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[RP] Si seulement.....

Badboy80

Jérémy écouta Cloé et Lanceline mais il était a bout de force.

Je voudrais bien aidé mais la je suis plus en état de combattre le feu je vais rentré me reposé mais si vous avez besoin d'aide venez me cherché quand même.

Jérémy embrassa Lanceline et rentra chez lui exténué mais heureux qu'il n'y ait pas eu de bléssé ou pire.

See the RP information

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Si seulement.....

Bee.zee

Si Bee avait été moins tête en l’air, si elle était peut-être moins fatiguée, si elle était plus attentive, si ce soir là, elle avait vérifié toute sa chaumière, comme elle avait l’habitude de le faire, si elle avait été moins distraite, si elle n’avait pas allumé un feu…

La jeune femme en était là, à refaire, à tourner, à virer, à revirer ce qu’elle venait de vivre à coups de « si ». C’était devenu une habitude, chez elle, de remettre en question toutes ces décisions, les temps ne portant pas spécialement à la conviction. Elle ressassait, c’était ce qu’elle savait faire le mieux… à part être étourdie…

Roxanne endormie, enfin, Bee l’avait déposé doucement dans son berceau blanc, l’avait recouverte d’une couverture brodée d’anges, et lui avait posé un baiser sur le front. Un dernier regard à sa princesse, et elle même, après avoir soigneusement démêlé ses boucles, regagna son matelas et ses couvertures, toujours gonflée de cet orgueil de mère qui laissa planer un sourire attendri sur les lèvres de la jeune femme. Elle rejoignit les bras de Morphée, mais fut bien vite sortie de leurs étreintes par une odeur plus qu’incommodante.
Avant même d’être totalement réveillée, elle toussa violemment et ouvrit brusquement les yeux sur une évidente horreur : de la fumée ! Elle repoussa paniquée ses couvertures de ses jambes, criant presque de ne pas s’en dépêtrer, les yeux rivés sur sa seule préoccupation, sa fille. Déjà ses pleurs retentissaient dans la chaumière, accroissant d’un cran l’affolement de Bee. Les battements de son cœur s’envolèrent, et parvenant à se mettre debout, elle se précipita sur le berceau, manquant de trébucher, rendue maladroite par la peur………..
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"Le bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert."
Mère d'une Merveille...

Cl0e

Blottie dans les bras de son époux, elle dormait d’un sommeil sans rêve, paisible. Le bonheur de dormir dans ses bras ne s’expliquait pas, tout simplement. Etre mariée la comblait en tout point, et pourtant, elle aurait juré le contraire.
Mais soudain, elle fut réveillée par des cris épouvantables, brisant la tranquillité de la nuit. Ronchonnant, elle ouvrit un œil, et vit une lueur orangée à travers ses voilages. Tiens, était-ce Marawoued qui faisait une flambée à une heure pareille ? Non, cela n’expliquait pas les cris.
Doucement, pour ne pas réveiller son époux, elle s’extirpa de son étreinte et se leva. Cette affaire n’était que trop étrange. Vêtue de sa chainse, elle passa sa cape rapidement par-dessus, enfila ses vieilles chausses – à l’envers – et sortit. Grommelant, elle remis ses chausses correctement. C’est alors que, se redressant, elle sentit une odeur de brûlé. Voilà qui n’augurait rien de bon… Elle regarda les quelques maisons en dehors de l’enceinte du village, mais non, toutes intactes. Elle jeta plutôt un œil vers ladite enceinte, et vit les flammes. Elle ferma à la hâte la porte de sa maison, réveillant Stella au passage, et longea au pas de course l’enceinte pour entrer dans le village, et gagna au pas de course la zone incendiée. Guidée par la fumée, qui lui piquait fortement les yeux d’ailleurs, elle trouva les lieux du sinistre. Pas difficile cela dit, nombre de personnes se lamentaient devant la maison, sans rien faire. Aucune trace d’eau, rien.

- Mais allez donc remplir des seaux, ne restez pas là à ne rien faire !!

Elle entraîna avec elle quelques villageois enfumés jusqu’au bassin le plus proche et ils remplirent tout ce qu’ils trouvèrent, pour essayer de sauver quelque choses.
Malheureusement, il semblait que seul le temps puisse y faire quelque chose. En effet, le feu cesserait de lui-même lorsqu’il n’y aurait plus rien à brûler. Sa chainse noircissait à vue d’œil, ses chausses de même, tant la suie s’était répandue dans l’air. Les villageois se lamentaient toujours autant, et ce n’est qu’alors qu’elle comprit ce qu’ils baragouinaient.

- Oh la pauvre enfant, elle ne méritait pas telle chose.

Cloé se tourna vers eux, et apostropha un vieil homme.

- De qui parlez-vous ?
- De la damoiselle qui vit ici pardi !
- Mais … Quoi ? Non, elle est sortie n’est-ce pas ?
- Alors là, nous n’avons vu personne. Peut-être la maison était-elle vide ! C'est ce que nous espérons depuis t'à l'heure figurez-vous !

Catastrophée, la blonde se retourna pour regarder la maisonnée. Et là, horreur, cette chaumière, elle la connaissait. Oh que oui qu’elle la connaissait. Des larmes roulèrent sur ses joues couvertes de suie.

- Oh non, mon Dieu, pas elles, ayez pitié ! Pas elles ! Bee ! Roxane !

Dans l’énergie du désespoir, elle attrapa tous les récipients d’eau que portaient les autres villageois et les jeta à la base des flammes, au mieux qu’elle put, pleurant à chaudes larmes.
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Lanceline

La jeune femme se réveilla en sursaut, alertée par des cris et de la lumière rouge. Elle grommela.

Arf, les gens ont jamais vu de lever de soleil, ou quoi?

Puis elle comprit et dévala les escaliers. Elle sortit, demanda à des gens qui passaient, ce qui brûlait.

QUOI??? LA MAISON DE BEE??? j'arrive, ma belle!

Vite, vite, elle prit un seau, non sans réveiller Jérémy au passage, et le remplit d'eau. Elle courut chez sa marraine et le vida sur les flammes. Elle gémit.

C'est pas assez!

Elle se tourna vers bee, et Cloé, qui étaient là.

Ya encore quelqu'un à l'intérieur???
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Badboy80

Jérémy se fit reveillé par Lanceline qui criait que la maison de Bee était en feu
Il courut jusqu'a la taverne et souleva l'abreuvoir pour apporter de l'eau

Attention voila de l'eau je peut ramener un autre abreuvoir s'il faut.

Jérémy posa l'abreuvoir et courut en ville chercher de l'aide.

Thea16

Théa alerté par par les villageois affolés qui couraient partout ,compris vite que quelque chose de grave se passait .
Elle vit tout le monde avec des seaux se précipiter vers les puits et vit a quelques pas de chez elle une épaisse fumée noir .
Elle commençait a comprendre qu'un maison était en feu.

Elle cria dans sa maison.

-Wolf ,Wolf ,vite vite réveille toi ,il y a une maison qui brule ,dépêche toi ,on aura surement besoin de toi. Moi ,j'y court.

Elle claqua la porte et attrapa deux seaux et couru en direction de la chaumière en feu.

Plusieurs personnes étaient déjà la .
Elle alla remplir les seaux et se précipite dans la chaumière en toussant tant la fumée était épaisse ,elle ne voyait plus rien et eu l'impression de ne plus pouvoir respirer.
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Cl0e

Préoccupée de ne pas savoir si sa filleule et Roxane étaient sauves ou pas, Cloé essaya de se renseigner, demandant à tous les villageois présents s’ils l’avaient vue. Mais non, rien. Elle était justement en train de demander à une jeune femme aux cheveux châtain clair, quand Lanceline arriva à la course, et les salua. Sauf qu’elle confondit la jeune femme avec Bee.

- Mais, Lanceline, ce n’est pas notre Bee qui est là …

La jeune villageoise se tourna, gênée. Il est vrai qu’elle faisait la même taille et avait la même couleur de cheveux, mais malheureusement, ce n’était pas la jeune maman.

- Alors oui, il y a peut-être Bee et Roxane toujours à l’intérieur … Pourvu qu’elles ne se soient pas étouffées dans leur chambre … Oh non, pitié, Seigneur, pas ça !

Au même moment, Jérémy déboula avec une énorme quantité d’eau, véritable surhomme. Voilà qui allait certainement les aider. Ni une, ni deux, Cloé s’empara d’un seau, le remplit et essaya d’éteindre le brasier.

- De l’aide ! Je n’y arriverai pas toute seul !

Lanceline aspergeait déjà les flammes. Théa arriva aussi, chargée de seaux d’eau, et s’engouffra dans la maison en feu.

- Mais qu’est-ce qu’elle fait, elle est folle ! Elle va s’étouffer ! Quelle catastrophe ! Pourvu qu’elle en ressorte indemne !
C'est sûr qu'il faut aussi éteindre les flammes à l'intérieur, mais c'est suicidaire !
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Badboy80

Jérémy revint rapidement et vit sa marraine se diriger vers l'interrieur de la maison en feu.

NON THEA!!! Reste la je vais y aller!

Jérémy courut avec 2 seaux d'eau remplis a l'interrieur de la maison en feu. La fumée était tellement épaisse qu'il ne voyait pas plus loin que son nez. Il toussa est s'accroupit a la recherche d'air frais où il prit une bonne bouffée d'oxygène et repartit a la recherche de Bee et Roxanne.

Il monta a l'étage en évitant les endroits où les flammes étaient impressionnantes. Il vit alors Bee et Roxanne recroquevillées dans la chambre.

Il aida Bee a se relevé et lui mit un linge humide sur le visage pour evité d'etre asphyxée.

Bee!! ... Garde ...Roxanne collée contre toi. Je ..... vais vous aidée.... à sortir.

Jérémy prit a nouveau un bouffée d'air frais a ras du sol et passa devant Bee en deversant l'eau sur le passage.

Au bout de quelques minutes ils franchirent enfin la porte et arrivèrent dehors. A ce moment la Jérémy tomba évanoui sur le sol.

Kachina

Les cauchemars la prenaient toutes les nuits depuis quelques semaines.

Au coeur de la nuit, Kachina restait là à regarder la lumière de la lune par sa fenêtre, étendue sur sa couche.

Seule, les yeux ouverts elle revivait le passé, elle pleurait même parfois sur ce qui n'était plus.

Et puis, le ronronnement rassurant de Minuit finissait par l'endormir.

Recroquevillée sous les couvertures, son bras cherchant vainement un autre corps à étreindre, elle s'abandonnait au sommeil.

Cauchemars, pleurs, tristesse infinie, sentiment de solitude......

Cris dans la nuit ......qui semblaient si réels là, tout à coup.

Le front en sueur, les yeux écarquillés, elle se redressa sur sa couche, aux aguets, à l'écoute. Quelque chose n'allait pas.

Les cloches sonnèrent tout à coup le tocsin. Alerte ! Une attaque de brigands ? Par Aristote, non !

Kachi se leva d'un bond, courut à sa fenêtre . Mais c'était tout près. Dans le quartier. Cette lueur dans le ciel . Des flammes !

- une maison, c'est une maison qui brule, une maison ! Oh non ! Non !

Juste le temps de chausser ses bottes, d'enfiler ses braies de lainage sombre, et elle courut dans la nuit, cheveux défaits......

Dans sa tête, défilaient les visages de ceux qui habitaient dans ce coin.
Lanceline, Jérémy, Théa et Bee.

Bee..........................Arrivée sur les lieux du sinistre, elle dut se rendre à l'évidence, la maison de Bee.
C'est la maison de Bee qui était la proie des flammes.

- Qu'est ce qui se passe ? Où est Bee ? et Roxanne ?

- à l'intérieur, avec Théa et Jérémy....

Le souffle coupé, une peur atroce lui dévorant les entrailles, elle resta les yeux fixés sur la porte .
Autour d'elle, on s'affairait, on courait dans tous les sens. Cloé dirigeait les secours. On s'appliquait à éteindre le feu.

Pétrifiée, elle attendait, incapable de faire un geste.

Enfin, elle le vit, le premier. Jérémy, mouillant le sol , soutenant Bee qui tenait son enfant dans ses bras.
Soulagement. Le souffle qui se libère, le coeur qui reprend son rythme...

Kachi sortant enfin de sa torpeur se précipita, bousculant au passage quelques personnes.

- Jérémy, Bee, vous n'avez rien ? Roxanne , elle va bien ? Et Théa ?

- Théa !!!

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Badboy80

Jérémy se reveilla après quelques instants. Il entendit Kachi criait.

Théa je lui est dit de rester..... dehors. Elle était pas loin de l'entrée..... quand je suis rentré mais je ne l'ai pas croisée quand je suis sorti. Elle .... ne doit pas être a l'interieur.

Jérémy se releva et marcha droit vers la maison.

Je vais chercher Théa.

Quelques minutes après il vit Théa inconciente pret de l'entrée. La fumée était de plus en plus épaisse. Il essaya de la porter mais la chute d'une poutre l'intérompa. Puis il réussit a la porter et sortit de la maison. Il était a bout de force.

Elle s'est évanouie mais elle va bien. Elle était pret de l'entrée.

Jérémy tomba a terre avec ses vetements brulès par endroits.

Bee.zee

Elle fermait les yeux, les rouvrait sur une fumée noire qui lui brulait les yeux. Elle les refermait. Bee aurait volontier inspiré un grand coup pour tenter de se détendre, mais l'air devenait irrespirable et tous ces efforts pour rester calmer étaient ponctués de quintes de toux. Rester calme, rester calme... Mais comment pouvait-elle rester calme alors qu'elle voyait la fin de se vie, et surtout celle de sa fille, arriver inexorablement ? Sa fille... Elle se maudissait comme elle ne l'avait jamais fait... S'il devait lui arriver quoique ce soit... par sa faute...
Après la panique, faites entrer les remords !
Les petites mains de Roxanne s'aggripaient à sa chemise de la jeune mère, alors que l'enfant s'époumonnait.
Un moment de lucidité vint briser ses angoisses et les gestes mécaniques éloignèrent l'espace d'un instant toutes les pensées de Bee. Sa fille collée contre elle, la jeune femme saisit la cruche sur sa coiffeuse et arracha le drap de son matelas. L'eau fut vidée rapidement sur le bout de tissu, duquel elle enveloppa Roxanne. Protéger sa fille. Elle, on verrait plus tard. Trouver la sortie, se sortir de ce brasier, en sortir vivantes, en sortir.....
Presque rampante, elle rejoignit la porte de la chambre. Elle s'attendait à voir les flammes, elle vit... une silhouette ?? Quelqu'un ?? Les yeux lui piquaient, son coeur s'affolait mais dans la fumée épaisse, elle crut bien voir s'avancer quelqu'un. Jeremy ?

Jeremy !!!

Son cri fut étouffé par une poutre qui tombait, s'abattant sur un meuble du rez-de-chaussé dont il ne devait plus rien rester. Une tâche noire rompait avec le rouge incandescant des murs, Jeremy avançait lentement, progressant courbé, essouflé, les vêtements tâchés de cendre.
Puis tout s'enchaina. Une main passa sous son bras, la portant presque, une tissu humide lui recouvrit le nez et la bouche. Sans vraiment s'apercevoir d'autre chose que sa fille serrée contre elle et des flammes qui léchaient joyeusement les murs, supportées par Jeremy, elles débouchèrent sur une lumière, plusieurs lumières, elle ne voyait plus... Une foule ? Bee plissa les yeux et se laisse tomber sur les genoux, inspirant avec peine.....
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Mère d'une Merveille...

Cl0e

Trépignant d'impatience et d'angoisse, le temps lui semblait durer une éternité, comme toujours dans ce genre de circonstances.
Ils étaient à présent 4 dans cette maison en feu, et personne n'en ressortait. Sa lèvre mordue jusqu'au sang et gonflée d'avoir été trop mordillé, elle faisait encore passer les seaux d'eau machinalement. Comment ce genre de geste pouvait-il devenir un réflexe en si peu de temps ?
L'angoisse, tout simplement. Elle ne pensait à rien d'autre que Bee et Roxane, en priant le ciel pour qu'elles vivent toujours. Pourvu que tous reviennent sains et saufs. Ils avaient déjà perdu trop d'êtres chers ces derniers temps pour en supporter davantage. Penser, piétiner, prier, Cloé n'en pouvait plus. Elle s'assit à même le sol et se recroquevilla sur elle-même, genoux repliés sous son menton. Non, elle refusait de les perdre elles aussi. Jérémy était costaud, ce surhomme ne pouvait pas y rester, c'était impossible. Et il ramènerait Théa, elle n'avait pas dû aller bien loin dans ce brasier. Avec un peu de chance, elle était assez forte pour sortir par elle-même. Mais Bee, et Roxane. Aussi courageuse soit la jeune maman, les flammes étaient un ennemi trop grand, elle devait être coincée dans la maison. Certes, elle tenterait de sauver Roxane coûte que coûte, au dépend de sa vie très certainement, et elle tenterait le tout pour le tout, mais elle ne pouvait s'empêcher d'angoisser, de penser aux pires scénarios.
Elle se recroquevilla davantage lorsqu'elle entendit une poutre craquer à l'intérieur du brasier, et le fracas qui l'accompagna devait être la chute de ladite poutre. Le toit allait s'effondrer ! Et personne n'était encore sortit ! Les choses s'envenimaient, elle le voyait bien. Les larmes coulaient sur ses joues noires de cendre et de suie. Rester trop près de ce brasier les avaient tous noircis comme des charbons.
Elle les croyait asphyxiés lorsque Jérémy ressortit avec la jeune maman, serrant contre elle le bébé, choqué, ce qui eut pour effet de tirer Cloé de sa léthargie naissante.

- Oh, miracle, par Aristote vous êtes en vie !

Elle lui tendit sa cape, non pas qu'il fasse froid, mais pour le contre-coup du choc, et la différence de température entre l'intérieur et dehors. Parce que même avec la chaleur des flammes, la nuit était froide. Ô combien rassurée de les voir saines et sauves, ce qu'elle avait presque renoncé à espérer, elle se tourna vers le sauveur, pour le remercier, et le vit à terre, évanoui l'espérait-elle. Elle se précipita, et lui tapota les joues. Aucune réaction. Elle attrapa un seau qui passait à côté d'elle, porté par elle-ne-savait-trop-qui-et-elle-s'en-fichait-pas-mal, et le lui vida sur le visage, ce qui eut enfin l'effet escompté. Aussitôt il se releva et, guidé par les cris d'une Kachina affolée de ne pas revoir son amie, il repartit aussitôt dans les brasier. Que l'eau absorbée par ses quelques vêtements le préserve des flammes !
Elle reporta son attention sur les deux rescapées et désormais sans maison.

- Je crois qu'il va falloir vous trouver un endroit où loger pendant que l'on réparera ce massacre...

Elle regardait avec tristesse les flammes qui dévoraient les murs, lorsqu'une idée lui vint à l'esprit.

- Quoique ... Aléanore va bientôt repartir, tu peux loger dans la chambre au premier ! Et puis, vous pouvez la partager la chambre, non ? Vous mangerez des fruits confis comme les deux gourmandes que vous êtes.

Une ombre de sourire passa sur le visage de Cloé. Penser à demain. D'autant plus que, Jérémy venant de ressortir avec Théa, il n'y avait plus de risque. Il fallait éteindre ce satané feu, ce qui n'était pas une mince affaire ...
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Thea16

Théa était a l'intérieur ,va savoir pourquoi elle était entrée dans ce brasier ,peut être dut a un sentiment de déjà vu,un souvenir lointain qu'elle avait chassé de sa mémoire et qui tout a coup resurgissait .
Les flammes ,la maison qui brule ,sa mère ,sa sœur ,une scène d'horreur qu'elle avait déjà vécu a l'age de 6 ans.

Elle était la devant l'entrer ,elle entendait les pleures et les cris d'un bébé et de sa mère ,mais les flammes devant elle ,l'empêchant d'avancer .
Elle jeta un seaux d'eau quand un homme se précipita a l'intérieur ,bravant les flammes ,elle essaya de le suivre ,mais une poutre s'effondra et la fumée et le feu ,l'empêchait d'aller plus loin et Théa compris que peut-être elle n'y survivrait pas ,elle était prise au piège par les flammes. Elle tomba et perdit connaissance .

Quand elle rouvrit les yeux elle était la , a l'extérieur ,suffoquant et toussant ,mais en vie.
Elle ne savait pas comment elle en était sortie ,elle regarda autour d'elle et vit Bee et roxanne elle aussi en vie .
La maison brulait toujours mais ce m'était pas important l'essentiel c'était que tout le monde en était sorti sain et sauf.
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Badboy80

Jérémy ouvrit les yeux et vit sa marraine bouger. Il se leva doucement et alla la voir.

Alors tu va mieux?? Tu as failli mourir brulée. Que c'est-il passé dans ta tête? Enfin bon le principal c'est que Bee Roxanne et toi soit sain et sauf.

Jérémy soupira en voyant ses vetements brulés et encore humides.

Lanceline

Elle était inquiète. Elle avait vu Théa, puis Jérémy foncer tour à tour dans la maison.

Jérémy, non!!!!

Mais son cri se perdit dans le fracas des flammes dévoreuses. Elle ne pouvait rien faire, sinon espérer.

Elle poussa un soupir quand elle vit Jérémy, sauver Théa, Bee et Roxanne.
Elle regarda son Homme les déposer avec douceur par terre. Mais très vite, son attention fut attirée par le feu qui continuait d'avancer.

Il faut le stopper! Sinon, il va toucher les maisons voisines!!!!

Elle courut chercher le plus de seaux possible qu'elle remplit à la va-vite, soucieuse d'arrêter ce brasier le plus vite possible, puis vint les jeter sur les flammes.
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Cl0e

Lanceline s'inquiétait encore pour les maisons, de peur que le feu se propage.

A vrai dire, le risque était bénin, mais au cas où, elle rejoignit la jeune femme, attrapa un seau au passage et le remplit.

- Je ne pense pas que le feu s'étende aux maisons voisines, elles ne sont pas mitoyennes. Mais par précaution, mieux vaudrait les mouiller, je pense. Alors pendant que certains tentent d'éteindre les flammes, je propose que des petits groupes se chargent de mouiller les alentours pour stopper la progression des flammes.
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Badboy80

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