Sofio
Nuit maudite
Quand le destin se répète, inlassablement , un combat, une nuit.
Elle l'a aimé encore plus, qu'il n'était possible,mélangeant leurs corps et leurs curs dans des tourments aux milles saveurs,entre deux souffles partagés des je t'aime a ne plus en finir..... se sont quittés pour reprendre leurs places dans leurs lances,le long convoi de fers et de lance avait avancé, une marche en avant, sans retour possible,suivant un capitaine utopiste, un doux rêveur,point de rancur, juste eu des mots avec, une estime inégalée pour sa grandeur,une haine inavouée pour son caractère buté, les dents serrés elle lui avait répondu...je la connais ma place, une envie furieuse de la traiter de fou, une envie furieuse de tout plaquer, mais ce ne sont que des mots, elle suivra comme chaque jour, pour eux, pour sa conviction, et parce que ne pas suivre , c'est ne plus se reconnaître.
Je vous amènerais a la gloire, le doux mirage de deux armées en face, cela voulait dire entrer dans l'histoire.Une mêlée sans répit, de cris et de douleurs, parer des coups en les donnant, et avancer..avancer...des heures durant, jusqu'à ce que la fatigue amène les armées a se replier, sur chaque flanc des coteaux,et panser les plaies....
[i]05-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Curchulain. Ce coup l'a probablement tué.
05-03-2010 04:08 : Vous avez engagé le combat contre Cat78 et l'armée "Le Scorpion Noir" dirigée par Blackwolf777.
05-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Iskander. Vous l'avez légèrement blessé.
Ninon, est la debout, elle a dans ses yeux cette rage qui se mêle parfois a la colère, mais debout, elle fait le tour rapidement, les corps au sol, ne portent que les couleurs de la Provence, azou?.............
Elle se déplace dans le campement, il doit la rechercher aussi surement quelque part, il ne peut être que la, peut être en train de récupérer des casques pour sa collection, peut être en train de les compter avec gorbo, elle esquisse un sourire, belle collection qu'ils vont avoir d'ici la fin de cette guerre, bon sang il est ou?[/i]
Gorbo, isa d'un coté,théo, Namay , elle passe devant cherchant plus loin du regard, son pas devient plus pressant,se débarrasse de son bouclier pesant, pour avancer jusqu'au la fin du convoi...rien....
Un vol d'oie sauvage, passe au dessus, elle le regarde passer, pour se souvenir des paroles de Ul son pére adoptif.
quand, on voit passer les oies sauvages,
En escadrille dans les nuages,
On a parfois de drôles didées.
Ecoute, dans le sifflement des mirages,
On croirait quelles lancent un message,
Sûr que cest lui qui la dicté.
Son cur se resserre elle le sent au fond de sa poitrine battre comme jamais,une douleur intenable, ses jambes se font lourdes, ses yeux se voilent, elle se retourne vers le groupe, avance vers eux lentement, chaque pas résonne en ses tempes, elle avance et les voit de moins en moins, non, non, elle doit se reprendre, l'histoire ne peut se répéter, le ciel ne peut reprendre ce qu'il offre.
Elle regarde ses amis, compagnons de galère en murmurant son nom
Azou?
Un flot étrange, la surprend comme si il fallait que son nom soit dit encore, encore et qu'il apparaisse en souriant, pour venir la prendre en ses bras.
AZOU?????
AZOU???
Ou est AZOU?
Un regard, voilé vers leurs visages,une main sur sa poitrine, peut être une insulte pour une prière.
Texte jean pax meffret, les oies sauvages[/code]
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Quand le destin se répète, inlassablement , un combat, une nuit.
Elle l'a aimé encore plus, qu'il n'était possible,mélangeant leurs corps et leurs curs dans des tourments aux milles saveurs,entre deux souffles partagés des je t'aime a ne plus en finir..... se sont quittés pour reprendre leurs places dans leurs lances,le long convoi de fers et de lance avait avancé, une marche en avant, sans retour possible,suivant un capitaine utopiste, un doux rêveur,point de rancur, juste eu des mots avec, une estime inégalée pour sa grandeur,une haine inavouée pour son caractère buté, les dents serrés elle lui avait répondu...je la connais ma place, une envie furieuse de la traiter de fou, une envie furieuse de tout plaquer, mais ce ne sont que des mots, elle suivra comme chaque jour, pour eux, pour sa conviction, et parce que ne pas suivre , c'est ne plus se reconnaître.
Je vous amènerais a la gloire, le doux mirage de deux armées en face, cela voulait dire entrer dans l'histoire.Une mêlée sans répit, de cris et de douleurs, parer des coups en les donnant, et avancer..avancer...des heures durant, jusqu'à ce que la fatigue amène les armées a se replier, sur chaque flanc des coteaux,et panser les plaies....
[i]05-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Curchulain. Ce coup l'a probablement tué.
05-03-2010 04:08 : Vous avez engagé le combat contre Cat78 et l'armée "Le Scorpion Noir" dirigée par Blackwolf777.
05-03-2010 04:08 : Vous avez frappé Iskander. Vous l'avez légèrement blessé.
Ninon, est la debout, elle a dans ses yeux cette rage qui se mêle parfois a la colère, mais debout, elle fait le tour rapidement, les corps au sol, ne portent que les couleurs de la Provence, azou?.............
Elle se déplace dans le campement, il doit la rechercher aussi surement quelque part, il ne peut être que la, peut être en train de récupérer des casques pour sa collection, peut être en train de les compter avec gorbo, elle esquisse un sourire, belle collection qu'ils vont avoir d'ici la fin de cette guerre, bon sang il est ou?[/i]
Gorbo, isa d'un coté,théo, Namay , elle passe devant cherchant plus loin du regard, son pas devient plus pressant,se débarrasse de son bouclier pesant, pour avancer jusqu'au la fin du convoi...rien....
Un vol d'oie sauvage, passe au dessus, elle le regarde passer, pour se souvenir des paroles de Ul son pére adoptif.
quand, on voit passer les oies sauvages,
En escadrille dans les nuages,
On a parfois de drôles didées.
Ecoute, dans le sifflement des mirages,
On croirait quelles lancent un message,
Sûr que cest lui qui la dicté.
Son cur se resserre elle le sent au fond de sa poitrine battre comme jamais,une douleur intenable, ses jambes se font lourdes, ses yeux se voilent, elle se retourne vers le groupe, avance vers eux lentement, chaque pas résonne en ses tempes, elle avance et les voit de moins en moins, non, non, elle doit se reprendre, l'histoire ne peut se répéter, le ciel ne peut reprendre ce qu'il offre.
Elle regarde ses amis, compagnons de galère en murmurant son nom
Azou?
Un flot étrange, la surprend comme si il fallait que son nom soit dit encore, encore et qu'il apparaisse en souriant, pour venir la prendre en ses bras.
AZOU?????
AZOU???
Ou est AZOU?
Un regard, voilé vers leurs visages,une main sur sa poitrine, peut être une insulte pour une prière.
Texte jean pax meffret, les oies sauvages[/code]
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