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La candidate au baptême était agenouillée sur le prie-dieu, flanquée de son parrain et sa marraine. On donna au parrain un missel, et à la marraine un cierge, alors que le prélat s'avança vers tout ce beau monde en parlant :
- Parrain, vous aurez la lourde tâches d'accompagner cette jeune femme dans la foy. Parfois ce sera gai, parfois ce sera difficile, mais toujours droit vous serez. Donnez le missel à votre filleule, afin qu'elle puisse trouver refuge dans la Saincte-Parole en tout temps.
- Marraine, vous aurez la lourde tâche de comprendre cette jeune dame et ses émotions. La foy se cultive, telle une plante, et leur coeur est un jardin sur lequel vous devrez veiller. Allumer le cierge à la flamme de la foy et transmettez lui l'étiencelle de la foy, comme seule la femme peut transmettre l'étincelle de la vie.
Il désigna le grand cierge qui était allumé, alors que l'on donna un plus petit cierge à la candidate au baptême.
Lorsque tout le monde se fut exécuté, le prélat s'approcha de la candidate au baptême, l'invitant à se lever et à approcher avec lui des fons baptismaux. Il prit entre ses mains de l'eau et la versa sur son front en prononçant le rite :
- Bee.zee, je te baptise au nom de lEglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour lamitié de tous les Saint et pour lamour du Père de lhumanité.
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