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[RP] Hostel de Gilraen, rue Sainct-Antoyne

Blanche_
Leur hôtesse faisait preuve, une nouvelle fois, de toute la politesse que Blanche lui avait si gracieusement accordé à la lecture de sa lettre ; les manières ne dépareillaient pas, face aux nobles écrits dont la môme avait été receveuse. Force était d'admettre, une nouvelle fois, que les illustres françoys n'étaient pas tous des barbares... Mais la découverte était moindre, après la Bal du Louvre, où l'étiquette française avait étincelé dans toute sa splendeur.
Et à la manière détournée de la Comtesse pour que les deux bretonnes se sentent à leur aise, s'appropriant une part de leurs origines, la gamine répondit par un sourire ; elle n'aurait désormais plus aussi peur de s'exprimer en public, elle qui exécrait les regards hautains envoyés à son encontre, dès lors que son accent gaélique faisait irruption.


Soyez remerciée, Votre Grandeur, pour cette invitation et votre obligeance.


Elle écouta patiemment l'énonciation des titres, et noms des personnes présentes. Impossible de se souvenir de tous, certains visages lui étaient pourtant familiers.
L'arrivée de la jeune Clémence -dont le nom lui avait échappé, jusqu'à ce que la Comtesse dans un élan généreux, éclaire son esprit embué-, ne passa pas inaperçue aux yeux fatigués de l'Altesse Bretonne. Le Baba au rhum rohannais se souvenait bien avoir croisé ladite demoiselle dans les couloirs du Louvre, lors des dernières festivités. Un petit sourire, donc, à l'encontre de celle qui pourrait presque être une connaissance. Hormis le détail -insignifiant, pour la môme désenchantée- qu'elle ne lui avait jamais adressé la parole.

Quelques instants plus tard, agrémentés de badinages insignifiants avec sa protectrice attitrée, Blanche-Anne fut parcourue d'excitation et de joie à l'annonce toute soudaine d'un jeu.
Et si le protocole insufflait une modération dans l'expression de sa fougue, l'enfante éduquée se contenta d'un sourire à sa marraine, tandis que son esprit enjoué s'ébattait d'exclamations joyeuses à n'en plus finir.

Ainsi donc, le fils de la Comtesse serait le premier Roi. Regard intéressé qui converge vers le couronné nobliot, alors que l'innocente Hermine songe déjà à quelque question. L'occasion est trop belle, pour scruter l'esprit d'un inconnu ; et puisque les mœurs légers de la soirée lui permet de se divertir selon son bon plaisir, pourquoi s'en priver ?

Et la gamine, légèrement intriguée, qui lance un regard interrogateur à la vassale de son père.
Songerais tu déjà à poser une question, Ana ?
Nul besoin de chuchoter. Les mots, prononcés dans leur langue maternelle, sont sans doute dénués de sens pour les oreilles indiscrètes qui auraient voulu espionner l'altesse bretonne.
La jeune Elegie, croisée elle aussi au Louvre, prit la parole pour le plus grand plaisir de la midinette blonde, qui aurait été fort marrie de devoir afficher ses piètres performances en français devant tous. Il fallait avouer, pour sa défense, que les règles grammaticales se chevauchaient les unes et les autres, regorgeant d'exceptions exécrables.

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Riches, tenez bon !
Damejustine
Elle avait grinché, grogné, pesté, râlé, le tout intérieurement, pour maintenant sourire. En effet, force était de constater que la leçon de morale que leur donnait la Comtesse était amusante : ainsi, un roi ment et à vous de bien poser vos questions pour déjouer ses affabulations. Le sort en était jeté et le roi avait posé ses affirmations avec toute l'habilité et la maîtrise des mots d'un diplomate, ce qui ne fit qu'agrandir le sourire de la jeune Alesme.
Une question résonna à droite, une autre à gauche. Ainsi, deux des trois thèmes avaient déjà été abordés ... restait encore à en venir à une histoire florale. Un très léger mouvement de Nennya rappela son attention sur son - encore jeune - Chaperon. Pourquoi cette dernière affichait-elle cet air victorieux ? Il n'y avait aucune gloire à forcer une innocente jeune fille à mentir en plublic ! Non mais ! La duchesse avait du culot quand même ... et au fond, c'était peut-être gâce à ce culot commun que les deux jeunes femmes s'entendaient bien.
Avant que le jeune Laurens n'ait pu répondre à une question, Justine s'en prit également à lui.


Est-ce que cette leçon que les fleurs vous ont donnée est de vous rappeler que certaines ont des épines ?

La jeune fille afficha un léger sourire en coin, ayant choisi comme arme la même que celle qu'elle supposait être celle de son ennemi : les sens cachés.
Un petit regard vers le Chaperon signifiant *est-ce assez de paroles pour vous Mon Chaperon ?*, puis la baronne redirigea son regard vers le fils de la comtesse. Celui-ci était bien jeune mais elle ne put s'empêcher de se faire une fois de plus la réflexion qu'il semblait évoluer dans la vie avec l'aisance d'un adulte ... ou d'un poisson dans l'eau. Comme vous préférez.
Décidée à participer à ce jeu voire à trouver le mensogne, Justine recita plusieurs fois les différentes solutions dans son fort intérieur : à première vue, toutes étaient bien plausibles mais il faudrait en dénicher, s'il y en avait un, le sens caché et écouter attentivement les questions des autres. Tout bien réfléchi, la jeune fille se rendit soudainement compte qu'elle avait jeté son atout sans trop penser aux conséquences : il n'y avait qu'une seule question par personne ... La d'Alesme se mordit la lèvre, seule alternative au tapage de front qui, en public, n'était pas vivement conseillé. De plus, pour cela, il aurait fallu libérer l'épaule de son page qu'elle tenait toujours ...
Un coup d'oeil vers Atolchamb qui semblait bien trop calme et attentif à la table. Suspectant quelque faim innocente, la demoiselle le relâcha, un sourire aux lèvres. Si seulement elle avait su ...

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Arielle_de_siorac
Le petit elfe s'était fendu en une révérence parfaite, faisant manifestement honneur aux enseignements attentifs de sa mère. Arielle échangea un regard amusé avec Beeky avant de sourire à nouveau au garçon.

Le plaisir est pour moi, Messire Guillaume Amaurie d'Appérault. Aimeriez-vous quelque douceur pour vous sustenter? Des dragées, peut-être, ou un sucre d'orge?

Au centre de la pièce, le jeu semblait commencer à intéresser les convives. Deux ou trois questions furent lancées, qu'Arielle n'entendit que d'une oreille, occupée qu'elle était à donner des consignes à son Intendant concernant des friandises à ajouter au menu des délicatesses offertes.

Je vous répète les affirmations de mon fils, si vous le voulez bien, répondit-elle ensuite à Catalina afin de lui permettre de jouer également. Alors j'espère ne pas me tromper... "En premier, j’ai déjà été acrobate malgré moi. Ensuite, j'ai découvert de manière surprenante que j'avais un certain talent. Enfin, des fleurs m’ont déjà donné une leçon."

N'hésitez pas à poser votre question même si Laurens n'a pas encore répondu aux autres; il vous répondra en même temps.


D'ailleurs, Laurens semblait embêté par la façon de répondre aux questions. Jetant un oeil dans sa direction, la comtesse put voir ce qui lui parut comme un bel effort de réflexion. Il se montrait prudent, à n'en pas douter!

Un mouvement tout près d'Arielle attira son attention. Se retournant, elle vit que la princesse de Montmorency, annoncée plus tôt, était enfin arrivée, accompagnée de quelques jouvenceaux vêtus avec recherche.


Bonsoir, chère Altesse! chuchota-t-elle en en souriant à Clémence de Chéroy, qu'elle n'avait plus vue depuis fort longtemps. À l'époque, la grande dame était encore une adolescente. Mes Damoiselles, Messire, soyez les bienvenus en l'Hostel de Gilraen. C'est un honneur de vous recevoir ce soir.

Avez-vous fait bonne route?


Désignant la petite foule encerclant Laurens, elle précisa: Nous venons de commencer un jeu qui consiste à deviner quel est le mensonge parmi trois affirmations que mon fils, là-bas, a énoncées. Si l'un d'entre vous souhaite prendre part au jeu, sachez que vous avez droit à une question chacun.
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Alix.de.vaisneau
Yeux écarquillés.
La jeune Vaisneau laissa ses émeraudes balayer l’ensemble de ce lieu pour l’admirer.. tout en discrétion néanmoins pour ne point passer pour une roturière qui sort de sa campagne, ce n’était point son cas après tout , elle était la fille de feu Romuald de Vaisneau et d’Adela.. Sa sortie du couvent ne datait que de quelques mois , cependant Alix avait participé à bon nombre de soirée où elle eut été présentée à certaines personnes qu’elle se devait de connaistre.
Jetant un coup d’œil en direction de son amie Aurore , la Fronsac esquissa un fin sourire qui vint illuminer son minois, il était hors de question qu’elle gâche cette soirée en arborant une mine renfrognée , ou encore froide. Ses pas suivaient ceux de la princesse , reportant , alors, son attention vers l’entrée. Main tendue , Alix attrapa la main de la petite princesse, elle appréciait beaucoup cet enfant , de par son caractère et son âge , elle crut reconnaître en elle un brin de sa tornade , si la chipie princière devenait comme le jeune Vaisneau Clémence aurait du soucis à se faire de temps à autre.

Arrêt.
La maîtresse de maison se trouvait devant eux. La jeune vicomtesse inclina légèrement la tête ainsi que son buste en une révérence gracieuse. Diantre qu’il était difficile parfois que de faire des courbettes lorsque le corset comprimait de trop la courbe naissante de sa poitrine. Par toutes les saintes du royaume , elle aurait aimé à ce moment mesme obtenir un brin d’air pour reprendre un peu de couleur.


Mes Damoiselles, Messire, soyez les bienvenus en l'Hostel de Gilraen. C'est un honneur de vous recevoir ce soir.

La mini vicomtesse se redressa doucement, ne voulant point émettre de mouvement brusque. Qu’il n’était point simple d’être fille de. lorsqu’on venait rendre visite à de grands personnages de ce royaume.

Vostre Grâce
, faible murmure qui coula de ses lèvres .. Intimidée , Alix sentit ses joues diaphanes se colorer en une fine couche rosée dont elle avait habitude d’arborer.

Avez-vous fait bonne route?

Laissant Clémence répondre à la Comtesse , Alix écouta attentivement cet échange de paroles , cette discussion alors que ses émeraudes regardaient l'intérieur de cette salle où se trouvait les convives. Elle crut reconnaître quelques visages qu’elle eut vu au bal du Louvre.
Ses iris se posèrent dès lors sur Catalina de Volpilhat , elle se souvenait avoir converser quelque peu avec cette damoiselle voilà de ça quelques mois , lui adressant un sourire elle joignit à celui-ci une légère inclinaison de tête afin de la saluer.



Nous venons de commencer un jeu qui consiste à deviner quel est le mensonge parmi trois affirmations que mon fils, là-bas, a énoncées. Si l'un d'entre vous souhaite prendre part au jeu, sachez que vous avez droit à une question chacun.


Son ouïe fine la rappela.
La comtesse de Nÿmegen s’adressa à cette petite troupe dont l’adolescente faisait partie. Elle suivit le geste de l’hôtesse de la soirée posant dès lors ses iris sur l’homme qui se trouvait au centre de la pièce. Tous les regards étaient posés sur lui , chose qui ne devait point être « confortable » surtout pour une damoiselle comme la Fronsac qui aimait à être discrète. Atout ? Défaut ? Bonne question ..à méditer.

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Petitrusse
Et non, je ne connais pas, enfin je ne connaissais pas Dame Duchessesherry de Marigny.

Mes hommages ma Dame!! Je suis très heureux de faire votre connaissance. Nous serons peut être amené dans l'avenir à travailler ensemble pour le bien de nos régions.

La Diplomatie du Bourbonnais Auvergne s'entend endehors des frontières du Royaume de France.


Petitrusse regarde Elegie et lui fait un clin d'oeil.
Atolchamb
Ayant prit un peu de liberté ,le jeune page s'en alla faire le tour de la salle a la rencontre de personnes jusqu'alors inconnus;
certains était habillé d'ornements et de bijou jusque la encore jamais vu ,des pierres de toutes les couleurs habillaient les nobles dames ,
les hommes quand a eux arboraient de magnifiques armes qu'il portaient fièrement,il y avait des épée ,des dagues,mais ce qui impressionna le plus le jeune page fut surtout les décors impressionnant d'armoiries de tout le royaume ,
il se dirigea alors a un autre coté de la pièce et se retrouva face a un jeune messire qu'il avait rencontrer un plus tôt auparavant,il s'était alors adressé a lui mais ne lui avait point répondu paralysé par la peur de la première sortie en public au bras de sa protectrice.


Le bonjour messire (laurens) ,je viens me faire pardonner de l'outrance que j'ai eu de ne pas répondre a voste politesse;je m'en excuse fortement.
J'ai entendu dire que vous aviez reçu une leçon par les fleurs!!!cela m'est étonnant !peut être est cela vostre mensonge messire, a moins que ….....

le jeune homme interrompu sa phrase et prit un air pensif en plaçant son index sur ses lèvres puis reprit la parole mais en lui chuchotant doucement dans l'oreille:

a moins que vous ayez fait la même bêtise que moi de vouloir offrir des fleurs de chardons

le page souria alors a messire laurens après qu'il eu se rappeler de son bon souvenir douloureux mais amusant en finalité,
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Lanfeust86
Lanfeust se demandait si Semias le prenait pour un vieux crouton...Certes il avait été deux fois duc et ça vous bouffer des années de votre vie en quelques mois ce genre de fonction mais tout de même...Il continua à sourire avant de lui répondre.

Dites moi, jeune Balsac, je veux bien croire que vous êtes fort jeune et à marier, mais malgré mon âge un tout petit plus avancé que vous, je suis moi même célibataire et encore jeune.

Il se mit à rire légèrement avant de continuer.

Enfin bon je suis quand même surpris d'être ici, ne connaissant que peu notre hôtesse. Et comment connaissait elle mon célibat ? Mystère...

Le jeu commença et Lanfeust écouta les trois phrases donnaient par le messire. Hum pas facile tout ça, tout pouvait être bon et il attendit donc un peu que des questions soient posés pour se faire son avis. D'ailleurs Petitrusse en profita pour s'approcher.

Bonsoir votre ancienne Grâce. Alors la pause fait du bien ?

D'autres jeunes demoiselles firent également leur apparition dans la salle et Lanfeust se demanda si la Comtesse n'avait pas quelques talents de marieuse à son actif. Il écouta également les paroles d'Elegie concernant la Chancelière de Provence...Une Marigny ? Voilà quelque chose d'étonnant. Il sourit également aux propos d'Elégie les concernant : la fleur du BA. On lui avait pas fait celle là encore.

Et bien Dame Sherry, si vous n'y voyez pas d'inconvénient ce sera un Lanfeust pour moi également plutôt qu'un votre excellence.
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Nennya
Justine était une chipie assurément, Nennya fut interloquée en entendant sa question, c’était tout à fait de son goût assurément, elle avait presque envie de lui dire « tope la »ma Justine, c’est toi la meilleure. Elle lui murmura :

-Je n’en demandais pas autant chère amie, toutefois la question est fort subtilement posée


Elle lui fit un clin d’œil, juste au moment où le page de son amie, ne semblait pas non plus avoir sa langue dans sa poche, décidément, il formait un bon trio, trois francs parlés. La duchesse de Mortain attendait patiemment les diverses réponses de Messire Laurens, et pour patienter, elle demanda avec gourmandise à une meschine qui passait avec un plateau :


-Puis-je prendre une de ces appétissantes petites sucreries à la rose ?

La damoiselle lui présenta le plateau, et Nennya se servit, dommage, il n’y avait pas de calva, toutefois, elle n’allait pas réclamer du calva, elle était à Paris, pas au Mont ou à Mortain.

Elle dégusta sa gourmandise, et observa les damoiseaux rodés auprès des damoiselles, se souvenant, bien malgré elle, qu’elle avait, elle aussi, était courtisée il y a quelques années de cela. Justine ne semblait pas aimer ce petite manège mais la Duchesse trouvait cela tellement drôle et curieux à regarder.

Elle disait à son amie « quand tu seras marié depuis un certain temps comme moi, tu verras que le compliment flatteur d’un homme ne fait jamais de mal, car tu as bien du mal à t’en souvenir parfois ». Quoique, elle ne disait pas vrai, il ne cessait de la complimenter son chat…

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Blanche_
La blonde bretonne, intimidée par les petits groupes qui s'étaient formés, s'approcha de celui qui lui paraissait le plus abordable : celui d'Elegie, et de nombreux autres qu'elle ne connaissait point encore. Mais ce genre de soirée n'est il pas fait, justement, pour élargir son carnet mondain, et faire de nombreuses rencontres ?
Discrète révérence, elle salue ceux qui sont déjà là. Adressant à la Penthièvre un sourire tout particulier, pour l'avoir déjà croisée au Louvre. Les bals si cérémonieux créent des liens, non ? L'occasion était trop parfaite pour la laisser filer ; et pour la môme apeurée, il s'agissait ici de savoir, si oui ou non, elle était restée à l'esprit de la françoyse.
De ses yeux fins, elle nota immédiatement la ressemblance entre les deux Balzac. Ne sachant pas, cependant, qu'ils étaient apparentés.
Elle se décida à jouer, risquant presque de se faire malmener. Mais elle se gaussait des règles, et leur préférait la douceur des jeux. Me suivras tu, Elégie ?


Noz vat, damoiselle. Blanche-Anne de Walsh-Serrant. Nous nous sommes croisées au Louvre, il y a peu.

Large sourire, d'une sincérité toute candide. Elle attend, avec espérance, que son homologue français la présente aux autres membres du cercle.
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Riches, tenez bon !
Persevael.louis
Excusez-moi mon absence, mais des événements ont fait que je n'ai pu faire autrement. Toutes mes excuses donc et je reprends où je m'étais arrêté


Enchantée, Persevael. Comme votre mère vient de le dire, je me prénomme Ellesya.

Avait-elle dit... La phrase de la jeune Duchesse résonnait encore dans les oreilles du blondinet, il faut dire que c'était un très beau prénom que celui d'Ellesya. Il en était tout bouleversé et n'arrivait pas à reprendre le fil de la conversation. Il était obnubilé par la si belle jouvencelle qu'il avait en face de lui. Elle avait une voix magnifique et très douce qui lui rappelait le ton bienveillant de sa mère. Cette femme était décidément une "créature" divine qui avait transpercé, sans le savoir, le coeur de Persevael d'un coup de flèche.

Puis, un silence s'installa mais qu'importe, puisque il avait en face de lui une femme d'une beauté rarissime. Il était cependant gêné car il avait crainte de l'intimider en la fixant comme il le faisait. Elle brisa le silence.


C'est une gentille idée que celle qu'a eut votre mère.
Je rencontre plus de clercs que de potentiels amis de ma génération.

Que faites vous de beau en Flandres ?


Cette fois-ci, il prit son courage à deux mains et essaya de ne point bégayer pour ne pas devenir à nouveau ridicule, mais malgré ses efforts il ne pu s'empêcher de rougir.

Je... je souhaite faire de la politique pour retracer le parcours de mon père... car... je pense que ce peut-être une bonne chose... Enfin, si je n'ai pas encore commencé mais je pense que...


Et bien voilà, il était à nouveau embrouillé dans ses explications. Il n'avait pas réussi à garder son calme pour la seconde fois et se demandait désormais ce qu'allait en penser la Dame. Il regarda le sol tentant à tout prix de sortir de cet état de honte qui avait atteint une grandeur effarante. Il avait beau essayer, il n'y arrivait pas.

Mais grâce au Très-Haut, voici que deux invités vinrent à la rencontre d'Ellesya. Le cadet des Gilraen paraissait soulagé et il eût donc le temps de se remettre en question, se redonner une petite dose de courage et releva enfin son regard sur les deux convives. Lorsque la Duchesse le présenta aux deux nouveaux arrivants, il se contenta de sourire et de s'incliner légèrement en guise de respect mais ses yeux étaient toujours rivés sur la belle brune.
Elegie2
Noz vat, damoiselle. Blanche-Anne de Walsh-Serrant. Nous nous sommes croisées au Louvre, il y a peu.


La blanche hermine s'approcha de leur groupe un sourire en sa direction, Elégie offre un sourire étonné et ravi en réponse à cette jeune personne qui semble être à peu près de son âge et qu'elle a croisé au Louvre peu de temps auparavant. Prenant sa main au bout de la sienne, elle l'amène au milieu du léger cercle que les auvergnats doublés de la provençale forment.

Cousine de Provence, Monsieur mon frère, Messires Ducs ou Comtes bourbonnais ou auvergnats ... oups je ne me souviens plus des titres .. voici que les doux embruns parisiens nous amène fraicheur de Bretagne si je me souviens bien.

Dame, Messires, je vous présente Blanche -Anne de Walsh-Serrant.

Noz Vat damoiselle, soyez la bienvenue parmi nous ! je vous présente hum .. je me trompe de titre à chaque fois .. ma cousine sans doute à ce que je crois, Duchessesherry de Marigny, à sa droite, celui qui a le bonheur d'être mon frère Semias de Penthievre Balsac, qui ne connait rien à la bretagne mais rêve d'apprendre, et les tours de garde sont l'ex Duc du Ba Messire Lanfeust de Troye et l'ex Duc du Ba Messire Petitrusse. J'ai malheureusement pour travers d'oublier la moitié des titres de ceux que j'ai connus Ducs ou Comtes et m'emmêle souvent les lèvres en titres non appropriés..

Noz vat veut dire bonsoir en breton !


lance t elle à la cantonade.. et affichant un plus large sourire, la jeune Balsac offre à la blanche hermine un oeil rassurant
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Lanfeust86
Lanfeust vit arriver une jeune demoiselle qui s'approchait du groupe Provence-BA et il semblait qu'elle connaissait déjà Elegie. Ecoutant discrètement il reconnut un accent breton, voilà quelque chose d'intéressant car il avait très peu rencontré de bretons durant sa vie et même durant ses mandats de Duc du Bourbonnais Auvergne.

Elegie présenta alors la demoiselle que Lanfeust trouva très charmante, le Duc effleura la main de la demoiselle avant de rectifier sa présentation écorchée par la Balsac.


Noz Vat Damoiselle Blanche de Walsh_Serrant, je suis enchanté de vous rencontrer. Lanfeust de Troy, Duc de Souvigny et en effet ancien Duc du Bourbonnais Auvergne. C'est un plaisir de rencontrer une jeune demoiselle bretonne.

Puis tout bas à Elegie avec un sourire en coin.

Je vous livrerez un nobiliaire à la chancellerie.
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Blanche_
Et la main mêlée à celle de la Balzac, chassant immédiatement angoisse et intimidation, la môme fut soudain emplie d'une assurance toute nouvelle ; elle espérait, même, pouvoir se faire une véritable amie de cette noble française, qu'elle ne connaissait pourtant pas depuis longtemps.
Se tournant vers son chaperon, la dame au noble coeur avec laquelle elle partageait tout, Blanche-Anne l'invita à prendre part à la discussion, et à se joindre à ceux qui l'avaient si gentiment accueillie.


Je vous présente Anastriana le Dü, Dame de Coetlogon.
Plaisir partagé, Votre Grâce.


Petit récapitulatif mental des personnes présentes : 'tendez voir.... Y'a son frère, le duc, Petitrusse et la Marigny. Pas mal de monde, donc une céphalée persistante pour la blondinette, si elle s'entêtait à vouloir ingurgiter toute la masse d'informations... Remake de son enfance, lorsque les après midi durant, l'Hermine déconfite avalait moult lignes de grec. L'apprentissage, cette fois-ci, était beaucoup moins ennuyeux. Elle y aurait même prit plaisir certain, si l'angoisse de se trahir par son accent gaélique ne la malmenait pas si souvent.


Ainsi donc, vous avez tous deux été duc du BA ?
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Riches, tenez bon !
Semias
Le fils Balsac n'avait pas remarqué l'approche de la jeune bretonne et tourna la tête, quelque peu surpris par l'accent, lorsque celle-ci se présenta à sa soeur. Il n'était pas rare de voir des Bretons à Paris, mais c'était toujours surprenant, d'autant plus lorsqu'on venait d'Auvergne où ladite population était assez marginale. Il salua silencieusement la demoiselle d'un hochement de tête relativement prononcé, laissant apparaître sur ce visage habituellement stoïque, un sourire au coin des lèvres.

"Je vous présente Anastriana le Dü, Dame de Coetlogon."

Il tourna alors la tête vers la seconde dame, qui sans nul doute servait de chaperon à la première, se laissa prendre au même jeu de la tête en guise de salut, et laissa Lanfeust se présenter. De toute évidence, la Bretonne avait ouvert la discussion avec les deux Ducs, il aurait donc tout le loisir de bavarder avec les deux nouvelles têtes un peu plus tard dans la soirée. Du moins tâcherait-il de ne pas y manquer, voulant peut-être combler son "rêve d'apprendre" comme l'avait souligné sa jumelle auparavant. Pour l'heure, il étudiait discrètement les lignes de la jeune Bretonne, son attitude, ses interventions. On ne pourrait pas lui reprocher de ne s'intéresser à rien, pour le coup.
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Killijo_de_denere
Killijo regardait les jeunes dames en âge de se marier, jaugeant les tailles des mamelles, le tour des hanches, pour voir si elles seront bonnes reproductrices, et le maintien général pour voir si elles sauront bien se tenir en société. Il les observait attentivement, prenant des notes intellectuellement. Il aurait bien emprunté une plume et un parchemin pour être sûr de ne rien oublier, mais il se dit que cela ferait désordre.

La cousine Arielle venait de répéter les affirmations. Il y réfléchit longuement, ne connaissant pas le jeune homme. Il se répéta les dires
"En premier, j’ai déjà été acrobate malgré moi. Ensuite, j'ai découvert de manière surprenante que j'avais un certain talent. Enfin, des fleurs m’ont déjà donné une leçon."
Il se dit avec un amusement certain qu'il avait certainement eu une vie agitée, notamment avec les dames. Il se demanda s'il s'agissait de son talent. Il leva la main et avança d'un pas


Je crois qu'il n'a pas de talent. Enfin je veux dire que cette affirmation est fausse, sans pour autant dire qu'il n'a aucun talent, je ne me permettrais pas de parler ainsi, surtout chez ma cousine, mais il faut dire qu'il y a une chose fausse dans ce qu'il a dit, et donc, je pense qu'il ne s'est pas découvert un certain talent, de manière surprenante ou à l'aide d'un percepteur. Enfin euh, vous comprenez ce que je veux dire, ou bien je dois répéter ?
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