Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
L'histoire est vraie IG presque dans son intégralité. RP aux aRPenteurs.

[RP] L'homme qui valait cent mille écus

Mclegrand
Mais pourquoi, POURQUOI , avait-il accepté cette mission...
Risquée. Dangereuse. Improbable. Nécessaire.

"Quelqu'un" devait s'en charger.
Quelqu'un.

Et ce quelqu'un... c'était lui.

Retour en arrière.


Orléans, 9 Mars : Une roulotte pleine à craquer

Une convocation au château, pour prendre livraison de la cargaison.

"Prévoir de quoi manger".

Humm...Oui, j'y avais pensé.

Arrivée au château.
La bailli est là, un peu nerveux. Moi aussi. Il ne faut pas.
Partir sans éveiller le moindre soupçon, est le but.

Une roulotte d'aspect anodin.
Et pourtant.

Si le descriptif de la mission était exact... le contenu de la roulotte...incomparable avec son aspect.

Recompter? impensable.

Mc s'approcha alors de Xalta...



Salut...
Tout est prêt ? La somme est bonne ?
Je suis un peu anxieux, je dois dire...
C'est tellement... osé ... mais ça a de bonnes chances de réussite, du coup...


_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Xalta
Elle bat la semelle, elle attend que Mc arrive, elle couve la roulotte d'un oeil inquiet, elle a passé du temps à tout recompter, elle serait plus rassurée si il y avait une armée pour protéger mais pour la discretion ..ce serait loin d'être fait.

Soupire, nuée blanche dans l'air.

Tellement inquiète qu'elle fait vérifier chaque essieu, chaque boulon de ce coffre ambulant, elle s'est aussi assurée de l'état de santé des chevaux qui tracteront.

Mc s'approche, sourire crispé, salutations cordiales.

Bonjour Mc, oui le compte y est, recompter?

Non non, avec Valeria, on a vérifié, et encore et encore...

Oui c'est osé, très...trop...tu es prêt toi?

Tu as tout ce qu'il te faut pour manger? de l'argent?


Sourit la question lui semble idiote sachant que...

Bon allez je te laisse prendre la route, plus vite tu es parti plus vite tu es arrivé...
Mclegrand
Mc la regarde, et sourit.

Plus tôt parti, plus tôt arrivé. Oui. En effet. Mais...

Quitter, même provisoirement, l'Orléans.
Aller en mission.
Avoir la responsabilité de tout ça.
C'est beaucoup.

Si Xalta et Val ont recompté, alors oui, c'est certain, le compte y est.
Aucun besoin de vérifier, ce qui prendrait des jours, par ailleurs.

J'ai de quoi manger, vi... J'ai... oui, j'ai de l'argent.
A ce moment, Mc ne put retenir un petit rire.


De l'argent... oui, j'en ai pris. Un peu. Et une épée. Au cas où. Mais j'aimerais qu'elle soit inutile.

Un silence. Il observe la roulotte. Son état. Impeccable, elle a l'air assez solide, il n'y a pas une fente par où pourrait s'échapper un denier. Et un air miteux quand même.
Des roues solides.

Des chevaux... visiblement en forme.
Il est temps... On ne peut retarder d'avantage le départ.
Un dernier au-revoir avant de se mettre en route...

À bientôt...

Se mettre à la place du conducteur sur la roulotte... et une tape sur le cheval. C'est parti.

C'est avec un brin de nostalgie et d'appréhension que Mc franchit les portes d'Orléans, vers Gien... le début d'un voyage. Le plus court sera le mieux. Il tourne la tête, fait un au-revoir aux remparts d'Orléans.

Un début.

_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Mclegrand
Gien, 10 Mars.
Les routes succèdent aux routes, les chemins aux chemins, les villages aux villages.

Gien... Du monde en taverne. Énormément. Mais encore en terre Orléanaise.

Mc laissa donc la roulotte proche de la taverne municipale et entra en taverne... avant de se rendre compte qu'il n'avait guère envie de boire, encore moins de discuter. Il passa son temps à réfléchir dans un coin de la taverne, jetant de temps en temps des coup d'oeil en direction de la fenêtre, par où il voyait sa roulotte dans une rue relativement déserte.

Puis il a soif. Commande une tisane. A honte. Si quelqu'un de Patay le voyait boire une tisane, pour une fois... de quels quolibets ne serait-il pas la cible... Mais il boit sa tisane, toutefois, tout en surveillant sa roulotte et en n'intervenant pas ou le moins possible.
Dire bonjour, bonsoir, bonne nuit, au revoir.
Répondre aux questions. Mon nom, ma ville. Oui, je voyage. Oui, pour le plaisir. Pour voir du paysage, comme tout le monde. Oui, je vais à l'Ouest,vers le Berry, vers la Bourgogne. Oui, je voyage seul. Oui, j'y tiens. Ca me détend. Oui. Non. Pas d'alcool, non, merci, désolé.

Soudain, il n'en peut plus. Il n'y a plus grand-monde en taverne, les derniers présents jouent aux dés entre eux, le remarquent à peine.
Et se remet en route.

Direction... Sancerre.
Hors de l'Orléanais, c'est déjà beaucoup.
Hors du DR, c'est pire.
Sortir du DR ... Encore une expérience que Mc n'avait pas encore essayée. Les gens qui habitent si loin du Roy sont-ils vraiment des rustres sans éducation par rapport aux habitants du domaine de Sa Majesté ? On verra bien. Plus le choix, encore une fois.
La frontière est là. Un poteau. Dans le DR, Hors DR. C'est juste une frontière.

Soupir.


Sancerre, 11 Mars.

Quelques personnes croisées sur la route, rien de particulier.
Puis Sancerre. Un village Berrichon.
L'état d'esprit de Mc... eh bien ... un peu reposé par le voyage, mais toujours stressé par son chargement.

Il arrive en ville, entre dans l'Eglise tout d'abord pour prier le très haut pour sa route.

Puis il sort de l'Eglise déserte, et se dirige... oui oui, vers les tavernes. Normal. Comme la veille.
Après quelques minutes de conversations diverses, il en arrive alors à la conclusion logique : les berrichons sont des gens normaux pour la plupart. Si, si, malgré ce qu'on pourrait penser... Ils aiment l'alcool -que Mc continue de refuser pendant son voyage- et les choses que tout un chacun aime. Enfin bon.

Après une soirée plutôt agréable, elle aussi ponctuée de coups d'œil discrets vers la fenêtre ("j'attends quelqu'un qui n'est finalement pas venu") , il est temps ... de reprendre la route. Si,si.

...

Et sur la route... de douter de soi. Enfin... Tentation ...


Tu te rends compte... tu es hors du DR, avec une roulotte contenant cent mille écus. TU TE RENDS COMPTE ?
Les cent mille ne sont pas à moi. Je ne suis qu'un convoyeur.
Ils pourraient l'être.
Voler le Roy ? Jamais.
Le roy est riche et ne fais rien pour ses sujets. Le roi met une pression financière énorme sur tout son domaine. Penses-tu que c'est un bon roi ? Penses-tu qu'il mérite son argent ? rends-toi à l'évidence ... cet argent ... est à toi si tu tends la main.
Le roy l'est par la volonté du Très Haut, et ce serait blasphème que de le voler !
Blasphème... allons donc. Ce sont des écus, pas des reliques.
Que diraient les gens ?
Depuis quand te soucies-tu de ce que disent les gens ?
Je tiens à pas mal de monde dans le DR.
Pfff. Avec cette somme, on peut refaire sa vie n'importe où.
Et Elle?
...
Tu vois ... c'est non.


Cosne, 12 Mars. Première livraison.

Bon gré mal gré, Mc arriva à Cosne, En Bourgogne. Tiens, une autre frontière a été passée. Peu importe, c'était la première qui compte, y parait.

Il y a du boulot... Audience avec le CaC.

Mc se présenta donc au bureau du Commissaire au Commerce, Sarrasin.
Il s'inclina.


Mc. Vous m'attendiez, je crois...
_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Sarrasin
Sarrasin recu le marchand et alla le saluer lui proposant de quoi se desalterer.

Bonsoir Messire, j'espere que vous avez fait bonne route

En effet je vous attendais, comme les soldats qui ont contribué a cette guerre de bretagne


Sarrasin fait verifier le contenu de ce qu'il apporte et on lui fait signe.

Bien tout semble arrivé a bon port, je suis ravie de voir qu'il n'y a eu aucun soucis. Je remettrai a mon homologue du Lyonnais-Dauphiné sa part
Mclegrand
Mc regarda d'un air méfiant les soldats qui descendaient plus du tiers de son chariot... trente-cinq caissettes de quatre kilogrammes... trente-cinq mille écus.

Tout rond.

Un soldat.
Mille de moins.
Un soldat.
Mille de moins...
...
Petite voix...
tu vois ce que ça fait d'être honnête tout le temps.. ça aurait pu être à nous, tout ça.
La ferme.


Mc regarda sarrasin vérifier le contenu d'une caissette : mille pièces d'un écu... parfaitement rangées, probablement par Val et Xalta.


Aucun souci pour l'instant...et j'espère aucun par le futur, également...

Veillez bien sur l'argent du Lyonnais Dauphiné, par ailleurs... il serait très fâcheux qu'il lui arrive quelque chose.

Par ailleurs, faudrait qu'on cosigne un machin disant que vous avez bien reçu tout ça, attendez...

Mc rentra dans la roulotte chercher du papier et une plume

Donc, quinze mille pour vous, et vingt mille pour le Dauphiné.
_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Sarrasin
Sarrasin pris la plume et nota la reception des écus et l'engagement de la Bourgogne a livrer les écus au Dauphiné, leur marchand devant passer le lendemain pour les recuperer.

Voila, tout est en regle il me semble

Il lui sourit et lui serra la main

J'espere bientot vous revoir en d'autre circonstances, ce fut un réel plaisir cette transaction avec vous

Sarrasin repensa a leurs discussions durant le comptage des écus

Qui sait peut etre a la meme enseigne que cid

Il rit et le raccompagna


Bonne route et prenez bien soin de vous.
Mclegrand
Mc sourit doucement... un plaisir... si on peut dire. Cela fait toujours bizarre de se séparer de trente-cinq mille écus, quand bien même ils ne sont pas à soi.

Mc prit un des exemplaires du reçu, sortit un des pigeons de Cid de sa cage dans la roulotte, et envoya à Cid le reçu...

Puis il repensa également à leurs discussions, aussi brèves furent-elles, et aux quelques bières bues à Cosne...Lui serrant la main, il répondit


Nous nous reverrons, oui, je pense... ce fut un plaisir également... merci, veillez à faire bon usage de ces écus, surtout...

Un sourire plus tard, il retourna vers sa roulotte un peu moins chargée...
Direction... Le Sud. Enfin, vers le Sud. Nevers.



Nevers, 13 Mars

Arrivée en taverne, comme d'habitude.
Présentations, etc. Puis écoute des diverses rumeurs...
Faites gaffe, si vous voyagez, il y a des brigands entre Cosne et ici. Vraiment? Des brigands ? J'ai eu de la chance alors...

Puis un type louche arrive, lorsque je suis seul en taverne... Vous aimez l'argent facile ? Vous êtes plutôt opportuniste, sur les routes, si vous voyagez vraiment pour le plaisir?

J'en restai sans voix... un brigand qui cherchait un associé. Manquait plus que ça. Je lui fit comprendre d'aller voir ailleurs... je suis plutôt pressé. Il partit.

Je repris alors la route, avec l'argent restant... Plein Sud, encore ! Mais je suis pas encore proche de Nice... fait froid.




Bourbon, 14 Mars


Comment s'appelle mon contact, ici, déjà ... Ah oui, Son Excellence Ivrel, cardinal.
_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Mclegrand
[...]


Peu après, il repartait de Bourbon, délesté encore de quelques milliers d'écus, d'un papier, et d'un autre pigeon (si, c'est important).
Il écrit sur un autre papier le résumé de ce qu'il a déjà donné.

Des chiffres. Ce ne sont que des chiffres. Des grands nombres.
Dix rangées de dix caisses de dix colonnes et dix lignes de dix pièces d'un écu... cent mille écus. Écus. Mais non. Ne surtout pas y penser comme si c'était de l'argent. Ce sont des nombres. Des trucs de financiers, étalés sur du papier.

A Bourbon, pas vraiment de quoi se changer les idées... La taverne désertée n'aide pas... De toute la soirée, une seule personne est passée dire salut en quinze secondes avant de repartir en vitesse... Au moins, il y a eu une trace de vie dans cette ville. A part les officiers ducaux, uniquement là pour l'argent, bien sûr. Enfin, les chiffres. Les trucs, quoi. Lui.

Bon, maintenant, direction ... Montluçon.

_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
Chaos
[Entre Bourbon et Montluçon]

Voilà quelques jours déjà qu'il avait fait de cette route son terrain de chasse. Et quelles chasses ! De pauvres gueux vêtus de haillons, des mineurs vagabondant de villes en villes, qui n'avaient pas les moyens de se payer autre chose qu'une ou deux miches de pain rassies, qu'il était quelque fois obligé de gratter pour enlever la moisissure. Certains allaient même jusqu'à se défendre pour garder leur nourriture durement acquise, ou bien garder le peu de dignité qu'ils avaient. A quoi bon ? La dignité, c'est pas pour les corps allongés au milieu du chemin, baignant dans leurs propres fluides. Ce sont les vers qui vont être heureux, ces fils de la mort ! Pendant que le brigand allait mâchouiller son bout de pain, eux allaient festoyer sur la carcasse qu'il laissait derrière lui. Ah, si seulement il pouvait tomber sur un riche marchand...

Le soleil brillait, ce jour là. Il faisait chaud, bien chaud. Un temps parfait pour pourrir parmi la vermine, ou dormir dans un fossé. Parmi la vermine, aussi, grouillante. Combien de fois Chaos s'est relevé en grognant, avant de se gratter de toutes ses forces pour faire tomber ces insectes qui lui suçaient le sang, qui faisaient la course dans ses cheveux ? Trop de fois pour être de bonne humeur. Il se promit intérieurement que le prochain badaud qui passera, il lui cognera si fort le crâne contre une pierre que les deux casseront en même temps. D'ailleurs, quand on parle de l'Agneau, le voilà qui arrive. Un bruit de charette chargée qui a du mal à avancer, et quelques chevaux qui la tractent. Apparemment pas d'escorte.

Lentement, silencieusement, sa main vint attraper son épée, la tira vers lui. Sa tête restait plaquée contre le sol légèrement boueux pour ne pas se faire remarquer, tandis que le bruit approche.

Pas maintenant...
Attends...
Oui...
Bientôt...
Maintenant !

Le brigand bondit, motivé à rendre son séjour ici rentable. Marre de se faire bouffer par les parasites et de bouffer du pain rassis. Il voulait de la viande. Il voulait vivre comme il le méritait, comme un brigand des plus doué, et pas le dernier des ratés. Une fois il s'était égaré sur le chemin de la simplicité, des faibles, et cela n'arriverait plus jamais. Peu importe les risques, peu importe la carrure de l'homme, il allait lui sortir la désormais phrase célèbre :


La bourse ou la vie ! L'épée pointée vers le riche marchand.
_________________
Mclegrand
Convoyer des écus, c'est tentant quand c'est proposé, c'est impressionnant quand on voit la quantité... mais c'est comme toute chose. Un peu, c'est parfait, un peu plus, ça lasse, et beaucoup, ça saoule. Bon, on en est pas encore là, mais Mc commence sérieusement à s'habituer à la présence invisible de cet amoncellement d'écus dans son dos... Tas qui par ailleurs diminue. Encore un peu, et il deviendra à un niveau... "humain". Normal. Supportable.

Mais pour l'instant, c'est encore une (grande) chose précieuse sur laquelle il faut veiller à tout prix. Un bruit dans les fourrés l'avait fait accélérer à la sortie d'Orléans... un lapin. Plus tard, un oiseau l'avait fait sursauter en pleine forêt. Plus loin, Mc avait vu un cerf regarder d'un sale oeil plein de convoitise son chariot, avant de se reprendre... Qu'est-ce qu'un * de * de cerf ferait d'une montagne d'écus ? D'ailleurs, il est pu là.
Non, le danger, ce sont les Hommes, de toute façon.

Enfin bon, là, il progresse... Dans ses poches, son argent. A côté de lui, sa nourriture. Et derrière lui, à l'abri... son chargement. Convoyeur Royal? Ça ferait un beau titre, moui. Ptetre. À voir.

Enfin bref, le soleil brille, les zoiseaux chantent, les chiens aboient et la roulotte passe, telle un charrue qu'il faut mettre avant ses boeufs (ou après, je sais plus trop).

Et là ... un inconscient se jette juste devant les chevaux. Il tire autant qu'il peut sur les rênes pour éviter d'écraser le malheureux -mais qu'est-ce qu'il fout en rase campagne et se jette sur mon chemin, aussi-


Holààààààààààà

Arrêt, plus ou moins miraculeux. Le type a l'air d'être indemne... et a une épée. Oh meeeeeeeeeeeeerr.................
Pas le moment, ça non. Relancer l'attelage et risquer de l'écraser, au risque de le tuer...non. Mc est clerc, faut pas abuser, on tue pas si on peut l'éviter. Même pour tout l'or du monde, lui avait-on toujours enseigné -et c'est ici, avec l'or du roy devant un brigand, que cela prenait tout son sens...
Bon attendons de voir, ptetre qu'il est juste perdu et veut demander son chemin ?


Chaos a écrit:
La bourse ou la vie !


Oui bon bah c'est une excellente question que vous me posez, là, dans ma situation...
En même temps c'est un peu idiot comme question... ça veut dire que si vous me tuez, vous touchez pas à mon chargement ?
Tant d'or vaut-il que je mette ma vie en jeu pour? moui, c'est pas le mien.
Crétin.

Mc sourit, et avec une petite lumière dans le regard, répondit en montrant sa bourse accrochée au côté, contenant ses économies,


Rangez votre arme, car je choisis la bourse. Mais venez ici la prendre.
_________________
Un problème de soule? contactez moi!
France-Angleterre : 2-1
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)