Linexiv
[Crepi Coronia suite]
Brume. Brouillard. Rien. Il ny avait rien et elle ne sentait rien. Ni bien ni douleur. Rien. Elle chercha à regarder autour delle. Bougeait-elle vraiment la tête au moins ? Ses yeux étaient-ils ouverts ? Yen avait-il seulement besoin ici ? Ici ? Elle ne savait pas ce quétait cet endroit mais elle sen fichait. Cétait calme. Il lui semblait se souvenir dun terrible fracas, mais cétait loin, si loin, trop loin.
Elle attendait. Quoi ? Aucune idée. Une seconde, une journée. Aucune idée. Elle se perdait et peu à peu autour delle des éclats de couleurs vinrent teinter le noir. Des images incertaines qui seffacèrent aussitôt remplacées par dautres. Une petite fille qui courait Étrangement, elle avait limpression de sentir à nouveau un sol sous ses pieds ? Elle baissa la tête et se rendit compte quelle marchait. La brume se dissipait légèrement, il faisait plus clair. Lépée qui sabaissait, un pas sur le côté, parer Se battre. Pourtant, ses mains étaient vides. Le vacarme se fit plus fort, elle voulait séloigner. Retrouver le calme.
Mais elle narrivait plus à avancer. Une voix paraît couvrir le brouhaha. Elle narrivait pas à comprendre ce qui était dit. Cela lembêtait. Elle se souvint aimer cette voix. Elle voulait lentendre. Encore. Elle esquissa un pas. La douleur répondit aussitôt. Une brûlure intense au niveau des côtes. Lépée. La bataille. Suivre le capitaine. Elle porta sa main à sa poitrine. Du sang. Tout tournait, elle était aspirée. Se raccrocher. Se souvenir, Pierre, cétait Pierre.
Quelquun qui paraît saffairer à retirer larmure. Mais elle nétait pas morte. Réagir. Respirer. Bouger. Elle essaya douvrir les yeux, la lumière était trop forte. Larmure. Fallait pas lenlever. Elle était vivante. Line entrouvrit la bouche, lair lui brûla les poumons. Elle toussa et parvint à articuler faiblement tout en accompagnant ses paroles de ce quelle cru être un bon coup de bras mais qui se révéla nêtre quun battement dans le vide.
Pas Lenlever
Leffort lui arracha une nouvelle quinte de toux et une nouvelle pointe en provenance des côtes qui manqua de la faire sévanouir à nouveau. Elle lutta. Il était là. Elle le savait. Ouvrir les yeux. Il était vivant et il la regardait.
Line ébaucha un sourire qui se transforma trop vite à son goût en grimace.
Je Contente de te voir
Elle sentit ses yeux se fermer à nouveau mais cette fois-ci elle ne lutta pas, il était là, tout irait bien à présent. Elle était en sécurité.
Brume. Brouillard. Rien. Il ny avait rien et elle ne sentait rien. Ni bien ni douleur. Rien. Elle chercha à regarder autour delle. Bougeait-elle vraiment la tête au moins ? Ses yeux étaient-ils ouverts ? Yen avait-il seulement besoin ici ? Ici ? Elle ne savait pas ce quétait cet endroit mais elle sen fichait. Cétait calme. Il lui semblait se souvenir dun terrible fracas, mais cétait loin, si loin, trop loin.
Elle attendait. Quoi ? Aucune idée. Une seconde, une journée. Aucune idée. Elle se perdait et peu à peu autour delle des éclats de couleurs vinrent teinter le noir. Des images incertaines qui seffacèrent aussitôt remplacées par dautres. Une petite fille qui courait Étrangement, elle avait limpression de sentir à nouveau un sol sous ses pieds ? Elle baissa la tête et se rendit compte quelle marchait. La brume se dissipait légèrement, il faisait plus clair. Lépée qui sabaissait, un pas sur le côté, parer Se battre. Pourtant, ses mains étaient vides. Le vacarme se fit plus fort, elle voulait séloigner. Retrouver le calme.
Mais elle narrivait plus à avancer. Une voix paraît couvrir le brouhaha. Elle narrivait pas à comprendre ce qui était dit. Cela lembêtait. Elle se souvint aimer cette voix. Elle voulait lentendre. Encore. Elle esquissa un pas. La douleur répondit aussitôt. Une brûlure intense au niveau des côtes. Lépée. La bataille. Suivre le capitaine. Elle porta sa main à sa poitrine. Du sang. Tout tournait, elle était aspirée. Se raccrocher. Se souvenir, Pierre, cétait Pierre.
Quelquun qui paraît saffairer à retirer larmure. Mais elle nétait pas morte. Réagir. Respirer. Bouger. Elle essaya douvrir les yeux, la lumière était trop forte. Larmure. Fallait pas lenlever. Elle était vivante. Line entrouvrit la bouche, lair lui brûla les poumons. Elle toussa et parvint à articuler faiblement tout en accompagnant ses paroles de ce quelle cru être un bon coup de bras mais qui se révéla nêtre quun battement dans le vide.
Pas Lenlever
Leffort lui arracha une nouvelle quinte de toux et une nouvelle pointe en provenance des côtes qui manqua de la faire sévanouir à nouveau. Elle lutta. Il était là. Elle le savait. Ouvrir les yeux. Il était vivant et il la regardait.
Line ébaucha un sourire qui se transforma trop vite à son goût en grimace.
Je Contente de te voir
Elle sentit ses yeux se fermer à nouveau mais cette fois-ci elle ne lutta pas, il était là, tout irait bien à présent. Elle était en sécurité.