Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 13, 14, 15, ..., 17, 18, 19   >   >>

[RP]"L'Auberge des Voyageurs"

Maya60
Rose etait arrivée en ville ce matin, et cherchait une auberge ou se restaurer dignement ainsi qu'un bon alcool local qui ferait l'affaire, elle était épuisée par cette longue route et sa fidele monture qui boitait bas.
Tous son petit monde avait besoin de repos.

Elle penetra dans l'auberge en lancant un grand " bonjour", personne ne lui repondit et pour cause, l'auberge était deserte.

Elle s'assit pres d'une fenetre dans l'espoir de voir enfin ame qui vive.
Son fils bougea doucement et Rose sourit, le berca dans ses bras quelques instants et le posa contre son épaule.

Son petit Ange dormait profondement. Il avait bien supporté le long voyage malgré ces quelques jours d'existance.


Rose posa sa tete contre la vitre et s'endormie, son fils serre contre elle, une main sur son épée.
Philou
Philou entre dans l'auberge, bien décidé à ne pas aménager ce soir un autre fossé de cette merveilleuse ville très calme...le travail n'est pas rémunéré par la mairie^^
Il rêve d'une paillasse bien ferme et d'un bon repas digne de ce nom...voire d'autre chose, mais là! C'est top secret...

Il se dirige vers une table et prend place, déposant son baluchon, empli de pains devenus rassis et de quelques autres broutilles, à ses pieds. Il regarde furtivement l'antre de la dite auberge et sourit...
elle semble bien vide...
Il sort de ses braies une bourse de piécettes qu'il soupèse...sourit, ça devrait aller.... puis:


Tavernier!!! Tavernier sans tendresse! Donne moi le menu et sers moi un de tes meilleurs remontants hein^^ je t'en saurai gré.

Philou attend..
Philou
Philou entend l'écho de ses mots se fracasser contre les murs de cette auberge sans vie...
Il pense un moment aller se servir seul^^, mais se résoud à ne pas le faire...c'est pas l'envie qui lui en manque, mais bon, il est de passage et pas d'esclandre..
Il reprend son baluchon et file en taverne sans un mot de plus...
Ennis


Ennis venait de rassasier toute la bande de mineurs. Ils étaient désormais retournés au travail et il ne restait plus qu'à tout remettre en ordre.

Les voyageurs se faisaient rares depuis les derniers événements. Ennis en profita pour prendre un peu plus de repos, et se consacra d'avantage à sa forge. La mairie ayant besoin de haches, il y travaillait d'arrache-pied.

_________________
Roland_fr


Dernier jour de septembre, au petit matin.

Mélisse l'avait accompagné jusqu'à l'auberge de son confrère brigadier.
Roland, quoique fatigué, était heureux de trouver un aussi bon accueil. Ils entrèrent dans l'établissement, et Dame Mélisse fit les présentations.

Roland remercia le propriétaire. Il savait son cheval à l'abri avec de la paille propre et du foin. Son amie Enelram devait être toujours profondément endormie dans la coquette chambre mise à sa disposition.

Je suis très touché par vostre accueil dame Mélisse, et la tisane bien chaude. J'espère pouvoir partager quelques chopines en taverne avec vous, Dame Tine et vous même messire Ennis !
Nous serons, Enel et moi, plus en forme ce soir, après un peu de repos.


Il ajouta à la Brigadière.
je pense plus sage de passer quelques jours à Bourg en attendant le retour des demandes adressées aux autorités ducales. Je ne souhaite pas que notre visite amicale puisse être associée aux... turbulences que traverse actuellement la Savoy.

Il pensait à cette armée occupant apparemment Chambéry.
_________________
Roland
Valentine_e


Tine fort occupée avec toutes ces cérémonies courait de droite et gauche. Sortant de l'église pour le baptême de Cindou, Aël dans les bras qui se faisait entendre pour manger, se dit qu'elle allait donner la tétée chez Ennis, les voyageurs devaient y être et elle pourrait enfin leur souhaiter la bienvenue.

Elle poussa la porte de l'auberge


ENNISSSSSSSSS, tu es là, oups, pardon Sieur, je suis Tine, Bourgmestre, et j'ai une petite bouche affamée à nourrir, soyez le bienvenu, vous devez être Sieur Roland. Mel m'a dit vous avoir indiqué la meilleure auberge de la ville.

Sans attendre elle s'installa sur une chaise et délassant sa chemise, mit le petit au sein d'une façon si experte que personne ne s'en choquait

_________________
Ennis


Ennis finissait de rincer les dernières chopes, lorsque Mel fit son apparition à l'auberge, accompagnée d'un sieur qu'il ne connaissait pas. Son amie fit les présentations. S'approchant de messire Roland, Ennis tendit la main

"Soyez le bienvenu Roland. Je vois que Mel vous a servi de guide pour trouver le chemin. Votre compagne a déjà prit possession de votre chambre, elle semblait éreintée par le voyage."

Il tira une chaise

"Installez-vous. Vous allez bien vous rafraichir un peu avant de regagner votre chambrine."

L'homme n'eu pas le temps de répondre, que la porte s'ouvrit sèchement, laissant apparaitre une Tine visiblement très pressée. Un salut rapide, et la voilà déjà en train de donner la tétée au petit Aël. Après s'être remis de cet effet de tempête, tout le monde prit place autour de la table. Ennis alla servir quelques chopes de sa bière aux myrtilles, et les servit à ses convives.

"Alors comme ça, vous êtes désireux de traverser notre belle Savoie. Il est vrai que les chemins sont relativement sûrs, mais l'afflux de visiteurs dans nos villages nous conduit à la prudence. Votre démarche de laissez-passer est honorable, et on souhaiterait bien que nombre d'étrangers en fassent autant. il sourit. Je pense que dame Lilou devrait faire le nécessaire rapidement, mais en attendant, il prit sa chope et la leva Trinquons à votre arrivée à Bourg."

_________________
Roland_fr



Roland prit le siège proposé, ravi de pouvoir une nouvelle fois trinquer.

Merci aubergiste pour vostre accueil. Décidément, Bourg fait vraiment tout pour être une cité attachante.

Il prit une gorgée en levant sa chopine à l'attention de Mel, Tine et Ennis.

Je pense que nous allons garder la chambre quelques jours vous avez. Si elle est disponible...

_________________
Roland
Valentine_e


Tine avait finit de faire manger le petite trinqua avec ses amis.

Ennis, et Robberts, il est ou ?


Elle cherchait du regard voir si elle trouvait le gros bonhomme et se retourna vers Ennis.

Et Jazz ?

Santée voyageur ami, on va vous garder je sens, votre sympathie est bien agréable aussi. Puisque vous restez, n'hésitez pas à visiter la ville, des jeux y sont organiser de ci, de là.

_________________
Valentine_e


Elle passa à l'auberge d'Ennis pour donné un petit bonjour lorsqu'elle vit les trois enfants les plus délurés de Bourg en grande conversation, apparemment Jazz racontait un rêve. Elle ne les dérangea pas, sourit et repartit aussi vite et discrètement qu'elle était entrée.

_________________
Liliana_
elle arriva ce soir la avec son petit bambin et pris une chambre pour elle et son rico... elle se mit dans le lit apres avoir coucher et nourrit bastien, elle l'attendit pour dormir
Ricodesbois
il arriva en fin de soirée apres avoir travaillé il embrassa bastien qui dormais deja tres bien . puis il se glissa le long du corps chaud de liliana l embrassa tendrement et l enroula de ses bras
Awenna
Son cheval avait été repris lors de sa longue absence du monde de la lumière, elle était donc arrivée à Bourg avec comme simple bagage, son épée et quelques pains durcis par le temps froid et humide.
La première chose qu'elle fit, fut d'aller à cette auberge qu'elle avait déjà fréquenté plusieurs mois auparavant. Mais sur le chemin un Douanier se fit voir pour lui annoncer que les frontières étaient fermées.


Vindieu encore un endroit où celles ci sont closes. Mais bon sang les laissera-t-on ouvertes un jour?

C'est ce qu'elle marmonna, mais ne resta pas sans rien faire, prévenu de faire une demande an bon et du forme, elle se renseigna sur qui était le Prévot actuel. Quelle surprise, il s'agissait de la Baronne, celle qu'elle venait voir en Savoie.
Elle s'installa au chaud dans l'auberge et écrivit deux missives. La première demandait le droit d'asile en Savoie à la Baronne, et la seconde prévenait le douanier que la demande était faite.


Awenna habituée à être si souvent seule parlait dans le vide : Une bonne chose de faite, suffit plus qu'à trouver le bon gars pour mener ces vélins aux bonnes personnes.

Lorsqu'elle réagit que le propriétaire de l'auberge n'était autre que le douanier qui l'avait interpélé, certes sa mémoire lui faisait parfois défaut mais elle se souvenait du visage déjà croisé, et des présantations que Tine avait faites. Elle déposa donc la première missive sur le comptoir en notant bien le destinataire.

La seconde était déjà dans les mains d'un garçonnet qui n'avait pas dit non aux quelques pièces qui étaient jointes avec.

Premier soir dans une endroit chaud, elle n'allait surement pas se faire prier, après tout ce temps sur les routes, il était temps de se poser.....

_________________
Ennis


Ennis rentra de bon matin après une nuit de garde tranquille. Robbert était déjà à l'oeuvre. Il faut reconnaître que ce dernier s'était plutôt calmé. Il rechignait moins à la tâche qu'à son arrivée, et les clients ne le craignaient plus.

Il fit le récit des événements de la soirée à l'aubergiste, puis lui remit une missive qu'il décacheta. Celle-ci provenait de dame Awenna, qu'il avait aperçut aux portes de Bourg lors de son arrivée la veille au matin.

"Je vois que cette dame ne perd pas de temps en ce qui concerne les tracasseries administratives, j'aimerai bien que tous les visiteurs à Bourg en fassent de même."

Il s'assied près de la cheminée et commença à siroter une bonne bière qu'il venait de se servir. Perdu dans ses pensées, il s'assoupit

_________________
Insanius
Six jours passés. Six jours passés à chevaucher, les yeux tournés vers les montagnes au loin.
Les traits tirés, les yeux cernés il se laissa aller à somnoler, raidit sur sa selle, laissant sa monture suivre le chemin.

La veille il avait apprit de mauvaises nouvelles, de bien tristes nouvelles. Son Comté s'engageait vers une mauvaise voie, vers les émeutes et la guerre civile. Quelle folie l'avait donc prise? Comment avait elle pu prendre les armes pour chasser son opposition?
Il avait quitté ses terres assez tôt pour ne pas assister à ça et c'était tant mieux.
Désormais s'étendait devant lui les montages, les forêts et ce paysage si différent de celui qu'il voyait tous les jours.
Adieu les oliviers, adieu les plages et les forêts basses et éparses...

Au loin des remparts, de la fumée, de la vie. Bourg sa destination.
Trouverait il les portes closes? Deux jours avant on lui avait signifié la fermeture des frontières. Il avait écrit une missive à la Prévôté, jusque là sans réponse...
Comment un pigeon aurait pu le rejoindre en pleine nature de toute façon?
Ses premiers pas à Bourg seraient ils contraints et forcés, encadrés par des gardes qui le conduiraient aux geôles?

Cette pensée lui arracha un sourire. Drôle de façon d'arriver. Sans compter l'état dans lequel se retrouverait la flamboyante qui l'attendait.
Le Tressé mis aux fers pour une Louve croisée au détour d'un tonneau...

Distrait par ses pensées il ne remarqua pas qu'il n'était plus qu'a moins d'une lieue des portes de la ville. Se redressant sur sa selle, il força l'allure, pressé de la voir, pressé de la retrouver.
Déjà il apercevait les gardes, ceux là l'observaient méfiants comme peuvent l'être des hommes face à un inconnu, vêtu de rouge, couvert de poussière, aux cheveux tressés et à l'air épuisé.
Arrivé auprès d'eux il tira les rênes, forçant son cheval à s'arrêter et posa pied à terre en grimaçant.
Ces six derniers jours avaient raidis et meurtris ses muscles, il en serait quitte pour une belle claudication encore quelques temps.

A l'homme qui lui demanda ce qu'il venait faire, il répondit quelques mots marmonnés, évitant de parler occitan pour ne pas le perturber.


Je m'appelle Insanius, voyageur Languedocien, je rends visite à une amie en vos terres...

L'homme fronça quelque peu les sourcils et le Tressé ne mit pas longtemps à comprendre que son laisser passer n'avait pas encore été délivré...
Plus qu'a prier pour que les geôles soient chaudes...
Mais le garde rapidement lui fit comprendre de se mettre en relation avec le brigadier de la ville, avant de le laisser entrer...

Bourg s'étendait donc devant lui, recelant la promesse d'une étreinte...
Tirant sa monture derrière lui il entreprit de chercher une taverne, trouver de quoi boire, manger et se reposer quelques instants avant de partir en quête.

L'air était frais, pour ne pas dire froid. Le soleil qui brillait au dessus de lui ne réchauffait pas ces terres comme il le faisait au Languedoc. Autour de lui s'étendait des habitations, des commerces, mais rien ne ressemblait à ce qu'il fréquentait chaque jour.
Bientôt il tomba sur une enseigne qui ne pouvait pas le tromper. L'Auberge des voyageurs, parfait...
Attachant son cheval dans l'écurie attenante, il chercha des yeux un quelconque garçon pour s'en occuper.

Puis quelques instants plus tard, les vêtements ternis par la poussière, l'air morne et épuisé il pénétra dans l'auberge. Prenant place à une tablée vide et soupira...


Enfin, j'y suis...
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 13, 14, 15, ..., 17, 18, 19   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)