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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Valentine.


Tine avait prit la commande de Kironi, elle se dit qu'elle avait du pain sur la planche (hihi) enleva les deux bébés du pétrin les confia à l'élève et lui demanda de les emmener chez Ana.

Après être libre de toutes charges maternelle, elle grimpa dans sa chambre, échangea sa tenue de maire contre celle de boulangère, un haillon blanc, un linge retenant sa chevelure, entortillait dans ses cheveux les remontant en un chignon lui dégageant la nuque, elle redescendit les marches quatre à quatre et pieds nus. Son grand plaisir dans sa boulangerie, le contact du sol froid et de la farine lui chatouillant la plante des pieds.

Elle sortie prendre au moulin deux énormes sacs de farine sur un vieux chariots confectionné par elle même, il était bien pauvre le chariot une roue plus petite que l'autre mais il roulait, le principal.

Elle versa la farine dans le pétrin, mis la levure qu'elle réservait dans un petit cruchon, et versa l'eau fraichement tiré du puits et tiédie à température.
A bout de bras penchée sur le pétrin elle commença à malaxer le tout minutieusement, ses pensées partirent vers son homme, qui surement devait s'acharner sur un arbre en espérant qu'elle est laissé assez de haches, et se mit à chanter une mélodie d'amour, souriant et brassant sa mixtture au rythme de sa chanson.

Elle vivait dans un château du Moyen-Âge
Entouré par les créneaux et la forêt
Les princes la demandaient en mariage
Un pauvre garçon chantait à ses côtés

Et la princesse le regardait
Et la princesse rêvait
Elle était belle comme le jour
Mais bien trop belle pour un troubadour

Je ne dirai pas la fin elle est trop triste
Les princesses on le sait bien sont pour les rois
Elle devint une reine au regard triste
Pleura pendant trois semaines et l'oublia
C'est mon histoire pourtant
Elle était belle comme le jour
Mais bien trop belle pour un troubadour.

Kekione
Sa belle ne le voyant toujours pas, le vieil homme se laissa glisser jusqu'au sol et resta assis contre la poutre à la regarder et à l'écouter chanter.

Au bout d'un moment il se mit à siffloter l'air qu'entonnait sa belle.
--_elevedumaitre
La bourgmestre prit les deux enfants qu'elle avait soigneusement callé dans le pétrin et les tendit à l'élève.
elle lui demanda de les mener chez Anna, non loin de sa résidence.
Thimotée prit tendrement les bébés, un chaque bras et se rendit chez la dite Anna.

je vais l'aider à s'organiser dame, si vous avez besoin de quelque chose, vous saurez où me trouver.

l'élève lui fit le plus grand des sourire et s'en retourna, berçant les deux petits qui gazouillaient entre eux.
Valentine.


Elle chantonnait, malaxant, façonnant, modelant, la pâte prenait forme.

Les reins courbés sur le pétrin, campée sur ses pieds nus, son haillon lui couvrant à peine ce qu il fallait pour être moins que nue voletait au rythme du pétrissage. La farine rajoutée par volées sur la pâte s'éparpillait la recouvrant d'un voile blanc léger.

Son oreille entendit un sifflotement bien connu, sans se retourner, elle sourit largement, sentant un frisson la parcourir, s'attendant à tout moment de sentir ses mains se poser sur elle.
Kekione
KEKIONE n'en pouvait plus de se retenir de lui sauter dessus.
Elle le provoquait, c'était sure.
Il voyait le bas de ses fesses poindre sous le tissu trop court.. son excitation était trop forte, il se leva.
Il s'approcha doucement d'elle et passa ses bras autour de son ventre.
Il l'embrassa dans le cou.

Bonjour mon amour.

Il caressait son ventre, ses seins, ses hanches...

Tu es terriblement excitante quand tu pétris.

Et lui-même, pétrissait avec douceur...
Valentine.


Tine ferma les yeux le rire au bord des lèvres, se tourna vers on homme l'embrassa à tout rompre.

Tu étais là mon cœur?

Un rire coquin, elle s'assied sur le rebord du pétrin, l'attirant tout contre elle, glissant ses jambes autour de sa taille, ses bras autour de son cou



le gros rideau rouge se ferma sur eux et ce qui se passa après ne fut pas raconté
--Lebossu
Ah bon !

Dommage !


J'aurai bien aimé savoir de quoi était capable le vieux.
Valentine.


Tine après de très longues minutes reprit sa fournée de pain, les joues rougies par l'amour, son homme était allé cherché de quoi les désaltérer.

Elle s'approcha de la fenêtre du fournil et aperçut un bossu, elle se précipita à la porte


EH ALORS VOYEURRRR FILEZ OU JE VOUS ROSSE.
--Lebossu
Le bossu parti en courant.
Il riait.
Jamais il n'avait vu étreinte plus torride.
Cette femme, quelle beauté, quelle tornade, quel feu.
Et ce vieux, quelle énergie pour son âge.
Ses braies en étaient toutes humides.
Kekione
De retour avec des rafraichissement, KEKIONE, toujours en nage, vit sa belle en train de crier des menaces à quelqu'un.

Ca va mon cœur ?
Un problème ?
Valentine.


Sourit en voyant son KIO arriver

MMMMM j'ai soif et j'ai faim cœur. OH Un voyeur, rien de grave il est parti en courant.

Elle l'embrassa amoureusement avant de se mettre au travail, la commande de Kironi devrait être prête pour le jour dit.
Kekione
Le vieil homme s'assit en chemise sur une chaise et regarda sa belle s'activer.
Il admirait ses jambes fuselées, son fessier rond et cambré, sa taille fine malgré les naissances, ses bras forts et surtout sa nuque blanche.
Il avait pour sa belle tant d'amour.

Ma mie !!
Tu es la plus belle femme que je n'ai jamais vu.
Tu es un ange.


Il resta là, à la regarder faire.
Il ne pouvais quitter un spectacle aussi merveilleux.
Valentine.


Le pain avait été livré, la messe dite, et les jours coulaient heureux.
Ce matin, Tine se leva à l aube, elle avait une longue journée devant, mais ouvrant les yeux elle eut un large sourire en pensant à son homme qui déjà devait taper son arbre. Il était Burgien et c'est la première pensée qui lui accrocha un sourire permanent sur les lèvres. Elle sauta du lit et fit les choses encore plus vite qu'à l'accoutumé, le temps était compté et elle aurait voulu passer au bois pour embrasser son KIO avant de disparaître jusqu'au soir.

Au cas ou elle ne puisse, elle lui laissa un mot sur la table.


Citation:
Mon Amour, L'homme qui rend ma vie aussi belle,

Je file comme prévu, je te retrouve ce soir,
Je t'aime plus que tout.

Ta Tine, ta maîtresse
Kekione
KEKIONE se réveilla de très bonne heure.
Le froid prenait toute la pièce.
Il frissonna quand il sortit du lit. Son corps nu se crispa à la morsure du gel.
Les carreaux étaient opaques, recouverts de gel des 2 côtés.
Le vieil homme enfila ses vêtements à toute vitesse. Il mit directement sa pelisse et se couvrit de ses couvertures multicolores.
Il alla dans la pièce à vivre et entreprit de relancer le feu.
Pendant que celui-ci commençait à crépiter, il se coupa un gros morceau de lard qu'il allait mâcher pendant des heures. Le gras lui donnerai de l'énergie.
Il s'assit devant les flammes de la cheminée pendant un long moment afin de bien se réchauffer.
Il savait depuis son plus jeune âge qu'il ne fallait jamais sortir au froid en ayant déjà froid. C'était l'assurance de finir gelé.
Lorsque tout son corps, de ses orteils au sommet de son crâne chauve fut réchauffé, il se leva, alla à la table et gribouilla sur un morceau de parchemin.

Citation:
Hier soir, j'ai aimé un ange.
Ce matin, je suis au paradis.
Ce soir, je me réjouis de me retrouver sur notre nuage.

Tu es ma toute ma vie, ma Tine.
Je t'aime.


Il passa une écharpe par dessus son crâne et sur ses oreilles et sortit.
Valentine.


Tine ce matin là avait décidé de rester un peu au moulin, elle fila comme l'éclair en mairie pour porter des haches à la forêt et faire le minimum en paperasse, une seule envie en elle s'occuper d'elle et de son moulin pour préparer l'arrivée de son homme au soir.

Elle revint et la tête dans les étoiles, les pieds sur son nuage, elle s'emmitoufla dans de douces écharpes qu'elle avait tissées pour aller ramasser quelques serments de bois, se promener un peu pour faire le point sur sa vie.

La nature était si belle, la neige l'avait recouverte la veille et à demi fondue, formait des dessins sur le sol laissant deviner ou imaginer quelques formes bizarres dans les champs. Tine y voyait des présages, elle aimait à se faire un monde à elle, un monde comme elle le voulait, beau et plein d'être d'amour. De ci de là un rouge gorge, une bergeronnette lui tenait compagnie, son fagot augmentait peu à peu, ses joues rougissaient a l'impact du vent du nord qui commençait à forcir.

Ses pensées allèrent vers sa fille, elle avait encore du mal à se résoudre à lui laisser faire sa vie de jeune femme, son cœur se serrait de ne pas la voir mais sa raison se félicitait de la savoir si courageuse à la tâche, une hache par ci, des couteaux par là, elle allait bon train sa forge. Elle était fière de sa petite Rasmo et inquiète de savoir qu'elle pouvait trouver de mauvais hommes sur son chemin.

Un long soupir, un coup de botte dans un caillou placé en travers de son chemin et la voilà partie chez Ana ou son petit Aël avait été confié, elle ne l'avait pas vu ou si peu lors de courts passages pour lui donner la tétée, bonne excuse, plutôt permettre à Tine de dégonfler ses seins trop pleins qui lui faisaient si mal malgré les succions régulières que son homme prenait immense plaisir à faire.
Elle délaissait son enfant et elle le savait, elle en avait pleine conscience et se le reprochait tous les jours, se promettant d'aller le chercher tous les soirs mais comment arriver à allier le temps pour la mairie, et assouvir l'envie de leurs longues soirées amoureuses et passionnelles. Un enfant en bas âges changeait forcement l'ambiance de moments privilégiés à deux.
Ses yeux se mouillaient de honte, elle marchait en se flagellant les jambes d'une branche ramassée plus tôt, se faisant mille reproches, prenant milles résolutions sages qu’elle saurait ne pas tenir. Et puis Ana s'en occupait si bien, aidée par Thimothée qui finirait bien par s'amouracher d'elle, ce jeune homme était très bien et Ana méritait vraiment d'être aimée. Se rassurant par ces dernières pensées, elle retrouva un large sourire en pensant à son homme.

Le bonheur total entre eux, ils en étaient surpris tous les deux à chaque seconde, un amour jamais vécu, aussi fort qu'un volcan, aussi tendre et doux que la caresse d’une plume, un amour indescriptible tellement jamais connu.

Elle revivait en balançant son pas de droite et gauche à ses moments ou ils aimaient à se surprendre l’un l’autre, à leurs étreintes bouillantes ou il la rendait folle au point qu’elle se donnait toute entière comme jamais, ses cris retentissants et résonnants dans le moulin. Elle frissonnait sentant ses mains la parcourir comme si il était près d’elle, fermait les yeux un instant pour ressentir pleinement le souvenir de l’embrasement, l’excitation de leurs ébats acrobatiques souvent.
Elle l’aimait plus que tout pour son attention, sa douceur, sa tendresse, ses moments langoureux ou plus rien n’existait qu’eux, les yeux dans les yeux.

Aie

La ramenant à la réalité, une bogue de châtaignes bien piquante venait de lui heurter le front.
Le soleil voilé par les nuages pleins de neige était déjà haut et elle devait rejoindre le moulin afin d’y réceptionner le baquet commandé au charpentier. Elle reprit le chemin du retour d’un pas décidé et énergique.



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