--Lyrielle
[La nuit d'avant le départ - Bourge, en Berry]
La petite avait bien des ennuis. Elle regardait autour d'elle la maison qui tombait peu à peu. Elle avait bien essayer de la maintenir mais c'était pas son boulot. Elle, elle savait faire le ménage, la nourriture et vider les chiottes. Quand elle était tout petite, elle allait nourrir les poules, mais encore l'interdiction de quitté la cours et la limite de la clôture.
Bien vite elle avait demandé le pourquoi de la chose. La réponse fût fort simple:
Le monde extérieur est vilain pour les jeunes filles. Vos mieux rester sous la protection des maitres.
Enfin, le maitre, elle le connaissait peu, mais la maitresse l'avait pris en cur et lui montrait à lire et écrire. Donc, depuis son jeune âge, elle devait consacré une heure minimum par jour, parmi ses nombreux travaux domestiques, pour l'apprentissage avec la dame.
Avec le temps, il arrivait que les devoirs dépasse la nuit et qu'elle ne dormait pas. On lui appris aussi les mathématiques, bien sur, elle n'avait pas droit de sortir mais nul ne tolèreraient qu'elle soit ignorante.
Voilà donc, elle était au milieu de toutes ses pensées quand la souris lui vola son dernier morceaux de pain, que la tavernière lui avait donné le jour où elle sortie du domaine par faim (deux jours passés) .
Le froid c'était levé et le dernier bout de bois c'était éteint. Encore une fois, elle allait devoir bravée la température de la nuit. Une chance que le maitre avait tout abandonné dans la maison, car il lui faudra rajouter quelques lainages à son lit de plume.
Elle prit son courage à deux mains afin d'aller fouiller dans la penderie interdite. Oui, le maitre n'était plus au domaine depuis la mort de la dame.
Tous avaient quitté peu à peu le présument mort en guerre. Il fallait bien se rendre comte que depuis le temps, il devait être mort, mais une partie d'elle craignait qu'il ne revienne au moment où elle ouvrirait la porte.
Elle l'avait mis en colère une fois, elle avait environs 10 ans, elle était sortie dans le boisé entourant la maison et ce malgré l'interdiction. La dame en devenue malade d'inquiétude et le seigneur envoya ses hommes la chercher. À son entrée il avait l'air grave, il la prit par les épaules et dit:
Personne, aucune servante n'est mieux traité que toi en se monde (la conception de monde pour la petite s'arrêtait au village qu'elle avait entrevue en automne entre les branches d'arbres dénudés). Tu aurais pus croisé des bêtes, des loups ou PIRE encore des Hommes vilain et méchant.
Puis son ton se fit sévère et son regard se posa sur le médaillons autour du cou de la petite:
Tu n'auras plus besoin de ça je te le confisque,il sera mis au feu par moi-même, ainsi je serai sur que tu ne le remette plus.
Il lui arracha le médaillons en brisant la chainette qui le retenait. Elle se souvenait la douleur dans le cou et y porta la mains machinalement. La peine revint envahir ses pensées, la seule chose qui lui était chère, le seul souvenir de sa mère renverser par la charrette du Sieur, avait disparut.
Il ordonna ensuite que la cuisinière lui donne la fessé, jamais il aurait levé la mains sur une dame ou jeune fille, puis ordonna que les deux prochaines nuits soit sur une paillasse inconfortable, devant le poêle de la cuisine afin qu'elle se rende compte de l'honneur qu'elle avait de partager une chambre avec une autre servante et davoir un lit de plume à elle seule.
Elle n'osa plus braver les interdictions après cette journée là. Doucement son pied frôla l'escalier qui menait à la penderie qui contenait l'armoire interdite. On lui avait dit que là se trouvait tout les objets de valeurs et tout les couvertures les plus chaudes, seul l'intendante avait un droit d'accès et lorsque le maitre ou la maitresse demandaient les choses à l'intérieur.
Elle mit la mains sur la poignée gelée et regarda plusieurs fois derrière elle. Elle prit une grande inspiration avant de tournée la poignée et retint son souffle, comme si on pouvait l'entendre...Peut-être le fantôme du sieur ou de la dame pourrait être à l'affut devant cette armoire...
On lui avait dit que les fantôme des arrières grands-parent du sieur était au grenier et ceux de la dame dans la cave à vin. Cela était la raison des grattements le soir et des bruits étranges de la nuit. Il n'en fallut pas moins pour que jamais elle n'y mette les pieds.
Enfin en se moment le sieur ne semblait pas être là ni d'esprit, ni de chaire. La porte grinça un peu comme par désapprobation du geste. Lyrielle (si cela était son nom puisque c'était le nom que la tavernière lui avait donné...) approcha doucement la chandelle devant la penderie. Il y avait des couvertures de laines, des capes et une boite...
Étrangement la boite attira plus son regard que le reste. Le mystère étant toujours plus intrigant que les choses en vue. D'autant plus qu'il était écrit dessus : Pour la petite, à ma mort.
Le sieur ne serait donc pas en colère si elle l'ouvrait, ni le fantôme d'ailleurs puisque fantôme voulait dire mort. Elle y trouva avec stupéfaction sa cape de laine de petite fille... Dessus était écrit : « Valmont », surement le nom du couturier ou encore de la personne à qui appartenait cette cape avant que sa mère lui mettent sur les épaules.
Elle retira la cape pour y voir sa poupée au visage de porcelaine craquée. D'aussi loin qu'elle se souvienne elle l'avait eu. On lui avait enlevé, lorsqu'elle n'était plus en âge de jouer, et que l'autre servante trouvait que cela faisait enfantin à la décoration de la chambre. Son visage c'était craquée dans la bousculade du carrosse qui avait heurté et tuer sa mère.
Enfin, une missive scellé de toute part avec une adresse et un nom inconnue.
Vicomte Von Wittelsbach, Mimizan ou Château de Marsan, Gascogne.
Elle hésita un long moment avant de soulevé la missive, devait-elle la lire? Non, cela n'était pas bien elle devait la rendre à son maitre...celui de l'adresse. Si elle était dans cette boite surement que cela était très important.
Sous toute sorte de vêtements de son jeune âge elle trouva tout au fond, son médaillons. Rapidement elle le prit dans ses mains le cachant par réflexe, elle prit rapidement les couvertures, capes et baluchon. Le monde était petit selon sa vision, elle savait bien qu'il avait d'autre chose à l'extérieur du village de...Comment déjà...Oui Bourge... L'autre village se nommait Berry...Enfin quelque chose comme ça...Alors celui d'après devait être Gascogne ou Mont-Marsan, pas trop difficile de faire cela à pied mais bon...Autant prendre la charrette.
Elle fit ses bagages et remis les choses dans la boite. Tout sauf deux, le médaillons à la chaine brisée, qu'elle garda soigneusement dans sa main toute la nuit et qu'elle mit dans sa poche secrète de femme, (pas trop besoin de détaille ici hein jespère ^^) au matin, ainsi que sa poupée, qui pour une raison étrange, passa la nuit elle aussi à ses côtés. Bien-sur, la souris (vous croyez que je lavais oublier avouer) dans une petite boite d'allumette dans le baluchon en question, mais Lyrielle ne savait pas que c'était sa cachette et c'est une autre histoire.
Demain, elle partira...Oui elle partira, vers ce dernier service demander de son maitre.
La petite avait bien des ennuis. Elle regardait autour d'elle la maison qui tombait peu à peu. Elle avait bien essayer de la maintenir mais c'était pas son boulot. Elle, elle savait faire le ménage, la nourriture et vider les chiottes. Quand elle était tout petite, elle allait nourrir les poules, mais encore l'interdiction de quitté la cours et la limite de la clôture.
Bien vite elle avait demandé le pourquoi de la chose. La réponse fût fort simple:
Le monde extérieur est vilain pour les jeunes filles. Vos mieux rester sous la protection des maitres.
Enfin, le maitre, elle le connaissait peu, mais la maitresse l'avait pris en cur et lui montrait à lire et écrire. Donc, depuis son jeune âge, elle devait consacré une heure minimum par jour, parmi ses nombreux travaux domestiques, pour l'apprentissage avec la dame.
Avec le temps, il arrivait que les devoirs dépasse la nuit et qu'elle ne dormait pas. On lui appris aussi les mathématiques, bien sur, elle n'avait pas droit de sortir mais nul ne tolèreraient qu'elle soit ignorante.
Voilà donc, elle était au milieu de toutes ses pensées quand la souris lui vola son dernier morceaux de pain, que la tavernière lui avait donné le jour où elle sortie du domaine par faim (deux jours passés) .
Le froid c'était levé et le dernier bout de bois c'était éteint. Encore une fois, elle allait devoir bravée la température de la nuit. Une chance que le maitre avait tout abandonné dans la maison, car il lui faudra rajouter quelques lainages à son lit de plume.
Elle prit son courage à deux mains afin d'aller fouiller dans la penderie interdite. Oui, le maitre n'était plus au domaine depuis la mort de la dame.
Tous avaient quitté peu à peu le présument mort en guerre. Il fallait bien se rendre comte que depuis le temps, il devait être mort, mais une partie d'elle craignait qu'il ne revienne au moment où elle ouvrirait la porte.
Elle l'avait mis en colère une fois, elle avait environs 10 ans, elle était sortie dans le boisé entourant la maison et ce malgré l'interdiction. La dame en devenue malade d'inquiétude et le seigneur envoya ses hommes la chercher. À son entrée il avait l'air grave, il la prit par les épaules et dit:
Personne, aucune servante n'est mieux traité que toi en se monde (la conception de monde pour la petite s'arrêtait au village qu'elle avait entrevue en automne entre les branches d'arbres dénudés). Tu aurais pus croisé des bêtes, des loups ou PIRE encore des Hommes vilain et méchant.
Puis son ton se fit sévère et son regard se posa sur le médaillons autour du cou de la petite:
Tu n'auras plus besoin de ça je te le confisque,il sera mis au feu par moi-même, ainsi je serai sur que tu ne le remette plus.
Il lui arracha le médaillons en brisant la chainette qui le retenait. Elle se souvenait la douleur dans le cou et y porta la mains machinalement. La peine revint envahir ses pensées, la seule chose qui lui était chère, le seul souvenir de sa mère renverser par la charrette du Sieur, avait disparut.
Il ordonna ensuite que la cuisinière lui donne la fessé, jamais il aurait levé la mains sur une dame ou jeune fille, puis ordonna que les deux prochaines nuits soit sur une paillasse inconfortable, devant le poêle de la cuisine afin qu'elle se rende compte de l'honneur qu'elle avait de partager une chambre avec une autre servante et davoir un lit de plume à elle seule.
Elle n'osa plus braver les interdictions après cette journée là. Doucement son pied frôla l'escalier qui menait à la penderie qui contenait l'armoire interdite. On lui avait dit que là se trouvait tout les objets de valeurs et tout les couvertures les plus chaudes, seul l'intendante avait un droit d'accès et lorsque le maitre ou la maitresse demandaient les choses à l'intérieur.
Elle mit la mains sur la poignée gelée et regarda plusieurs fois derrière elle. Elle prit une grande inspiration avant de tournée la poignée et retint son souffle, comme si on pouvait l'entendre...Peut-être le fantôme du sieur ou de la dame pourrait être à l'affut devant cette armoire...
On lui avait dit que les fantôme des arrières grands-parent du sieur était au grenier et ceux de la dame dans la cave à vin. Cela était la raison des grattements le soir et des bruits étranges de la nuit. Il n'en fallut pas moins pour que jamais elle n'y mette les pieds.
Enfin en se moment le sieur ne semblait pas être là ni d'esprit, ni de chaire. La porte grinça un peu comme par désapprobation du geste. Lyrielle (si cela était son nom puisque c'était le nom que la tavernière lui avait donné...) approcha doucement la chandelle devant la penderie. Il y avait des couvertures de laines, des capes et une boite...
Étrangement la boite attira plus son regard que le reste. Le mystère étant toujours plus intrigant que les choses en vue. D'autant plus qu'il était écrit dessus : Pour la petite, à ma mort.
Le sieur ne serait donc pas en colère si elle l'ouvrait, ni le fantôme d'ailleurs puisque fantôme voulait dire mort. Elle y trouva avec stupéfaction sa cape de laine de petite fille... Dessus était écrit : « Valmont », surement le nom du couturier ou encore de la personne à qui appartenait cette cape avant que sa mère lui mettent sur les épaules.
Elle retira la cape pour y voir sa poupée au visage de porcelaine craquée. D'aussi loin qu'elle se souvienne elle l'avait eu. On lui avait enlevé, lorsqu'elle n'était plus en âge de jouer, et que l'autre servante trouvait que cela faisait enfantin à la décoration de la chambre. Son visage c'était craquée dans la bousculade du carrosse qui avait heurté et tuer sa mère.
Enfin, une missive scellé de toute part avec une adresse et un nom inconnue.
Vicomte Von Wittelsbach, Mimizan ou Château de Marsan, Gascogne.
Elle hésita un long moment avant de soulevé la missive, devait-elle la lire? Non, cela n'était pas bien elle devait la rendre à son maitre...celui de l'adresse. Si elle était dans cette boite surement que cela était très important.
Sous toute sorte de vêtements de son jeune âge elle trouva tout au fond, son médaillons. Rapidement elle le prit dans ses mains le cachant par réflexe, elle prit rapidement les couvertures, capes et baluchon. Le monde était petit selon sa vision, elle savait bien qu'il avait d'autre chose à l'extérieur du village de...Comment déjà...Oui Bourge... L'autre village se nommait Berry...Enfin quelque chose comme ça...Alors celui d'après devait être Gascogne ou Mont-Marsan, pas trop difficile de faire cela à pied mais bon...Autant prendre la charrette.
Elle fit ses bagages et remis les choses dans la boite. Tout sauf deux, le médaillons à la chaine brisée, qu'elle garda soigneusement dans sa main toute la nuit et qu'elle mit dans sa poche secrète de femme, (pas trop besoin de détaille ici hein jespère ^^) au matin, ainsi que sa poupée, qui pour une raison étrange, passa la nuit elle aussi à ses côtés. Bien-sur, la souris (vous croyez que je lavais oublier avouer) dans une petite boite d'allumette dans le baluchon en question, mais Lyrielle ne savait pas que c'était sa cachette et c'est une autre histoire.
Demain, elle partira...Oui elle partira, vers ce dernier service demander de son maitre.