--Cristopho
Le barbu se battait en première ligne aux cotés de ses compagnons. Deux d'entre eux étaient déjà touchés... foutu guerre... le moindre coup pardonnait pas. Pauvre Diego... L'avait survécu aux Maures, à des batailles monstrueuses, pour crever la, si bêtement... Si loin d'son pays. Mais l'heure n'était pas aux sentiments. Les français venaient de découvrir une couleuvrine... Et un ou deux arquebusiers entraient dans la danse.
_En avant, avancez! Collez-les, pour éviter les boulets! En avant, en avant!
Il avait gueulé l'ordre à ses Aigles. Les français, bien qu'étaient en train de succomber sous le nombre, pouvaient faire de gros dégâts avec leurs armes à poudre... Cristopho avait aucune envie de perdre des hommes alors que la victoire était quasiment sure. Il se débarrassa de son adversaire d'un coup de bouclier et passa au suivant. L'homme était armé d'un bâton et d'un bouclier... Pas de protections à part sa... Le mercenaire se fendit et l'atteignit à l'épaule, bloquant le coup de bâton de son adversaire gràce à son bouclier. La chemise se déchiras et laissas paraitre l'entaille que le coup du mercenaire avait taillé dans l'épaule de l'homme. Celui-ci laissa tomber son bâton, plié en deux de souffrances. Cristopho se fendit et enfonças son arme jusqu'à la garde dans le torse du soldat. Les lèvres de celui-ci s'ouvrirent sur un dernier cri inarticulé et il s'effondra dans une mare de sang. Le mercenaire dégagea son épée du corps et profitas d'un instant de répit pour observer les alentours du champ de bataille. La couleuvrine des français fauchait nombres de Provençaux qui n'avaient pas eu l'idée de se rapprocher au maximum des lignes françaises. Le barbu avisa soudain un de ses guerriers près de lui, une épée rougie de sang à la main. Une partie de son corps était éclaboussé de sang et son bouclier était cabossé, mais il paraissait indemne. Cristopho le saisit par l'épaule et hurla pour se faire entendre parmi les hurlements des blessés.
_Diego, prends 4 hommes avec toi, prenez les destriers et détruisez-moi cette fichue couleuvrine!
Diego hocha la tète et disparut vers la ville, en prenant avec lui les hommes indiqués par son supérieur. Ils s'éloignèrent vers les destriers. Cristopho les regardas partir avec inquiétude.
_Pourvus qu'ils réussissent...
Puis, ramassant la hache d'un moribond, il repartir vers le cur de la bataille.
_En avant, avancez! Collez-les, pour éviter les boulets! En avant, en avant!
Il avait gueulé l'ordre à ses Aigles. Les français, bien qu'étaient en train de succomber sous le nombre, pouvaient faire de gros dégâts avec leurs armes à poudre... Cristopho avait aucune envie de perdre des hommes alors que la victoire était quasiment sure. Il se débarrassa de son adversaire d'un coup de bouclier et passa au suivant. L'homme était armé d'un bâton et d'un bouclier... Pas de protections à part sa... Le mercenaire se fendit et l'atteignit à l'épaule, bloquant le coup de bâton de son adversaire gràce à son bouclier. La chemise se déchiras et laissas paraitre l'entaille que le coup du mercenaire avait taillé dans l'épaule de l'homme. Celui-ci laissa tomber son bâton, plié en deux de souffrances. Cristopho se fendit et enfonças son arme jusqu'à la garde dans le torse du soldat. Les lèvres de celui-ci s'ouvrirent sur un dernier cri inarticulé et il s'effondra dans une mare de sang. Le mercenaire dégagea son épée du corps et profitas d'un instant de répit pour observer les alentours du champ de bataille. La couleuvrine des français fauchait nombres de Provençaux qui n'avaient pas eu l'idée de se rapprocher au maximum des lignes françaises. Le barbu avisa soudain un de ses guerriers près de lui, une épée rougie de sang à la main. Une partie de son corps était éclaboussé de sang et son bouclier était cabossé, mais il paraissait indemne. Cristopho le saisit par l'épaule et hurla pour se faire entendre parmi les hurlements des blessés.
_Diego, prends 4 hommes avec toi, prenez les destriers et détruisez-moi cette fichue couleuvrine!
Diego hocha la tète et disparut vers la ville, en prenant avec lui les hommes indiqués par son supérieur. Ils s'éloignèrent vers les destriers. Cristopho les regardas partir avec inquiétude.
_Pourvus qu'ils réussissent...
Puis, ramassant la hache d'un moribond, il repartir vers le cur de la bataille.