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[RP] Vassalisation d'un capichef à Oingt

Aliena.
Aliéna écouta ébahie les paroles de Sacha. Elle se rappelait que la brunette avait un fort caractère, mais il semblait que ça ne se soit pas arrangé avec son départ de la capitale.
Une fois la jeune femme éloignée, elle regarda Max, légèrement agacée.


M'enfin Max ! Qu'est ce que tu lui as fait pour la mettre dans cet état ?

Pas le temps pour lui de répondre, Helsinki venait de les rejoindre pour les saluer. Après les salutations d'usage, puis lorsque ce dernier se fut éloigné, Aliéna reporta un regard interrogatif sur Maximien, attendant sa réponse.
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Et Aliénor devint Aliéna ...
Phelim
Salut, salut...tu nous attendais peut être ?

Il releva vivement la tête en entendant du bruit. Son futur vassal était arrivé, et personne ne l'avait prévenu. Décidément, ses gens étaient réellement bon à rien. Il devenait de plus en plus urgent qu'il prenne une femme à marier capable de tenir une maison, parce que là, la situation empirait au point d'être à la limite de la catastrophe.

Faisant fi de ces problèmes qu'il règlerait plus tard, le Vicomte adressa un sourire crispé au Capitaine, tout en lui rendant son accolade accompagné d'une grande baffe dans le dos. Il était content qu'il soit le premier arrivé et assez impatient de lui remettre son fief. Bien sur, il y avait déjà eu des embrouilles entre eux, tout deux ayant un caractère belliqueux, mais dans le fond, Phelim aimait son franc parler, même quand c'était lui qui en faisait les frais. Puis, ils s'entendaient pour le reste très bien, voir trop bien et il ne regrettait pas son choix. Le seul bémol avait été la réaction de certains des amis de Thib quand ils avaient appris que le Juge allait devenir son suzerain, mais là, il n'y pouvait rien si des gens croyaient que l'un ou l'autre changeraient radicalement suite à l'échange de serment.


Non, je ne vous attendais pas. Que faites vous là? Et d'abord, vous êtes qui?

Il sourit en coin puis se tourna vers sa femme.

Bonjour Sabine, ça faisait longtemps ... J'espère que ton mari ne t'embête pas trop, mais tu m'as de toute façon montré à de nombreuses reprises que tu savais te défendre.

Il ricana et leva ... baissa plutôt .. les yeux vers l'ancienne Lyonnaise, aujourd'hui Briançonnaise, qui était apparue. Il était ravi qu'elle ait pu se libérer. Si elle avait pretexté une migraine pour ne point venir, rongé par l'inquiétude, le Seigneur de Tassin la Demi Lune aurait bien sur dépêché une armée de médecins à son chevet, spécialistes en saignées et en sangsues.

Bienvenue à Oingt Sacha.

Il se fit la remarque mentalement, que finalement, c'était pas si dur que ça d'accueillir les gens. Lui qui s'était presque rendu malade à l'idée de devoir jouer les hôtes ...
Enfin, avec l'arrivée de Max, les ennuis allaient commencé, il en était sur, ce n'était pas le fils d'Angélique pour rien, il en mettait ses burnes à couper.


Et je comprend mieux pourquoi maman dit que tu sent le furet, quand elle te voie tous beau tous propre comme ça et qu'après tu est un peu sale à Lyon, on comprend mieux hihi

Et voilà, gagné. Alors que l'Imprévisible réfléchissait au meilleur moyen de le tuer, sans salir sa belle salle toute propre, et en faisant croire aux invités qu'ils ne faisaient que jouer, le petiot alla faire un bisou à Sacha. Il cessa donc de réfléchir, il en connaissait une qui détestait qu'on colle ses lèvres à sa joue et qui se chargerait donc très bien du meurtre.
Il se consacra donc à Aliena.


Vicomte, merci de m’accueillir chez vous.

A charge de revanche alors, j'espère bien que vous m'inviterez à diner chez vous en retour.

Il prit un air taquin, il n'était pas sérieux. Et puis de toute façon, elle refuserait de lui faire des poussins farcis au menu. Tout simplement parce qu'elle détestait l'écouter, et qu'elle n'arrêtait pas de demander aux Lyonnaises en taverne de ne surtout pas lui obéir. Tsss ... si on l'encourageait, elle pronerait même l'égalité noble / gueux.

Mais le Vicomte oubliait quelque chose ... ah oui, cette histoire de furet. Sacha avait l'air de pense que ça le choquerait qu'il brise les côtés de Max, mais en fait pas du tout. Bien sur, il ne pouvait pas le dire mot pour mot devant tout le monde, il fallait qu'il le lui fasse comprendre par code. Qu'il fasse preuve de subtilité pour changer, en espérant que le destinataire ait mis son décodeur en route.


Hum, Sacha, comme je sais que vous aimez les armes, si vous voulez, l'armurerie se trouve au bout de l'aile gauche, porte de droite. Vous verrez, il y a un magnifique fléau ...

Non, pas ça, elle n'en ferait qu'une bouchée avec, il fallait qu'il souffre.

Ainsi qu'une superbe lime à ongles.

Ces derniers mots furent accompagné d'un sourire carnassier, qu'il rangea en apercevant Tenshi pour ne pas qu'il le prenne pour lui. De toute façon, Sacha ne le ferait surement pas ... il était de plus en plus persuadé qu'elle cachait en fait un coeur d'or ... pour preuve, elle avait quand même fait un don à Aliena, il n'était pas près de l'oublier maintenant qu'il venait de l'apprendre.

Bonjour Vice Chancelier et bienvenue. Charmant en effet, mais un peu reculé ... même moi des fois, je tourne un peu en rond avant de retrouver le chemin du domaine et une fois ...

Il s'interrompit en remarquant avec horreur du coin de l'oeil qu'un balai trainait contre le mur. L'oubli du domestique était scandaleux. Un noble doit donner l'impression que ses salles ne se salissent jamais, comme si la poussière n'y venait jamais, et donc qu'elles n'ont pas besoin d'être nettoyées. Du moins, c'est l'impression qu'il avait quand il allait chez les autres, et celle qu'il voulait donc donner chez lui aujourd'hui. Il fit donc quelques pas de côtés, pris le balai, puis l'air de rien, le lança tel un javelot dans la pièce d'à côté .. ni vu ni connu.

Et cette mésaventure fut vite oubliée et noyée dans la poitrine que lui présenta la Première Conseillère en s'inclinant devant lui. Quand elle se fut redressée, il loucha sur le decolleté en plissant les yeux. Il l'avait déjà vu ... il avait la mémoire des décolleté, donc s'il disait qu'il l'avait déjà vu, il n'y avait aucun doute à avoir là-dessus ...
Roooo, ses yeux bleus fixèrent intensément la jeune femme, cherchant à lui arracher des aveux.


Mais Axel, c'est la même robe qu'hier que tu portes là. Je gage que tu as cru que quelques rubans suffiraient à nous tromper, c'est ça? Tu ne nous aimais pas assez, Thib et moi, pour t'acheter une nouvelle tenue?

Hélas, il ne put attendre de réponse, car il fallait garder un certain rythme dans l'accueil des invités, pour ne pas qu'une queue se forme. Sinon, à tout les coups les villageois jaseraient en la voyant. Il fut intrigué par les objets que lui tendit le Conseiller Militaire, et ne voulait pas surtout pas savoir, ni que son invité sache, pourquoi on lui avait donné cela. Il répondit donc précipitamment la première histoire qui lui passa par la tête.

Bonjour Messire Kernos. Vous n'êtes pas sans savoir que nous sommes à la frontière de la Bourgogne et donc que certains de mes gens se trouvent influencés par leurs moeurs. Il s'agit d'une étrange coutume à eux, qui veut que l'on offre de l'ail et une médaille aux personnes qui ... qui vont à cheval ... et ça ... ça rend le possesseur plus vigoureux tout en pimentant son haleine. Aussi, je vous invite à garder précieusement ces présents.

Il rougit d'avoir osé mentir. Il manquait plus qu'à espérer que le Seigneur de Glandage n'irait pas se renseigner auprès d'un Bourguignon. Le Vicomte restait quand même ravi qu'il ait pu se libérer, le Cap serait content. Il se reprit, alors que le Seigneur d'Ecully venait d'arriver.

Bonjour Voisin, je t'en prie, fait comme chez toi. Tu as l'habitude de venir maintenant.

Puis, la plus belle vint, le Gouverneur, sa petite 'wel. Il rit, c'est vrai qu'elle était totalement dénué du sens de l'orientation et qu'à chaque fois qu'elle sortait de Dié il lui arrivait des casseroles.

J'aurais volontier baliser le chemin avec des grains de blé, mais ça aurait poussé et le CaC m'aurait reproché ensuite la surproduction de céréales.

Il lui sourit et la laissa parler avec le Capichef. Le Connétable était enfin là, il pouvait se vanter de les avoir fait languir grrrrr.

Et bien ! Voilà une cérémonie prometteuse ! Pas trop anxieux ? ou excité par ce qui va suivre ?

Phelim plissa les yeux, plus trop certain d'avoir langui l'arrivée du fils d'Elorane.

C'est sérieux Geof, c'est héraldique. C'est plein de protocole, et de code, alors tu vois, c'est tout, sauf excitant.

Il le prit dans ses bras, et lui donna l'accolade avec une grande baffe dans le dos en guise de salut.

Et puis, soit pas jaloux rrrooo .. je te ferais aussi un baiser vassalique à la fin si tu veux.

Tout en se marrant, il lança un coup d'oeil anxieux à l'assemblée. Une fois que Dauphiné serait prête, ils commenceraient et il craignait d'oublier son texte
Pour faire patienter tout le monde, il fit signe aux serviteurs de proposer à tout le monde des coupes de vin. Lui même en descendit d'une traite pour se calmer avant d'en reprendre une seconde .

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--Mathilde.la.cuisiniere
[Cuisines d'Oingt]







Je veux pas tordre le cou au pauvre poussin ouinnnnnnn
Moi non plus ouiiinnnnnn

Mathilde poussa un soupir exaspéré. Mais pourquoi le Vicomte lui avait mis ces deux nigaudes d'aide cuisinière sur le dos? Loin de l'aider, elle faisait des façons.

Alors qu'elle aurait très bien su gérer la préparation des poussins farcis pour la cérémonie toute seule, pour sur, la Mathilde, elle savait les préparer les poussins farcis, et elle était la seule détentrice de l'ultime recette secrète qui les rendaient si croustillants et si fondants à la fois.
Et elle semblait faite pour préparer ce met là. Son visage joufflu, qui ne réflétait aucune pitié pour les bébés volatiles ... son corps, tout en forme et en rondeur, se terminait par des petits doigts habiles pour ouvrir avec précision l'arrière train des poussins, enfin d'en sortir les entrailles. Le meilleur, comme aimait à dire la cuisinière au Vicomte .. d'ailleurs, elle récupérait toujours ce qu'elle vidait des poussins pour les faire bouillir et en faire son festin du soir.

Elle lança un regard peu amène à la brunette, la première qui avait parlé, et à la blondinette. Il s'agissait de jeunes filles, encore vierge, et comme toutes filles de leur âge, elles avaient peur de tout et s'étaient proclamées protectrices des animaux Elle leur avait patiemment montrer comment ouvrir le poussin délicatement, lui enlever "le meilleur" que le seigneur dédaignait, puis enfin le farcir avec de la farce à base de poussin qu'elle avait préparait au préalable. Pas d'explication pour la couche de beurre et de lard de cochon dont on enveloppé généreuse ensuite le volatile, pour ça, Mathilde s'en chargerait elle même. Fallait pas hésiter à forcer sur le dose, plus c'est gras, plus c'est meilleur, disait-elle toujours au Phelim. Et elle ne désespérait pas que ce dernier se mette enfin à s'empâter .. sans une couche de graisse pour le couvrir et le réchauffer en hiver, elle craignait qu'il ne prenne froid.
Enfin, quand les deux pimbêches avaient su que les poussins étaient encore vivant, et qu'il faudrait leur tordre le coup puis les plumer, les choses avaient dégénérées.


Si vous n'êtes pas bonne à la cuisine, peut-être vous seriez mieux dans la couche du Vicomte retorqua t-elle.

Puis perfidemment, elle ajouta :
On conseille aux jeunes pucelles aussi fines que vous de s'abandonner complêtement au Seigneur et de se détendre si elles ne veulent pas se faire briser le bassin.

Son ricanement mesquin s'éleva dans le silence soudain qui avait envahi la salle. Les jouvencelles regardaient en silence la cuisinière du castel, la bouche tremblante, les yeux exorbités, et même les poussins qu'elles tenaient chacune dans une main avaient soudain arrêté de couiné et semblaient la fixer avec effarement.

Alors maintenant, mettez vous au travail mousaillonne.

Elle essuya avec sa manche qui avait du mal à contenir son bras dodu et flasque et devait bien avoir la taille de la cuisse d'un homme, la bave qui dégoulinait de ses babines. L'odeur qui s'échappait du four lui donnait faim ... elle qui d'habitude pouvait se permettre d'en manger un ou deux devait aujourd'hui tout garder pour les invités.

Elle se leva pour sortir les poussins du four et écarta la fumée qui s'en échappait avec son torchon. La peau des oisillons étaient dorées à point, et la sauce du gras dans laquelle ils baignaient avaient une bonne couleur.
Avec amour, ils furent disposés avec soin dans des plats. La Mathilde, si menaçante plus tôt, s'était radouci à la vue de son chef d'oeuvre. C'était ses bébés et elle voulait qu'il soit si beau dans la salle de reception, qu'on ne ferait qu'eux. Pour finir, elle nappa généreusement le tout de la sauce du gras de cuisson .. et n'hésite pas à y noyer complêtement les poussins dedans. Le gras, c'est universel, tout le monde l'aime.

Une fois cela de fait, elle voulut vérifier où en était les deux pintades et resta muette de consternation devant la débâcle qui avait lieu sous ses yeux. La brunette, avec des morceaux d'intestins collés sur ses doigts, hurlaient de terreur et de dégoût.

Il a bougé, il a bougé .. il est encore vivannnnnnnnnnnt !

Quand à la blondinette, elle serrait son petit protégé contre son corset en criant et en sanglontant :
J'peux pas lui tordre le cou, non j'peux pas.

Mais le pauvre devait être mort depuis longtemps, car elle le serrait tellement fort qu'il en était devenu tout raplapla.
Ce fut trop pour la cuisinière, qui gifla les deux cruches et les chassa de sa cuisine à coup de torchon.

Ces deux gourdes là ne lui gacheraient pas son triomphe. Pour une fois que son Pheliminouminet recevait du monde à Oingt, elle montrerait qu'elle pouvait se comporter en bonne épouse. Car, ce n'était un secret pour personne ici qu'elle fondait d'amour pour lui, et qu'elle espérait bien s'imposer en tyran dans le village, aux côtés du Vicomte.
Elle s'empara des deux plats, un dans chaque main, tandis que la troisième trouvait une place sur sa tête, et elle chargea dans la grande salle. Son tablier était couvert des boyaux des oisillons, mais elle n'en avait cure.


Les poussins farcis sont serviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis

Déçue que son apparition ne provoque pas des applaudissements, elle ne se démonta pour autant pas et continua jusqu'à la table pour poser ses plats, adressant au passage aux hommes des sourires avenants et des grimaces au tas de grognasses rassemblées. Tsssss, pensa t-elle, leur bassin est bien trop étroit pour faire des enfants au Vicomte, elles ne lui pondraient que des demi bébés, à peine plus gros qu'un poussin. Alors qu'elle, bien que frolant la ménopause, elle pouvait encore lui assurer une bonne descendance, en lui faisant de belles portées de trois ou de cinq avec chacun des petiots aussi vigoureux qu'un porcelet. Sa famille était réputée pour sa fertilité.
En résumé dans cette pièce, aucune femelle ne la concurençait.

Alors qu'elle allait partir, elle attrappa au passage une réplique qui lui fait dressé l'oreille.


Bonjour Messire Kernos. Vous n'êtes pas sans savoir que nous sommes à la frontière de la Bourgogne et donc que certains de mes gens se trouvent influencés par leurs moeurs. Il s'agit d'une étrange coutume à eux, qui veut que l'on offre de l'ail et une médaille aux personnes qui ... qui vont à cheval ... et ça ... ça rend le possesseur plus vigoureux tout en pimentant son haleine. Aussi, je vous invite à garder précieusement ces présents.

Kernos ... rien que ce nom la laissait rêveuse. Soudain, leur regard se croisèrent, et Mathilde en eut des frissons jusqu'à ses peaux d'oranges. Il s'était passé quelque chose dans leur échange et qui dépassait l'entendement, cet homme était fait pour elle.
Tant pis pour Phelim, ce mâle là lui plaisait trop. Son visage joufflu se fendit d'un sourire alors qu'elle alla jusqu'à lui avec légèreté, c'est à dire qu'il n'y eut que quelques vibrations dans le sol à chacun de ses pas, et arriva à lui sure d'elle même, en femme qui à complêtement confiance à ses charmes.
Son regard était langoureux, et elle adoucit sa voix d'ordinaire rauque et grave pour ne point effrayé sa proie.



Bonjour doux sire. J'm'en retourne à ma cuisine, si vous voulez v'nir m'y saut ... si vous voulez des champignons sautés, n'hésitez pas à me rejoindre, c'est ma spécialité. Allez, venez dans 5 minutes, j'y cours vous les préparer.

Elle ramena ses cheveux gras en arrière d'un geste qu'elle espérait sensuel et elle partit en trottinant dans sa cuisine pour se placer en embusquade. Dès que le seigneur entrerait, elle refermerait la porte de la cuisine derrière lui et avalerait la clé. Et en attendant qu'elle ressorte ... il ne sera qu'à elle ... qu'à elle ... son précieux ....
Ya
Un village dominant la vallée de l'Azergue au Nord de Lyon, sur le versant Rhodanien des monts Lyonnais.

A priori pas vraiment dur à trouver, elle commençait à bien connaître la ville de Lyon et ses alentours mais Ya demanda plusieurs fois à ce qu’ont lui indique le chemin .Malgré toute les informations que l’ont pu lui donner elle trouva bien le moyen de se perdre à plusieurs reprises .

Se demandant un moment si elle savait s’orienter . Mais au but de maintes détours elle trouva alors le village et là par chance un château en hauteur se dessinait aimablement dans le paysage .Au moins là elle était sur de ne pas le louper .

Enfin bref elle arriva signala alors à l’entrée du domaine la nature de son arrivée ont lui prit sa monture et ont lui montra alors le chemin où aurait lieux l’événement .

Arrivée sur place elle entra le plus discrètement possible .Elle vit au loin le Capitaine et le vicomte mais bien prit dans de diverses discutions à vu d’œil , elle se décida donc à prendre place dans un petit coin de la salle et entendre .Elle irait présenter ses salutations lorsque ses derniers auront finit avec leurs hôtes

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Soeur de Jrjm10 // Marraine de Nefertianne
Maximien
Max sourit à la réaction de Sacha
A... cela lui avait fait un coque quand même que de la voir quitter Lyon pour Briançon... c'est qu'il l'aimait bien quand même cette jeune fille... surtout ces réactions agressives... hihi...


Et biens a tous à l'heure Sacha

Max la regarda partir puis sourit et sa chérie quand elle lui demandât pourquoi elle partait

Bé c'est par ce que je lui a fait un bisou, elle a horreur de ça hihi, et puis, la dernière foi, on a inaugurer la lice tous les deux et elle ma casser de cotes hihi

Max regarda hels arrivé

Tiens bonsoir hels, tu n'as pas eu trop de mal a trouver j'espere ?

Max sourit.
Il reconnu ensuite la gouverneur du LD arrivée, max s'inclinât et se présenta.


Mes respects gouverneur, je me présente, Adonis de Montestier, dict maximien, Fils de la Baronne Angelique de Cruzy le Chastel que vous avez surement déjà rencontrer, et je vous présente ma future, Dame Aliéna.

Max lui sourit, puis il fit un grand signe à Ya qu'il aperçu pour la saluer
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Sagaben
Oingt. Mais où cela pouvait-il être? Pour avoir pris ses renseignements, Oingt était à la Bourgogne ce que Laragne-Montéglin était à la Provence, aux confins. Cela réflétait-il les différentes inclinations de leurs seigneurs respectifs? Le Vicomte sur sa monture sourit aux différentes implications d'une telle pensée. La diplomatie pouvait-elle se résumer à cela? Sans doute. Les chevaux galopaient à toutes brides abattues. Un plaisir que le vicomte pouvait s'offrir de temps en temps. Il préférait certainement les montagnes de la vallée du Buëch aux plaines rhodaniennes, mais, c'était ça aussi, le Dauphiné. Un juste équilibre encore montagnes et plaines. Entre neige et eau.

Avec une escorte de six hommes, le Vicomte pénétra dans les terres du juge du Dauphiné. Il n'y avait jamais mis les pieds. Pied à terre devant le castel. Le Tempéré, qui avait dernièrement perdu beaucoup de sa tempérance, mais gardait une mine sombre en public pour garder une partie de sa réputation, que pourrait renier certains murs de Pierre Scize et de certains hostels de Lyon, se déganta en admirant la bâtisse. Leurs physiques étant différents, leur manière de vêtir de même - Amilly portait toujours ses traditionnels habits bleutés - , on ne pourrait le confondre avec Sans Repos.

Une allégeance n'était pas un mariage. Les vêtements de voyage pourraient certainement convenir. Il n'avait de toute façon pas le temps de se changer. Il prit juste la peine d'épousseter ses vêtements. Les chevaux furent laissés avec les gens. Le Vicomte suivit un valet jusqu'à l'entrée de la salle.

Déjà du monde, mais rien n'avait commencé. Du monde autour du Vicomte d'Oingt. Il ne se mêla pas à la foule pour le moment et resta près de l'entrée et s'appuya à un mur. Il porta sa main à son menton et observa.

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Aliena.
Aliéna écoutait étonnée les explications de Max.

Hé bien !
Arrête donc de lui faire des bisous alors si elle n'aime pas ça ! J'ai pas envie de te retrouver embroché moi !


Puis, après avoir discuté un peu avec Helsinki, Max l'entraina face à une Dame qu'elle ne connaissait pas ... Le Gouverneur apparemment, à laquelle il s'empressa de la présenter.
Aliéna s'inclina poliment devant la Dame.


C'est un plaisir de vous rencontrer Gouverneur.
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Et Aliénor devint Aliéna ...
Thiberian
En voyant déferler les invités, Thiberian sourit et se prit à penser qu'heureusement que Phelim était là car lui n'avait pas eu le temps de faire des invitations ni même d'inviter qui que ce soit...il grimaça légèrement et se dit que cela manquait quelque peu de sérieux...mais bon le public n'était pas forcement nécessaire même si ses proches étaient heureux de le voir réussir à peu prêt...
Son sourire revint quand il pensa à certaines mauvaises langues qui devait s'en donner à cœur joie et pourtant...c'est pour ça qu'ils avaient décider de laisser savoir ce qui se passait à tous, pour qu'ils s'amusent...après tout il est vrai que Sabine avait peut être commis une erreur en épousant Thib...mais lui au moins ne convoitais pas la femme d'autrui et il s'en félicitais jours après jours, qu'il lui était bon de rester correct devant les lois divines...


Dans toutes les personnes présentes il y en a qu'ils s'attendaient a voir, comme Kernos, Axel ou encore Tenshi, Ya et Geoffroy et bien sur...Nyna sans qui rien de tout cela ne serait possible.
Il les salua tous chaleureusement, donnant l'accolade à ses Messires et une rapide étreintes à ces Dames qu'il aimait beaucoup et quand la tournée fut finit il leur dit :


Merci à tous d'être là...ce jour est plutôt important n'est ce pas ? Je suis...heureux de tous vous connaitre et d'avoir le privilège d'être entouré de si bon amis...merci à tous !

Il leur fit un timide sourire et continua sa tournée...

Il y avait aussi toute la clique des soldats Lyonnais qu'il adorais et qu'il se voulais d'être surpris de voir, après tout il s'entendait bien avec eux tous depuis un certain temps et ils étaient de très bons soldats...et puis bon...il était évident que Phélim aurait écumé les tavernes à leur recherche pour les inviter...
La plupart étaient venus en uniformes alors il les salua militairement et leur dit :


Je suis très content de vous voir mes Lyonnais préférés, merci d'être venus !

Il leur donna à tous une poignée de main prouvant leur camaraderie et les remercia un par un puis il se tourna vers Sacha, lui mit la main sur l'épaule et dit tout bas pour qu'elle soit seule a entendre :

Je suis content que tu sois là, tu sais...je suis heureux de prêter allégeance à Phelim cela dit j'ai toujours un peu de mal avec les cérémonies et je pense que c'est un point que nous partageons a voir ta mine depuis tout à l'heure...détend toi, bois un coup et n'hésite pas à aller prendre l'air ça ira mieux.

Il lui sourit en se disant qu'il admirait beaucoup cette jeune femme pour le soldat exemplaire qu'elle faisait...Briançon avait trouvé sa Ya et il en était très heureux...

Thiberian sourit à la remarque de Geoffroy puis haussa les épaules et répondit :

Tu sais mon ami...rien ne sera jamais aussi excitant que le jour ou j'ai vu ta chère maman te coller une mandale...

Il éclata de rire et lui donna l'accolade et se tourner vers Arwel et lui faire une révérence complètement soldatesque soit dénuée de toute grâce, raide, martiale...
Il lui fit un sourire mesquin en prenant des manières qu'il n'avait pas prit pour les autres juste pour embêter un peu cette jeune femme qu'il aimait beaucoup :


Votre grasce, je suis fort aise de constater votre présence...votre simple aura illumine ces lieux et marquera ce jour d'une croix blanche !

La porte s'ouvrit une fois encore devant le Vicomte d'Amilly, mais ce dernier semblait rester vers l'entrée et ne pas se mêler aux autres invités, Thiberian décida donc de ne point le brusquer et d'attendre qu'il se sente prêt à se joindre à eux...ne doutant nullement que Phelim ne laisserais pas un invités seul dans son coin.

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Nynaeve87
Il était presque midi quand Nynaève aperçut les pierres presque rouge de Oingt dominant la vallée de l’Azergues.
Elle était songeuse Dauphiné. Bien callée dans sa selle, main sur le pommeau elle stoppa sa jument baie pour admirer le paysage.
Bien qu’ils soient quasiment voisins, elle ne s’était jamais rendue sur les terres de Phelim.
Phelim son compagnon de toujours, son ami. Le seul qui pouvait tout se permettre sans qu’elle ne le juge jamais.
Il avait requis sa présence pour un anoblissement. Il voulait faire du Capitaine son vassal.

La jeune femme s’était demandée un moment si l’uniforme n’aurait pas mieux convenu… non… ici elle était Dauphiné. Si elle avait servi l’ost durant de nombreuses années, elle sentait qu’elle s’en éloignait peu à peu. Il semblait qu’on ne les respectait plus, qu’on leur reprochait un manque d’investissement comme si l’on ne pouvait jamais s’arrêter pour souffler un peu, comme si la nouvelle génération ne pouvait se débrouiller sans l'ancienne.
Certainement préférait-on les voir partir, ils salissaient tant l’image de l’armée à glandouiller comme des ronds de cuirs sur leurs sièges au conseil de guerre, il n’avait pas tord l’Argael.

Immobile sur Isis, sa cape légèrement soulevée par la brise printanière qui avait enfin décidé de chasser l’hiver, elle observait la tour du château où elle devait se rendre, partagée.
Elle respira profondément, puis mis la baie au pas pour franchir l’espace qui la séparait des portes du domaine.


Veuillez annoncer Dauphiné au maitre de céans messire…
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Ya
Bien que dans son petit coin louper Maximien l'avait remarqué , discrétion rater pensa t'elle .

Elle lui répondit d’un petit signe discret de la main au grand signe de la part de Maximien qui se trouver au mileiu de la salle , avec un sourire puis Thib les remercia de leur présence .

Elle lui répondit d’un sourire et d’un signe de tête en guise de réponse , bien que trop timide encore pour le moment pour aller saluer tout le monde .

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Soeur de Jrjm10 // Marraine de Nefertianne
Arwel
Il y avait beaucoup de monde et Arwel essayait de répondre à tous ceux qui s'adressaient à elle... Elle rit en entendant les paroles du Vicomte d'Oingt :

J'aurais volontier baliser le chemin avec des grains de blé, mais ça aurait poussé et le CaC m'aurait reproché ensuite la surproduction de céréales.

Posant son malicieux regard émeraude sur lui, la jeune femme imaginait la tête du Cac, si on balisait tous ses déplacement de grains de blé !

Il aurait raison notre pauvre Cac, il a déjà suffisamment de travail sans que tu en rajoutes !

L'arrivée du Connétable détourna rapidement l'attention de Phelim. Et celle du Gouverneur fut captée par l'incroyable cuisinière du château : Mathilde ! Son arrivée avec les poussins farcis était spectaculaire et le jeu qu'elle joua avec Kernos amena un sourire amusé sur les lèvres d'Arwel. S'il avait la malheureuse idée d'aller traîner du côté des cuisines, elle était certaine que ce serait lui qui finirait mangé...

Une fois l'appétissante cuisinière repartie, Wel croisa le regard d'une timide jeune fille et lui sourit puis reprit les civilités avec les personnes qui se trouvaient près d'elle.

Le Capitaine s'amusait à lui faire des manières, lui qui savait qu'elle détestait plus que tout ce genre de mondanités...


Votre grasce, je suis fort aise de constater votre présence...votre simple aura illumine ces lieux et marquera ce jour d'une croix blanche !

Tentant de ne pas montrer comment il la contrariait de s'adresser à elle avec tant d'emphase, elle continua d'afficher son perpétuel sourire en lui répondant de sa douce voix :

C'est un plaisir de me trouver ici en pareille occasion !

Un couple se présenta ensuite à elle :

Mes respects gouverneur, je me présente, Adonis de Montestier, dict maximien, Fils de la Baronne Angelique de Cruzy le Chastel que vous avez surement déjà rencontrer, et je vous présente ma future, Dame Aliéna.

Elle salua l'homme d'un signe de tête, affichant toujours son air bienveillant et lui répondit :

Enchantée messire, j'ai effectivement eu l'occasion de croiser votre mère lors de la cérémonie de l'Ordre de Saint-George, il y a quelques jours, puis hier, à l'occasion du mariage de Sabine et de Thiberian.

Arwel se tourna ensuite vers la jeune femme qui accompagnait le fils d'Angélique et inclina légèrement la tête pour lui répondre :

Dame Aliéna, le plaisir est partagé.

Le Gouverneur aperçut ensuite le Vicomte de Laragne-Montéglin, adossé à un mur... Réussissant à croiser son regard à un moment donné, elle lui adressa un léger sourire, accompagné d'une inclinaison de tête pour le saluer.

Comme Maximien faisait un geste de la main vers la timide jeune femme qu'Arwel avait déjà remarquée, elle ajouta rapidement :


Peut-être que quelqu'un qui la connaît pourrait l'inviter à nous rejoindre... J'y serais bien allée moi-même, mais comme elle semble déjà très intimidée, je crains que mon initiative l'effarouche un peu plus...
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Sabine67
Bonjour Sabine, ça faisait longtemps ... J'espère que ton mari ne t'embête pas trop, mais tu m'as de toute façon montré à de nombreuses reprises que tu savais te défendre.

Voyant Phelim ricaner, elle leva les yeux au ciel et fini par se dire qu’au moins ça aura eu le mérite de le marquer, elle aurait peu être dut lui ramener une chèvre en cadeau, il les aime tant, elle y pensera la prochaine fois… Les invités commençaient à défiler, elle reconnu Max qui vint lui coller une bisouille qu’elle se fit un plaisir de lui rendre accompagné d’un large sourire, à peine fini elle enchaîna et remit la même chose à Tenshi ….

Décidément ses doutes se confirmaient, les mondanités et convenances qui pouvaient en découler étaient loin de faire parti de ses passes temps favoris … Saluant à tour de bras, observant les gens présents, pas très à l’aise au milieu de tout ce beau monde finalement …

Quand son attention fut détournée par un beuglement …Les poussins farcis sont serviiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis ... Elle porta son attention sur la cuisinière qui avait déboulé dans la salle, elle déduisis, vue le tablier de cette dernière, que les bestioles qui trônaient sur ses plateaux ne devaient pas être les seules victimes. Elle préféra donc, mieux vaut être prudente on ne sait jamais, adresser un large sourire à la cuisinière et la féliciter en lui faisant remarquer que ça avait l’air tout à fait appétissants … Parlant des poussins bien sûr ...

Elle baladait son regard quand elle vit arriver Ya, son visage s’illumina tout en lui adressant un signe de la main, se tournant ensuite vers Thib qui était occupé à discutailler avec un illustre troupeau de gens, elle décida d'aller la rejoindre …

Coucou Ya, suis contente de te voir

Puis après avoir jeter un coup d’œil rapide autour d’elle elle lui chuchota en souriant …

Tu crois qu’on peut s’échapper pour partir à la recherche d’une taverne
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Sacha
bonjour sacha , tout se passe comme vous voulez?

Le tableau servant d'excuse fut mis de côté et Sacha jeta un oeil en direction du propriétaire de la voix.

Bonjour Seigneur des lances...

Avant de répondre à la question, la jeune femme fit précautionneusement un pas en arrière, s'éloignant par la même d'Helsinki. Lors de son extirpation de la foule, le futur vassal avait réussi à lui mettre la main dessus dans tous les sens du terme. Fort heureusement, l'image d'elle-même entrain d'essayer de noyer le vicomte dans une bassine de fruits rouges l'avait empêché d'émettre le grognement qui suivait normalement de près ce genre de mouvement inconséquent. Et puis les fruits rouges, c'était parfait : il y avait toujours de petites graines qui se coinçaient entre les dents et qui restaient très agaçantes à défaut de réussir la noyade.

Quoi qu'il en soit, elle avait retenu la leçon. Apparemment ils étaient tous ligués aujourd'hui, elle ne se laisserait plus prendre et ferait systématiquement des pas en arrière à chaques approches, c'était bien décidé.


Tout se passe... commença-t-elle à répondre avant d'être coupé par le passage grimaçant de la cuisinière, ce qui l'arrangeait bien parce qu'elle n'avait pas vraiment de fin à donner à cette phrase.

D'un signe de tête poli, Sacha s'excusa auprès d'Helsinki et s'approcha un peu plus de la porte. De la lumière, la sortie... Pendant un instant, l'idée d'aller prendre l'air lui paru plus que séduisante, surtout si l'air pouvait être loin. Mais à tous les coups le seigneur de Tassin la demie lune en profiterait pour lancer ses chiens à sa suite, officiellement par inquiétude, officieusement pour leur donner de l'exercice. Abandonnant l'idée, elle s'arracha à la vue de toutes façons maintenant totalement bouchée par un nouveau passage de la cuisinière et alla se poster dans un angle d'où elle pourrait anticiper toutes approches en attendant le début des hosti... festivités.

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Ya
Elle observait tranquillement le déroulement de l' arrivée de personnes , discutions entre certains .Elle n’avait pas quitter son mur , elle observait silencieusement tout simplement .

Au bout d’un moment elle vit Sab lui faire un signe de la main .Elle lui fit un grand sourire , repensant à son mariage de la veille et son union avec Thib .

Elle vit qu’elle venait en sa direction , contente la voir elle ce décida à quitter son mur qui lui tenez compagnie pour s’avançait doucement de Sab .


Bonjour Sab .Oui merci je voulez être là pour Thib elle lui sourit et tout bas oh oui dit moi une bonne idée que tu as, je suis si timide que j’ai trouver seul un mur pour me soutenir mais une bonne taverne pour évacuer ce stress ne serait pas de refus elle sourit à Sab Alors comme te porte tu depuis hier ?
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Soeur de Jrjm10 // Marraine de Nefertianne
Phelim
Deux invités arrivèrent qui préfèrèrent s'installer plus loin, comme s'ils étaient intimidés. Allons, l'Imprévisible n'avait jamais mangé personne !

Posant sa seconde coupe de vin vide sur une table, il s'avança à la rencontre du Tempéré et le salua avant d'enchaîner.


Vicomte, je ne peux pas croire que vous soyez timide, je vous en prie, vous êtes ici chez vous.

Puis tant qu'à faire les coins, il se dirigea ensuite vers Ya que Sabine venait de rejoindre.

Bonjour Ya et bienvenue.

Son regard englobant les deux jeunes femmes, il poursuivit.

Vous prendrez bien un petit poussin farci pour faire honneur à la cuisine de Mathilde hein? Je compte sur vous.

C'est alors que Dauphiné fut enfin annoncée, sans apparaitre pour autant. Intrigué, le Seigneur de Tassin la Demi Lune partit à sa recherche dans les couloirs, pour la débusquer et la remener dans la salle de réception si elle s'était égarée.
Au détour d'un corridor, il finit par la retrouver. Son visage blême donnait l'impression qu'elle était souffrante. Phelim, qui allait vite dans ses conclusions, se dit qu'elle était surement enceinte, puis, lui prenant le bras, il la guida vers les autres.

Même s'il avait raison, de toute façon son ventre n'était pas spécialement proéminent, ce qui le rassurait en cas de perte des eaux chez lui, car à part les connaissances anatomiques de sa cuisinière, personne ici ne saurait s'occuper d'elle, sauf peut-être Ya.

Allons Nyna, on dirait que tu as vu un fantôme.
Tu t'es perdu? Décidément, comme pour mon annoblissement, celui de mon futur vassal ne te réussit pas.


Il se souvenait quand elle lui avait remis Tassin la Demi Lune, alors qu'il était encore un roturier. La jeune femme alors gouverneur s'était évanouie peu après le baiser vassalique.

Allez viens boire de la vinasse, ça te remettra sur pied.

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