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[RP ouvert] Petit Braconnage entre meilleurs ennemis...

Ubik, incarné par Istanga
Robert Arctor en avait terminé avec la mélancolie qui l'avait pris à l'annonce de la mort de sa demi-soeur, Héloïse Beogora-Bertry. Depuis quelques jours, il était sorti de la léthargie qui l'avait poussé à rester plusieurs mois dans un monastère. Ces mois n'avaient pas été inutiles, car ils lui avaient permis, non seulement de reprendre goût à la vie, mais aussi d'approfondir sa culture par la lecture de nombreux ouvrages, dont était largement pourvue la bibliothèque des moines.

L'un d'eux lui avait même offert un exemplaire de l' Expositio et ratio omnium formarum mensurarum, qui l'avait grandement intéressé. Aujourd'hui, il avait enfin commencé sa tâche. Intendant du domaine des Trévière n'était pas mince affaire, et il avait décidé de commencer par vérifier les bornages de la propriété.

La cousine du Seigneur, Istanga de Lendelin, lui avait proposé de l'accompagner, prétextant une promenade de santé pour les deux petites panthères qu'elle possédait, ce qu'il avait accepté sans rechigner, primo parce que la dame était bien faite de sa personne, deuxio parce qu'il valait mieux ne rien refuser à la cousine. Ses ires étaient connues, et craintes des serviteurs.

C'est donc en curieux équipage qu'il avançait dans les bois, aux côtés d'une belle brune qui avait autant le goût du sang, à ce qu'on disait, que ses deux fauves qu'elle idolâtrait, plus un gamin mal embouché, du nom de Darius, qui le saoulait à tout bout de champ de questions tordues, un singe à demi sénile sur l'épaule.

Robert commençait à regretter d'avoir accepté la proposition, car il n'avait pas encore pu prendre la moindre mesure. C'est avec soulagement qu'il entendit soudain des voix, échappées d'un bosquet à proximité d'eux. S'avançant pour voir qui se promenait ainsi sur les terres de son maître, il fut surpris de voir l'autre cousine, dans une situation peu avantageuse, donnant bien plus l'impression d'une gueuse que d'une jeune femme de bonne famille.

Gardant son avis pour lui, il salua Flore de Lendelin, ignorant les autres personnes présentes. Rassemblement bien hétéroclite, à son avis.


Donà Flore, je vous salue. Mais.... regard sur le sanglier, puis sur les gueux dépenaillés, encore que... l'un d'eux l'était moins que les autres vous avez arrêté ces braconniers? Toute seule?

Cleeclee
Cleeclee se promener deja depuis un moment parlant tout avec sa belle jument et son chat certains disent qu'il est fou mais faut les laisser dire ... ne trouvant toujours pa de gibier , il monta sur grand arbre la il cru entendre des voies certaines qu'il connaissait et d'autres vraiment pas du tout aussi voulant savoir se qui se tramer il attacha son cheval a un arbre bien en vue pour qu'on le voit pour faire diversion etil pit son chat dans ses mains et s'approcha tout doucement du lieu . La il vit la bete qui lui faisait enormèment envie aussi au moment ou tout le monde avait les yeux rivés sur le cheval il en profita pour piquer quelques cotes puis il repartit comme si de rien n'etait mangeant les cotes et sifflotant il s'avais que tout le monde l'avait vu mais il continuer a marcher de dos du style " non moi j'ai rien fait pas la peine de se preocupe de moi

Tralali et tralala que ce qu'il fait beau aujourd'hui o tiens des fleurs que ce qu'elle sont belles !

Sur ce il commenca a accelerai le pas commencant a ce douter de la suite
Istanga
Claquement de mains. Ordres secs lancés. J'aime la ronde affolée des serviteurs. S'ils savaient que je fais exprès de leur faire peur, pour me délecter de leurs mines effarées, ils ne répondraient pas si vite.

- Vania! ne restez pas plantée là, aussi inutile qu'un linge prétendant absorber les menstrues d'une femme de soixante ans! Ramenez moi Darius, dare-dare!

Je me tourne vers Robert, lui offre un sourire félin, me proposant de l'accompagner dans sa visite domaniale. Il n'est pas mal fait, mais quel pète-sec! J'ai le souvenir de sa soeur, rencontrée à Nîmes en mai : nettement plus avenante, et plus drôle. D'ailleurs, il est tellement cul serré que j'attendrai encore avant de lui confier le journal d'Héloïse. Na!

L'imbécile d'Octave, valet de Samuel, m'amène mes panthères. Je suis sûre qu'il a pissé de peur dans ses braies.... Je les caresse tendrement, les bêtes, pas les braies! Beurk!


- Mithra! Anahita! mes toutes belles! Je vous emmène chasser...

Et nous voila partis, à la suite de l'intendant, me permettant d'admirer à loisir son verso.
Darius le tanne comme un vieux cuir, l'assaisonnant de questions destinées à le déstabiliser. C'est moi qui lui ai appris. Je m'amuse comme une folle. Il faut bien, en ces temps de batailles.

Les panthères s'en donnent à coeur joie, pourchassant oiseaux et lapins, à défaut de proie plus conséquente. Si elles pouvaient me dégotter un cerf, je crois que je serais capable de le daguer seule. Envie de sang.


Cul-serré s'arrête, je l'entends qui salue.... Je m'approche et, enfer et damnation!

- Floooooooore! Ma Gol ! Tu es blessée?

Oui, je crie, car j'ai peur pour ma soeur, couverte de sang, et alors? Cela ne fait pas de moi une hystérique.

- Qui t'a fait ça? Dis-le moi, que je l'étripe sur le champ! haussant encore la voix.

- Madnight? Encore vous? C'est vous qui avez fait ça?

Je lui prends le poignet pour lui tordre, mais au lieu de ça, je la mords. Normal, je suis enragée. Et puis en fait, je commence à douter que ma soeur soit blessée, voyant son air goguenard.

Je lâche ma proie, pique un fard, reste plantée, à attendre un miracle qui me sortira de la situation ridicule dans laquelle je me suis fourrée. Toute seule en plus. Je ne peux même pas accuser quelqu'un, c'est malin!

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Enored
Scène vraiment des plus folles ... L'Irlandaise reste sans voix jusqu'à ce que un Mais heuuuu Enored ? la tire de sa contemplation et voilà la mercenaire qui descend de son cheval. Elle accrocha la bride à un arbre. Arc à la main toujours, des fois qu'un des braconniers ne s'excite, elle s'approcha essayant de garder son sérieux.

Ahum oui c'est moi Dia Dhuit Natale et m ... c'est pas comme ça qu'on salue quelqu'un de son rang ... humpf mauvaise habitude prise en taverne tant pis. Si j'avais su que vous partiez chasser, j'aurais fait route avec vous ... Vala là déjà c'est mieux.

Une voix énervée. Messire, passez votre chemin et vous Dame allez chasser ailleurs. Regard de la mercenaire qui se dirige vers la demoiselle en question, pour qui elle se prend celle ci ? d'abord, c'est très amusant tout ça pourquoi bouger ? Nouvelle arrivée ... l'Intendant suivit d'Istanga. L'attention de la rouquine se reporta vers le Seigneur de Sainte Maxime


Je crois qu'on vient de trouver le dernier 'salon' où l'on cause vous en pensez quoi ?

Une exclamation furieuse ... coup de sang d'une des cousines de Samuel ... la brunette rejoint sa soeur affolée. Pourtant, elle a l'air dépenaillée certes mais en bonne forme la Flore ... haussement de sourcil, attente de la suite. Les soeurs Lendelin ne s'étaient pas aperçues de sa présence et la scène plutôt cocasse apportait à la mercenaire la détente dont elle avait besoin ...
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--Cristopho
Bon dieu, y'en avait marre... Il s'était rassemblé à deux sur un sanglier, une troisième avait rappliqué. Bon, la jusque la sa allait. Mais tout les autres lascards qui étaient venus depuis... Namého, l'avait la dalle lui

_Bon, c'est pas la soupe populaire ici, des sangliers y'en a des douzaines dans l'coin, vous remballez vos cliques et vos claques et vous vous tirez!!

Toise le nobliaux du haut de ses cent vingts kilos et de son bon mètres quatre vingts dix:


_Si j'oserais?? Mon p'tit père, donne moi une seule bonne raison de t'enfoncer trois pouces d'acier dans la poitrine et je le fait...


Tiens toujours sa hache à la main, le géant. Namého, c'est pas eu qui vont lui piquer son cuissot...


_Allez zou, y'a rien à voir!! Dégagez, ou j'm'en occupe à coups de bottes dans l'fondement...
--_darius



Tout sur Robert.
Darius avait pris en grippe le grand escogriffe, dont Istanga admirait le verso. Il nageait donc toujours dans les parages de l'intendant, tel un poisson pilote. Sauf que le prédateur n'était pas celui qu'on croit. Bref, jour de sortie pour les panthères, le singe à la cervelle bouillie, Istanga et ses dagues, et le petit bonhomme.

Darius marchait aux côtés du pédant, ne lui laissant pas la moindre occasion d'utiliser ses instruments de mesure, l'abrutissant de questions existentielles, du genre "c'est quoi cette bouteille de lait?", "Qui suis-je, où vais-je, dans quel état j'erre?", mettant à mal la patience de l'homme.

Darius porta alors le coup de grâce. Désignant les attributs de l'intendant, joliment mis en valeur par le pantalon moulant, lui demanda :


Pourquoi toi mettre balles dans ton pantalon? Istanga dire que c'est là que toi mettre ton cerveau. Elle t'appeler le couillu.

Regard en douce sur Robert, dont les lèvres minces s'amincirent, jusqu'à ne plus faire qu'une ligne blanche. Voulant pousser son avantage, Darius ajouta, à voix basse :

Elle dire aussi "verge molle"...

Mais il n'eut pas le temps d'examiner la réaction de son cobaye, ses mots étant noyés par les cris d'orfraie que poussait Istanga à la vue de sa soeur, couverte de sang, tandis qu'un échappé du bocal s'enfuyait en mangeant un hamburger, sans doute volé au Mac Do du Ref1.

S'approchant, il put constater qu'un étrange attroupement s'était fait autour d'une prise de taille, un sanglier. Darius se planta devant le groupe, les bras croisés, observant les protagonistes de cette aventure : un malabar ibère, donc abruti, une chieuse en devenir, une déjà chieuse nommée Flore, une pirate sans bateau, donc chieuse, un homme juché sur un cheval et qui se la pétait grave, un sanglier désabusé.


Il ne manquait que les panthères, qui arrivèrent dès qu'il y pensa, se jetant sur la bête, déchirant ses entrailles.

Il dit :


Les félins gagner, eux pas parler, eux agir.
Madnight
L'arrivée du cavalier prétentieux nommé Natale, qui voulait étendre son droit de cuissage sur le sanglier, et de Enored, car c'était bien d'elle qu'il s'agissait, Mad l'ayant reconnu, avait chamboulé et compromis le repas que le géant, Flore et Mad avaient consenti à partager.

Mais elle sentait bien que le géant n'était pas homme facile, et que comme elle, il n'avait pas envie qu'on lui ote davantage sa part de gibier.
Elle se mit à ses côtés, lui la hache à la main, et elle, ayant sorti son coutelas de sa botte, sur la défensive.


Tous se regardaient, s'étudiaient les uns les autres, en attente du moindre mouvement qui aurait pu déclencher une bagarre.
L'odeur du gibier avait attiré les vautours. La partie serait rude à gagner
.

Un étrange personnage fit alors irruption, comme sorti d'un livre, bien mis et courtois. Il s'adressa à Flore
Donà Flore, je vous salue. Mais vous avez arrêté ces braconniers? Toute seule?

La jeune Mad était exaspérée. Elle allait lui rétorquer une vérité bien de chez elle, quand soudain un cri de rage retentit en même temps qu'elle sentait une atroce brulure au bras

Madnight? Encore vous? C'est vous qui avez fait ça?

Aie ! Mais c'est qui cette furie ? Elle m'a mordu en plus ! Istanga ? Je suis en plein délire, va falloir que je me réveille...
Hé ma petite dame, c'est pas moi le repas du soir !


Mad se frotta vigoureusement l'endroit ou Istanga l'avait mordu.
Elle allait lui faire voir de quel bois elle se chauffait, mais se ravisa.
Pas qu'elle avait peur la jeune paysane, mais seule dans les bois, avec une bande d'affamés qui en plus avaient l'air de tous se connaitre, c'était pas de bon augure.
Elle avait pas envie de finir comme le cuissot, en tourne broche
!

Sac à puces, elle l'avait oublié celui la, s'était mis à grogner.
Elle tourna la tête, et vit avec horreur deux gros chats qui s'occupaient sérieusement du sanglier pendant que tous s'engueulaient lamentablement.
Non ! son repas commençait à s'éloigner dangereusement.


Rappelez vos matous dare dare ! ou vont finir en rotis à la place du sanglier s'ils continuent!
--Cristopho
Cristopho commençait à en avoir marre la... Regarde les deux bestiole en train de bouffer sa viande....

_Dégage tes chats nom de nom!!!

Bouscule le gamin sans trop de ménagement.

_Le ouistiti, tu dégage avec tes deux matous la!! Sinon j'les embroche aussi!!

Se remets à son ouvrage. Allume le feu sous le cuissot et mets un peu de sel avec quelques plantes aromatiques dessus. Regarde les autres qui s'engueulent, se mordent, s'en foutent sur la gueule... Quel bordel, y'a des quémandeurs partout... Et v'l'a t'y pas qu'y en a un qui se tire avec des côtelettes! Et les bouffent crus avec sa!!

_Bon, à table la, j'ai la dalle moi...

Sort son cuissot du feu et en taille trois bonnes parts qu'il distribuent au deux femmes. En profite pour se rapprocher du sanglier mort, et s'appuie sur sa hache. Si y'en a un qui veut prendre sa part sans demander à lui ou au deux Artémis, y'auras de la castagne... Mange son morceau de viande à la main... Un peu à la barbare, y'a pas de couvert... Tant pis, c'est pas mauvais quand même...
Cleeclee
Cleeclee lui restait la a quelques mettre mangeant ses quelques cotes appuiyait sur un arbre , il applaudisse quand ca commencer a devenir interressant et lancer des cailloux quand ca commencer a etre vraiment nul . Il trouvait vriament qu'il y avait des dingues partout entre l petit avec un singe qui parle mal le geant grognons la fille qui mort tout et qui a des pantères en animal de compagnie entre le vieux du haut de son etalons qui commence a prendre des grands airs ralala la c'etait pire que la mafia et services secrets ils se connaissent et ils se chamillent tos mais ou va t'ont puis commencant a s'enerver un peu

Bon c'est bon les enfants c'est terminer la comédie le théatre c'est en ville a aix mais ici en plus ca va bientot etre l'heure du repas donc s'il vous plait on peut partager il est gros en plus on peut largement si mettre a trois ou quatre la vous etes que trois y resterai ue place ? Peut etre pour quelqu'un qui mange pas beaucoup ?
--Casse_trogne
Cassetrogne avait dû dormir pendant sa veille et voilà que tout ce monde déboulait face à son poste !

Foutredieu, il y avait là une odeur de femme et de sang, l'un allant rarement sans l'autre !

Il reconnut avec plaisir le petit cul serré d'Istanga, la sorcière, et avisa plusieurs autres minois et se pourlécha.

Il y avait même une Provençale, dont il ne connaissait pas le nom.

Tout ce monde causait.

Il fut tenté de surgir en hurlant ... Digo li que vengon ! No pàsaroùn !

Puis ... bah, non, trop tard. Autant se joindre à la partie.

La belle Provençale lui plaisait ... vive, audacieuse, courageuse, affamée ...

Il se lissa la barbiche de la main ... qui lui passa au travers du visage.

Que ?

Les souvenir lui revinrent ... la veille, quelques temps avant, la bataille dans la nuit. Ils avaient tous été occis.

Et voilà que ces gens venaient festoyer à quelques pas de leurs débouilles !

...

Ma foi ... la belle est là.

Aucun des autres ne peut se vanter de revenir pour elle.... une nouvelle approche à tenter.

...

Il se glisse auprès d'elle et lui murmure.


Si j'étais vous, je reculerais un peu ... nul ne bouscule impunément un gamin dont la soeur a deux panthères pour amies.

Je suis Tristan de Rocbrume, des Scorpions, et charmé de vous rencontrer ici.
Natale
Qui aurait cru que la forêt lointaine était autant parcourue ces derniers jours.
Forcément ! y’a plus d’autorité ! alors on braconne et vla qu’on se tape la causette autour des grillades.

Pragmatique il l’était et déjà son esprit calculateur envisageait diverses formules pour s’octroyer si possible la plus grande part « du butin » :

Option n°1 : proposer un traité diplomatique pour le partage dudit sanglier… ; Mmmmm mauvais, trop de monde, les parts, du moins SA part, au final, serait trop petite.

Option n°2 : jouer ça au ramponneau…. Mmmm mouais, il était plutôt joueur mais il n’aurait pas parié quoique ce soit sur la dépouille et pis… c’étais sur et certain que la plupart des piliers de taverne ci-présents avaient d’autres cartes dans leurs manche, il le savait bien ! lui faisait pareil après tout !

Option n°3 : organiser un match de soule, oui bon il manquait de la bière et y’avait déjà suffisamment de monde comme ça dans la clairière par la peine, et puis en plus faut partager les restes du sanglier au sein de l’équipe qui aurait gagné – partager, mauvaise solution toujours !

Option n°4 : effet de surprise – ho ! regardez un éléphant rose – et se tirer avec le bout de gras, risqué avec le Géant…

Option n°5 : divertir le Géant et monter un coup avec quelques-uns pour voler le sanglier
Option n°5bis : trahir ensuite les personnes avec lesquelles on s’est arrangé pour ensuite prendre la bête rien que pour lui… Mmmmm

Option n°6 : rentrer dans le lard au sens propre comme au figuré. Mmmm le recours à la guerre est toujours la dernière solution ne disait-on point ?

Option n°7 : prêcher la bonne parole
Un sourire mesquin se dessina quelques secondes sur le visage du vicomte.

Il descendit alors de sa monture... toujours se mettre à porté de la populace… et s’approcha du Géant.

Holà ! point de peur je ne te prendrai point « votre » bien – du moins pas pour le moment –
Mais regarde donc autour de toi
Il prit à parti l’assistance
Ne vois-tu point femmes, enfants et hommes valeureux et pourtant affamés ? Ne vois tu point la famine percer dans les yeux de nos valeureux – de tous bords - ici réunis ?
Ne feras tu point œuvre de paix en nous permettant tous de savourer cette chaire ? Feras-tu œuvre de charité en bon croyant que tu es ? N’aideras-tu point la veuve et l’orphelin ?

Prêcheur et politicien, toujours jouer sur la corde sensible.
N’es tu point un homme, mais une bête qui se répand d’une autre bête ? Cela je n’ose point le croire.
Il mit la main sur la hache floresque quelques violons seraient les bienvenus.
Qui te dit que cette proie est tienne ? Regarde donc ces chasseresses spoliées d’un bon repas,
La belle Flore et elle qui sûrement se félicitait déjà de ramener bonne pitance auprès de ses fél… de ses enfants et de ses proches.

Il toisât Madnight
Comment t’appelles tu ?
Il devait à tout prix faire oublier – au moins pour un temps- « les renégats ».

Se retournant alors vers le Géant.

Nenni point que je sois noble et que toi tu sois gueux, mais en aucun cas je ne pourrais laisser pareille offense faite à une femme et bien que de camps différents, c’est la paix que je prône –mon ami- et en aucun cas mon code de l’honneur ne pourrait laisser pareil acte se perpétrer par devant moi.
Et j’en suis sûr, que d’autres, tout comme moi, préféraient défendre les Belles.


Bien, plaidoyer qui rentrait peu dans ses cordes, mais il fallait pouvoir user de tout, chaque chose en son temps de toute façon…
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--_darius


Crime de lèse-majesté! L'ibère malabar barbare avait bousculé l'héritier de Samarcande!

Le petit Prince jeta un regard torve au mire-balai, avant de lui décocher un coup de genou dans les parties pendouillantes de son anatomie. Namého!

Toi pas me toucher! Istanga te couper la tête! Elle la plus forte!

Il se désintéressa de l'homme hébété, bouche ouverte cherchant l'air, telle une carpe.

Carpe Diem! Mangeons!


Tiens, tant qu'il y était, il écrasa le pied de la provençale, avant de préciser :

Si panthères être chats, moi être nouveau-né. Toi rien connaître, ma parole!

Mais sa curiosité fut titillée par la vision saugrenue d'un être venu de nulle part.

Scorpion?

Un frisson de dégoût le parcourut. Les scorpions, c'est pas bon, surtout quand ils sont une armée. Mais il savait lutter contre eux. Le feu.

Bon, l'avantage d'être un gamin, c'est qu'on peut faire n'importe quoi, surtout sauter du coq à l'âne. Darius ne s'en prive pas, et court d'un sujet à l'autre, sans considération pour celui qui tente de suivre.

Darius, donc, délaissa le coq pour l'âne, et se tourna vers un mets de choix : le commentateur sportif. Il faut bien reconnaître qu'il en avait tous les attributs : vocabulaire et souci du détail, applaudissements intempestifs, morale à deux balles, baltringue en perdition.

Le mioche s'en approcha, leva la tête et son regard insondable vers le mâchouilleur, et lui dit à l'oreille :


Toi aimer sport? Toi aimer paris?

Sourire moqueur qui, en langage dariussien, signifie : dis oui, steplé, dis oui...
Madnight
C'était vraiment plus qu'elle ne pouvait en supporter la jeune Mad !
En quelques instants, le géant lui lança ainsi qu'à Flore un morceau de barback à peine cuit, pressé certainement de manger le bougre, le mome accompagnant la furie, s'était mis à lui piétiner le pied, le cavalier noble essayait de l'amadouer en lui demandant son prénom, et le comble, un dernier arrivant qui lui faisait des politesses et les yeux doux !!

Fallait absolument trouver quelque chose pour sortir de cette impasse et surtout pas bredouille !

La Flore ne pipait mot ainsi que la mercenaire. Toutes deux goguenardes, avaient l'impression de s'amuser.
Istanga avait calmé un peu son agressivité, mais c'est sur qu'elle aussi allait bientot demander sa part du butin.

Un petit malin sorti de nulle part avait fait la pige aux panthères, et grignotait une cotelette crue. Vraiment affamé le drole !

Bref, elle évalua les enjeux et les risques. Le géant lui inspirait confiance.
Il était costaud et décidé à se battre.
Le Tristan enjoleur, elle pourrait le cas échéant le mettre dans sa poche.
Instinctivement, elle arrangea une mèche de cheveux poisseuse du sang de l'animal et collée sur son visage. Le résultat n'était pas terrible, mais elle avait fait une tentative de coquetterie !

Les dames et le drole, elle pourrait négocier.
Mais ce seigneur occitan l'inquiétait. Son titre de noblesse lui donnait quelques pouvoirs, et il avait l'intention d'en user, l'animal !
Et cela ne présageait rien de bon.
--Cristopho
La le barbu commençait à être la cible de toute les attentions... Le môme qu'essai de lui écraser les parties... Sait pas visé, il s'est loupé le chiart... Et l'autre qui commence à lui casser les.. heu.. parties en question avec son beau discours

_Me parle pas des autres, m'en tape. J'ai 10 hommes à nourrir moi, alors vas prêcher ailleurs... La veuve et l'orphelin, qu'ils s'démerdent, moi j'ai assez comme sa avec moi, namého...


Récupère la hache d'un coup sec. Regarde le chiard qui lui pose une question après avoir essayé de lui écraser les parties. Manques pas d'air cui-la...

_Aimer qui sa??

Devant la tète du môme...

_Heu oui oui, j'les aiment bien ceux la...

Il cause de quoi l'gamin? Paris... La capitale nan? 'Fin j'crois...

Fallait pas trop en demander au barbu... Après tout, quand il venait en France c'était pour se faire une mairie ou deux, dévaliser quelques passants, voir s'faire un château... Pas aller voir les matchs de Soule... Continu à mâcher sa part de viande, à défaut de gâteau. L'as la dalle le géant barbu... Mais garde sa hache à la main. Y'a des drôles de gus dans l'coin... Dont des français, un môme perse, et autres... Donc prudence... Finit de manger sa part de cuissot bien grillée et soulève le sanglier sur ss larges épaules. Après quelques halètement, soupirs et contorsions, finit pas attacher la bestiole à 3 pattes à la branche d'arbre, par la patte du bas. Tire son coutelas de sa gaine


_'Tention, ame sensible tournez vous...


Et oui, le Chabal à la hache compte bien vider l'porcin... 0 sa façon... Qu'est sans doute pas la plus ragoutante...

Se penche quand même d'abord vers la femme, qui c'est pas présenté et qui dit avoir planté une flèche dans l'derrière du porcin...

"Psssssttt... Oui, toi la!! J'découpe le gorret et on s'casse avec le butin.. A moins qut'ai envi d'partager sa avec les autres, on s'fait deux parts et on s'tire. Tu crèches ou? Chez les provençaux ou chez les français toi?"
--Casse_trogne
Tristan de Rocbrume ...

Cela fait toujours de l'effet. Mais pas assez cette fois. Couvert de sang comme les femmes, à ceci près que c'était les réminiscences du sien et elles ... celui du verrat.

Il tenta de piquer des ragotons croustillants pour la belle Provençale inconnue. Le cochon grillé. Il en eût eu l'eau à la bouche ... mais il n'en avait plus.

Saliver au figuré devenait un nouvel exercice de style. Si la concupiscence était revenue, pourquoi pas le goût ?

Et ses mains passèrent au travers des ragotons pour voir le gamin au regard cruel s'en emparer d'un air farouche.

Le géant souleva la bête, qui se mit à couiner. Chose étrange que de voir l'esprit se débattre encore alors que la chair est déjà morte.


Sa dernière hure_ est venue.

Conversation insolite. Il n'avait jamais fait la cour à une dame aussi sanglante. Les vêtements poisseux lui collaient à la peau, laissant émerger ses formes.

On dit que le sexe de l'homme est ce qu'il y a de plus léger ... une pensée suffit à le soulever.

Mais, présentement, la pensée ne faisait soulever plus rien. Le trépas arrangeait bien mal les choses.

Croqueburnes ! Il n'allait pas se laisser démonter pour si peu !

Il restait du pain dans nos gibecières, un peu plus loin par là, près des corps, ainsi que d'autres denrées.

... il n'y avait plus qu'à les récupérer sans déranger les morts qui y étaient accrochés.

Il sourit. Sanglantes, elles ne s'en offusqueraient pas.


Le sanglier tout seul est un peu fade. Que diriez-vous d'agrémenter le tout ?

Un tranchoir de pain pour le prix d'un baiser, quelques épices et une outre de Madiran pour celui de votre nom ?
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