--Yeun
Je vous propose de vous rendre tous avant qu'il ne soit trop tard. Votre vie sera écourté si vous ne déposez pas vos armes. Vous avez du être informé de ce qui est arrivé à votre ami à la taverne...
Votre sang coulera dans cette forêt, si vous voyez du sang sur nos armures se sera sans aucun doute le votre...
Yeun, de son trou, sourit d'un air carnassier, prêt a en découdre. Le noblion qu'il répugnait faisait son fier, cela n'allait pas durer. Il allait se faire manger tout cru le grand gaillard.
L'homme apparut, sur de lui, juste un pas sur le côté pour laisser découvrir sa stature imposante. Fier de lui , d'un air suffisant, il fit un geste de la main au Marquis , levant bien haut le bras gauche , la main droit sur la garde d'une épée certes pourrie, mais qui ne le quittait jamais.
Hola le noble, nous rendre ?
Yeun partit d'un grand éclat de rire caverneux et gras, de ce rire qui se moque, qui nargue et qui défie
Tu nous prendrais po un peu pour des buses nan ? Avec tes ptits gardes la, t'penses qu'tu nous fait peur ? .. Allons, allons ...
Yeun prit alors un air sombre et de défiance, toisant le noblion sur sa monture, se léchant les babines de voir la gamine juste devant lui. Une future proie intéressante
Jolie la ptite donzelle qu'vous avez la ! Ca s'mangerait bien au ptit dej , l'est a croquer ! Comme l'aut tite dame , se ressemble d'ailleurs, étrange hein !
Cette fois, le regard de l'homme se fit des plus noir, il sortit son épée pourrie de son fourreau et la leva en l'air avant de lancer en criant,
Tu la veux la tite dame ? Bah ... viens la chercher le noble !
Le chef avait crié, tous les hommes restés cachés sortirent des fourrés ou de ces endroits où ils étaient dissimulés. Ce qui doublait a présent le nombre d'hommes vu au départ par la troupe du marquis. Une trentaine, ils étaient une trentaine.
Yeun ricanait, il allait manger du noble, il jubilait .
Votre sang coulera dans cette forêt, si vous voyez du sang sur nos armures se sera sans aucun doute le votre...
Yeun, de son trou, sourit d'un air carnassier, prêt a en découdre. Le noblion qu'il répugnait faisait son fier, cela n'allait pas durer. Il allait se faire manger tout cru le grand gaillard.
L'homme apparut, sur de lui, juste un pas sur le côté pour laisser découvrir sa stature imposante. Fier de lui , d'un air suffisant, il fit un geste de la main au Marquis , levant bien haut le bras gauche , la main droit sur la garde d'une épée certes pourrie, mais qui ne le quittait jamais.
Hola le noble, nous rendre ?
Yeun partit d'un grand éclat de rire caverneux et gras, de ce rire qui se moque, qui nargue et qui défie
Tu nous prendrais po un peu pour des buses nan ? Avec tes ptits gardes la, t'penses qu'tu nous fait peur ? .. Allons, allons ...
Yeun prit alors un air sombre et de défiance, toisant le noblion sur sa monture, se léchant les babines de voir la gamine juste devant lui. Une future proie intéressante
Jolie la ptite donzelle qu'vous avez la ! Ca s'mangerait bien au ptit dej , l'est a croquer ! Comme l'aut tite dame , se ressemble d'ailleurs, étrange hein !
Cette fois, le regard de l'homme se fit des plus noir, il sortit son épée pourrie de son fourreau et la leva en l'air avant de lancer en criant,
Tu la veux la tite dame ? Bah ... viens la chercher le noble !
Le chef avait crié, tous les hommes restés cachés sortirent des fourrés ou de ces endroits où ils étaient dissimulés. Ce qui doublait a présent le nombre d'hommes vu au départ par la troupe du marquis. Une trentaine, ils étaient une trentaine.
Yeun ricanait, il allait manger du noble, il jubilait .