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[RP] Le Tit'Moulin à aube de KIO et Tine...Rasmo...Aël......

Kekione
KEKIONE était en train de se battre avec les petites jambes de Aël qui gigotaient dans tous les sens pour l'empêcher de le changer lorsqu'on frappa à la porte.

Il emballa le bébé dans une couverture propre et alla ouvrir.

Melisse !
Les enfants !
Rentrez !


Il se mit sur le côté pour laisser passer la petite famille.

Je suis en train de changer le p'tit... c'est du sport.
Il est vif.


Le vieil homme repose le bébé sur la table et termine de le langer.

C'est gentil d'être venu.

J'ai mis le linge sale dans un sac de toile à côté des latrines, je te le donnerai tout à l'heure.
C'est très gentil à toi de t'en occuper.


Le vieil homme la regarda.

Dis-moi !
Comment fais-tu pour qu'il ne gigotte pas tout le temps quand je le lange ?
Melisse


Melisse et les enfants s'engouffrèrent au chaud de la maison avec bonheur, elle déposa le panier et en sortit les petites choses qu'elle avait apportées.Abigail et Killian saluèrent Kio, retirèrent leurs manteaux et sourirent au petit Aël qui gazouillait sur les bras de Kio.

Ahh, tu as bien fait pour les couches, je les prendrai en repartant, fais moi penser, tu me connais je risque de repartir sans rien.

Mel sourit et retira sa cape, s'approcha de la table où Kio s'affairait avec le petit gigoteur.

Eh bien, Aël est en pleine forme à gigoter pareillement. Attends Kio,je te montre comment dompter ces deux petites baguettes vivantes.

Elle riait de bon coeur et prit la place de Kio en face du petiot, elle débuta une petite chansonnette toute douce en regardant le petit ange, plaça la couche sous ses fesses.

Là, Kio, pour la chanson tu peux aussi lui raconter une jolie petite histoire et tu poses une de tes mains au bas de ses jambes, tu passes le pan de la couche entre elles, puis un coté, et n'oublie pas, continue de lui parler de jolies choses ou de chanter, et hop, le deuxième coté de la couche et tu fermes tout. Voilààààà, petit homme tout bien au chaud tout propre.

Elle déposa plein de petits bisous sur les joues gourmandes d'Aël, qui profita d'agripper ses cheveux, le souleva et le prit dans ses bras en le berçant.

Voilà Kio, tu veux que je retire la couche et que tu essaies à nouveau.
Devant l'air de son ami, elle éclata de rire.

Allez, je te taquine, je suis certaine que tu t'en sors magnifiquement avec le petit, il est heureux comme tout avec toi. Par contre, si tu es fatigué ou si tu as du travail à faire, n'hésite pas à m'amener ce petit bout de chou, je le garderai avec plaisir en ton absence.

Je t'ai apporté un bon pain qui était encore chaud il y a peu et une tarte que les enfants m'ont aidé à préparer.

Mel rejoignit ses amours qui avaient pris place près de la table, sages comme rarement elle les voyait, certainement un peu timides encore de ne pas trop connaitre Kio. Elle les embrassa tous les deux.

Et bien mes petits anges, maintenant vous connaissez Kio, l'amour de notre Tine, vous verrez il est adorable.

Bien, Kio, dis moi si tu as besoin que je t'aide à quelque chose tant que je suis là, Abigail et Killian vont jouer un peu avec Aël, ils l'adorent, enfin si tu veux bien.

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Kekione
KEKIONE regarda faire Melisse sans rien dire, puis lui sourit quand elle eut fini.

En fait, c'est pas tant le pliage du lange qui me posait problème que ses petites jambes qui gesticulent en tout sens.

Une histoire ou une petite chanson, j'ai bien compris.


Le vieil homme s'assit à la table.
Il regarda ce que la jeune femme avait apporté.

Tout ceci m'a l'air excellent.
C'est très gentil de ta part de t'inquiéter de mon sort.. mais j'ai 60 ans de célibat derrière moi. J'ai donc quelques notions de survie... mais j'apprécie le geste, vraiment.


Le vieil homme rit.

Même s'il est vrai que mes capacités et mes connaissances en lessive et en puériculture sont plutôt réduites.
Merci, en tout cas !

Veux-tu un peu de tarte ?
Les enfants, un morceau de tarte ?


Joignant le geste à la parole, il commença à découper en part égale le gâteau.
Melisse


Mel accepta de prendre un petit bout de tarte avec Kio et les enfants en furent ravis.

Ils bavardèrent un bon moment, Kio était en manque de sa douce Tine, celà se ressentait tellement quand elle le regardait et l'entendait, mais il assumait fort bien en s'occupant d'Aël et bientot sa douce rentrerait.

Bon, cher Kio, nous allons devoir nous en retourner, je prends les couches en sortant et les ramènerai demain, si tu n 'es pas là, je déposerai le panier près de la porte.

Elle se leva, alla faire plein de petits bisous à Aël, bavouilla comme d'habitude généreusement les joues de Kio. Abi et Killian tendirent leurs petites mains pour lui dire au revoir aussi. Mel s'emmitoufla dans sa cape, les enfants dans leurs manteaux.

A très vite Kio et n'hésite pas comme je t ai dit, si tu as besoin de quoi que ce soit, tu sais où me trouver.

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Kekione
Le vieil homme bava plus qu'il n'embrassa les joues de Melisse, puis en aidant les enfants à s'habiller il la remercia.

Merci pour tes gentilles attentions Melisse.

Mais, je crois que je vais m'en sortir... et Tine ne devrait tarder maintenant.


Il les regarda partir, ferma la porte et se retourna vers le bébé.
Il le prit dans ses bras et le déposa sur le lit.
Il le chatouillait et le bambin riait comme un fou.

Tu as une bonne nature toi.
Tu rigoles tout le temps... pourvu que ça dure.
Valentine.


Tine entra doucement au moulin, sans bruit, pour surprendre son amour qui ne l'attendait pas ce jour.
Elle avait laissé ses amis à Chambéry, le manque était trop fort de ses amours, et les amis restant sur place étaient suffisamment nombreux.

Elle entendait son homme parlait à son Aël, émue, ses yeux se mouillèrent, elle s'approcha dans le dos du vieux gribouilleur, l'enlaça de ses bras et l'embrassa follement.


Comme vous m'avez manqué mes Amours, c'est le bonheur de vous retrouver enfin, il me semble que je suis partie des semaines.

Elle prit Aël dans ses bras, lui fit un énorme câlin, jeta un œil à son maillotage et sourit.

Tu es doué mon cœur on dirait.

Elle rit et ne put se retenir de l'embrasser encore et encore
Kekione
Surpris par sa belle, KEKIONE ne peut empêcher un cri.

AHHHHHHH !

TINE... mais c'est pas vrai.. tu veux ma mort.... mon pauvre cœur !


Lorsqu'elle le complimenta sur le langeage d'Aël, il fut bien obligé d'avouer.

Celui-ci c'est Melisse qui l'a fait pour me montrer comment maitriser les 2 petites gibolles du p'tit bonhomme que voici et qu'arrête pas de gesticuler.


En prenant soin de ne pas écraser le bébé, il embrassa follement et longuement sa Tine.

Tu m'as terriblement manqué mon cœur.

Le vieil homme souriait comme jamais.
Valentine.


OH mon bel amour, mon tendre amour, comme je suis heureuse de vous retrouver, vous m'avez tant manqué. Je t'aime tu as pas oublié. Tu sais la bas on était sur les remparts entre amis mais le vide de toi était très trop présent, je t'aime mon amour.

Elle câlinait son bébé, bien serré dans ses bras et entre deux mots ; bisou sur le crane de son amour ; puis sur la joue ; encore un sur les lèvres. Elle déversait des paroles sans s'arrêter, excitée comme une puce sur le dos d'un chien.

Tu sais quoi ? Et bien, les amis se sont ligués contre moi, oui oui, ils veulent me faire croire qu'ils vont me bruler parce que je cri tout le temps. Et puis j'ai fait la connaissance de Philandrain, tu le connais toi Philandrain ? bien sympathique.


Elle allait continue quand Kio s'approcha d'elle plus encore.
Kekione
KEKIONE était submergé par le flot de paroles de sa belle.
Il s'approcha tout contre elle, la serra dans ses bras et l'embrassa très longuement.

Plus tard mon amour.
Tu me raconteras tout ça plus tard.


Il regardait son amante avec envie.

On a des jours de tendresse et d'amour à rattraper.

Le vieil homme colla à nouveau sa bouche à la sienne pour la couvrir de baisers brulants.
Valentine.


Les jours passaient et la vie s'écoulait pas toujours tranquillement, Tine affairée à aider du mieux qu'elle pouvait ou elle pouvait, son homme au bois, dans les champs, ils se retrouvaient tous les soirs, souvent éreintés mais leur Amour les portait si haut que la fatigue du quotidien était bien vite oubliée lorsqu'ils s'enlaçaient pour des nuits follement passionnées.
Kekione
KEKIONE passa à l'improviste au moulin pour changer ses bottes trempées.
Il commençait à avoir froid aux pieds.

Il trouva sa Tine affairée devant des tas de parchemins impressionnants.
Il alla tout de suite vers elle et l'embrassa tendrement.

Oula !
Tu as bien à faire.
Je ne te dérange pas.


Le vieil homme enleva ses bottes et les déposa non loin du feu.
Il s'assit un instant devant l'âtre pour réchauffer ses pieds.

Ma Tine.... je t'aime.

Il regardait sa magnifique femme en attendant de se réchauffer.
Valentine.


Tine regardait son homme en secouant la tête

Tu me dérange c'est nouveau, le jour ou je serai dérangée par ta présence est loin d'être demain, ne doit on pas s'aimer pour plus de mille an ?


Elle l'embrassa follement, un peu contrariée ce matin, elle se remit à plier son linge, le regard dans le vague.
Kekione
KEKIONE sourit aux paroles sibyllines de sa dulcinée.
Milles ans d'amour avec Valentine.... cette pensée lui mit du baume au cœur.
Il regardait sa magnifique amante s'activer alors qu'il enfilait ses bottes pour retourner travailler. Elle était splendide. Elle avait relever ses cheveux en un chignon désordonné.
Son cou gracile supportait avec grâce son visage d'ange, sensuel et doux. Il admirait son petit nez, sa bouche, pulpeuse et pleine, ainsi que ses grands yeux verts qui savait tellement lui montrer tous les sentiments qui l'habitaient.
Il se leva pour aller l'embrasser. Il l'attrapa par la taille et la serra gentiment contre lui. Il sentait son corps jeune et ferme malgré 2 couches. Son ventre contre le sien, il frémit à la sensation de ses seins ferme et ronds contre son torse.
Il l'embrassa avec une infinie douceur.
Son amour pour cette femme était au delà des mots.

Je t'aime ma Valentine.
Tu es la lumière qui éclaire ma vie.
Tu fais de moi, l'homme le plus heureux qui ait jamais existé et qui n'existera jamais plus.


Il l'embrassa à nouveau... mais avec plus de passion.

Tes baisers me font tant d'effet que j'en perds la tête... et l'envie d'aller au bois.
Dès que je te vois, je ne pense plus qu'à te serrer contre moi pour te câliner, t'embrasser et te faire l'amour.


Le vieil homme fit une longue pause.

Je t'aime Valentine.

Il posa une fois encore ses lèvres sur les siennes, longuement, puis il se dirigea vers la porte.
Il se retourna pour la regarder, lui envoya un baiser et sortit.
Une fois la porte fermée, il poussa un long soupire d'aise. Un large sourire barrait son visage. Il croisa une petite fille qui jouait sur le chemin, s'approcha d'elle et lui fit un bisou sur le front.
Il riait.
Il cria : La vie est belle
Valentine.


Tine était sur un nuage depuis trois mois déjà, elle se souvenait toujours de leur premier émois lorsque KIO lors de la cérémonie d'anoblissement vint lui mettre le nez entre les deux seins, trébuchant lors d'un danse quelque peu particulière, une danse ou KIO avait bu plus que de raison et n'avait su se retenir pour finir au pieds de sa future belle. Le cœur de Tine était déjà épris, elle ne savait pas encore si son sentiment était partagé mais cet homme l'attirait plus que tout autre.

Il la regardait avec toujours tant d'amour depuis ce temps, toujours attentionné à tout ces ressentis, un amant fabuleux, un homme comme chaque femme rêve, un prince charmant de 60 ans qui comble sa princesse comme un de 20, elle pensait chaque minute qu'elle ne le méritait pas, qu'elle était parfois boudeuse, jalouse, chieuse même à certains moments et s'en voulait de ne pas être à la hauteur souvent.


Ce matin là ces baisers étaient encore plus brulant, plus passionnés et Tine frissonnait toujours rien qu'à l'entendre lui dire ces mots d'amour qu'il savait trouver avec une facilité déconcertante.

Elle l'embrassa et le vit sortir heureux, une fois passé la porte, elle restait toujours un instant stupéfaite de ce qu'était devenue sa vie, un bonheur parfait, LE BONHEUR c'était LUI
Kekione
Le vieil homme se leva de bonne heure comme à son habitude.
Il regarda dormir sa magnifique Valentine pendant un long moment.

A chaque réveil, le gribouilleur était émerveillé par la beauté sereine de sa compagne.
La vie lui avait réservé un magnifique cadeau sous la forme d'un ange prénommée Tine.

Il s'habilla rapidement car le froid lui pinçait la peau.
Il se pencha pour embrasser sa belle et partit au bois.
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