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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Kekione
KEKIONE, encore ivre, ne réagit presque pas lorsque la belle chu la tête la première dans le baquet.
Il observait avec admiration ses deux fesses qui pointaient vers lui.

Quel cul !

Le vieux s'apprêtait à attaquer sauvagement l'arrière-train de la belle lorsque ces esprits revinrent.
Il la souleva hors de l'eau pour la faire respirer.
Saamsara avait du mal à reprendre son souffle.
Il l'assit au fond de la bassine et s'agenouilla sur les cuisses fermes de la jolie voyageuse.

Respire Saam !
Respire !


Le gribouilleur avait totalement perdu son hoquet.
Il prit son visage entre ses mains toutes ridées et embrassa cette magnifique femme avec douceur et passion.
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Saamsara


J'avais du mal à reprendre mon souffle, à peine une bouffée d'air prise que Kéki recommença à m'étouffer d'un baiser long, langoureusement il me fit tourner la tête au point de me réveiller sauvagement de ma noyade.
Je l'enlacer passionnément, mes mains se déchaînaient sur lui, ma jambe remontait contre la sienne , nos deux intimités se caressaient l'une contre l'autre. Il titubait sur le fond de la baignoire, essayant de me tenir, glissante, aimante, amante, je le dévorais goulûment.

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Kekione
KEKIONE frémit lorsque Saamsara répondit à son baiser par une étreinte sans équivoque.
Le vieux bonhomme se retourna pour s'assoir au fond du baquet, le dos appuyé contre un bord, la jeune femme maintenant agenouillé devant lui.
Il admirait le visage angélique de cette femme qu'il ne connaissait pas, mais qui avait éveillé en lui un désir immense.
Il posa une main sur un sein ferme et rond et le pétrit délicatement.
De son autre main, il fit avancer le bassin de la belle jusqu'à buter sur sa virilité dressée et vibrante.
La guidant gentiment, il l'amena à s'empaler et un gémissement de bonheur sortit de leur 2 bouches en même temps.
KEKIONE se laissa aller à la volupté du moment pour donner à cette femme tout l'amour qu'il ressentait à cet instant.
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Saamsara


L'effet de l'alcool s'atténuant, je profitais pleinement des échanges amoureux, sensuels, sauvages, entraînant mon nouvel amant hors de l'eau, nous nous découvrions langoureusement, tantôt sur le plancher humide, tantôt sur le sofa, finissions sur la table de la cuisine, tous les endroits du moulin ne suffisaient plus pour assouvir la soif mutuelle de sexe que nous éprouvions. Ce vieux gribouille cachait bien son jeu sous une apparence de vieux, il aura été le plus merveilleux amants que je n'ai jamais eu, attentif à mon plaisir, évoluant comme si il lisait mes pensées, ma jouissance était orgasmique à chaque fois.

Je l'aimas, je l'aimais sincèrement au moment présent, je me sentais femme enfin à nouveau. Je savais que mon départ était imminent et je chassais cette pensée chaque fois qu'elle essayait de violer mon cerveau, me relançant plus passionnément dans un nouvel ébat.

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Kekione
KEKIONE, allongé sur le corps de sa nouvelle merveilleuse amante, sur la table de la cuisine, avait du mal à retrouver son souffle.
Il restait bien profondément en elle, finissant de jouir longuement.
Il l'embrassait dans le cou. Elle sentait bon la sueur et le sexe.

Alors que le temps semblait suspendu, il se laissa glisser lentement hors d'elle, leurs 2 corps en nage faisant ventouse. Son pénis glissa hors de sa belle laissant des milliers de futurs Kio se répandre sur le sol.

Il se mit sur ses pieds, à côté de la table et souleva la jeune femme qu'il prit dans ses bras.
Il la porta jusqu'à sa couche et la couvrit de quelques peaux pour qu'elle ne prenne pas froid. Il s'allongea à côté d'elle en l'embrassant et en lui susurrant des mots doux.
Durant la nuit, il lui fit encore l'amour jusqu'à épuisement.
Il savait qu'elle allait partir et il voulait en profiter le plus possible.
Avant de s'endormir il lui glissa à l'oreille.

Reviens-moi Saam !
S'il te plaît !

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Saamsara


La nuit passa trop vite, bien trop vite, il me fallait partir, loin, et sans savoir si retour l y aurait, mon corps emplie enore de lui, je m'habillais au petit matin le laissant endormi et me répétant ses mots

Reviens-moi Saam !
S'il te plaît !


Je souris en le regardant, posais un dernier baiser sur ses lèvres et fuyais sans me retourner tellement l'envie de l'étreindre encore était vive.

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--Le_rosier






Le jardin était entouré d'une haie de noisetiers et au-dehors s'étendaient des champs et des prés. Au milieu du jardin fleurissait un rosier, et sous le rosier vivait un escargot. Et qu'y avait-il dans l'escargot ? Eh bien, lui-même.
- Attendez un peu que mon temps arrive ! disait-il. Je ferai des choses bien plus grandioses que de fleurir, porter des noisettes ou donner du lait comme des vaches et des moutons.
- A vrai dire, j'attends de vous de grandes choses, approuva le rosier. Mais puis-je vous demander quand les ferez-vous ?
- Je prends mon temps, répondit l'escargot. Vous êtes toujours si pressé. Attendre est plus excitant.
Un an plus tard, l'escargot était presque au même endroit sous le rosier et se réchauffait au soleil. Le rosier eut beaucoup de boutons cette année-là, qui devinrent des fleurs toujours fraîches et toujours nouvelles. L'escargot s'avança.
- Tout est exactement comme l'année dernière. Aucun progrès nulle part. Le rosier a toujours ses roses, cela ne va pas plus loin.
L'été passa, l'automne aussi et le rosier avait toujours ses boutons et ses fleurs et il en eut j'usqu'à la première neige. Le temps devient froid et pluvieux. Le rosier se pencha et l'escargot se cacha sous la terre. Puis, une nouvelle année commença et réapparurent et les petites roses et l'escargot.
- Vous êtes déjà vieux, Monsieur le rosier, dit-il, vous devrez bientôt penser à dépérir. Vous avez déjà donné au monde tout ce que vous pouviez. Que cela ait servi à quelque chose est une autre question, je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir. Mais il est évident que vous n'avez rien fait du tout pour votre épanouissement personnel sans quoi vous auriez produit bien mieux que cela. Vous mourrez bientôt et vous ne serez plus que branches nues.
- Vous m'effrayez, dit le rosier. Je n'y ai jamais réfléchi.
- Evidemment, vous ne vous livrez jamais à la réflexion. N'avez-vous jamais essayé de comprendre pourquoi vous fleurissiez et comment seulement cela se produit ? Pourquoi cela se passe ainsi et pas autrement ?
- Non, répondit le rosier. Je fleurissais joyeusement, car je ne pouvais pas faire autrement. De la terre montait en moi une force, et une force me venait aussi d'en haut, je sentais un bonheur toujours neuf, toujours grand, et c'est pourquoi je devais toujours fleurir. C'était ma vie, je ne pouvais pas faire autrement.
- Vous avez mené une vie bien facile, dit l'escargot.
- En effet, tout m'a été donné, acquiesça le rosier, mais vous avez reçu encore bien davantage ! Vous êtes de ces natures qui réfléchissent et méditent et vous avez un grand talent qui, un jour, étonnera le monde.
- Ce n'est absolument pas dans mes intentions, répondit l'escargot. Le monde ne m'intéresse pas. En quoi me concerne-t-il ? Je me suffis amplement.
- Mais nous tous, ne devrions-nous pas donner aux autres le meilleur de nous- mêmes ? Apporter ce que nous pouvons ? Je sais, je ne donne que mes roses, mais vous ? Que donnez-vous au monde?
- Ce que j'ai donné ? Ce que je lui donne ? Je crache sur le monde ! Il ne sert à rien ! Je me fiche de lui ! Vous, continuez à faire éclore vos roses, de toute façon vous ne savez pas mieux faire. Que le noisetier donne ses noisettes, les vaches et les brebis leur lait, ils ont tous leur public. Moi, je n'ai besoin que de moi.
Et l'escargot rentra dans sa coquille et la referma sur lui.
- C'est bien triste, regretta le rosier. Moi, j'ai beau faire, je ne peux pas rentrer en moi, il faut toujours que je forme des boutons et que je les fasse éclore. Les pétales tombent et le vent les emporte. J'ai vu pourtant une femme déposer une petite rose dans son missel, une autre de mes roses a trouvé sa place sur la poitrine d'une belle jeune fille et une autre reçut des baisers d'un enfant heureux. Cela m'a fait bien plaisir, un vrai bonheur. Voilà mes souvenirs, ma vie !
Et le rosier continua à fleurir dans l'innocence et l'escargot à somnoler dans sa petite maison, car le monde ne le concernait pas.
Des années et des décennies passèrent. L'escargot et le rosier devinrent poussière dans la poussière. Même la petite rose dans le missel se décomposa ... mais dans le jardin fleurirent de nouveaux rosiers et à leurs pieds grandirent de nouveaux escargots ; ils se recroquevillaient toujours dans leurs maisons et ils crachaient ... le monde ne les concernait pas. Allons-nous relire cette histoire une nouvelle fois ? ... Elle ne sera pas différente.


L'Escargot et le Rosier
Conte d'Andersen
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Kekione
KEKIONE passait des journées bien mornes.
Un train-train quotidien qui ne lui plaisait guère.
Surtout, il avait pris goût à une présence féminine... et depuis plusieurs semaines... son charme semblait ne plus agir.
Dépité, il sortit une bouteille de génépi et entreprit de lui faire un sort.
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Kekione
KEKIONE arriva au moulin en tenant le petit Aël par la main.
Ils discutaient avec entrain de la manière de tuer une guêpe.

Pour moi, je te le répète, rien de mieux qu'un torchon pour l'étourdir puis un bon coup de talon lorsqu'elle est au sol.
C'est vicieux ces bêtes là.


Le vieux bonhomme ouvrit la porte et jeta le baluchon du bambin sur la table.

Allez !
Tout nu pendant que je remplis la bassine.


Le gribouilleur prit les sceaux déjà là, mais du retourner 2 fois au puits pour qu'il y ait assez d'eau pour laver Aël.
KEKIONE giclait l'enfant en lui disant de bien frotter entre les orteils, derrière les oreilles ou tout autour des genoux.
L'eau devint vite noire.

Viens Aël !
On va te rincer dans l'eau du ruisseau du moulin... ce serra un peu froid... mais propre, au moins.

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Ael_deniv_desparte
Aël, s'exécuta, il fit tomber sa braie et sa chemise et grimpa dans le baquet en haillon, attendant que Kékione remplisse le contenant.

Tu zé, suis pas un tio moi sais me lavé tout seul m'tnant. Et suis fort,pas peur de rien.


Le premier seau était versé, et Aël éclatant de rire, éclaboussa son "père" lorsqu'il lui tourna le dos pour aller remplir le deuxième seau au puits.
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Kekione
KEKIONE emmena le gamin au ruisseau qui faisait tourner la roue du moulin.

Plonge la dedans et rince-toi bien !

Une fois finit on ira faire une tarte aux pommes.

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Gaetan_hannibal
Gaetan passant près du ruisseau, prit de l'eau dans ses mains puis s'aspergea de ce liquide incolore sur la tête. Il faut dire qu'il avait bien marché. Il s'asseya pour se reposer de cette trotte. Voyant deux personnes un peu plus loin, il les interpella.

Bonjour!!!
Ael_deniv_desparte
Le gamin heureux qu'on le prenne pour un grand s'exécuta et trempas dans le ruisseau. Se frotta, frotta en se peler la peau. Une fois fini, il regarda Kékione.

JZe peu zortir ?

Un homme les avait rejoins que l'enfant ne connaissait pas, il posa sa main sur son anatomie et attendit que les grands parlent.

Il pensait à Vit et ne sentait pas le froid lui colorer les lèvres en violet.
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Kekione
KEKIONE riait en regardant le gamin se frotter avec force.

He ! T'arrache pas le peu de peau que tu as sur les os !
Allez, sors !
Tu vas attraper la mort.


Le vieux se tourna alors vers l'homme qui les avait interpeller.

Bien le bonjour.
Je ne crois pas te connaitre... tu es nouveau à Bourg ?

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Gaetan_hannibal
Gaetan sourrit au vieil homme.

Oui, ça ne fait pas longtemps que je vis ici à Bourg. Ca a été un plaisir de vous rencontrez vous et votre petit-fils je suppose... Vous êtes d'ici depuis longtemps vous?
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