Aldraien
[HRP : RP transferé ici cause voyage et déplacement, donc pas de possibilité de pouvoir répondre]
Lady_antlia a écrit:
[La colère est mauvaise conseillère....]
Elle avait ce caractère volontaire et flamboyant de ceux qui vont au combat sans état d'âme, de ce que la mort n'effraie pas tant qu'il y a quelqu'un à sauver. Trop même, entier, ténu, fier.... que la Licorne essayait de faire plier. Non pas pour la casser non loin de là et tout le contraire.
L'Etoile avait choisit la voie de la chevalerie, cette voie dure, faites d'embuche et de rencontre de soit, de remise en question et de chutes vertigineuses.
Elle avait choisit la voie où son caractère ne collait pas dans cet Ordre où la diplomatie était plus souvent de mise que les armes.
Justement ces armes.... Un sac de toile sur le dos, elle avançait vers une clairière. Sac de toile d'où émanait des cliquetis et des bruits de ferrailles qui s'entrechoquaient.
Ce grand sac semblait bien lourd pour ce corps que l'on pensait fragile mais si sec et aux courbes graciles.
La Blonde était vêtue sobrement : ses cuissardes de cuir marron lui couvraient presque entièrement les jambes, son pantalon fourré à l'"intérieur.
Sa chemise flottait autour de son corps mince.. une chemise d'Akron . Elle en avait gardé plusieurs et se plaisait à les mettre quelques fois, son souvenir la hantant encore.
Sa chemise à lacets de cuir était fourrée dans son pantalon et elle avait revêtu une sorte de gros gilet sans manche en laine épais .
Ses cheveux étaient retenus en une lourde natte blonde qui dodelinait en son dos alors qu'elle marchait.
Le visage de l'Etoile montrait par contre une détermination ... une expression qui avait effacé celle de la douceur quasi constante chez elle.
A cet instant, son corps se raidissait, son esprit volontaire émergeait malgré le fait d'avoir respiré comme on lui enseignait à la Licorne... Oui respirer pour ne pas commettre d'impair... respirer pour ne pas dire ce que l'on pense mais penser aux conséquences..
Arrivée dans la clairière, elle planta ses bottes en l'herbe encore gelée de ce matin là. Elle fit passer le lourd sac par dessus son épaule et le laissa choir sur l'herbe, faisant un bruit fracassant d'aciers.
Seules à présent bougeaient les volutes de fumées qui s'échappaient de la bouche de la blonde... qui attendait ....
[La colère est mauvaise conseillère....]
Elle avait ce caractère volontaire et flamboyant de ceux qui vont au combat sans état d'âme, de ce que la mort n'effraie pas tant qu'il y a quelqu'un à sauver. Trop même, entier, ténu, fier.... que la Licorne essayait de faire plier. Non pas pour la casser non loin de là et tout le contraire.
L'Etoile avait choisit la voie de la chevalerie, cette voie dure, faites d'embuche et de rencontre de soit, de remise en question et de chutes vertigineuses.
Elle avait choisit la voie où son caractère ne collait pas dans cet Ordre où la diplomatie était plus souvent de mise que les armes.
Justement ces armes.... Un sac de toile sur le dos, elle avançait vers une clairière. Sac de toile d'où émanait des cliquetis et des bruits de ferrailles qui s'entrechoquaient.
Ce grand sac semblait bien lourd pour ce corps que l'on pensait fragile mais si sec et aux courbes graciles.
La Blonde était vêtue sobrement : ses cuissardes de cuir marron lui couvraient presque entièrement les jambes, son pantalon fourré à l'"intérieur.
Sa chemise flottait autour de son corps mince.. une chemise d'Akron . Elle en avait gardé plusieurs et se plaisait à les mettre quelques fois, son souvenir la hantant encore.
Sa chemise à lacets de cuir était fourrée dans son pantalon et elle avait revêtu une sorte de gros gilet sans manche en laine épais .
Ses cheveux étaient retenus en une lourde natte blonde qui dodelinait en son dos alors qu'elle marchait.
Le visage de l'Etoile montrait par contre une détermination ... une expression qui avait effacé celle de la douceur quasi constante chez elle.
A cet instant, son corps se raidissait, son esprit volontaire émergeait malgré le fait d'avoir respiré comme on lui enseignait à la Licorne... Oui respirer pour ne pas commettre d'impair... respirer pour ne pas dire ce que l'on pense mais penser aux conséquences..
Arrivée dans la clairière, elle planta ses bottes en l'herbe encore gelée de ce matin là. Elle fit passer le lourd sac par dessus son épaule et le laissa choir sur l'herbe, faisant un bruit fracassant d'aciers.
Seules à présent bougeaient les volutes de fumées qui s'échappaient de la bouche de la blonde... qui attendait ....