Kykyne
Le cur en miette, la blondinette avait perdu sa joie de vivre. Son cur souffrait une fois de plus, mais comme toutes fois, elle semblait avoir de plus en plus mal. Elle sennuyait de lui
Elle avait besoin de lui plus que jamais, mais il était absorbé par son boulot qui exigeait beaucoup de son temps. Un soir, le nez dans ses ouvrages, elle voulu provoquer les choses en lui réclamant une pause. Idée sûrement stupide de sa part, mais elle cherchait à savoir sil serait prêt à la retenir par amour. La réponse quil lui servit eu un effet dévastateur chez la féline. Anéantie, elle ne put retenir le flot de larmes qui se déversait sur ses joues. À vouloir provoquer, parfois la vie nous attend dans le détour. Kyky souhaitait avoir un peu plus dattention de lhomme quelle aimait, mais réclamer davantage eut comme résultat le retrait de tout ce quelle avait déjà.
Sa respiration était saccadée par les pleurs qui la trahissaient, et cest une jeune femme complètement effondrée qui se dirigea vers la chambre. À contre cur, elle réunit ses vêtements sans en prendre soin et les enfouit dans un vulgaire baluchon. Où allait-elle aller ? Chose est sûre, elle ne pouvait rester sous le toit dEra. De tout son corps elle tremblait Elle avait mal partout Pas une seule parcelle de son corps ne subissait le mal quelle avait. Prenant le dernier vêtement quelle possédait, elle éclata en sanglot en réalisant que son départ était bien vrai et non quun simple cauchemar. Dernier regard sur cette pièce qui avait été témoin à bon nombre de reprise dun amour partagé, elle quitta la chambre pour revenir dans la même pièce quEra. Ce dernier était toujours occupé à sa paperasse, laissant la blonde dans un état lamentable.
Ayant une fois de plus, limpression de nuire à son travail, elle seffaça de la maison en franchissant le seuil de porte. Une fois à lextérieur, lair fraiche lui glaçait les poumons. Elle se sentit comme un vieux meuble qui devait être jeter au ménage du printemps Ses manches nen finissaient plus déponger les rivières qui coulaient sur ses joues et dun regard vide, elle savança nonchalamment dans la rue, ses pas se faisaient machinalement sans trop savoir où ils allaient la mener
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Sa respiration était saccadée par les pleurs qui la trahissaient, et cest une jeune femme complètement effondrée qui se dirigea vers la chambre. À contre cur, elle réunit ses vêtements sans en prendre soin et les enfouit dans un vulgaire baluchon. Où allait-elle aller ? Chose est sûre, elle ne pouvait rester sous le toit dEra. De tout son corps elle tremblait Elle avait mal partout Pas une seule parcelle de son corps ne subissait le mal quelle avait. Prenant le dernier vêtement quelle possédait, elle éclata en sanglot en réalisant que son départ était bien vrai et non quun simple cauchemar. Dernier regard sur cette pièce qui avait été témoin à bon nombre de reprise dun amour partagé, elle quitta la chambre pour revenir dans la même pièce quEra. Ce dernier était toujours occupé à sa paperasse, laissant la blonde dans un état lamentable.
Ayant une fois de plus, limpression de nuire à son travail, elle seffaça de la maison en franchissant le seuil de porte. Une fois à lextérieur, lair fraiche lui glaçait les poumons. Elle se sentit comme un vieux meuble qui devait être jeter au ménage du printemps Ses manches nen finissaient plus déponger les rivières qui coulaient sur ses joues et dun regard vide, elle savança nonchalamment dans la rue, ses pas se faisaient machinalement sans trop savoir où ils allaient la mener
Il va de soit que dans la maison, seul Eragon et Kykyne peuvent y être, mais une fois dans la rue, libre à vous de vous joindre si le cur vous en dit !
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