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[RP] Au coeur d'une Auberge Arlésienne, un départ précipité.

Edwald
Rosetta paraissait on ne peut plus apeurée, troublante coïncidence que de voir tout ce monde faire une mauvaise nuit...

Tu as bien fait de venir Rosy. Il y a un feu pour nous tenir au chaud, à boire pour ne pas mourir de soif, et à manger pour les gourmands. Dit il en montrant du doigt la table à manger sur laquelle se trouvait du pain et quelques charcuteries...

Il invita Rosetta à s'asseoir avec eux, puis entendit des pas lourds descendre les escaliers..

Ah manquait plus que ma sœur.


Il vit sa soeur arriver et se servir un verre de vin...

Dis donc soeurette, tu traines trop avec Noncolodei toi.

Petit rire moqueur, Ed invita de la main sa soeur à se rapprocher et prit la parole une nouvelle fois...

Les habitants du village vont penser qu'on organise une soirée vin chaud en cachette tiens... enfin..

Il prit la main discrètement de suni et profita de l'occasion qui lui était donné pour aller au bout de ses pensées...

Rixe ma chère soeur, Suni ma fidèle compagne, Rosy mon excellente tribun, j'ai je crois pris une décision au fond de moi... vous vous en doutez surement. Je ne supporte plus la pression et le bras de fer quotidien avec le comté et l'ancien maire... je voulais juste faire revivre un village et me voilà à ne plus dormir la nuit.. à boire avec ma vieille coquille à longueur de journée.

Regard vers Arta...

Pas pour me déplaire ça.


Il soupira doucement et reprit...

Je vais démissionner dès demain, leur rendant ce qui est LEUR mairie et tout ce qui se trouve à l'intérieur... j'en connais qui seront déçu de voir que je ne l'ai pas pillé... et j'aimerai partir vite. Changer d'air. Vous en pensez quoi ?
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Rosetta
Rosy s'installa près du feu avec les autres, sa besace près d'elle, seuls vestiges de sa vie ici. Elle la posa sur ses genoux et la serra comme elle put. Pour se tenir chaud peut-être, bien que l'âtre envoyait des ondes de chaleur un peu partout dans la pièce, ou peut-être tout simplement pour se rassurer.

Elle avait l'esprit ailleurs, encore à moitié dans son rêve, mais écouta tout de même d'une oreille intéressée les paroles de son Maire. Partir... Encore... Après Winchester et Mauléon, c'était donc Arles qu'elle allait quitter ? Mais y avait-il un autre choix possible que celui qu'Ed proposait ?... Au vue de l'ambiance, des façons de faire de ce Comté, et de la main-mise de certaines personnes sur la ville, elle ne voyait pas d'autre alternative. Pourtant la perspective de repartir sur les routes ne l'enchantait guère pour le moment, elle ne savait pas où aller, ni si elle pourrait partir avec les autres, elle n'était qu'une nouvelle après tout, comme ceux qu'elle accueillait chaque jour à la taverne municipale, pour le bien-être d'Arles, qu'elle revive un peu...

Elle n'avait qu'une question en tête, qui lui faisait peur, partir oui, mais...


Pour aller où ?
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Voyageuse angloyse
Parlez lentement, j'ai du mal en français !
Rixende
Rixende eu un haut le coeur en entendant son frère, bien qu'elle s'attendait fortement à cette réaction. Elle le connaissait bien et savait que ça arriverait tôt ou tard, elle espérait seulement que se serait plus tard.
Elle venait seulement de prendre ses marques dans cette ville, mais cette dernière le rendait bien mal.
Elle soupire longuement prenant la parole pour donner son point vue
.

Ed on vient tout juste d'arriver ici, et puis je....
Je
....

Elle ne pouvait parler de Noncolodei sans éveiller les soupçons de sa fratrie que faire?

Vers l'Ouest avait fusé de la bouche de Ed pour répondre à la question de Rosetta. Alors que Rixende avait finalement ponctué son discours par un je te suis.

Vers l'ouest ainsi donc serait leur prochaine destination.
La nuit avait été courte parsemé de récit et autres, de vin chaud et des complaintes de chacun.
Ed avait essayé de satisfaire toute la fratrie et satisfaire une fratrie de Normand ça n'avait rien d'une partie de plaisir.
Quelques heures plus tard Rixende avait finit de papoter et c'était endormit en pensant à Noncolodei et à sa fratrie, que faire maintenant.

Au petit matin (déjà bien avancé), Rixende ouvre les yeux, tout le monde était endormit au rez de chaussée un peu l'un sur l'autre. Suniva avait atterrit sur l'épaule de Rixe, alors que Ed avait sa tête enfouit sur la poitrine de suniva. Arta quand à lui avait sa main posé sur le fessier de Ed ce qui arracha un éclat de rire à la Normande.
Puis la conversation de la veille lui revint, elle devait le trouver, lui expliquer. Elle ne pouvait partir sans faire cela.

Elle laisse un mot sur le comptoir
.

Citation:
Fratrie, (ça va plus vite), j'ai du m'absenter, une chose importante à faire à Arles, mais je reviens.
Partez pas sans moi.
Rixe de la coquille
.

Elle sort alors aussi délicatement que possible.
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Ascram
Forcalquier - Mas du Castelar de Ventoulet - Une jeune femme en quête de liberté

Elle s'était décidée à quitter son chêne et reprit le chemin du village. En chemin lui vint la lubie de passer par la grotte de Miellye et Noctuel. Son amie Miellye, toujours égale à elle-même, venait de recueillir un nouvel animal, une tortue prénommée Coquille, ce qui la fit bien entendu immédiatement penser à l'auberge du Tas de Coquilles.

Décidément, c'était un signe ! Il devenait impératif qu'elle se rende à Arles dans les plus brefs délais. Elle ne savait pourquoi, mais elle le sentait.

Elle rejoignit rapidement le mas, s'installa à son écritoire et rédigea un message :




Ma très chère Suniva,

Plusieurs signes me laissent à penser qu'une présence amicale auprès de toi ne sera pas superflue. Je suis en effet très perplexe devant la signification d'un rêve que j'ai fait. J'y avais la vision d'un être vicieux, sournois, qui m'a fait craindre une créature du Sans-Nom. Et, je ne sais pourquoi, en m'éveillant j'ai ressenti le désir de me rendre en Arles.

Et voilà que, cette décision prise, un nouveau signe : une tortue, nommée Coquille. Ce n'est certainement pas un hasard, et je pense que je dois vraiment me rendre auprès de toi. D'autant que j'ai vu à Aix que ton compagnon Edwald avait quelques soucis.

Tu sais que j'avais prévu, de toute façon, de venir vous rendre visite. Je vais donc en parler à Alexis, et te tiens au courant de mon arrivée.

Je t'embrasse, et qu'Aristote te guide.

Ton amie, Héloïse


Elle se leva, appela un des gardes de Vitrolles, qu'Alexis avait laissés au mas, et le chargea d'aller délivrer son message à l'Auberge du Tas de Coquilles, à Arles.
Suniva
Je vais démissionner dès demain, leur rendant ce qui est LEUR mairie et tout ce qui se trouve à l'intérieur... j'en connais qui seront déçu de voir que je ne l'ai pas pillé... et j'aimerai partir vite. Changer d'air. Vous en pensez quoi ?

Suniva, à peine surprise, regarde son tendre, puis le vieil Arta, Rixende qui semble bien troublée par la nouvelle, Rosetta qui les a rejoint, l'air hagard.
Soupire.
Sourire.
S'agite un peu.
Se glisse au creux des bras de son compagnon en lançant d'une voix claire...


" - Ah bah. Voila une bonne chose. Nous ne sommes plus à une lieu près. Et puis, on avait bien dit qu'on voulait visiter le monde jusqu'à trouver l'endroit qui nous attend et où nous pourrons vivre vraiment. C'est pas ici, ça c'est sûr... Demain, je prépare nos paquets et basta !"


Une fois n'est pas coutume, la jeune femme reprit du vin. Elle amena sa gaieté à la conversation jusqu'à ce qu'à bout de plaisanteries et d'exposition de projets, le petit groupe s'endorme dans la grande salle de ce qui redeviendrait une ruine quand ils auraient tourné le dos à la Provence... Suniva regretterait sans doute certaines de ses connaissances, amitiés nouées dans l'adversité entre autre. Juste avant de s'endormir, elle dressa dans son esprit la liste des courriers qu'elle devrait rédiger afin de les prévenir.

Le jour s'était levé depuis longtemps. On frappa à la porte. Suniva raidie par sa position inconfortable ouvrit un oeil, puis l'autre...


" - J'arrive, j'arrive !!"

Elle repoussa Edwald avachi sur sa poitrine ; recula en pouffant, la main d'Arta qui pétrissait les fesses de son tendre : sans doute encore à rêver d'une matronne bien gironde celui-là. Lança un oeil vers Rosetta, la tête posée sur sa besace et profondément endormie au coin du feu puis alla ouvrir.

Un garde au tabard orné des armes des Vitrolles lui faisait face, un parchemin à la main qu'il lui tendit. Suniva remercia le soldat, lui offrit quelques deniers et déroula le parchemin.


" - Ahhhhh mince. J'ai bien peur que nous soyons partie quand Héloïse arrivera..."


Un peu attristée, la jeune femme monta les étages. Elle allait envoyer réponse à sa noble amie...

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Tu aimes lire les RP ? Alors une bonne adresse : RPartage
Edwald
Edwald passa une douce nuit allongé la tête bien calée sur la poitrine de sa compagne, l'alcool aidant à ne pas se réveiller de si tôt ce n'est qu'au petit matin qu'il ouvrit les yeux...

Humf.

Les yeux collés, il s'essuie la bouche et se frotte lentement le front.. Un rapide regard autour de lui, Rixe et Suni n'était déjà plus là. Artacoquillus dormait encore dans sa bave, des petites bulles dégoulinant lentement de sa bouche.. Rosetta elle semblait toujours assoupie sur sa besace.


Bigre, quelle soirée.

Il se leva et commença à ranger les bouteilles en grand maniaque de l'ordre, un petit mot attira son attention, l'écriture style "bébé", c'était Rixe..

Hum.

Il fit lecture du document et sourit, se demandant par quelle idée sa soeur pouvait imaginer qu'ils puissent partir sans elle. Ed continua son rangement prenant soin de ne pas faire trop de bruits, il entendit des bruits de pas à l'étage, surement Suni. Le coquillard s'installa finalement au comptoir et sortit miche de pain et confiture pour un petit déjeuner un peu tardif..

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--Mistigri
Mistigri la faim au ventre arriva dans l'auberge poussant des...

Miaouuu Miaouuuu MaoouUUUU

Des miaulements à réveiller un mort. Le chat grimpa directement sur le comptoir et commença son petit travail du matin, quémander de la nourriture en faisant le dos rond et en ronronnant.. avec un peu de chance aurait il droit à un peu de confiture sur le doigt de son maître...
--Artacoquillus
Le vieux débris poussa un dernier ronflement avant d'ouvrir ses gros yeux globuleux et encrassés. il s'étira comme un ours sortant d'une longue hibernation et se leva lentement. Ses vieux os craquaient un à un au rythme du levé. Artacoquillus rejoignit Ed et s'installa au comptoir..

Maudit chat. Scrogneugneu..... Je déteste être réveiller par les foutus miaulement de ce cadrice.


Ed lui tendit une tranche de pain que le vieillard accepta, histoire d'imbiber un peu ce qu'il avait encore au fond de l'estomac..

Et le programme d'aujourd'hui ? C'est quoi ?
Edwald
Le programme d'aujourd'hui me dis tu ? J'hésite... entre ...

Il donna une miette de pain au chat enrobé de confitures, ce qui donnait plutôt une confiture au pain qu'un pain confiture...


J'hésite entre un grand déballage, mais je me dis que les provençaux aiment ça être les moutons de 3 ou 4 bergères... et entre aller brûler cette fichue mairie que l'autre truffe de vivivivi ne puisse pas y remettre les pieds.

Il se servit un verre d'eau et l'avala d'un trait..

Mon brave Artacoquillus. Je vais te demander d'aller afficher quelque chose pour moi en Arles. Je compte sur toi. Voici la missive.

Ed lui tendit la missive soigneusement rédigée au cours de la nuit..

Citation:


Habitants et Habitantes de Arles,

Depuis plusieurs jours, un complot se trame à mon encontre, orchestré par Dame Vivivivi, au sein d'un Conseil Comtal qui suit chacune de ses paroles, sans en vérifier le fondement.

J'ai donc décidé de démissionner de la mairie d'Arles, poussé par de multiples raisons.

- Le comté refusait de me délivrer l'argent appartenant à la mairie, m' handicapant donc pour commercer avec nos voisins.
- Le comté n'affichait pas les arrêtés municipaux pourtant affichéslà où il se doit par ma personne, les rendant ainsi obsolètes.
- Alors que j'indiquais mon point de vu sur le fait que l'impôt comtal est bien trop élevé et ne sert qu'à enrichir les institutions, au détriment des mairies, une plainte pour haute trahison a été déposée par Dame Vivivivi, qui était pourtant elle-même, il y a quelques mois, était reçue par le Conseil dans le cadre d'une demande d'indépendance d'Arles.

Alors que nous tentions de rendre le village vivant, voilà que la rumeur grandissait, Vivivivi trouvait mes conseillers peu intelligents... Voyez là le respect accordé à Suniva, Rosetta, Sucetteaunutella, Rixende ou encore Noncolodei.

Nous qui faisions de notre mieux, devions subir les remarques inutiles et souvent fourbes de Vivivivi au Conseil du village.

Nous qui étions accusé au Conseil Comtal de vouloir piller Arles rendons aujourd'hui Arles avec l'ensemble de ses biens matériels et pécunières.

Demain qu'en sera t il ?

Vivivivi dénoncera un état déplorable de la mairie ? Elle qui déjà critique des broutilles telles que le nombre de stères de bois ou le nombre de fruit en stock , alors qu'elle en est l'entière responsable.

Habitants et Habitantes d'Arles, notre village allait être pris d'assaut sous prétexte d'une soit disant légitimité, sous laquelle se cache en fait une fierté exacerbée et un égo démesuré de Vivivivi, conseillère municipale rejetée du conseil à l'unanimité il y a quelques jours.

Je sais qu'elle ne laissera pas entreprendre d'élections, trop fière et impatiente de retrouver SA ville, SON fief. Celle que l'on pourrait surnommer "la Marquise d'Arles" a tué Arles.

Le conseil comtal dirigé en réalité par Vivivivi et Hersende embobine la marionnette Comtesse Ledzepelin. Voyez comme ils s'apprêtaient à prendre Arles par la force sans raison aucune.

Adieu Arles, il est de coutume de dire que les rats quittent le navire, et c'est la tête haute que moi, petit rat, quitte ce navire infesté par la peste et le choléra.

Edwald, Ancien maire d'Arles.



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--Artacoquillus
Le vieil homme prit la missive en main, se servit un verre de vin pour la route, et soupira longuement...

Tu te donnes beaucoup de mal pour peu de choses, partons et c'est tout, peu importe qu'ils aient des œillères on s'en fou.

Voyant qu'il n'allait pas faire changer d'avis Edwald, artacoquillus s'exécuta et prit la direction du centre d'Arles...
Rosetta
En plein doux rêve d'un monde meilleur, loin d'Arles et de ses grands penseurs, Rosy fut soudainement réveillée par un bruit strident, un bruit de mort, un bruit à réveiller un ivrogne qui cuvait son vin...

MiaaaaooouuuuUUUUUUUUUUUUU......

Elle se leva en sursaut, les yeux bouffis de sommeil, ne se souvenant plus très bien des événements de la veille. Mais ils lui revinrent rapidement en mémoire lorsqu'elle se rendit compte qu'elle n'étais plus chez elle, mais à l'auberge...

Elle se mit sur ses pieds avec difficulté, sa besace toujours serrée contre elle. Elle s'installa à table, un regard très vague pour Ed, l'homme avec lui, et le fautif qui l'avait réveillée, le chat !
Elle n'aurait pas son thé ce matin, ce serait dur de s'en remettre, mais il faudrait faire avec...


Bonchour... *bouche pâteuse et gros soupire*
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Voyageuse angloyse
Parlez lentement, j'ai du mal en français !
Azraelle75
Un groupe de cavaliers atteint les premières maisons arlésiennes. A sa tête, une jeune dame aux longs cheveux, l'air determiné.

Aprés s'être présentée aux portes de la ville, elle se tourne vers ses compagnons :

" Nous voilà à bon port ! J'ai des amis à voir. Ils tiennent une auberge, le dernier endroit à la mode en ville selon mes informations.

Un peu de détente me fera du bien !"


*Sourit*

"Si celà est possible, je louerai une chambre chez eux.

Nos chemins se séparent ici, mais vous savez où me trouver. L'établissement s'appelle ... euh ... un nom avec "coquille" dedans. Au revoir ou à plus tard !"


S'éloigne, marche tranquillement, passant par le centre. Elle croise un vieil homme pressé, muni d'un parchemin dont la teneur ne lui plaît guére à voir sa mine contrariée.

Elle n'y prête pas davantage attention et poursuit sa route. Enfin, elle se tient devant l'établissement recherché.

A sa grande surprise, les portes sont fermées. Il ne semble pas y avoir foule à l'intérieur.

Pourtant, des voyageurs peuvent passer à toute heure. Ne sachant trop quoi en penser, elle décide de frapper à la porte.

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Enimia Sélène Loews, dite Azraelle
Edwald
Edwald servit une tartine à Rosy qui parassait avoir bien du mal à se réveiller...

Et bien alors Rosy ? on apprécie pas le réveil chatesque ?

Il rit doucement et lui tendit la tartine et le pot de confiture...

Tiens, aux fruits bien sucrés.

Edwald commença à s'en servir une nouvelle tranche quand il entendit frapper à la porte...


Tiens.. déjà une réaction à mon affiche ? ...

Il regarda avec interrogation Rosetta, l'ayant écrite en compagnie de ses amis au cours de la nuit..


Edwald se leva en ronchonnant et alla ouvrir la porte de l'auberge, qu'il laissa cette fois ouverte pour éviter un nouveau dérangement..


Bonjour m'dame.

Il resta un instant immobile en voyant ce qu'il avait face à lui. Non pas qu'il n'avait jamais vu une femme de sa vie ou qu'il ai particulièrement bloqué sur une partie de son anatomie, mais plutôt que la dame paraissait bien habillée et étrangère au village...

Vous êtes à ce qui est l'auberge du tas de coquille pour encore quelques jours, entrez donc.
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Rosetta
Rosy prit la tranche de pain qu'Ed lui tendit, avec un marmonnement voulant dire merci. Elle étale de la confiture dessus et mangea, espérant que le moral et l'appétit reviendraient du coup... Mais pas vraiment...
Elle tenta un sourire endormi, "Meurci Ed c'est gentil", puis on frappa à la porte.


Tiens.. déjà une réaction à mon affiche ? ...

Ca m'étonnerait...

La porte s'ouvrit sur une Dame inconnue qui semblait bien habillée. Rosy repensa à ce que contenait sa besace, ses habits de son ancienne vie en Angleterre, tout ce qui lui restait à présent.

Elle la salua d'un signe de tête, en continuant de la dévisager bêtement.
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Voyageuse angloyse
Parlez lentement, j'ai du mal en français !
Azraelle75
Entre dans l'établissement, un homme l'accueille.
Une dame se tient prés de lui.

Deux inconnus, même s'il lui semble avoir déjà vu ces visages quelque part.
Aix, Avignon ? Arf, celà ne lui revient pas.

Elle est rassurée d'entendre que l'auberge est toujours ouverte.


"Bonjour Messire, Dame. Je suis Enimia Séléne Loews, mieux connue sous le nom d'Azraelle. En visite courtoise à Arles. J'ai rencontré Dame Suniva à plusieurs reprises, et je voulais la rencontrer.

Ainsi que ses amis. Je sais qu'ils sont parvenus à faire revivre Arles. Et aussi que le maire, Edwald, son compagnon, s'est attiré des ennuis en parlant un peu trop fort."


*Sourit*

"Vous savez où je peux les rencontrer ? "
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Enimia Sélène Loews, dite Azraelle
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