Petitrusse

L'entrée de Paris:
Petitrusse arriva enfin à Paris. La ville était très éclairée, bien plus que la Capitale du Bourbonnais Auvergne, voir même de trop, mais ce nétait pas son soucis.
Cétait seulement la seconde fois quil allait se déplacer dans Paris. La première fois quil état venu, il navait pas eu le temps de visiter, car cétait un aller retour pour prêter allégeance à sa Majesté le Roy. Cela faisait exactement 2 mois. Il décida de prendre une chambre pas loin de lHôtel Gilraen, pour plus de faciliter.
Dans la chambre:
Une baignoire en douelles de bois, à la demande du seigneur Petitrusse fut installée dans la chambre, à côté du lit.
Un marche-pied pour y avoir accès, un grand drap blanc, en lin, pour recouvrir les parois râpeuses de bois, un dais de tissus et des courtines enveloppantes pour conserver la chaleur et profiter des vapeurs des pétales de roses jetées dans l'eau pour combattre l'odeur de sueur, rendaient cette installation très agréable pour celui qui allait en profiter.
Petitrusse s'installa à l'intérieur et profita de ce moment. De temps en temps, un domestique apportait et vidait l'eau chaude, pour réapprovisionner la baignoire, dans le but de conserver une eau de bain chaude.
Après plus d'une heure, Petitrusse sortit du bain et on lui apporta un peignoir de bain et des serviettes, pour enduire sa peau de divers produits.
Enfin, il se dirigea vers sa garde robe pour choisir ses vêtements pour le soir.
Il pris son épée de combat et son épée d'apparat, puis quitta l hôtel.
Dans les rues de Paris:
En sortant de lécurie, on lui proposa de lui offrir une garde pour la soirée, il refusa. Il nétait pas homme a accepter cela. Personne ne devait mettre sa vie en danger, pour la sienne.
Il commença par traverser un marché sur une place, entendit les bouchers criés le prix de leurs morceaux de viande, puis plus loin, des tisserands vanter la solidité et le confort des braies en ventes, puis quelques rues un peu plus calme.
Il arriva à l'entrée de l'Hôtel Gilraen, fit signe aux domestiques de venir a sa rencontre. Il descendit de sa monture, y laissa son épée de combat et prit son épée dapparat quil installa à sa droite.
Il se dirigea vers la porte dentrée de lHôtel et monta les marches. Petitrusse eu un doute. Pourquoi était-il ici ? Il ne le savait même pas. Maintenant, il était impossible de reculer alors il avança.
Bonsoir, je suis Petitrusse de Jaligny, ancien Duc du Bourbonnais Auvergne, et voici mon invitation.
Petitrusse arriva enfin à Paris. La ville était très éclairée, bien plus que la Capitale du Bourbonnais Auvergne, voir même de trop, mais ce nétait pas son soucis.
Cétait seulement la seconde fois quil allait se déplacer dans Paris. La première fois quil état venu, il navait pas eu le temps de visiter, car cétait un aller retour pour prêter allégeance à sa Majesté le Roy. Cela faisait exactement 2 mois. Il décida de prendre une chambre pas loin de lHôtel Gilraen, pour plus de faciliter.
Dans la chambre:
Une baignoire en douelles de bois, à la demande du seigneur Petitrusse fut installée dans la chambre, à côté du lit.
Un marche-pied pour y avoir accès, un grand drap blanc, en lin, pour recouvrir les parois râpeuses de bois, un dais de tissus et des courtines enveloppantes pour conserver la chaleur et profiter des vapeurs des pétales de roses jetées dans l'eau pour combattre l'odeur de sueur, rendaient cette installation très agréable pour celui qui allait en profiter.
Petitrusse s'installa à l'intérieur et profita de ce moment. De temps en temps, un domestique apportait et vidait l'eau chaude, pour réapprovisionner la baignoire, dans le but de conserver une eau de bain chaude.
Après plus d'une heure, Petitrusse sortit du bain et on lui apporta un peignoir de bain et des serviettes, pour enduire sa peau de divers produits.
Enfin, il se dirigea vers sa garde robe pour choisir ses vêtements pour le soir.
Il pris son épée de combat et son épée d'apparat, puis quitta l hôtel.
Dans les rues de Paris:
En sortant de lécurie, on lui proposa de lui offrir une garde pour la soirée, il refusa. Il nétait pas homme a accepter cela. Personne ne devait mettre sa vie en danger, pour la sienne.
Il commença par traverser un marché sur une place, entendit les bouchers criés le prix de leurs morceaux de viande, puis plus loin, des tisserands vanter la solidité et le confort des braies en ventes, puis quelques rues un peu plus calme.
Il arriva à l'entrée de l'Hôtel Gilraen, fit signe aux domestiques de venir a sa rencontre. Il descendit de sa monture, y laissa son épée de combat et prit son épée dapparat quil installa à sa droite.
Il se dirigea vers la porte dentrée de lHôtel et monta les marches. Petitrusse eu un doute. Pourquoi était-il ici ? Il ne le savait même pas. Maintenant, il était impossible de reculer alors il avança.
Bonsoir, je suis Petitrusse de Jaligny, ancien Duc du Bourbonnais Auvergne, et voici mon invitation.