Lyrielle trouvait que la lecture de la missive faite devant-elle était interminable. Elle observa le regard de lhomme changer en interrogation, puis en colère de déception, puis comme si elle était une bête de foire
Le sourire du départ était partie au fur et à mesure pour devenir un regard grave.
Son geste fût instantané, à la dernière bêtise on lui avait confisqué son collier de naissance, maintenant personne ne lui ré-enlèverais ou faudrait passer sur son corps. Elle mit alors la mains sur le dit objet en question.
Citation:- Vous n'êtes qu'une petite servante dites-vous ?
Eh bien vous vous êtes trompée. Vous êtes la fille de mon cousin, et donc ma petite cousine.
Vous êtes loin d'être une simple servante... vous êtes une Von Wittelsbach.
Les mots se mêlèrent doucement. SA cousine?Pourquoi les riches gens posaient toujours des questions dont il avait réponse?Pourquoi demander si elle était servante si lui disait le contraire?
Van wiltesboc?
Elle n'ue pas le temps de parler que celui-ci enchaina avec un flot de parole digne delle-même.
Citation:Vous avez perdu tout le début de votre vie à servir un "maitre" et vous n'avez jamais vraiment vécu réellement, vous ne connaissiez pas le monde qui vous entour... il y a tant d'années à rattraper, je ne saurai même pas vous dire par où commencer.
Jamais vécu réellement, diantre mais je suis en vie, il dit quoi lui?Ben je peux pas connaitre le monde qui mentour didiou,je suis dans un nouvelle endroit. On ne peut dans un nouvelle endroit connaitre les gens par vue?
Années à rattraper, oui la maitresse lui avait expliqué le concept des années, concept amusant, elle préférait bien plus dire:`' aujourdhui ceste aujourdhui, demain on verra bien
'' Cependant la maitresse était pas en accord avec cela et lobligeait à dire la date tout les jours et vérifier.
Activité bien plus ennuyant que de lire ses livres de précepte judiciaire ou politique, dans les jours de pluie ou la dame voulait entendre une voie.
Perdue dans ses pensées avec lhabitude de prendre les bribes de conversation pour se sauver des impasses, elle compris son nom était Provence en souvenir dune terre.Quelque truc incompréhensible puis le mot lettre ré-attira son attention.
Citation:[
], et où les brigands ont écrit cette lettre, une demande de rançon.
Il était triste en constatant la vie peinée qu'avait eu la petite.
- Le Vicomte à qui était adressée cette lettre est donc votre père, Louis-Philippe, Vicomte de Fréjus et Baron de Came. Il est actuellement en guerre en Provence. Vous allez avoir certainement beaucoup de chose à vous dire.
Oula, elle regardait lhomme, ne comprenant pas tout du coup.Avait-elle mélanger les noms entre Provence et Provence, elle repassait les paroles dans sa tête
Vicomte, Baron cétait quoi ça des noms de ville encore
OUFF.La guerre, ça oui, elle connaissait cest comme ça que son maitre avait disparut.
Elle ne savait pas trop quoi dire,ni faire elle se mit donc à caresser sa souris sur son épaule.La seule question qui y vint en tête fut :
Je vais pouvoir prendre une pomme à la sortie?
Citation:Il lui sourit, en attendant la réaction de la jeune petite cousine.
Elle se demandait bien ce que cela voulait dire, oui, non
attend une réponse plus clair?Bon les réponses clair habituel était celle-ci.
Comme vous voudrez, messire.Si vous me donné une pomme je prend tout les noms qui vous plaise.Bon en échange d'un lit, même dans le grenier je serais aise de faire votre ménage._________________