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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Saamsara


Après une nuit à regarder les étoiles, à pleurer doucement, à revoir mon passé année par année, je finissais par m'endormir au petit matin pour ne me réveiller qu'au soleil de midi.

Le goût à rien dans ce moulin vide, je me rendais compte à quel point le vieux Keki m'était important, je sortais de la grange et admirais un rosier particulièrement beau. odorant à souhait, je restais quelques minutes le nez sur les pétales de velours.

Il me manquait, mais lui, ne voulais-t-il que mon corps que j'avais si souvent offert pour le seul plaisir à tant d'hommes durant mes voyages, pourquoi lui avoir refusé si ce n'est que j'espérais plus de lui.


Je me laissais la journée à savoir si je filais sur les routes encore et encore, si je rendrais visite aux moines qui eux me rabattraient les oreilles de morales et de repentis.

Je sortais Crin Blanc pour qu'il profite de la belle journée de printemps, broutter l'herbe grasse qui couvrait le tour du moulin et m'installais près de la roue à Aube, un parchemin à la main, j'allais partir et lui écrire un mot.

Citation:
Aujourd'hui, j'ai la rage, c'est le mot le plus adapté à ce carnage.
Je pensais que mes plaies avaient étées pansées mais je me suis bien trompée...
En cette soirée troublante tous mes sentiments ont resurgis telle une brute, qui se relève pour ré attaquer la chose qu'elle n'a pas fini d'achever.
Heureusement que j'ai encore assez de force pour ne pas replonger dans cet univers atroce qui m'a blessé pendant tant de mois, que j'ai cru que je n'y arriverais pas.
Quelle idiote aussi, d'avoir cru que toi, tu pourrais t'intéresser à moi autrement qu'à toutes celles qui s'offrent sans attendre de lendemain.
En amour,j'ai l'impression d'être maudite pour toujours.
Tu me portais tellement d'attention, je ne sais même pas si tu me considères comme une amie, je me sens si bien avec toi, que j'ai peur de me lacher, de t'avouer, de me donner, partager n'est pas dans mes possibilités. Jalouse, oui surement mais pour avoir tant souffert par le passé, je ne survivrai pas de recommencer.
J'espérai te retenir sans rien t'offrir c'était peine perdue et me voilà seule à nouveau, cette solitude qui est mon amie depuis bien trop longtemps se réjouit de ma peine et m'encourage à partir loin de toi.



De rage, je froissais le parchemin et sautant sur la croupe du cheval, je filais droit devant à bride rabattue.



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Saamsara


Je ne rentrais qu'au petit matin, la nuit à parcourir la Savoie m'avait vidée mais détendue, j'entrais dans la grange, Crin blanc était écume, je le séchais avec la couverture me servant à dormir, je n'avais qu'elle sous la main. Après m'être occupé de lui je pouvais me rafraîchir, je décidais de violer l’antre du vieux pour y trouver de quoi me nourrir et me laver.

Je poussais la porte et pénétrais dans la grande pièce ornée de la table au mille pouvoirs. Je souriais. Sans l'intention réelle de fouiner, j'ouvrais quelques placards et y trouvais des biscuits rassis, un portrait de sa dame décédée, je restais médusée devant sa beauté. Elle aussi avait dû voir chez cet homme autre chose qu'un vieux ridé et édenté. Je reposais le tableau peint par lui surement et jetais un oeil pour voir si le dessin qu'il avait ébauché de moi la veille était là.

Il était resté sur la chaise que Kéki avait abandonnée pour venir me caresser, j'eu un frisson au souvenir, prenais le dessin, le regardais et ne me reconnaissais pas trop. Il me voyais comme ça, je le détaillais, perplexe en croquant dans les biscuits très durs.

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Saamsara


Il était temps, temps pour moi de quitter cet endroit, je prenais le temps de tirer un peu d'eau du puits pour me rafraîchir avant la longue route menant au monastère.

Crin Blanc, reposé, semblait excité par le départ, j' eu peine à le monter malgré la douceur de mes mots dans son oreille.

Un fois sur sa croupe, après avoir vérifié que le moulin était bien fermé, je lançais un ALLEZ CRIN BLANC et une talonnade et nous disparaissions en quelques secondes dans la forêt de Bourg.

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Kekione
KEKIONE était de retour au moulin.
Il était passé chercher Aël.
Le petit lui avait fait la fête à son arrivée ce qui mettait toujours en joie le vieux bonhomme.
Alors que le bambin lui racontait ses quelques jours sans lui avec force babillage, le vieux tournait en rond à la recherche d'il ne savait quoi...
Il finit par s'arrêter car il sur que ce qu'il cherchait n'était plus là... Saamsara.
Le vieux bonhomme se demandait s'il était possible d'avoir 2 fois autant de chance dans une même vie.
Il soupira.
La jolie Melisse ne le laissait pas insensible non plus. Et, de plus, il la sentait prête à tout.
Le gribouilleur se prit la tête entre les mains et soupira longuement.
Après un moment de réflexion, il se leva, prit Aël par la main, et d'un pas décidé sortit de la bâtisse.
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Saamsara


Je traînais un peu avant de rejoindre le coin du lavoir et passant devant le moulin, assise en amazone de Crin blanc qui allait d'un pas lent, mon coeur battait la chamade. Qu'il était difficile de ne pas me laisser aller au plaisir de retourner dans la grange du vieux. Le cheval tourna dans la petite allée qui montait vers la grange, je restais silencieuse, l'envie me tenaillais, mais la raison sans m'avertir reprit le dessus et un cri "HUE" fit sursauter ma monture qui fila au trot vers le lavoir. C'était ma voix mais mon coeur disait non, je laissais faire tristement .

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Kekione
KEKIONE était submergé de travail depuis sa nomination en tant que héraut.
Entre son travail sur les cartes du Duché et les commandes à la roulotte le vieil homme n'avait plus une minute à lui.. et pour Aël.
Le pauvre bambin ne le voyait presque plus.
Par chance, le gribouilleur avait trouvé une nourrice complaisante et gentille... mais laide comme un pou. L'artiste se demandait d'ailleurs comment elle avait fait pour être aussi horrible. Mais comme elle était d'une grande gentillesse et peu coûteuse, il s'en accommodait. De plus, il ne la voyait qu'en coup de vent le matin et le soir. Ses yeux pouvaient supporter ses énormes verrues et sa quasi barbe durant quelques instants.

Ce jour-là, KEKIONE avait décider de faire une surprise à Aël.
Il ne l'amena pas chez la "sorcière" et n'alla pas travailler.

Aël !
Aujourd'hui, tous les 2, nous allons fabriquer un jeu que tu vas adorer.


Il entraina le gamin dans la grange à la recherche d'une planche pas trop grande et plutôt solide. Il fit alors 2 trous de chaque côté.
Ensuite, armé d'une longue corde, il prit l'enfant par la main et ils allèrent au fond du jardin sous le pommier.
Le vieux fit passer la corde plusieurs fois par dessus une branche forte qui s'avançait et dans les trous de la planche.
Il se recula et admira son travail.

Et voilà !
Une balançoire.


Le gribouilleur fit monter le bambin sur le jeu et commença à le pousser.
Aël criait d'excitation.

Tiens-toi bien !
Je te pousse plus haut.

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--Ael_de_niv_de_sparte


Aël faisait des bonds dans la maison, jouant à l'épée contre les meubles, un besoin de défoulement, le gamin s'ennuyais fortement avec la vilaine dame pas belle. Quand son papa d'adoption lui annnonça qu'il allait lui consacré une journée entière, il lui sauta au cou en le serrant fort.

Tu sais ma maman elle me manque fort mais toi je t'aime fort.

Un jeu, oui un jeu, un jeu.

Il reprit ses bons et suivait Kio pas à pas, du haut de ses petites jambes de trois années déjà, il le suivait jusqu'à la grange, épiant chaque geste, patientant gentiment sans un mot.

Puis vint l'instant ou le vieux grimpant au pommier attacha une corde, l'enfant était bouche bée, attendant toujours le nouveau jeu, ne comprenant pas ce que le vieux voulait faire. Puis, il le posa sur la planche, les mains du petit s’agrippèrent aux cordes, pas rassuré, il se sentit balancer. Un large sourire se dessina sur son visage, cette nouvelle sensation semblait lui plaire.

Plus haut, plus haut.
Kekione
KEKIONE arriva tant bien que mal au moulin, soutenant Saamsara aussi ivre que lui.
Ils pénétrèrent dans la pièce principale et le vieux bonhomme lâcha la jeune femme sur le sofa.

Je prépare l'eau... -HIPS-... chaude pour le bain de ma jolie Demoiselle toute... -HIPS-... peinturlurée magnifiquement par mes... -HIPS-... soins.
Saaaaaaamsara...
T'endords pas ! Hein !... -HIPS-...


Le vieux vida 2 sceaux dans un gros chaudron qu'il poussa sur le feu presque mort.
Avec de grands efforts pour marcher droit, il prit de bûches pour relancer le feu et s'activa, avec succès, à le faire crépiter.

Ah, ah... -HIPS-... pas si saoul le vieux !

Il riait fortement.

Saaaaaaaaaaaaaaamsaraaaaa..
Viens... -HIPS-...voir la baignoire !


Il aida la jeune femme à se lever et la traîna jusque dans la pièce, à l'arrière où se trouvait le bain.

Voilà !

Le gribouilleur fit un geste théâtral pour montrer l'endroit qui le déséquilibra, entraînant la jeune femme dans sa chute. Il se trouva allonger sur elle de tout son long.
Immédiatement, son désir se manifesta par une grosseur conséquente sous son ventre.
Il resta ainsi un moment puis tenta de se relever.
Une fois debout, il aida Saamsara.

Saaaaaaamsara...
... -HIPS-... Je remplis le baquet... toi... -HIPS-.. à poil !

_________________
Saamsara


Je me laissais porter, il m'aurait été impossible de marcher seule, si marcher est le bon mot pour nos deux corps se mouvant tant bien que mal, trébuchant sur les cailloux. Je m'accrochais à lui comme une arapède à son roche, lui souriant bêtement, riant, j'étais au delà de toute possibilité de m'extraire de ses bras.

Je me sentais tomber sur le sofa comme une sac de blé mal rempli. Mes yeux cherchaient à se fermer.


DORMIRRRRRRRRRRR

Je prenais un cousin dans mes bras, remontait mes jambes en chien de fusil lorsqu'il me secoua d'un cri.

grrrrrr HIPS*

Il m'arracha à mon cousin et je grognais et il riais et plus il riait et plus je grognais.

DORMIRRRRRRRRRRR

Il parvenais à me tirer jusqu'au baquet et dans un pas encre moins sur que les précédents il s'affala sur moi. Je restais allongée sous lui, faisant une mimique comique et coquine. Je sentais son anatomie emplir son pantalon, collé à mon bas ventre, mes mains allaient le caresser quand il se releva. Je fit une moue déçue et marmonnais

Pas juste, trop pas juste hips*

Assise sur mon derrière, je le regardais
A poêle qu'il disait, a poêle.


Pourquoi faire les poêles, hips*, c'est une marmite ça ?


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Kekione
KEKIONE partit d'un éclat de rire.

Noooooooooon..
...-HIPS-... toute nue...
Tu vas pas de baigner avec tes haillons ?


Le vieux se mit à s'agiter en tout sens, sortant avec 2 sceaux vides et revenant avec 2 pleins qu'il vidait dans le baquet.

Toujours pas enlever...-HIPS-... ce torchon ?

Le gribouilleur sortit une fois encore pour vider 2 nouveau sceaux dans le bain.
Il disparut ensuite dans la cuisine et revint avec 2 sceaux fumants.
Aussitôt fait, il ôta lestement tous ses propres vêtements pour se retrouver nu comme un ver.
Il s'approcha de la jeune femme pour l'aider.
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Saamsara


Nueeee ? Toute nueeeeeeeeeee, hips*.

Je dodelinais de la tête, plutôt ma tête dodelinait sans moi. Il s'approcha et je levais les yeux vers lui, et ma bouche tomba ouverte. J'étais figée sur la chose, la vue d'une merveille pareille me laissait sans voix, comme si ma cuite avait disparu, je rougissais et pour cacher comme je pouvais mon plaisir à voir la beauté cachée de cet homme je me levais avec son aide

AH non non, pas toute nue, je suis pas une catin hips* moi.

Je trébuchais en m'avançant vers le baquet, levais une jambe au dessus du bord et me laissais tomber dans l'eau.

AHHHHHHHHHHHHHHHH, C'EST BOUILLANTTTTTTTTTTTTTTTTTT

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Kekione
KEKIONE rit de la voir s'effondrer dans la bassine.
Le vieux entra à son tour dans le baquet sans tomber, lui.
Il releva la jeune femme.

C'est pas chaud...-HIPS-...

Il regardait le jeune femme, qu'il avait déjà vue nue sur la table de sa cuisine, mais, la vision de ce corps recouvert d'un haillon trempé et transparent qui lui collait au corps fit monter en lui une bouffée de chaleur et une érection instantanée.

Tu es...
...-HIPS-...
Tu es... tellement belle.


Le vieux entreprit de lui retirer le tissu qui la recouvrait et le jeta au loin.
Le contact de la peau de la jeune femme contre ses doigts ne fit qu'augmenter son désir.
Le sexe dressé vers le ciel, il prit une éponge et se mit à caresser les cuisses de Saamsara pour lui enlever la peinture qu'il y avait déposé quelques heures auparavant.
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Saamsara


Je sentais l'éponge me caresser les cuisses, un sourire béa aux lèvres, je lui susurrer

C'est bon ...hips* ...hein que c'est bon... hips* ...un bain ?

Je glissais mes mains doucement sur ses épaules, effleurant sa peau, mes doigts remontaient dans sa nuque, mon regard cherchait le sien qui se concentrait sur les taches de peinture de mon corps.

Tu sais que je...

Je me baissais et prit de l'eau pour la faire glisser sur son corps en riant

...t'es ...hips*... pas si vieux quand même quand on te vois nu.

Je pris sa main et la mettais sur mon sein et ma bouche venait chercher la sienne doucement, mes lèvres n’obéissant qu'à elle même, mon cerveau ne commandant plus rien, dégustèrent les siennes sensuellement.

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Kekione
KEKIONE pétrit délicatement le sein où elle y avait posé sa main.
Il fit glisser sa langue contre la sienne pour un baiser doux et tendre.
Avec son autre main qui tenait toujours l'éponge, il enserra sa taille pour l'amener tout contre lui.
Il fit son baiser plus pressant et la tint plus fermement, frottant leur 2 corps avec douceur.
Le contact de sa toison contre son membre raide lui donna la chaire de poule.

Il se recula très légèrement pour la regarder.

J'ai tellement envie de toi.

Il se colla a nouveau à elle, l'embrassant avec fougue et la caressant avec douceur.
Le vieux ne sentait plus son âge.
Il avait à nouveau 20 ans.
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Saamsara


Je me laissais aller, je sentais tout mon corps en émoi, seul le plaisir comptait, j'avais oubliais que le vieux Keki ne voulait que mon corps et moi je jouais comme si il était amoureux. J'aimais à croire que cet homme serait capable de m'emporter dans une passion folle, une passion qui durerait une éternité, une passion de sentiments et de jouissance partagée.

Ma bouche le dévorait maintenant sensuellement, chaque centimètre de peau, je glissais sur son corps, montant et descendant, m'arrêtant sur son ventre, mes mains le caressaient et ...

mon pied dérapa au fond du baquet et je tombais la tête dans l'eau, le cul en l'air, buvant cette eau chaude, n'arrivant pas a me relever, je lui agrippais un pied, j'étais en train de me noyer.

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