Ewaele
[Taverne Bombarde & Chataignes]
Il faisait sombre. Son esprit était troublé Petit à petit elle faisait le vide et toutes les pensées parasites qui l'assaillaient disparaissent subitement comme une nuée d'insectes. Elle calqua sa respiration sur les battements de son cur...calme, lent, régulier... A peine perceptible et pourtant bien présent. Elle sentait un calme impérieux qui s'installait et elle savait alors quelle était apaisée pour la nuit à venir et quil était fort probable quelle verrait mieux les choses demain, après son réveil. Trop de choses aujourd'hui. Lasse, fatiguée... Avait-elle une certaine emprise sur sa façon d'agir et de réagir ? C'était probable... C'était sans doute cela en fait. Elle ne savait si c'était bien ou non mais peu importait. Le silence s'installait. Elle cessa de penser, de réfléchir, de planifier, d'analyser, il n'y avait plus que le silence d'un esprit vide de tout...ou plutôt de rien. Il n'y avait plus rien, elle ne pensait à rien... Sinon à ce calme apaisant qui l'habitait. Elle inspira profondément, expira tout aussi profondément puis elle ouvrit à nouveau, lentement ses yeux. Ses pensées ne tourbillonnaient plus dans son esprit. Alors lentement elle se glissa sous les couvertures épaisses, infiniment douces et moelleuses
Elle entendit un bruit... Un frère Une sur L'un cadet, l'autre aînée, logique...et pourtant il arrivait au cadet de jouer l'aîné et l'autre de jouer le cadet. Une vie pleine d'amusement Etait-ce lui, était ce PsyK ? Cachée dans le recoin le plus sombre de la bâtisse, juste la cheminée pour éclairer sa présence, elle ne pouvait rien voir, rien deviner Etait-ce un rêve plus vrai que nature Puis une voix Elle ferma les yeux un instant Oui une voix, sa voix Elle ne pouvait que rêver, ce nétait pas possible Elle voulut appeler, dire quelle était là, pas loin, juste là devant lâtre qui doucement séteignait Mais aucun son ne franchit ses lèvres, elle était désorientée Comment sannoncer, comment lui faire comprendre Son corps était tétanisé, par le froid, la fatigue, la pluie Se concentrer Laisser un gémissement, une douce plainte sévacuer de son corps, elle narriverait pas à faire mieux pour linstant, elle se sentait ridicule, mais espérait quil entendrait le son quelle venait démettre
Il faisait sombre. Son esprit était troublé Petit à petit elle faisait le vide et toutes les pensées parasites qui l'assaillaient disparaissent subitement comme une nuée d'insectes. Elle calqua sa respiration sur les battements de son cur...calme, lent, régulier... A peine perceptible et pourtant bien présent. Elle sentait un calme impérieux qui s'installait et elle savait alors quelle était apaisée pour la nuit à venir et quil était fort probable quelle verrait mieux les choses demain, après son réveil. Trop de choses aujourd'hui. Lasse, fatiguée... Avait-elle une certaine emprise sur sa façon d'agir et de réagir ? C'était probable... C'était sans doute cela en fait. Elle ne savait si c'était bien ou non mais peu importait. Le silence s'installait. Elle cessa de penser, de réfléchir, de planifier, d'analyser, il n'y avait plus que le silence d'un esprit vide de tout...ou plutôt de rien. Il n'y avait plus rien, elle ne pensait à rien... Sinon à ce calme apaisant qui l'habitait. Elle inspira profondément, expira tout aussi profondément puis elle ouvrit à nouveau, lentement ses yeux. Ses pensées ne tourbillonnaient plus dans son esprit. Alors lentement elle se glissa sous les couvertures épaisses, infiniment douces et moelleuses
Elle entendit un bruit... Un frère Une sur L'un cadet, l'autre aînée, logique...et pourtant il arrivait au cadet de jouer l'aîné et l'autre de jouer le cadet. Une vie pleine d'amusement Etait-ce lui, était ce PsyK ? Cachée dans le recoin le plus sombre de la bâtisse, juste la cheminée pour éclairer sa présence, elle ne pouvait rien voir, rien deviner Etait-ce un rêve plus vrai que nature Puis une voix Elle ferma les yeux un instant Oui une voix, sa voix Elle ne pouvait que rêver, ce nétait pas possible Elle voulut appeler, dire quelle était là, pas loin, juste là devant lâtre qui doucement séteignait Mais aucun son ne franchit ses lèvres, elle était désorientée Comment sannoncer, comment lui faire comprendre Son corps était tétanisé, par le froid, la fatigue, la pluie Se concentrer Laisser un gémissement, une douce plainte sévacuer de son corps, elle narriverait pas à faire mieux pour linstant, elle se sentait ridicule, mais espérait quil entendrait le son quelle venait démettre