Sybille_von_frayner
Sybille, inquiète, vit réapparaitre la Comtesse bien plus vite qu'elle ne l'aurait cru. Elle venait à peine d'envoyer une domestique quérir un médecin que la noble dame semblait déjà se sentir mieux. Toutefois, son regard las et son tein pâle dénotaient encore une grande faiblesse.
La jeune fille triturait entre ses doigts la fameuse missive adressée par le fils d'Arielle. Aussitôt, elle se leva pour accueillir la Comtesse et se proposa de l'aider à prendre place dans l'un des fauteuils du salon.
- Vous devriez vous reposer Ma Dame ! Vous êtes si pâle ! Un Médecin devrait arriver d'un instant à l'autre... Ce n'est pas raisonnable...
Puis elle se ressaisit. Qui était-elle pour lui dire ce qu'elle avait à faire ? Elle se ravisa et lui tendit la fameuse lettre.
- Elle vient de votre fils, Mathieu Deldor.
Sybille lui sourit, bienveillante. Elle espérait ainsi lui offrir un peu de réconfort. La Comtesse semblait tellement inquiète du contenu de cette missive ! Toutefois, son visage s'illumina à la lecture du document et Sybille comprit aussitôt qu'il s'agissait d'une bonne nouvelle.
C'est alors que Zya, de retour, narra ce qu'elle avait pu voir sur les lieux de l'accident.
- Un mort ? Le choc a donc du être terriblement violent !
La damoiselle semblait toujours souffrir de maux de tête. Et d'après ce qu'elle disait, une autre personne allait encore rejoindre les lieux. Sybille pensa à Arielle, à sa grossesse et à toute cette agitation. Décidemment, les circonstances ne jouaient pas en sa faveur.
C'est alors qu'on frappa à la porte. Un domestique vint prévenir de l'absence de Frédéric-Guillaume. On demanda à Sybille si elle souhaitait l'accompagner. Celle-ci sans réfléchir répondit :
- Non, dites lui qu'il peut y aller. Je vais rester auprès de Madame la Comtesse. Nous aurons d'autres occasions. J'en suis certaine.
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La jeune fille triturait entre ses doigts la fameuse missive adressée par le fils d'Arielle. Aussitôt, elle se leva pour accueillir la Comtesse et se proposa de l'aider à prendre place dans l'un des fauteuils du salon.
- Vous devriez vous reposer Ma Dame ! Vous êtes si pâle ! Un Médecin devrait arriver d'un instant à l'autre... Ce n'est pas raisonnable...
Puis elle se ressaisit. Qui était-elle pour lui dire ce qu'elle avait à faire ? Elle se ravisa et lui tendit la fameuse lettre.
- Elle vient de votre fils, Mathieu Deldor.
Sybille lui sourit, bienveillante. Elle espérait ainsi lui offrir un peu de réconfort. La Comtesse semblait tellement inquiète du contenu de cette missive ! Toutefois, son visage s'illumina à la lecture du document et Sybille comprit aussitôt qu'il s'agissait d'une bonne nouvelle.
C'est alors que Zya, de retour, narra ce qu'elle avait pu voir sur les lieux de l'accident.
- Un mort ? Le choc a donc du être terriblement violent !
La damoiselle semblait toujours souffrir de maux de tête. Et d'après ce qu'elle disait, une autre personne allait encore rejoindre les lieux. Sybille pensa à Arielle, à sa grossesse et à toute cette agitation. Décidemment, les circonstances ne jouaient pas en sa faveur.
C'est alors qu'on frappa à la porte. Un domestique vint prévenir de l'absence de Frédéric-Guillaume. On demanda à Sybille si elle souhaitait l'accompagner. Celle-ci sans réfléchir répondit :
- Non, dites lui qu'il peut y aller. Je vais rester auprès de Madame la Comtesse. Nous aurons d'autres occasions. J'en suis certaine.
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