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[RP]"L'Auberge des Voyageurs"

Spads59


En entendant Mae gêné, Spads se fendit d'un très large sourire amusé.

Mais je t'en prie mon amie ! Je plaisantais. Je voulais voir si j'arrivais encore à jouer le politicien avec une experte. Ça commence à faire longtemps que je n'avais plus essayé. Je suis désolé de m'être servi de toi pour ça, je suis sûr que tu sauras te venger de belle façon.
De toute façon, tu sais, c'est très difficile pour tout le monde ici de me dire "mon père" et si je devais m'en formaliser je crois que je serais déjà parti puis le Béarn ou la Bretagne depuis longtemps.


Il radoucit son sourire en essayant de voir si la gêne quittait le visage de son interlocutrice. Au fond, il avait toujours souvenir de quelques passes d'armes verbales avec elle lors d'une ancienne campagne électorale et surtout d'autres échanges fort intéressants dans une salle municipale fermée depuis ce qui lui semblait des siècles.

L'assurance procurée par son petit exercice précédent avait également pour but de lui permettre de raconter ces instants de sa vie toujours douloureux par la part d'émotions qui remontaient sans cesse. Il prit une longue inspiration et se lança d'abord tranquillement


Tu me demandais ce que j'ai fait depuis... J'ai donc effectué deux mandats de Maire à Bourg à la suite du duc de Maurienne, Cthulhu et j'ai arrêté pour déménager à Belley et rejoindre Armangarde que tu connaissais je crois.
Nous nous sommes mariés rapidement et nous nous sommes donc installés ensemble.
Elle avait souhaité participer au conseil à nouveau et je l'ai suivie dans le but d'aider aussi Cthulhu. J'ai été référent des maires quelques temps, c'est heu, ce poste créé sous le mandat de la duchesse Evalea pour coordonner les actions des mairies et du duché.
Ah j'ai aussi été maire de Belley avant ça, un mandat.

Puis nous nous sommes rangés je vais dire, on a fait un long voyage jusqu'à la mer au sud. C'était des instants merveilleux, je ne sais pas si tu as déjà vu la mer ?


L'expérience était à la fois plus facile et plus déroutante qu'il ne l'avait imaginé. Il lui semblait raconter la vie d'un autre, sans doute les nombreuses messes à lire le Livre de Vertus aidaient-elles à se détacher de l'émotion ressentie pour mieux la faire ressentir.
Pourtant il se faisait presque peur de tant d'apaisement par rapport à tout cela. C'était la partie heureuse de son histoire et cette pleinitude qu'il éprouvait encore à postériori accompagnait Spads dans sa narration. Mais dans son coeur, il se sentait peu rassuré à l'idée que la suite allait être autrement plus délicate à aborder et à supporter.

La question sur la mer était la bienvenue pour reprendre ses esprits et permettre à Mae de donner son verdict sur le "père Spads"...
Maewinda


Lors de sa boutade et devant le grand sourire qu'affichait son voisin, Maewinda, la bouche pleine mais les joues rouges de gêne, se contenta de pouffer pour éviter de recracher ce qu'elle mâchait et donna un coup de coude à Spads.

Il reprit alors son discours.

Amangarde... Bien sûr ! Comment avait-elle pu oublier cela. Décidément, avec une tête de linotte comme elle, elle passait toujours pour une imbécile et, pire que tout, provoquait le malaise et la tristesse chez ses amis.
Pauvre Spads.

Finissant son assiette alors que l'ancien maire lui parlait de la mer, elle vit que son regard était fuyant depuis quelques instant et que ça main ne cessait de jouer avec un quignon de pain.
Elle posa alors sa main sur celle de Spads, pour l'apaiser, et lui adressa un demi-sourire, teinté d'une sorte de compréhension. C'est du moins ce qu'elle tentait d'exprimer.

Après quelques instants de silence entre eux (parce qu'autour, le bruit faisait rage), elle répondit.

Oui, j'ai déjà vu la mer. j'ai beaucoup voyagé avant d'arriver à Bourg, tu sais, mais c'était il y a si longtemps. Je me souviens m'être dit, devant cette étendue, que quoi que nous puissions faire, le monde resterait pur et inchangé, que nos erreurs ne pourraient jamais être assez graves que pour détruire cette oeuvre magique. On est bien peu de choses, finalement...

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Awenna


Awenna toujours présente à cette soirée pleine de rire de gens heureux, regardait autour d'elle, elle souriait à voir toutes ces personnes, parler ensemble de chose et d'autres.
Dame Tine allait d'invité en invité, son bonheur faisait plaisir à voir.
Tout en observant les différentes scènes, elle s'était doucement mise à l'écart près d'une porte.

Le buffet où l'on pouvait voir des personnes d'un cerains rang assisent à manger comptaient parmi eux le Père Spads qui paraissait bien accompagné, elle était d'une grande élégance et ils paraissaient se connaitre.

C'est alors qu'Awenna repartit dans ses souvenirs avec Samaël, d'un grand soupire après quelques secondes, elle s'éclipsa au dehors, elle ne pouvait rester ici, ceci était une soirée bien organisée mais elle n'y avait pas sa place.

Elle commençait à arpenter les rues de Bourg, elle ne retournerait que plus tard à l'auberge. La lune haute et brillante l'éclairait sa balade lui ferait le plus grand bien.

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Spads59


Spads rendit son air songeur à Mae et se prit à rêver quelques secondes à l'immensité de l'oeuvre du Très Haut.

Oui... Tu as raison... On est tellement peu de choses...

Secouant la tête d'un geste sec pour se changer les idées, il aperçu Awenna quitter la taverne. La pauvre devait se sentir à l'étroit avec tant de monde autour d'elle. Le prêtre reporta son attention sur Mae qui devait avoir hâte de savoir comme il était passé de la politique à la bure.

Il faudra que tu me racontes à nouveau ta vie précédent ton arrivée à Bourg alors, il me semble que j'ai oublié ce passage.
Me concernant, au retour de notre escapade vers le sud, nous avons eu ensemble une petite fille, Olwen. On était bien même si l'ambiance à Belley se faisait de plus en plus pesante. Je me suis représenté à la mairie et y ait été réélu. Je pensais recommencer une sorte de cycle de plusieurs mandats puis improviser un nouveau voyage avec Arma.
Hélas les choses ne se sont passées ainsi. Arma a été prise de maladie et l'état de ses relations sur Belley ont lourdement pesé sur sa guérison en l'oppressant toujours davantage. Elle a fini par... mourir...
J'ai démissionné et je suis parti sur les routes où j'ai fini par trouver la paix dans l'Eglise et je me suis engagé sur cette voie de toutes mes forces. Depuis lors je suis prêtre itinérant, j'essaye d'aller là où l'Eglise a été trop absente pour parler de l'amitié, de ce qui aurait pu sauver ma femme.


Il releva sur elles les yeux qu'il s'était surpris à maintenir baisés, comme pour ne pas qu'on puisse lire dans son regard de la peine, du regret et surtout de la colère. Il profita du blanc causé par ce triste récit pour enchaîner rapidement.

Et toi, qu'as tu fais depuis le temps ?


Maewinda


Comme pour changer les idées de son interlocuteur qui, elle le sentait, commençait à avoir les yeux humides après avoir ressassé ces souvenirs, elle entama à son tour un bref résumé de sa vie.

Ooh, moi... Hé bien tu te souviens de cette glorieuse époque où - tout comme toi - je m'investissais en politique. J'en ai gardé un bon souvenir, et surtout la Baronnie que j'occupe désormais à La Ravoire. Je reste aussi présente que je le peux à Chambéry, parmi les membres du Ban Savoyard, mais ne suis plus suffisamment connue de la population que pour espérer me présenter à nouveau.
Et pourtant, j'y croyais, tu sais... J'avais décidé de déménager de Bourg à Chambéry, alors que Djibee et moi projetions de nous marier. Mais à peine arriver dans la capitale, cet ivrogne a découché presque chaque soir pour partager des bières en taverne. Rapidement, notre emménagement commun s'est transformé en une retraite solitaire. Je ne connaissais presque personne à Chambéry, et revenir à Bourg aurait ressemblé à une défaite... J'ai donc fait face mais le coeur n'y était plus et c'est la raison pour laquelle j'ai un peu abandonné la politique.
Aujourd'hui, je parviens à vaincre la solitude grâce à La Ravoire et au Ban.
Et puis, grâce à des amis, comme Cougnou, qui m'a invité à cette cérémonie : je n'ai pas hésité une seconde : j'ai rapidement organisé ma venue à Bourg, dès que la gestion de mes terres n'était plus un souci...


Elle regarda la salle.

Cette atmosphère de simplicité me manque, de la même manière que me manque l'âge naïf de l'enfant, quand les choses nous paraissent si belles, si faciles. Et en grandissant, on se rend compte que ce n'est pas si vrai... Les choses n'évoluent pas toujours comme on aimerait, n'est-ce pas?

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Valentine_e


Ennis avait fait un cadeau superbe à Tine en organisant le repas. Elle allait d'invité en invité, son rire accroché aux lèvres et plus la bière coulait plus elle riait fort. Son amour très prévenant venait souvent à sa rencontre lui faire un baiser et voir si sa douce n'abusait pas sur la boisson.

Oh, mon amour, je t'aimeeeeeeeeeeeeee, tu sais çà, hein ?

Puis elle s'approchait des gens qui discutaient, leur coupait la parole, leur demandant si ils étaient bien, si ils avaient tout ce qu'ils leur fallait et repartait en sautillant tenant sa robe qui avait deja bien nettoyer les verres renversés.

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Aurisdelaastor
Tentant de se remettre de l'épreuve de l'église, lieu qu'il lui devenait maintenant si difficile de fréquenter, tant les évènements, les manques et les douloureuses pertes qu'elle avait connues depuis quelques mois la séparaient de plus en plus d'Aristote, d'une façon qu'elle imaginait irréversible, Auris n'était rentrée chez elle que pour se changer, ôter sa houppelande pour revêtir un costume plus approprié .. Elle avait sorti Eros de l'écurie et la chevauchée au triple galop qui avait suivi, dans la campagne et la forêt avait effarouché bien des animaux, des mammifères qui s'écartaient ou restaient prostrés sous les pas de l'étalon qui les évitait avec habileté, des oiseaux posés qui s'égaillaient en protestant le plus énergiquement possible, le vent de la vitesse séchant les larmes de la cavalière à peine expulsées de ses yeux ..

Quelques heures après, à la nuit tombante, fourbu par l'effort, Eros avait ramené Auris à la maison, presque inconsciemment, et après qu'elle l'eut vigoureusement étrillé, bouchonné et nourri, il avait bénéficié d'un repos bien mérité, alors qu'Auris, nullement épuisée, n'en ayant pas encore assez, continuait sa promenade, passant même au large de l'auberge bruyante où elle savait que tout le monde s'amusait à la fête qui avait suivi la cérémonie de mariage de ses amis Tine et Cougnou. Son coeur se serra un peu plus, à la pensée qu'elle aurait pu y être, dû y être même, en cet instant, avec celui qui la laissait si seule depuis si longtemps, de même qu'elle aurait été si joyeuse de participer à son bras à la cérémonie de leurs amis. Elle ne cessait de se poser des questions sur le devenir de sa relation, devait-elle y renoncer ? Renoncer à ce qui n'était pour elle que presque perpétuelle solitude ? Attendre ? L'attendre encore et toujours ? Renoncer et trouver quelqu'un qui saurait l'entourer, la protéger, lui redonner confiance en elle ? Elle ne trouvait jamais la réponse ..

Elle s'approcha à pas de loup, regarda quelques instants, par la fenêtre, l'agitation intérieure, l'obscurité de la nuit la protégeant de toute vue, et eut un sourire en voyant Tine courir partout, passant d'un convive à un autre pour s'assurer qu'ils allaient bien. Elle repartit, se dirigeant vers le centre de Bourg, ses bottes claquant sur le sol dur .. Elle croisa même une dame que le clair de lune lui montra élégamment vêtue, qu'elle ne connaissait pas, et qui semblait, elle aussi, perdue dans ses pensées .. Elle n'osa pas la saluer, mais pensa que décidément tout le monde n'était pas à l'auberge en train de festoyer ..


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Ennis


L'heure était venue d'annoncer le dessert. Ennis fila dans la cuisine et s'assura que l'on avait bien compris ses consignes. Des brancards reposaient sur la table, sur lesquels on avait dressés les desserts. Tout était en ordre. Il s'en retourna donc sur son petit tonneau et se hissa de nouveau dessus, avec un peu plus de mal, certes, la bière n'arrangeant pas les choses. Deux personnes amenèrent le premier brancard


je suis conscient du caractère anachronique de ce dessert, mais plaisir des yeux oblige




"Cascade de fruits exotiques."



Puis le deuxième brancard suivit

"Gâteaux des mariés."


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Spads59


Il sourit à la dernière remarque de Mae, en effet, qui aurait parié le moindre denier sur le fait qu'il serait un jour prêtre. Tout en savourant les plats qu'on lui apportait, il continuait sa conversation.

Tu vois, maintenant que j'ai un peu de recul... Jettant un coup d'oeil alentour pour dévisager son voisin qui commençait à sourire. Non, je ne suis pas vieux... Il émit ensuite un de ses petits râles coutumiers pour manifester son mécontentement.
Bref, que disais-je ? Ah oui, donc comme nous avons plus d'expérience qu'avant, je me pose la question de savoir si j'ai jamais vraiment su ce que j'aimerai. Comment est-ce possible de vouloir échanger son avenir pour quelque chose dont on ignore presque tout ? Ou peut être ai-je simplement oublié ce que c'était de rêver sa vie future comme un enfant.
En devenant prêtre, j'ai trouvé des réponses à de nombreuses questions mais elles sont souvent sources d'interrogations supplémentaires. Ce qui n'est pas pour me déplaire comme tu dois t'en douter.

Pour en revenir à des questions plus terrestres, je te reconnais bien dans cette tentative de déménagement à Chambéry. Je vais devoir enfoncer des portes ouvertes en constatant à regret que tu n'as pas de chance avec les hommes qui ont partagé ta vie. J'espère que tu y sauras trouver quelqu'un à la hauteur de ce que tu mérites, et, qui sait ? Peut être que je reviendrai vous marier tous les deux. A moins que tu ne sois toujours fâchée avec la Foi ?
Tartaruguinha
Tarti applaudit à l’arrivée des desserts apportés sur des brancards…

- Bel exercice d’équilibre … BRAVOOOOOOO !

De ce lever en applaudissant, un des serveurs se surpris et manqua de glisser sur un tantinet de bière répandue au sol, mais ooh quelle dextérité, personne ne vit ce léger accros

Tous ces fruits inconnus, un bonheur de couleurs pour les yeux… à peine les fruits posés sur une table, tous les convives rivés sur le gâteau des mariés, Tarti prit son petit couteau et tira un morceau de ce fruit blanc appelé noix de côco…

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Maewinda


Fâchée avec la foi?? Non, point du tout. Aristote est une force dans mon coeur et chaque jour je prie le Très Haut pour le remercier et pour lui demander l'assistance que méritent ceux qui ont la foi.
J'ai, par contre, connu des désillusions avec certains représentants de l'Aristotélisme, de là peut-être quelques mouvements d'humeur qui n'ont jamais - ou temporairement - été l'expression de mes idées profondes.

Quant aux hommes... ma foi... c'est vrai, la chance ne m'a jamais vraiment sourit. De Craven à Shayour, de beaux et nobles chevaliers, jusqu'au paysan qu'était Djibee, aucun n'a pu tenir les promesses qu'il m'a faites...
Et je désespère, mon ami, de trouver un jour l'homme qui saura remplir ce vide... En tout cas, il me manque quelque chose, aujourd'hui, dans ma vie, et c'est bien parce que tu es prêtre que je peux te le confier, car il est difficile d'avouer cela...


En parlant, elle jouait avec son verre, faisant tourner le lait de chèvre sans le faire renverser. Ses yeux étaient fixés dans le vide, comme si elle était indifférente aux amusements qui les entouraient.

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Le Sacrifice de Soi est la condition de la Vertu (Aristote)
Halvarik
C'est en arrivant en dernier mais juste à temps pour le dîner de mariage. Je vis toute la belle assemblée parée de leurs plus biaux atours, les Dames tout de dentelles blanche vêtues et de beaux habits de satin dont les frou frou crissaient une douce mélodie, les pourpoints des hommes étaient de velours aux multiples couleurs. Pour ma part j'avais de beaux habits confectionner par une habile couturière. J'étais tout de cyan vestu.

Je saluais tout ce biau monde, baisais les mains des Dames, donnait l'accolade à mes amis et poutounnait les marmots.

La mariée belle comme un coeur avait les yeux pétillants de bonheur, son tint frais respirais la joie.

Je ne vint point les mains vide, mais bine pleine d'un panier garnis de mets de mon païs ainsi qu'un bon vin jeune.

A table je mangeais à ma faim tant le repas était succulent, mon ventre était repus. Le chevreuil et ses patates un délice pour le palais, les fromages dont je n'en connaissais aucun furent pour mes papilles une explosion de saveur. Et ce dessert, la pièce montée disaient ils, m'a fait grimper sur les monts de la joie ! Et ces fruits venus de contrées lointaines dont certains tout poilus ou de couleurs etonnante à mes yeux et de gout étrange à mon palais mais tous de grande qualité.
Spads59


Spads observa un court instant de silence pour laisser son amie reconstituer ses pensées. Il reprit cependant très vite la parole pour ne pas la laisser sombrer trop loin dans ses tristes souvenirs.

De toute façon, je pense que tu seras d'avis de dire que les hommes sont difficiles, tous autant qu'ils sont. Peut être trop rustres, ou trop constants pour savoir s'adapter au changement majeur qu'est l'arrivée d'une femme dans leurs vies.
Comme tu l'as dit, le temps passe et rien ni personne ne vient durablement nous accompagner. Si ce n'est une chose à laquelle il faut croire : les amis.


Il tendit la main pour lui enlever délicatement le verre et le reposer sur la table. Prudemment, il lui prit les mains et les placa sur une des siennes.
Tu permets ?
Il lui fit un regard souriant et rassurant en continuant de poser son autre main sur celles de Mae.
Christos a dit : "La vie ne vaut rien, rien, mais moi quand je tiens dans mes mains éblouies les deux petites mains de mon ami, alors je dis rien, rien ne vaut la vie ! "

Tu ne penses pas ?
Il lâcha doucement ses mains pour la laisser réagir.
pnj
Ayant repoussé ce que Willk ne désirait pas plus, celui-ci dégustait les boissons, les mets tout en profitant de cet agréable soirée. Il n'avait pas encore offert son cadeau à la mariée, ne connaissant que peu le marié il ne désirait pas aller le lui donner en main propre car celui-ci ne comprendrait certainement pas.
Tout deux semblaient réellement heureux, pourvus que cela dure et que le Très-Haut dans sa grande bonté leur donne de nombreux et d'agréables bambins.

Il se leva et se dirigea vers la dame de la soirée toujours vêtu du blanc de l'innocence. Il sorti alors de sa main un drôle de pendentif, le genre de babiole qui n'était pas particulièrement appréciable à regarder mais qui gardait une valeur pour ceux qui le comprenait.


"Tine...voici pour toi, je te souhaite vraiment plein de bonheur.
Ceci est un pendentif représentant la déesse Freyja, je sais que c'est du paganisme, mais c'est l'une des choses que je sais faire de mes dix doigts et grâce à mon père. Tu sais qui est Feyja ?"
Valentine_e


Tine folle amoureuse de son mari courait partout, riant, sautant au cou de tout le monde leur disant son amour pour lui mais n'oubliait jamais de revenir dans ses bras pour un baiser langoureux pour s'en echapper encore allant manger du précieux dessert d'Ennis.

Elle avait bien remarqué Spads et Mae pour leur avoir coupé la aprole une fois et s'etre rendu compte qu'ils avaient les yeux emplis de souvenirs, elle pris soin de ne plus les déranger et vit Will se dirigait vers elle, sourire aux lèvres elle s'avança vers lui, se débarrassant au passage du reste de dessert à regret sachant qu'il jeunait.


Ca va Will ?

Au moment de la question Will lui tendit un petit médaillon, elle le prit émue et l'écouta

Feyja, non je neconnais pas Will

Elle rougit un peu de ne pas savoir mais continua

je suis très gourmande de culture et tu vas me le dire, je n'ai pas eu l'occasion dans ma tendre enfance d'avoir la chance que les portes des livres me soit ouvertes mais j'adore apprendre, dis moi.

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