Aël avait intérêt à ne pas faire trop d'histoires pour s'endormir.

Le vieil homme entra dans la chambre et aida sa belle à coucher le bambin qui souriait comme à son habitude.
Le gribouilleur lui raconta alors une histoire que lui contait sa grand-mère et qui parlait d'un tout petit garçon qui sauvait ses frères d'un ogre.

Tout en parlant, assis sur le lit, collé à sa belle, il en profita pour glisser une main sous les jupes de Tine afin de caresser son intimité, l'air de rien.
Le vieux souriait de l'impassibilité que faignait sa compagne.

Décidément, la nuit s'annonçait des plus chaude.
Valentine.


Tine finit d'écouter l'histoire en regardant tour a tour amoureusement son homme qui profitait de ses rondeurs discrètement et son ange qui semblait partir dans un sommeil serein.

Une fois certaine que l'enfant s'était endormi, elle prit la main de son home, un sourire coquin sur le visage et l'entraina dans leur pucier, délicatement elle le poussa sur le dos, l'enjamba et commença à le déshabiller, ondulant son corps au dessus du sien, l'amant fut mis a nu en moins de temps qu il faut pour le dire et la Vicomtesse au pieds nus se dénuda à son tour. Leur peau luisaient, trahissant toute l'excitation qu'ils éprouvaient et lentement elle profita de sa virilité dressée comme un étendard en lâchant un gémissement annonçant une longue nuit d'ébats.
Kekione
KEKIONE était bien las lorsque sa Tine n'était pas au moulin.
Il agissait sans envie.
Il avait quelques moments gais avec le jeune Aël qui ne cessait de le surprendre par son caractère doux.

Le vieil homme entreprit de faire un peu d'ordre.
Sa belle lui avait annoncé son retour éminent.

Aël, réjouis-toi !
Ta maman revient bientôt.


En même temps qu'il astiquait la table de la cuisine, des souvenirs coquins de son amante lui revenaient en tête.
Il se réjouissait de son retour. Elle lui manquait.
Valentine.


Tine déboula dans le moulin soulagée d'être enfin chez elle.

Marre de courir les routes pour rendre service a des gens qui ne le mérite pas, marre d’arpenter les remparts de Chambéry au froid et dans le noir, sans manger et sans boire. Marre de supporter les raleries de certains qui ne savaient que critiquer. Marre de voir que l'humain se complaisait dans le conflit.

Elle ne prit pas garde a être silencieuse au contraire, sa joie l'emporta et d'un cri, elle réveilla la maisonnée endormie.


AMOURRRRRR, MES AMOURSSSSSS, JE SUIS LA........

Puis courut dans les chambres, commençant par celle de son petit Aël qui se tenait déjà debout en criant Maman, l'embarqua sous son bras en riant et finit par se jeter avec le gamin sur le corps de son Kio enseveli sous les peaux.


Elle chercha sa tête bougonne et l embrassa follement.
Kekione
KEKIONE fut réveillé par une pluie de baisers.
Un petit cri de surprise sortit de sa bouche couverte par les lèvres chaudes de son amante.
Il l'embrassa follement.

Mhhhh !
Bonjour ma douce.


Il l'enlaça avec douceur en faisant attention de ne pas écraser Aël.

Comme je suis content de t'avoir mon amour.
Valentine.


Une bataille rangée de coussins entre les trois habitants du moulin et dans une cascade de rires s'acheva par des batailles de bisous.

Allez les hommes, au boulot, c'est quoi ces fainéants qui trainent au lit si tardivement.


Elle fit un bon, légère et joyeuse.


Mon coeur, je crois que Choco a besoin de toi aujourd’hui dans son champ et nous mon bébé d'amour, on file au Lavoir, c'est pas du luxe après mon absence, la charrette risque de ne pas suffire à tout porter.


Elle dévala les escaliers portant son enfant sur la hanche et lança un cri en direction de l'étage.


AMOURRR, tu sais que je t'aimeeeeeeeeee
--Petitporteur


Le gamin se rednit devant la porte du moulin et commença à heler le vieux gribouilleur.

OIyé Oyé Messire Kekione!
la dame Choco elle a besoin de vous pour récolter dans son champs, alors sortez vite. Elle paie bien en plus la dame!


Lorsque le gamin vit à la fenêtre du monde, il prit la poudre d'escampette de peur de se recevoir un seau d'eau.
Kekione
KEKIONE, qui n'était pas du matin.. mais alors, pas du tout, n'apprécia que moyennement le tohubohu du moulin.
Il se leva quand même avec peine, s'emmitoufla dans des couches et des couches de couvertures, bu une tisane et partit vers le champs de Chocolatines.
Il la trouva en taverne et ils se mirent d'accord pour qu'il s'occupa de son champs pour un prix ridicule.

Allez hop !
Au boulot.


Il lui tardait déjà d'être le soir pour se coller contre le corps chaud de sa Tine afin de sentir ses seins ronds et fermes s'écraser contre son torse de vieux bonhomme.
Kekione
KEKIONE, aussitôt sortit de la salle des jeux, se précipita ventre à terre vers le moulin pour se faire pardonner auprès de sa belle... qui avait décidément l'oreille bien fine.
Mais quelle ne fut pas sa surprise de ne trouver personne.
Le vieil homme qui s'était dépéché, se retrouvait à torse nu, les braies sur les chevilles et son apparat mâle au garde-à-vous dans le chambranle de la porte de la chambre... vide.
Son ardeur retomba d'un coup et il retrouva ses 60 ans instantanément.
Il lança d'un coup de pied valdinguer son pantalon dans un coin de la pièce et se coucha sous les peaux en maugréant.

Mais où qu'elle est, mais où qu'elle est ?
Valentine.


Tine était rentrée au moulin, laissant son homme batifoler, la moue aux lèvres, elle s'occupa de son enfant et le coucha rapidement, son cœur n'était pas joyeux même si elle savait que l'amour de son amant pour elle était fort, elle lui en voulait de toujours faire des yeux doux aux jeunes et belles jeunes filles qu'il croisaient.

Elle décida ce soir là d'aller se coucher dans la petite chambre tout en haut du moulin, un endroit qu'elle avait emménager pour sa couture, un petit nid de femme ou Kio ne montait jamais. Maugréant toute seule en s'endormant et se disant que ce soir il ferait abstinence, que ça lui ferait la leçon. Elle s'endormit bien roulé dans des couvertures qu'elle devait raccommoder.
Kekione
KEKIONE eut bien du mal à s'endormir.
Il tourna longtemps dans le lit.
Finalement la fatigue eut raison de lui


Lorsqu'il se réveilla, l'autre côté de la couche était toujours froide et vide.
Tine avait découché.
Cette fois c'était sure, ses escapades soit disant guerrières cachaient un amant... et elle avait fini par aller le rejoindre.
Le cœur du vieil homme se brisa.
Il s'y attendait, mais cela lui faisait beaucoup de mal.

Il s'habilla chaudement, descendit dans la pièce à vivre, remit le feu en marche et entreprit de manger quelque chose.
Valentine.


Tine se réveilla "mie figue, mie raisin" elle descendit enveloppée dans une couverture vers la cuisine ou une odeur de cheminée régnait.

Elle approcha doucement de son homme, l'embrassa comme si de rien n'était et fila vers l’âtre pour s'y réchauffer.


Aël dort encore ?
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 20, 21, 22, ..., 31, 32, 33   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)