[RP]La chasse au Trésor

l\'abbé tarbais, incarné par Aurelien_de_dhoye

L'abbé avait les reins qui commençaient à lui jouer des tours , il se baissa un peu en avant ce qui donnait encore plus cette air faiblarde . En face de lui , Aurélien restait fier et lui répondit quand à sa présence à l'abbaye.

Hum ! vous chercher un homme qui détiendrais un "secret" il appuya bien sur le dernier mot , bien qu'il n'eut aucune idée de ce que parlais le jeune homme.

Euh... non ce n'est point moi qui détiens vos réponses... je ne suis sans doute pas assez érudit pour cela , mais j'ose espérer que le Père Cromwell saura vous donner réponse.

Il se tourna et regarda vers l'Adour , derrière l'abbaye se trouvait un petit parc ou passait l'ancêtre du clan ses journées à méditer sur ces idées.

Il se trouve derrière la maison... surement à étudier sur la théologie.

il pointa du doigt un chemin qui menait au parc pour que le Dhoye s'y rend afin de rencontrer celui qui pourrait le guider dans sa quête.

Aurelien_de_dhoye

L'abbé répondit négativement à l'interrogation de l'angevin mais il lui nomma l'un de ses plus valeureux collaborateur qui pourrait éventuellement l'aider dans sa tache . Il était fort aise d'avoir l'espoir de trouver ce trésor maintenant , si cet abbé existe toujours , le trésor devrait aussi l'être.

Je vous remercie beaucoup mon père .

Il suivi le sentier que avait indiqué le vieille homme , il longa la chapelle à , ses cotés se trouvaient une rangée de saule sans doute aussi vieux que les résidant du lieu , le froid et le vent passait entre les branches , le sifflement strident était régulier . Il arriva enfin à quelque mètre du Parc , ou se trouvait une abris avec chaise et table , entouré d'une parcelle d'herbe bien mieux entretenu que l'avant de la bâtisse , le lieu était exceptionnel.

Il passa une petite barrière et vit cet homme qui était sensé lui apprendre le chemin à mener pour trouver le trésor . Cromwell du nom donné par l'autre abbé , était la assis sur la chaise entrain de contempler l'Adour qui coulait. Rien ne semblait vouloir déranger cette scène , mais Aurélien arriva au pied de l'abri et salua l'ancêtre.

Bonjour sir Cromwell !
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--Cromwell.

Il était assis la , en plein milieu de ce jardin , l'hiver présent en ce lieu , comme le soleil avec le jour , la neige entourais l'abri dans lequel Cromwell vivait la contemplation de l'eau de la rivière défilant le long de la citée . Il n'avait plus grande force à la vue de son visage , des rides épaisses montrait les années qui avaient passé , il n'était plus que l'ombre d'un homme. Le cheveux gris , les yeux vert , les mains posé en croix , sa cape de moine qui le réchauffait , il restait la . Des heures et des heures à attendre la destinée ; celle-ci allait arriver.

Son regard plongeait vers l'Adour , le calme , la volupté , le paysage était parfait quand un bruit vint détruire cette nature parfaite , Aurélien venait d'arriver. Le vieillard , ne bougea point , pensant que c'était l'autre abbé qui venait faire un tour , mais il prit vite conscience que ce n'était pas lui lorsque l'angevin l'interpella alors arriver sous l'abri.

Il entendit son nom résonner dans sa tête , voilà fort longtemps que plus personne n'était venu le voir , voilà fort longtemps qu'il attendait la venu de celui qui devait être l'élu. Il tourna lentement sa tête vers le Dhoye , avec un visage sans grande expression , ni joie , ni tristesse ...

Oui ! .... C'est moi .

Son regard maintenant bien détourné de la rivière scrutait les traits du jeune homme , en rien semblable à ceux de celui qui lui avait remis le secret , se dit-il , mais ceci n'était sans doute pas l'essentiel. Il se leva alors aussi vite que le permirent ses forces du haut de ses multiples décennies en terre du Navarre.

Que veut-tu jeune homme ? Demanda t-il d'une voie tremblotante manquant fermement d'énergie . d'une main il se tenait à sa chaise , et canne dans l'autre , mais il se tenait haut et fier face à Aurélien.

Aurelien_de_dhoye

Le vieille homme à ses cotés prit quelque temps pour réagir mais enfin il tourna sa tête vers Aurélien qui était heureux que celui-ci n'ait pas rendu l'âme avec ce froid. Il répondit affirmativement à l'appelle de son nom , chose qui prouvait qu'il n'était pas séniles , encore une bonne nouvelle pour le Dhoye.

Le vieillard semblait même avoir encore assez de force pour se lever , l'angevin voulu l'aider , mais se dit que cela serait déshonneur pour cet homme d'avoir besoin d'aide pour chose aussi aisé .Une fois debout accroché à la chaise , il demande la raison de la présence de Aurélien.

Il était quelque peu impressionné par la force mental de cet abbé , et cherchant les réponses , les mot prirent un certain temps avant de sortir de sa bouche.

Euh.... !.... ! Jeuuh me nommeux ...euh...Aurélien de Dhoye !

il hésita un instant à révéler la vérité vrai sur ses objectifs , mais ils étaient clair que nul autre homme sur terre ne pouvait mieux prétendre à la description donné que ce vieux clerc. Et c'est ainsi qu'il laissa échapper son secret.

Je cherche le Trésor de l'"Ancien" , il accentua bien le dernier mot afin d'espérer faire comprendre à son interlocuteur l'idée de ce qu'il venait de révéler .
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--Cromwell.

Il observa le jeune homme en face de lui qui semblait avoir quelque soucis pour s'exprimer , ce qui donna presque un sentiment de compassion chez le vieux , mais ce fut surtout un sourire non masqué qui parcouru son visage face à cette innocence .

Le Dhoye continua de compter les raisons de sa présence et Cromwell eu l'estomac qui se serra à l'instant ou en face de lui les mots "Trésor de l'Ancien" quittèrent la bouche de l'angevin. Il ne répondit pas de suite essayant de garder sa stabilité et l'esprit tout mélangé d'un coup il tenta de répondre à celui qui venait chercher les réponses.

Hem ! Eh bien... Voilà des années que j'attendais la venu de....de...comment dire ? ...de l'élu ! Il s'interrompit , scrutant et observant le physique du gaillard .Tu ne ressemble que trop peu à ton aïeul ... Mais bon ! Si tu es venu jusqu'à moi pour le trésor , tu doit être sans aucun doute un descendant digne !

Il se détourna de Aurélien et lui fit signe de le suivre . Évidemment , l'autre suivi de suite le vieux dans sa petite ballade le long de l'Adour.C'est alors qu'il commença à dire les phrases qu'il voulait offrir depuis des lustres.

Voilà déjà des Lunes et des Lunes que un vieux noble était venu me voir dans cette battisse , il désigna la chapelle de l'autre coté de l'Adour . Il m'avait fait serment de garder un secret...le Secret que je vais te révéler maintenant.

Le pas lent , appuyé sur sa canne il avançait jusqu'à ses dernière paroles ou il se tint droit devant le jeune homme et lui demanda d'une voie presque effrayante .

Veut-tu connaitre la vérité et trouver ce Trésor ? Tu devra affronter les pires horreurs existante ,de tels monstruosité que vous n'en avez jamais vue dans vos cauchemar ... et des énigmes si avancé pour le commun des mortels que seuls les plus valeureux chevalier pourrait en espérer frôler du doigt la réponse. Et bien sur...pas de princesse au bout...juste un trésor...d'une valeur que nul ne connait...Es-tu prêt à vouloir ceci ?

L'atmosphère était devenu tendu , les nuages du ciel semblait se voiler encore plus que le matin , la réponse était attendu ...

Aurelien_de_dhoye

Le vieille homme emmena Aurélien dans une sorte de ballade au bord de l'Adour.Il se remémorait des instants vécu voilà des années plus tôt puis observa le jeune homme qui se sentait gêné lorsque Cromwell le dévisageait pour trouver ressemblance avec l'homme qui avait jadis mis le trésor en cette contrée.

Il commençait à raconter l'histoire et le résumé de la scène passé et la rencontre avec l'ancêtre qui lui avait dicté quelque consigne. Enfin il arriva au point sensible , l'abbé énuméra tout les danger que aurait à rencontre le Dhoye . Bien qu'un peu effrayé par les monstruosités qu'il pouvait rencontrer et par les énigmes introuvable , pour lui tout était clair , il devait le faire pour sa famille. Il n'avait pas étudié tant d'année à Carentoir pour reculer devant un tel défi , et lorsque le vieux ridé lui demanda si il était toujours pret , il répondit séchement:

Oui ! Je ne suis ici que pour cela....et j'accomplirais ma tache et trouverais le trésor.

Il regardait l'abbé dans les yeux et il semblait y déceler un semblant de...de...il ne saurait le définir , un sourire étant apparu chez Cromwell qui semblait jouir ...

désolé petite absence IG..le rp va avancer ce Week-end et les aventure vont continuer.

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--Cromwell.

Cromwell écouta attentivement la réponse de l'angevin . A l'annonce de la décision , un franc sourire traversa ses rides , mais tout autant ses yeux pétillaient de voir le gamin quelque peu affolé par l'accumulation du dit danger.Au plus fort de lui même il riait , avoir réussi à faire trembler de crainte un si virulent jeune homme était pour lui chose amusante.

Eh bien ! Que de courage dans vos paroles mon enfant .

Il le regarda dans les yeux , posa sa main sur son épaule et continua avec sourire.

Vois-tu ? aucune de mes paroles n'étaient réel...enfin peut-être une toute petite partie ... Il desserra l'étreinte sur l'épaule et d'une voie légèrement plus dur : C'était pour mettre ta vaillance et ton courage devant l'honneur ! Il semble que tu es homme d'honneur pour tes ailleuls . Point de monstre...juste une carte !

Il vit le jeune homme quelque peu rassuré par ces dernières paroles et avec un certain regain de forme attrapa le bras de Aurélien.

Tes muscles sont la ! Mais je ne pense point qu'il te serviront très longtemps , seul le coeur et le courage te mèneront à ce que tu cherche ! Part d'ici et suis ta carte , et n'oublie jamais la sagesse...celle que tu semble déjà connaitre

Il mit sa main sur la tête du Dhoye et le béni en murmurant quelque phrase latine incompréhensible

Ad impossibilia nemo tenetur ! et surement pas toi.

Aurelien_de_dhoye

L'abbé révéla que sa démonstration de monstruosité n'était que baliverne , ce qui rassura grandement le Dhoye , bien qu'il aurait combattu par monts et par rivière toute créature pour l'honneur de son nom. Cromwell fini par rendre éloge à Aurélien qui essayait de rester sobre , sans vraiment réagir il se laissa bénir par l'ecclésiastique.

Ce fut un honneur de vous avoir rencontré mon père.

Il la salua bien bas , se recula d'un pas , remit son mantel en place et décida de quitter l'abbaye pour continuer ses péripétie afin de trouver le Trésor.

Il quitta la jardin blanc , laissant le vieille homme rejoindre sa demeure , il passait sous l'arbre réfléchissant au conseil prodigué par l'homme qu'il venait de rencontrer. Nul ne lui servirait ses bras , il devait maintenant réfléchir et user de ruse afin de pouvoir trouver le trésor qu'il est venu chercher. L'or lui importe peu , pour lui seul l'honneur est à trouvé dans cette quête , l'argent sera tout juste utile à renflouer des caisses comtal.

il se retrouva maintenant à quelque centaine de mètre après l'abbaye , sur un chemin ou le pavage avait été abandonné depuis des lustres , il entrait dans la campagne béarnaise , sans destrier , seul son bouclier aux couleur de l'Anjou , et sa lame l'accompagnait.
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Aurelien_de_dhoye

[Chapitre Troisième : Une étrange rencontre]

Les arbres supportaient la neige tant qu'il le pouvait , de temps à autres des amas de flocons venait s'écraser au sol en compagnie d'une branche qui avait cédé à la masse hivernal. Aurélien veillait bien à éviter de finir sous l'une de ses branches gardant son bouclier au coude en cas d'incident malvenu . Il cherchait à avancer de l'autre coté de ce pont , celui qu'indiquait sa carte . Non loin de lui se dessinait enfin cet construction assez ancienne , un pont de bois de quelque mètre de long , ou au bout était édifié ce qui devait être un poste de garde au lueur de la flamme qu'il s'y trouvait. Aucun doute , c'était le poste de prévotée désigné sur la carte , étonnant tout de même que durant après tant d'années celui-ci fut toujours occupé.

Il passa sur le pont se rapprocha de la bâtisse qui avait tout de même senti les années passés , deux volets étant à moitié décroché et un tas de bois qui trainait contre l'un des murs . Peu accueillant la garde local se disait le Dhoye , enfin cette tour était tout de même bien éloigné de la cité sans doute plus reculé par le passé.

Le soleil était au zénith , l'heure du repas arrivait sur cette route annexe qui menait vers la campagne frontalière de la Gascogne , de l'Armagnac et du Béarn. La faim se faisait ressentir chez le jeune angevin , il se dit que les hommes du prévot l'accueillerait bien pour le déjeuner contre quelque deniers . Il arriva alors au bout du pont au pied de la tour et haussa la voix afin d'être entendu.

Eh oh la haut ! Un voyageur cherche le couvert et l'hospitalité pour le déjeuner.
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--Brigand_du_bearn

La cheminé avec son brasier réchauffait la pièce , les quatre hommes se tenait autour d'une table , assis sur des tabouret entrain de jouer au ramponneau. Autour de eux se trouvait des sacs d'où débordait de la viande , des fruits ou encore des ustensiles pour paysan. Il riaient tout en jouant gaiement aux cartes , rien ne semblait les troubler quand soudain une voie leur arriva aux oreilles.

Eh oh la haut ! Un voyageur cherche le couvert et l'hospitalité pour le déjeuner.

Les yeux des quatre joueurs se décollèrent de leur jeu pour se croiser frénétiquement , avec angoisse et plaisir. Le plus jeune murmura alors :

Voilà le déjeuner qui arrive il ricana un instant , les autres avaient le sourire qui leur illuminait le visage , c'est alors que le plus grand d'entre eux se leva et s'approcha de la porte

Le bonjour étrangé ! Je viens t'ouvrir la porte dans un instant... ça sera un plaisir de vous accueillir !

Il retourna dans la salle commune indiquer ses plans.

Vous deux en désignant les brigands déjà armée de leur carquois. Vous vous placerez sur la balustrade en cas de révolte du gars ! Et vous le descendez si il le faut ! ... Evitez quand même de me toucher comme la dernière fois Il montra la blessure à son épaule et les deux autres eurent un sourire non dissimulé.

Puis il se dirigea vers le plus jeune qui venait de remettre son bouclier sur le dos et l'épée entre ses mains : Tu te mettra en haut de la tour et tu veillera à nous prévenir si des gardes comtaux venaient à passer !

Mais ?! .... Il rétorqua avec une certaine timidité et le chef répondit : c'est un ordre ! Allez chacun à son poste.

Les brigands prirent place chacun en le lieu qu'avait demandé leur meneur , qui lui descendit à la porte du poste de garde et fit pivoter les gonds pour faire venir le Dhoye.

Tout juste avait-il ouvert la porte qu'il dégaina du dessous de sa cape un poignard en direction du jeune homme le menaçant afin qu'il donne ses biens au voleur.

Aurelien_de_dhoye

Aurélien attendait que le garde descende lui ouvrir la porte du bâtiment de la prévosté . Quelque bruit à l'étage puis un bruit sourd qui venait de derrière la porte ; un garde descendait les escaliers et finit par lui ouvrir la porte. Le Dhoye avait encore le bouclier au coude depuis son passage sur le pont , il voulu le remettre sur le dos et la porte s'ouvrit...

En face de lui un poignard levé , et un homme grassement habillé de la tête au pied , botte et cape sur le dos , menaçait l'angevin qui eu comme premier réflexe de bloquer la course de l'arme de poing avec le bouclier . Le couteau frappa l'acier aux emblème angevine et tomba dans l'un des buissons à coté de la porte de la tour de garde. Aurélien se recula légèrement et sortit l'épée de son fourreau.

Vil bâtard ! Vous n'êtes point au service du Coms .

La fureur et la peur s'empara du jeune homme qui continuait de battre retraite , et arriva t'il au niveau du chemin qu'il vit au dessus de lui , aux aguets deux hommes postés sur la balustrade , arc et arbalète en main tenu vers le ciel , c'est alors que le chef des brigands qui l'avait accueilli sortit du dessous de sa cape une lourde épée qu'il prit avec ces deux mains .

Vous n'êtes que des Marauds ! Je vous oscillerais de ma lame !

Il mis son épée en opposition de l'homme en face de lui et son bouclier tenu au dessus de son crâne pour parer les flèches qui pourraient lui être destinées.
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--Brigand_du_bearn

Le poignard venait de tomber dans les buisson juxtaposant la porte. Le gamin venait de se rétracter , bouclier et épée à la main , la partie ne sera pas aisé , mais le brigand compte bien l'emporter sur ce voyageur aux bourses pleine d'or.Il dégaina alors son épée à son tour pour provoquer l'angevin en duel.

Ahahahah ! Veut jouer les héros l'gamin ! Envoyé les salves la haut !!!

Du premier étages de la tour partirent deux séries de flèches qui s'écrasèrent soit sur le bouclier de Aurélien soit le manquèrent de peu. Le chef décida alors de faire stopper les tirs venant d'au dessus de lui pour s'occuper en face du Dhoye.

Hum ! Il cracha par terre et s'approcha lentement vers sa futur victime. A nous deux maintenant le preux chevalier ...

Sur le toit le plus jeune des brigands observait le bout du pont pour surveiller toute arrivée non voulu de la part de quelque soldat en ballade . En dessous de lui était toujours posté les deux autres bandits dans l'attente d'un nouvel ordre pour lancer une nouvelle série de flèche , déjà prêt à tirer , ne manquait plus qu'un l'ordre...

Et sur le sol enneigé le combat allait commencer . Le meneur du groupe lança la charge sur le jeunot et se projetant à vitesse expansif pour envoyer son épée s'écraser sur le bouclier qui pris un violent coup , avec une marque qui resterait à jamais , un bon morceau de celui-ci venait d'être en partie arraché par le poids et la puissance de la lame ... Le brigand fit encore reculer Aurélien de quelque pas en le menant vers un arbre d'ou ne pouvait plus être à porté de tir des archers...C'est à cette instant que le brigand envoyé son épée droit vers le gamin qui tomba et vit son bouclier exploser en deux et s'envoler à quelque mètre de lui.

Et maintenant ?! Il ricanait fier de sa victoire tendit que sur la tour les acclamations de ces compères faisaient rage , et l'on vit le plus jeune rejoindre les deux archers avec le bonheur d'avoir encore un brigandage réussi dans leur longue liste de méfaits...

--Chevalier_blanc

Il galopait rapidement , le torse bombé , le sabre à sa ceinture , sa chevelure brune se baladait dans le froid béarnais. Il se hâta d'arriver au lieu ou était cacher les compères . Il se devait d'aider les innocents, tout juste avait-il été mis au courant qu'il fit seller son destrier et parti en direction de la tour de garde abandonnée .

Il déboula enfin d'entre les pins de la forêt et découvrit qu'un nouveau litige venait de commencer , le chevalier blanc constata de ses beaux yeux qu'un voyageur était entrain de se voir pointer l'épée sous le nez. Il fondit alors en direction des brigands qui s'étaient rassembler , et galopa au plus vite pour aider le jeune homme.

Hola brigand ! Il sauta de son cheval et montra pointa son sabre en direction de celui qui tenait le Dhoye en joug .

Celui-ci se tourna vers le dernier venu et de son épée lourde tenta de mettre à mal le chevalier , mais le poids de l'arme était bien plus dur à maitriser que celui de son adversaire. C'est alors que le brigand se retrouva fesses à l'air , épée à terre et sabre sur le crane.

Qu'é toi et'a hordé quitté c'comté !

--Brigand_du_bearn

Il était à terre , lui le brigand si musclé , lui qui venait de tenir sa dernière prise au bout de son épée , venait de se faire renverser par un chevalier qui brillait au éclat de sa blancheur. la haine sifflait entre ces dents et seul quelque mots s'en échappèrent : raclure ! j'reviendrais...

Il reculait à quatre pattes , se rapprochant de ses compagnon qui furent abasourdi par la scène qu'il venait de voir , ce chevalier maniant le sabre d'une façon peu commune mais avec des résultats spectaculaire .

On s'en va !

L'ordre était clair , mais les trois autres chenapans avaient du mal à comprendre la résignation de leur compère .C'est à cette instant que les deux archers se lancèrent comme des furies vers le Blanc.

NON ?! cria le meneur , mais tout juste les deux hommes venaient-ils de s'élancer qu'ils virent le sabre leur couper leur chemises respectif , ce qui les fit arrêter sur l'instant.

Les brigands ne demandèrent pas leur reste , et quittèrent aussi vite la devanture de la tour de garde que leur jambes leur permettaient...

*le chevalier blanc est respecté ! c'est bien connu

Aurelien_de_dhoye

Aurélien avait regardé la scène depuis l'instant ou l'épée du brigand ne lui était plus pointé dessus , jusqu'à l'instant ou ces mêmes truands s'échappèrent pour ne pas être mise plus en déroute .

Il tourna alors son regard vers l'homme qui lui avait sans aucun doute sauvé la vie et la (les) bourse(s).Il se releva tant bien que mal de l'endroit ou il s'était effondré quelque minute plus tôt , puis il s'avança vers le Chevalier guettant son bouclier qui avait été littéralement détruit par le choc avec la lame forgé du meneur de la horde.

Mais qui êtes vous ?

Dans son regard , tant l'émotion de voir devant lui un brave combattant que le respect d'un homme qui sait se battre sans craindre rien ni personne . Le Dhoye en tant que formé de façon militaire ne pouvait que admirer le talent de l'homme en face de lui...
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La chasse au Trésor

Aurelien_de_dhoye

[Chapitre Premier : Dans une taverne de Tarbes]

Aurélien venait d'arriver le matin en le comté du Béarn , rêve et péripétie , voila ce qu'il espérait découvrir par cette contrée du Navarre . Depuis sont départ d'Angers et la remise des parchemin il n'avait cesser de vouloir découvrir ce coffre , rempli d'or à faire pâlir n'importe quel pillard du Rouergue . Il descendit de son cheval , destrier qui portait encore les couleurs bretonne vestige de l'école militaire ou avait étudié le garçon.

Habillé de braies bleue , d'un chemise brillante à souhait , et d'un mantel brodé à la dernière mode de l'Anjou , ses bottes éclaircissaient les nuages du Béarn qui arpentait lentement vers les montagnes au sud. Il portait aussi une bague à la main , et bien sur quelque autres artifices un peu partout sur son corps , le Dhoye était riche et il le montrait bien.

Le jeune homme qu'il était maintenant passait lentement passa le pas de la porte de la taverne , il retira sa capuche qu'il avait gardé durant ce voyage pour éviter les gouttes que pleurait les brumes des chemins .C'est à cet instant que l'histoire commence . Doucement mais surement il passa entre les tables en essayant de rester discret et ne pas attirer l'œil d'un brigand malveillant , arrivé au fond de la salle un peu à l'écart du feu ou se trouvait la majorité des personnes . Il s'assit et sortie les parchemins de son mantel pour revoir les plans et les conseil de l'Ancien.

Ses yeux à moitié émerveillés par ces bout de papier et à moitié choqué par l'ampleur de la tache qui l'attendait. Il scrutait le moindre indice , la moindre réponse qui aurait put lui venir au yeux , mais aucune illumination ne lui venait aux neurones.

Bigre ! c'est tout un foutoir cette quête ...

Il se parlait à voix basse toujours dans l'idée que personne ne viennent l'importuner mais il fut vite dérangé par le tavernier.

Hep mon jeunot ! Tu veut un godet ?

Le Dhoye était quelque peu gêné et répondit en bégayant quelque peu

euh oui oui ! un n'un verre d'hydromel ...

la frayeur passé et le tavernier partit il retira ses mains de la carte qu'il avait vite caché lorsque le tavernier fut venu et se replongea dans sa recherche...nul doute il avait besoin d'aide
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Telya

Le froid etait vif en cette journée de janvier et un pâle soleil perçait timidement à travers les nuages.
Telya avait trouvé refuge à la taverne , ou toujours brulait un bon feu et ou l'acool rechauffait les corps et echauffait les esprits.

Elle discustait de choses et d'autres . Son gerfaut etait présent et lui avait annoncé qu'il venait de s'engager dans l'armée bearnaise. La jeune , mais prometteuse , chancelliére Eugénie de varennes venait de donner à la petite Annouk une paire de bottes jaunes qu'elle exhibait fierement sur ses petits pieds quand soudain , la porte s'ouvrit sur un etranger . Un homme d'une certaine prestance , qui affiché hostensiblement sa richesse en portant des vetements luxueux.

En amoureuse des belles etoffes , Telya reconnut là des vetements de prix et oberva l'homme qui alla s'assoir dans le fond de la salle .
Il deploya sur la table divers documents , mais elle etait trop loin pour voir de quoi il s'agissait . elle ne voulait point paraitre impoli à le dévisager ainsi , aussi s'interressat elle aux bottes de la gamine mais ne pouvait s'empecher de jeter de temps à autre , un oeil sur l'etranger.
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Clemenceii

Flânant dans les rues, en attendant le retour de sa mère, Clémence passe devant une taverne. Une soudaine soif, lui fait rebrousser chemin et entre.
Un rapide coup d'oeil.

*Tsss! Elle est là celle la.* lançant un mauvais regard à Annouk

Ne souhaitant s'approcher d'elle, Clémence grimpe sur un tabouret près du comptoir et commande un bon lait au miel. En attendant, un second coup d'oeil et remarque un étranger richement vêtu. Un haussement de sourcil, un instant d'hésitation...et la voilà qui se dirige vers celui ci, oubliant son lait.
Arrivée près de la table, elle se met sur la pointe des pieds et tente de voir les parchemin, mais en vain. Déçue, elle soupir et baisse le regard, avant de se reprendre et d'afficher un large sourire, espérant ainsi amadouer le jeune étranger.

B'jour! Qu'est ce donc que tout ses papiers? pointe du doigt les parchemins, avant de poursuivre sur son éternel interrogatoire, toujours curieuse.
Et vous venez d'où? Vous allez où? Ils sont où vos amis? pensant qu'à montrer si facilement sa richesse, il se doit d'être accompagné lors de ses voyages

Moi c'est Clémence. Clémence Maledent de Feytiat. Mon papa, il est baron et il a fait plein de truc, mais je ne me rappel plus petit froncement de sourcil tentant de se souvenir, en vain et ma maman, elle est médicastre et Juge aussi. Et puis mon frère Jérôme, il est maréchal.

Elle s'installe en face de lui, la tête posais sur ses paumes de main, ses jambes se balançant sous la table.

Et vous?

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RP : Clémence (Maledent de Feytiat) et pas clemenceII. merci

J-je ne sais plus..mais un jour de moins qu'hier cela est sur.

Aurelien_de_dhoye

Aurélien venait tout juste de recevoir son verre d'hydromel de la part du tavernier auquel il jeta une pièce de bronze.

Merci tavernier !

A peine le tavernier avait-il quitté la table du jeune angevin que celui-ci repris sa paperasse en main afin d'arriver enfin à élucider le secret de ces parchemins . De tant à autre il soulevait les yeux voyant une dame non loin de lui l'épiait de temps à autre , un simple hasard pensa t-il.

Toujours concentré sur ces cartes , une petite bouille fit son apparition , une petite fillette semblait vouloir lire les parchemins.

Hola petite ! ne va pas te faire mal en escaladant cette table

La petite plus vif qu'une F1 commença à discourir à une vitesse tout simplement hors du commun

B'jour! Qu'est ce donc que tout ses papiers?
Et vous venez d'où? Vous allez où? Ils sont où vos amis?
Moi c'est Clémence. Clémence Maledent de Feytiat. Mon papa, il est baron et il a fait plein de truc, mais je ne me rappel plus et ma maman, elle est médicastre et Juge aussi. Et puis mon frère Jérôme, il est maréchal.

Le jeune homme ne put s'empêcher de rire à cette interrogatoire digne de la justice inquisitorial.

eh bien ma petite ? tu semble bien indiscrète ? t'es parents ne t'ont point enseigné à être un peu plus...euh...calme ?

Il sourit aimablement à Clémence puis se présenta

Appelle moi Aurélien...ça sera amplement suffisant entre nous et je viens du Nord...dans une contrée ou il fait encore plus froid que ici et ou l'on parle une langue étrange*

Il prit ses parchemins en main et regarda la jeune fille , avec le regard quelque peu hésitant

heu ... comment te dire ...ces parchemins...c'est....des dessins que j'ai reçu par ma famille et que j'aime à contempler dès fois....rien de bien intéressant , rassure toi ma petite .

*aucun rapport avec les ch'tis...je parle évidemment des bretons et leur économie minière

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Caro68130

Mon travail terminé, après une journée plus que remplis à passer mon temps au tribunal, au conseil et à l'université, je décidais "enfin" de rentrer. Mais passant la porte, personne. Je cherchais dans les quelques pièces et pas un chat. Guido devait sans doute être à se promener et profiter de sa "retraite" comme il aime à le dire.

Je filais dans la chambre de ma fille et là... personne. Retournant à la cuisine je me fis une tisane bien chaude, mais le temps passait et toujours personne. Nulle envie de me retrouver seule, je décidais d'aller faire un tour en ville. Sans doute que j'y croiserai mon époux voire ma fille ou quelques amis.

Me rendant sur la place, je regardais par les fenêtres des tavernes à la recherche de quelques âmes connues quand là devant moi ma fille, près d'une table, entrain de parler avec un inconnu. Je fronçais les sourcils et soupirais. *Décidément, combien de fois ne lui ai-je pas dit de ne pas parler avec des inconnus*

D'un pas pressant je me dirigeais vers la porte pour entrer, quand une idée me vint en tête. Entrer ainsi en trombe et houspiller ma fille... hum non ça n'allait pas le faire, et elle pensera sans doute que je l'épiais.

Faisant mine de rien j'entrais dans l'auberge et pu voir Telya attablée.

Bonjour Telya, vous allez bien ? brrrr quel froid ....

Levant mon regard et le tournant en direction de ma fille

Oh Clémence est là ? ahlala je me demandais où elle était encore passée. Mais dîtes-moi vous connaissez le Messire avec qui elle parle ? Il ne me semble ne l'avoir jamais vu à Tarbes

Intriguée, j'étais de plus en plus intriguée surtout voyant tous ces parchemins posés sur la table, parchemins qui semblaient attirer l'attention de ma fille, mais jetais également un regard à la petite Anouck qui était présente. J'espérai que je n'allais pas assister aux échanges plus que fort entre ma fille et elle. Mais Clémence semblait bien plus occupé avec cet homme. Ce qui n'était pas pour me ravir

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Clemenceii

Lorsqu'il fait référence à son indiscrétion et l'enseignement de ses parents la petite soupir. Pause sa main gauche sur la table et tape légèrement de son index.

Mes parents m'élève très bien. froncement de sourcils, indiquant qu'elle déteste que l'on critique ses parents.
Et je suis calme que lorsque cela est dans mon intérêt....détourne le regard vers la fenestre c'est à dire quand mes parents ne sont pas loin, en général. petit sourire narquois, puis se tourne vers l'étranger tout en faisant de gros yeux - arrête de taper de son doigt, surprise - en entendant son prénom et son origine

Aurélien? Aurélien comme mon grand frère?
Oui! parce que j'ai un autre grand frère, lève les yeux au ciel et hausse l'épaule gauche il s'appelle Aurélien, il est évêque de Genève lui, donc il habite loin, c'est pour cela que je ne vous en ai pas parlé.

Et du nord? Comme Khis? Il vient de Calais la libre lui...fait triste mine..Mais il est reparti pour y enterrer sa femme, y parait.

Elle remarque alors son manège pour cacher ses parchemins, puis fronce les sourcils en l'entendant.
Prestement, la petite brune s'appuie de son avant bras droit sur la table et saisit un papier de sa main gauche, mais ne force pas dessus afin de ne pas l'arracher. Elle répond d'une voix calme, fixant du regard les yeux du garçon.

Menteur! Tu ment très mal. le tutoiement étant venu tout seul, surement dû à la tromperie qu'il a tenté de lui faire Ta jamais menti à tes parents? Pfff! Faudra que je t'apprenne. lève les yeux au ciel, déçue de voir à quel point il est mauvais menteur pour un voyageur

Allez montre, qu'est ce donc? Si tu me montre je t'apprend à mentir, promis. sourire sur ses lèvres, déterminé à ne pas lâcher le parchemin et....petit sourire, ayant une idée derrière la tête
Et si tu me montre pas, je vais dire à mon frère maréchal et à ma maman Juge que tu m'as fait mal...et tu va finir en prison. Ou alors pire....je dit que tu cache des documents secret sur le Béarn à Varden...le Coms Valère même...Oui! Je connais le Coms du Béarn, c'est un ami de mes parents...bien la première fois qu'elle utilise ainsi sa famille et leur connaissance, afin d'arriver à ses fins....
et je lui dirai que tu es venu pour nous attaquer et là se sera la mort pour toi. Alors?

Elle sait très bien que même si cela arrive, il ne finirait point en prison...mais après tout pourquoi ne pas jouer des postes occupé par sa famille - famille qu'elle ne voit que trop peu à son goût - afin de pouvoir satisfaire sa curiosité?
*Oui...enfin....je mens quand même un peu, et ça s'est pas bien. Mais si je mens pas un peu, je ne serais jamais ce qu'il cache...donc c'est sa faute à lui en premier et pas à moi. Pfff! Heureusement que maman et papa ne sont pas là...*
Imagine un instant les remontrances de ses parents et chasse vite cette idée de sa tête, afin de pouvoir rester pleinement concentrer sur l'étranger.

Durant tout cet échange, Clémence ignore totalement les personnes présentent - pensant être à l'abri des regards dans ce coin de taverne - et ne remarque même pas la nouvelle venue, - qui n'est autre que sa mère - trop occupé avec cet étranger.

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RP : Clémence (Maledent de Feytiat) et pas clemenceII. merci

J-je ne sais plus..mais un jour de moins qu'hier cela est sur.

Aurelien_de_dhoye

Au dehors le soleil commençait à perdre à voir son destin du jour décliner. Dans la taverne les flots de bières coulait et Clémence était toujours aussi sagace . Celle-ci fait l'éloge de sa famille et de son aristotélisme bien prouvé par les fonctions exercé par les membres de sa famille , ce qui fit sourire le jeune homme connaissant les rang de sa propre famille.

La jeune fille une fois son discours poussez sur ces amis et connaissances , revint sur l'affaire des parchemins et des mensonges proférés par l'ancien élève de Carentoir.

Menteur! Tu ment très mal. Ta jamais menti à tes parents? Pfff! Faudra que je t'apprenne

Le jeune homme sourit , bien que au fond de lui c'était un sentiment plutôt morose qui vivait.

C'est vrai que j'ai menti....Mais je n'ai jamais menti à mes parents. Un instant d'hésitation se profila chez le Dhoye...je ne les voyaient que très...trop peu lors de mes études. Son regard s'assombrit quelque peu ; mais la jeune fouineuse ne lui changea bien vite les idées

Clémence lança quelque menace envers l'homme si celui-ci ne voulait point montrer ses parchemins , il ne fit pas très attention au commentaire de la petite voyant que des femmes au fond de la salle semblaient l'épiaient du regard . Une certaine crainte que devait avoir les gens du coin vis à vis des voyageur , malheureusement il était venu en Béarn sans sa garde , seul à l'affut du danger de n'importe quel maraud du sud

Puis tout en reportant son attention vers la jeune sotte , il répondit tranquillement : Oui oui .... Il fit plus cette réponse pour arriver à la faire taire que de lui donner raison , et cela avec un léger soupire non dissimulé à la brune.

Bon ! tu veut voir mes papiers ? Il se dit que la petite n'y comprendrais de toutes façon rien à la carte et au texte.Viens sur mes genoux !Il se décala un peu et lui tendit le bras afin que celle-ci puisse voir les documents sur la table
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Clemenceii

Oui oui

Un large sourire - ravie de sa victoire - apparait sur le visage de la petite brune et ignore totalement le soupir qui l'accompagne. Tout ce qui compte pour elle c'est le faite qu'elle est réussi à obtenir ce qu'elle souhaite.
Sans réfléchir, Clémence lâche le parchemin qu'elle tient et descend de sa place, afin de s'installer sur les genoux du garçon.
Une fois bien assise, la petite pose ses mains à plat sur la table et regarde la carte. Trop occupé à satisfaire sa curiosité, elle ne voit pas sa mère qui est un peu plus loin.

Hummm! fronce les sourcil, en pleine concentration

Elle reconnait bien certains lieux, mais ne se rappel pas d'avoir entendu parlé du Chevalier Blanc ou d'abbé.

La petite brune saisit alors l'autre parchemin intitulé "La quête du Trésors Bearnais", plus sa lecture avance et plus elle fait de gros yeux. *Un trésor...et faut trouver un vieux sage pour trouver le trésor...pfff! un vieux sage?*fait le tour des vieux qu'elle connait et se confie alors à Aurélien.

Je connais un vieux sur Tarbes...je ne sais pas si il est sage, mais il est vieux et il pêche beaucoup. relie les bien fait du poisson sur l'intelligence à la sagesse Il est garde pêche ou quelque chose en rapport avec cela...s'appelle Aloysius_whace afin d'apporter sa contribution au mieux à l'étranger, la petite complète sa description
mais il n'habite pas d'abbaye lui...enfin je ne pense pas et il aime bien les boissons pour adulte aussi.
Mais il est vieux, donc il connait surement plein d'autre vieux, non?

Bien qu'elle ne sache si cela va l'aider, la petite est ravie d'avoir eu une idée et affiche un petit sourire, tout en le regardant.

Alors...tu as bien fait de me montrer tes parchemins, hein? En plus je ne comprend pas pourquoi tu les cache...As tu peur que quelqu'un vole le trésors avant toi? Et puis, à qui est ce trésor?
Quelqu'un l'a surement déjà pris, non?....

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RP : Clémence (Maledent de Feytiat) et pas clemenceII. merci

J-je ne sais plus..mais un jour de moins qu'hier cela est sur.

Aurelien_de_dhoye

La jeune Clémence vint s'asseoir sur les genoux du Dhoye et prit la carte et le texte de l'Ancien en main.Celle-ci commença à le lire et le commenta du haut de ses neuf printemps , voulant aider le jeune homme , elle mit ses connaissances à son service.

Un vieille homme en cette citée ?....Je ne sais pas de quand date ce parchemin , peut-être votre sire Whace aura connu le Duc.

Elle continua sa minutieuse lecture et décréta qu'il était bien veinard de l'avoir croisé afin qu'elle puisse le mener au mieux vers son destin.Cette façon d'être sur d'elle même fit timidement sourire Aurélien

Effectivement ! tu sembles être rempli de savoir. M'enfin je pense me diriger demain vers l'abbaye qui est dessiné ici Il montra la chapelle sur la carte

Il décala un peu la petit fille pour mieux revoir le texte de l'Ancien. Et relu devant la Feytat: Des Monstres tu affrontera. Il regarda la fille de la juge et en souriant lui répondit : Je crois que ce n'est peut-être pas encore de ton âge cette quête . Peut-être lorsque tu aura pris quelque pied en plus.

Il déposa la fille au sol et appela le tavernier : Oh tavernier Il fit signe à celui-ci de venir et se tourna vers la brune

Que veut tu boire ?

Il fit cela pour dissuader la gamine de participer à l'excursion qui aurait put s'avérer dangereuse pour elle , et il pensait aussi que ces parents n'auraient que peu apprécié.
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Telya

Telya vit la petite Clémence s'approchait de l'etranger. Elle envia l'insouciance de la jeunesse qui la faisait aborder l'homme sans aucune crainte , ni retenue

Elle les voyait discuter et se demander bien de quoi il pouvait parler. Sa mére Caro entra et la salua .

Bonjour dame Caro . Je ne le connais point , hélas et j'avoue qu'il m'intrigue . Vous n'etes point sans savoir à quel point je suis curieuse et cet etranger , entouré de ses parchemins , titille ma curiosité

La petite continuait à harceler le pauvre homme et Telya esquissa un sourire . Elle savait à quel point Clémence pouvait etre insistante quand elle voulait savoir quelque chose.

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Clemenceii

A l'évocation du mot monstre, la petite brune s'inquiète et un frisson lui parcourt le corps. Elle reprend le parchemin et le relis, afin de confirmer. Clémence en reste muette et réfléchit, lorsque le garçon la sors de ses pensées.

Que veut tu boire ?

Hummm! Euhhh! Rien!

Elle relève un peu plus le regard et remarque enfin la présence de sa mère. Mélange de joie et d'inquiétude, la petite réfléchit à toute vitesse.

*Si maman a entendu...*grimace à cette idée, avant de se reprendre et de s'adresser de nouveau à Aurélien, plus sérieuse au cas ou sa mère l'entend.

Je vais vous laisser à votre quête et prierait le Très Haut pour que les monstres ne se lèvent pas sur votre chemin. fronce un sourcil et se demande si sa phrase est juste, mais poursuis Si vous avez besoin d'une aide tant que ce n'est point pour des monstres n'hésitez pas à me contacter.

Au plaisir de vous revoir bientôt!

Un petit sourire et une rapide révérence avant de se précipiter vers sa mère.

Bonsoir maman! As tu passé une bonne journée?

Fait comme si de rien n'était et espère bien ainsi s'en sortir sans embûche.

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RP : Clémence (Maledent de Feytiat) et pas clemenceII. merci

J-je ne sais plus..mais un jour de moins qu'hier cela est sur.

Caro68130

Ainsi donc Dame Telya ne connaissait pas non plus cet homme. Je n'aimais pas à ce que ma fille aille parler ainsi avec des inconnus, aussi bien vêtu qu'il ne soit. Ne dit-on pas "l'habit ne fait pas le moine ?"

Je n'avais point remarqué qu'il avait tant de parchemins que cela sur la table et au moment où je tournais ma tête vers l'homme, je voyais Clémence assise sur ses genoux et en redescendre.

Par Aristote ! ma fille sur ses genoux ? non cela en était de trop. Je regardais Dame Telya ayant à ce moment perdu mon sourire

Sur ses genoux en plus ? et puis quoi encore ? voyez-vous ce Messire m'intrigue aussi, non mais en voilà des manières, je vais aller le voir et lui dire ma façon de pen...

Pas le temps de terminer ma phrase que Clémence se précipitais vers moi me demandant si j'avais passé une bonne journée. Je me penchais vers ma fille pour lui déposer un baiser sur le front

Bonsoir ma fille. Oui j'ai passé une bonne journée enfin jusqu'à ce que je te vois sur les genoux de ce Messire. Peux-tu me dire ce que tu faisais sur les genoux d'un inconnu ?

Je gardais mon calme même si au fond de moi je sentais presque mon sang bouillir

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Aurelien_de_dhoye

[En accord avec les joueuses , la scène de la taverne prend fin , et nous voici plongez dans le second chapitre]

[Chapitre Second : Sur les bords de l'Adour , un vieille abbé regarde le monde]

Aurélien ouvrit les yeux, le soleil lui effleurait les joues , la fraicheur même dans l'auberge était présente , sous ses draps restait une chaleur qu'il aurait bien voulu garder avec lui durant encore quelque instant mais on toqua à la porte. L'aube était arrivée depuis quelque heures voilà déjà et l'aubergiste était venu remettre le déjeuner et un en encas au jeune angevin qui l'avait commandé la veille.

Une pomme enfourné rapidement , ses pensées perdues vers la quête qu'il avait à mener , il s'habilla chaudement pour affronter les vents extérieur qui soufflait en cette matinée . Une fois prêt, il quitta la chambre et descendit à l'étage inférieur pour informer le maitre des lieux qu'il reviendrait au soir pour payer sa rente . le Dhoye quitta l'auberge et pris la première direction qu'informait ces parchemin qui le mènerait soi-disant vers une vieille abbaye sur les bord de l'Adour d'après quelque témoignage de la veille.

Le froid rodait tel un brigand en passe de commettre son crime , Aurélien lui tout comme la victime était sur ses gardes durant tout le chemin qui le séparait encore de la bâtisse d'un dit vieux sage . Après quelque rencontre anodine et avoir acheté une nouvelle pair de chausse au marché , il arriva enfin devant le Monument , aucun autre nom pouvais être donné à ce bâtiment tellement l'édifice avait été ravagé par des siècle de non-entretien , pour l'ancien militaire , cela ne faisait aucun doute , plus personne ne pouvait vivre en ce lieu

Sa carte , ses textes le menait à cet endroit , c'est un fait , mais pour lui peu de chance de trouver la moindre signe de vie dans ce taudis . Il s'apprêta alors à pousser la porte du lieu lorsqu'une main se porta son épaule . Sans la moindre hésitation il se recula , sortit son épée et la pointa vers la chose mouvante qui venait de le frôler. En face de lui se trouvait un homme ou une chose qui semblait en avoir l'allure , capuche sur la tête , pas bien grand , un manant à coup sur se disait le Dhoye qui avait toujours sa lame porté vers le capuchon d'où un léger frémissement se fit entendre.

Aurélien de sa voie grave accueilli son étrange rencontre de quelque mot doux

Qui es-tu pour oser me salir ? Sa lame ne lâchait point sa prise , l'angevin se sentait puissant suite à son volte-face si bien appris à Carentoir.

Parle manant ! Avant que je ne t'oscie ... Il garda son regard aussi droit que son épée porté vers la capuche lorsque des mains sortir du dessous de la cape pour se diriger vers se qui devait être la tête...
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l'abbé tarbais, incarné par Aurelien_de_dhoye

L'encapuchonné sentait l'épée poindre devant sa face , son regard toujours plongé vers le sol . Il sortit alors les mains du dessous de sa cape , les mains remontaient lentement vers la tête , pas un geste de brusque , rien qui n'aurait put affoler l'enfant et lui faire provoquer un geste de folie malvenue .

Hum !... parler je le ferais . Les mains sur sa capuche , la tête commençant à se relever , l'abbé répondit au jeune homme avec un calme digne d'un sage.

Mais , avant cela ... Il te faudra : ne plus me tenir en joug !Les mains venaient se saisir la chaque coté du tissu , et leurs yeux se rencontrèrent enfin . l'abbé , déjà fortement ridé par son age , avait les yeux marrons tel....un marron . Même avec la tête relevé il semblait toujours aussi petit , c'est alors que le Dhoye abaissa sa lame à la lueur du visage du vieillard qui n'était sans aucun doute pas un danger .

C'est bien mon fils !

Le moine , une fois sa capuche rabattu , observa l'homme en face de lui , bien jeune pensa t'il , mais l'étonnement restait surtout dans le fait d'une tel présence devant ce bâtiment qui était déserté par les hommes depuis belle lurette.

Mais dis-moi petit .... que viens tu faire à ma porte ?

Aurelien_de_dhoye

Le visage du vieux découvert , Aurélien abaissa sa lame , mais la gardait toujours en bonne position en cas d'un évènement inconsidéré. Il observa l'abbé , bien faible , peu reluisant , peut-être était-il l'homme qu'il recherchait , il allait vite le savoir quand celui-ci demanda la raison de sa présence.

Je suis venu séant pour rencontrer un érudit de l'église qui aurait vécu en cette chapelle !

Il s'interrompit , remettant l'épée dans son fourreau après avoir conclu qu'il n'était pas très opportun de manier une arme devant un homme d'église , puis commença à interroger le vieille homme.

Vous dites donc vivre en cette battisse ? Seriez-vous celui qui détient le secret ?

Il voulait le questionner , mais en même temps refusait de trop en dire , dur dilemme qui s'offrait au Dhoye , comment pouvoir parler du trésor sans trop émoustiller l'homme.
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l\'abbé tarbais, incarné par Aurelien_de_dhoye

Aurelien_de_dhoye

--Cromwell.

Aurelien_de_dhoye

--Cromwell.

Aurelien_de_dhoye

désolé petite absence IG..le rp va avancer ce Week-end et les aventure vont continuer.

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--Cromwell.

Aurelien_de_dhoye

--Brigand_du_bearn

Aurelien_de_dhoye

--Brigand_du_bearn

--Chevalier_blanc

--Brigand_du_bearn

*le chevalier blanc est respecté ! c'est bien connu

Aurelien_de_dhoye

--Chevalier_blanc

La fatidique question de la dénomination du héros venait d'avoir lieu , l'homme élargit son sourire vis à vis du Dhoye et tout en écartant ses bras se présenta d'une manière majestueuse :

On m'appelle le Chevalier Blanc…
Yé vé zé yé vole au secours d'innocents!
Quand dans la campagne résonne la poudre,
Yé vé zé vole plou vite qué la foudre!
Mon épée est prête à servir,
L'ennemi n'a qu'à se tenir.
Dé chacun yé souis repecté,
dou paysan au chevalier…

On m'appelle le Chevalier Blanc…
Yé vé zé yé vole au secours d'innocents!
Cent fois ma tête fout mise à prix,
Mais yamais personne ne m'a prit.
Les soldats ne me font pas peur,
Yé pour moi la force et l'honneur.
La youstice guide mon bras,
Yamais rien ne l'arretera…

Lala lalalalala lalalala lala lala lalalalalalalala…

On m'appeeeeeeeeeeeeeeeeeeellllllllllllllllllle…
…le CHEVALIER BLANC!

Une fois sa présentation quelque longue se fini , il rangea son sabre sous sa ceinture et alla récupérer les deux morceaux du bouclier du jeune homme .

Angevin ? T'es venu d'loin ! T'ou fé quoi par z'ici ?

Il regarda au loin pour voir les bandits disparaitre dans l'épaisse masse de la forêt qui menait vers la Gascogne et vers Mont de Marsan .

Aurelien_de_dhoye

Le garçon fut surpris de la présentation hors du commun de son sauveur , tant de classe , et une voie inoubliable. C'est avec bonheur qu'il entendit enfin la chanson prendre fin.

très poétique...

Le chevalier ramassa alors les morceaux du bouclier et demanda alors la raison de la présence du Dhoye au bout du royaume françois par cette hiver des plus rigoureux.

Eh bien je suis ici sur ordre de ma famille... Mais cela à peu d'importance !

Il s'approcha de l'homme en sortant une bourse de sa main et la tendit à celui qui venait de le sauver d'une mort certaine.

Vous m'avez sauvez la vie ! j'ai une dette envers vous , mais comme je ne puis rester point longtemps en ces terres veuillez accepter cette bourse en gage de ma gratitude à votre égard.

Le jeune homme était bien pressé de repartir à la recherche du trésor , et il ne voulait pas tergiverser plus longtemps en ce lieu , et continuer au plus vite ces aventures. Mais...
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--Chevalier_blanc

Le gamin lui tendit une bourse pour le remercier de l'avoir "sauvé" comme il l'a dit. Chose que celui-ci semblait trouver exceptionnel , mais pour le chevalier blanc , cela n'était que coutume et des plus banales .

J'é né pou'i accepter dé récevoir vos deniers sireuuh .Ma seul gain sera de vous protéger duranteuh votré pétite escapade dans nos plaines... Les marauds rodent et je ne cherche qué à les repoussires.

Il avait toujours les deux morceaux du bouclier entre ces mains , et alla les accrocher à son destrier .

Maintena' en selle ma gaillard ! je v'is t'emmener la ou t'ou souhaite té rendre angévin!

Il monta sur son cheval , et avança pas à pas vers Aurélien qui n'avait point bouger durant ce temps , et il lui tendit la main.

Po'nt de temps à pédre ! cela sembleuh être votré déviseuh.

Aurelien_de_dhoye

Aurélien fut des plus surpris lorsque le chevalier refusa la bourse et préférant l'aider à le mener au bout de son chemin . Un peu exagéré pensa t-il , mais l'on ne refuse pas tant de générosité , surtout pas lui. Il repris son épée , la rangea dans le fourreau , réajusta ses divers habits , et monta sur le cheval derrière l'homme en blanc.

Merci beaucoup chevalier....euh...chevalier blanc !

Tout en trottinant gentillement vers la forêt quelque peu plus loin , il expliqua la raison de sa présence dans ces champs.

Je suis ici à la recherche d'un trésor !....on m'a donné des indications comme quoi , il devrait se trouver tout près d'ici ...

Le cheval accéléra un peu , ce qui brusqua le Dhoye , qui failli tomber de la monture mais se cramponnant bien , il put rester stable , mais tout de même surpris et demanda la raison de ce changement de rythme.

Pourquoi donc accélérer ainsi ?
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--Chevalier_blanc

Il avait fait accélérer les destrier , ces mouvements était plus précis , il semblait vouloir rejoindre au plus vite un lieu , chose qui intriguait fortement son compagnon de route.

Pourquoi donc accélérer ainsi ?

Il sourit quand à cette remarque puis expliqua tout en maintenant sa vitesse.

Un angévin qui chércheu i'ne trésor !

Il ne dit rien de plus , et continua sa route , mais derrière lui , le Dhoye ne semblait pas comprendre , ainsi il rentra dans les détails.

L'abbé m'i prévenou ! Céla fait d'i années que ma grand pire avait récuéilli cé trésoreu ... Nous v'i attendi'ans...

Pas le temps de tergiversé se disait-il , cela faisait des décennies que sa famille attendait de pouvoir délaisser ce lourd fardeau qu'il fallait protéger coute que coute contre tout brigand qui passerait par la.

Il pointa alors la forêt non loin de la : v'i voyez ?....c'i per la!

Aurelien_de_dhoye

[Chapitre Quatrième: En route vers la fortune]

Il en était resté bouche bée , peu de réaction devant l'annonce du chevalier , ils étaient entrain de galoper vers le trésor qu'il cherchait depuis son arrivée dans ce comté. L'abbé en savait donc plus qu'il n'en disait , vieux mais malin se disait le Dhoye , qui à chaque instant s'approchait de son but.

Il regardait devant lui , le chevalier pointait la forêt , ces yeux pétillaient , son cœur palpitait , il pourra bientôt rentrer chez lui avec l'or et le remettre à la famille.

Mon bon chevalier ... Je vous remercie de tout ce que vous faites pour moi.

Ces paroles quittèrent sa bouche qui avait retrouvé le sourire qui l'avait quitté suite à l'incident de la tour de garde. Ils avancèrent encore quelque dizaine de mètre , et entrèrent enfin dans la forêt . Les arbres étaient dénudés , l'hiver marquait bien son territoire , ils avancèrent au pas , et arrivèrent dans une petite clairière avec au bout un amas de roche... Le cheval s'arrêta , et l'instinct du jeune homme le fit descendre , et s'avança doucement vers cette caverne. Ces lèvres remuèrent légèrement , juste pour laisser passer le son de sa voie.

C'est ici ?
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--Chevalier_blanc

Ils venaient tout juste d'arriver dans la prairie au milieu de cette forêt que le chevalier vit le jeune angevin descendre du cheval , il le regardait , celui-ci semblait être obsédé par ce vieux tas de pierre qui gisait au fond de la clairière. Blanc toujours assis sur son destrier , appela l'angevin.

Eih g'min ! cétteu mine la bas !....c'i la .

D'un hochement de tête il indiqua l'amas de pierre , comme une mine ; Aurélien avait semble t-il déjà compris. Ce tas de pierre , écrasé les un sur les autres étant l'entrée d'une ancienne mine d'or , dont le filon fut vidé voilà déjà deux siècle.

Il v'i nous fallouar trouver i'ne entrée....Ma père m'i avé ma'tré une ...Viens avé moua !

Avec une élégance sans égal , le beau brun mis pied à terre , retira son sabre de sa ceinture afin de la porter devant lui et de tailler les herbes et buissons afin d'ouvrir un chemin jusqu'à l'entrée qu'ils cherchaient

Il faisait bien attention à bien tout débroussailler pour que le Dhoye ne se blesse point , et enfin il arriva devant le tas de cailloux . Rien de très reluisant , il fit alors le tour du coté droit demandant à Aurélien de ne pas bouger. Il revint un instant plus tard la main en sang.

c'i bonne y'a p'ou dé cafard !

Il entrèrent tout deux dans l'ancienne mine...en marche pour trouver les milliers d'écus.

Aurelien_de_dhoye

Le chevalier l'avait emmené jusqu'à la mine , celle-ci n'était plus qu'amas de pierre , mais au fond se trouvait de l'or...plein d'or . C'est ainsi donc , avec cette pensée qu'il entra dans cette cavité sombre.

Aucune lumière n'avait trouvé un chemin pour arriver au fond de cette antre ce qui gêna le Dhoye , il sortit alors de sa poche un briquet* et se tourna vers la blancheur de la cape du Blanc.

Avait vous une torche noble chevalier ?

Sans grande réponse celui-ci se tourna et fit quelque geste brusque faisant tomber quelque gravillons et tendit à Aurélien une magnifique torche qu'il embrasse tant bien que mal , bien que celle-ci n'avait pas trop subit les affronts de l'humidité.

Il leva son flambeau , et l'écarta du visage du chevalier avant de le bruler , puis se rapprocha de lui , la tête baissé pour éviter de se blesser.

Et maintenant ? c'est par ou ?

*...je dirais seulement : Merci ljd Telya , je t'adore

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--Chevalier_blanc

Il venait de tendre la torche au Dhoye que toute la mine repris vie...enfin autant qu'elle le pouvais , le chemin vers le trésor se redessinait chez le chevalier , voilà bien des années que son père lui avait montré la route à mener jusqu'au trésor , et en ces instants , les idées lui étaient clair comme de l'eau de roche . Il avança donc d'un pas lorsque le Dhoye lui demanda le chemin

Z'uivé moua !

Ils avançaient dans la pénombre , éclairé de la seul torche que tenait Aurélien. Arrivé à un séparation de voies , le silence se fit sentir dans les allés , le chevalier ne bougeant plus , l'angevin attendant que le premier se décide. L'ambiance était presque asphyxiante

Par la !.... Il hésita et changea d'avis : euh non par la !....il avança d'un pas mais n'était pas sur de sa décisions.

Bah vé pour la drouate !

Ils avancèrent quelque mètre et tombèrent sur une voie sans issue , se qui fit sourire le chevalier et répondit à celui qui le suivait en l'éclairant.

J'é penseu qu'é c'i l'autreu .

Il rirent harmonieusement et reprirent leur ballade dans la mine par l'autre chemin. Ainsi se passait un bon quart d'heure lorsqu''il s'arrêta et se tournant vers Aurélien

c'i git l'or !

Il montrait derrière lui , un coffre , en bois bien protégé autour par du fer forgé , capable de combattre n'importe quel cataclysme naturel. Il se recula pour laisser la place au jeune homme.

Aurelien_de_dhoye

Ils venaient d'arriver au pied du coffre , celui qui renfermait ces milliers d'écus et le trésor de l'Ancien. Aurélien s'avança vers le malle de bois , donna la torche à son compère , puis mis genou à terre et posa ses mains sur le coffre.

Nous y voilà enfin !....le trésor.

Il chercha autour de lui pour trouver un outil qui aurait les moyens d'ouvrir le coffre , un caillou , deux caillou , trois caillou , et enfin...une pierre. Il prit la pierre et la fracassa sur l'armature qui tenait le coffre isolé de toute intrusion non désiré. Celle-ci céda et un cliquetis annonça à Aurélien que la serrure n'avait pas résisté , et que ce qu'il était venu cherché allait bientôt s'offrir à ces yeux.

Ca y est !

Il poussa le couvercle , et devant ses yeux jaillirent la lumière de l'or et des pierres précieuses à tel point que la torche fut presque inutile . Il mis c'est main dans l'or pour pouvoir toucher la raison de sa présence en ce froid hivernal.

Magnifique ! Magnifique !....c'est magnifique !

Il se redressa pour parler au chevalier :

Et maintenant emmenons ce coffre hors de ce lieu !

A la force de leur bras , il transportèrent le tas d'or jusqu'en dehors de la mine , et déposèrent celui-ci dans la clairière.

Pouvez-vous me laissez votre destrier ? je m'en vais aller chercher ma coche.

Le chevalier fit signe d'approbation , et le jeune homme ne perdit pas une seconde , il savait maintenant ce qu'il lui restait à faire , ramener l'or en Anjou , et attendre son anoblissement et être reçu par le maistre de la famille le vieux Duc ...

Après une chevauché d'une bonne heure il arriva à la ville ou il attela de suite le destrier du chevalier à coté du sien afin de les emmener vers la clairière et de mettre son or à bord du char qui l'emmènerait vers son château.

Le temps passait , pour le chevalier et enfin la coche arriva , les chevaux quelque peu essoufflé par le rythme imposé par le Dhoye. Ils montèrent le coffre à bord de l'engin et dessellèrent le canasson de Blanc.

Eh bien voilà cette aventure qui prend fin...ma carte était presque juste....Déçu de pas avoir vue la bête.

le coup du coffre d'or est un peu caricatural

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--Chevalier_blanc

Ils avaient monté le coffre à bord de l'engin , le chevalier avait retrouvé son cheval , et leurs chemins allaient se séparer aussi vite qu'il s'était croisé. Aurélien était juste déçu de ne pas avoir combattu la "bête du Béarn" , il répondit alors :

Commé dirait l'aut' abbé ...c'i t'oune imagé !....A'fin...c'i pi t'être aussi i'ne dé nos politiciens...qu'a sait.

il rit un instant avec le Dhoye , puis monta son cheval et recula de quelque pas , pour dire au revoir à l'angevin.

Héré dé t'avouar connou sire !... Rentré bien chez toua !

Et il quitta la clairière avec la même fougue qui l'avait fait venir au poste de garde , il disparu quelque centaine de mètre plus loin dans l'épaisseur des arbres.

Aurelien_de_dhoye

Les adieux furent bref , et incisif , il regardait le chevalier disparaitre , puis se mis en place afin de mener la coche jusqu'en Anjou .

Prochaine destination Saumur.

en tapotant sur les fesses de son cheval il lui parla :

On rentre à la maison Sigfried !Anjou ...me voilà !

Et il quitta la clairière , puis la forêt et finalement le Béarn , durant la fraiche soirée d'hiver , son périple sudiste fini , il reprit route vers le Nord et ses amours...

FIN

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[RP]La chasse au Trésor