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Les Prémices d'un Renouveau

isabelle-de-proisy
Le plus beau Trémoullois qui lui tien la main… Isa rougit de plaisir
Quel dommage que se soit pour le voir partir avec sa nounou qu’elle avait tant hâte de voir et de serrer dans ses bras…
Pourquoi partaient t’il aussi précipitamment ??
Non vraiment il y avait une par obscur chez la adulte que la jeune fille ne comprendrait jamais
Elle avait surpris le regard qu’ils avaient eux envers la mariée … et Isa plissa les yeux se demanda si tout cela ne serais pas la faute de cette nouvelle venue … elle espèrait que non car elle commençait tout juste a accepter son arriver si c’était pour perdre tout les gens qu’elle aimer a cause d’elle, elle ne l’emporterai pas au paradis
Pour Isda toute femme qui oser Aimer son père était des rivale a ne pas manquer en cas d’echec ..
Non il faus dire plutôt que la jeune fille ne donner pas sa confiance facilement et pouvait aussi la reprendre aussi vite vpour ne plus jamais la rendre…
La preuve avait était faite jamais plus la clochette n’avait eu de ses nouvelles et jamais cela ne changerait
Oui elle était comme ça … fallait être digne de son amour, et elle en ferait autant de l’autre…
Arf il fallait passé a autre chose que se départ qui la rendait triste, et elle irait au renseignement le lendemain pour en savoir plus …

Juste le temps pour elle de faire une courbette de politesse … et un doux sourire timide que Daien partait déjà
Qu’elle gourde se dit elle … elle aurait du lui sauter au coup le serré fort contre elle … oublier les protocoles et lui dévoiler sa flamme d’enfant… mais ça il le savait déjà que la petiote en pincer pour lui et ce depuis sa plus tendre enfance, dommage que sa nounou l’aimer sinon … a oui sinon elle n’aurait pas hésiter a se laisser courtiser …
Puis les regardant quitter la pièce elle se tourna vers l’autel pour observer discrètement la suite de la cérémonie….
ventreachoux
le soleil passait à travers les vitraux et donnait un peu de lumière dans ce lieu.Ventreachoux regarde les ornements de l'église et son regard tomba sur les cierges allumés.Un sourire malicieux se déssine sur son visage puis se referme aussitôt.Il avait fait la promesse qu'il allait se tenir tranquille pendant la cérémonie.Déçu il se concentrait sur la cérémonie écoutant attentivement la diaconesse, de son imagination deux petits êtres apparassaient au dessus de sa tête, l'un lui demandait de se comporter en sage et l'autre s'éfforçait à lui faire entendre de raison qu'une petite plaisanterie dans la maison du très haut n'apporterait qu'un peu de bonne humeur dans ce lieu sacré.
Ventre se grattait le menton en réfléchissant de sa décision à prendre.

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RAPHAEL83
Le Chancelier Toulousain assistait depuis le debut à la cérémonie qui était des plus éclatantes.

Mais il se sentait bien perdu dans tout ce beau monde qu'il ne connaissait pas. Il reconnut cepandant quelques uns de ces anciens frères hospitaliers .

Mais Raphael resta bien discretement dans la foule et continua a observer son ami et sa future pour lesquelles il était venu de si loin.

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Allydou
Elle avait tout juste eu le temps de gagner sa place, de biser son oncle et de s’installer que la chapelle s’était remplie.
Ayant peur qu’il ne supporte pas de rester sur ses genoux tout le temps de la cérémonie, elle laisse la place entre elle et Era pour Toine, avec un peu de chance, de se voir traité « comme un grand » le fera se tenir tranquille … au moins un temps.

Au milieu du brouhaha ambiant, un murmure se fait entendre à l’arrivée de la future Vicomtesse, radieuse.

Elle suit du regard son avancée dans l’allée centrale, souriant au passage des petits lanceurs de pétales.

Hop, hop, hop, jeune homme, on reste ici !

D’une main rapide, elle rattrape son fils qui n’avait pas perdu de temps pour reconnaitre Meileen et s’élançait déjà pour la rejoindre … Elle ou son panier de fleurs, et à imaginer le carnage qu’il pourrait faire à lui tout seul, une grimace passe sur le visage d’Ally.

Quand elle relève la tête, c’est pour croiser furtivement, le regard de Jehan.
Il lui semble y voir autre chose que la joie d’être « enfin » arrivé à CE jour, puis secoue la tête, qu’est ce qui aurait bien pu venir assombrir les pensées d’un homme heureux en un moment pareil …

Elle n’a pas le temps d’approfondir la question, Lee est là, tout près de lui, et maintenant oui, il à sur le visage, cette joie visible qu’elle lui voit depuis l’annonce de leurs noces.

Pour ce qu’elle faisait pour lui, pour le bonheur qu’elle semble lui donner, pour tout ça et plus encore depuis qu’elle avait pu la connaitre un peu mieux, Ally avait accepté cette femme dans son cœur, en cet endroit ou pourtant il n’y avait que peu de place.

Au moins, elle était rassurée, personne n’avait eu la « bonne idée » de répondre à la question cruciale posée plus tôt par Wantaka :

"Si quelqu’un a quelque motif pour s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant ou se taise à jamais."


Il n’aurait plus manqué que ça …

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leello
Leello était ravie, la chapelle était pleine d’amis et de proches qui venaient pour assister à leur union.

Certes certaines personnes semblaient manifester un certain mécontentement, ou encore ne pas approuver ce mariage. Peu importe rien ni personne ne pourrait venir mettre une ombre au tableau.
C’était leur journée rien qu’a eux, et elle comptait bien en faire une journée de bonheur intense.

Cet amour depuis qu’elle le partageait avec Jehan, n’avait cessé de grandir et de les réunir. Leello était prête à accepter beaucoup de choses pour la famille de son aimé car elle l’adoptait avec ce mariage. Mais elle avait du mal à comprendre que des personnes qui affirme l’aimer pouvait se comporter de la sorte au risque de le blesser un jour comme aujourd’hui. Aucun de ses amis à elle ne s’était permis tant d’irrespect et d’égoïsme. Elle en était heureuse et appréciait cette sincérité.

Encore une fois elle se rendait compte qu’ils étaient présents pour elle, qu’ils la soutenaient et l’aimaient. Rien que pour ça elle avait hâte de se rendre à Olonne pour enfin profiter d’eux et les remercier. Puis elle tenait aussi à leur présenter ses nouveaux amis Poitevins, qui pour certains d'entre eux lui avaient déjà témoigné une amitié sincère et s'installaient dans la vie de Leello pour son plus grand plaisir.

Les demoiselles d’honneur étaient arrivées, elles étaient magnifiques dans leurs robes assorties.
Gabriel aussi était près de l’autel, son regard malicieux amusait Leello. Qu’avait-il en tête ??

Puis son regard se posa sur son aimé qui la dévorait du regard et semblait heureux et serein. Leello lui sourit tendrement pour lui faire savoir que jamais ses sentiments ne changeraient. A compter de ce jour elle ne vivrait plus jamais sans lui. Il était devenu son âme et elle lui appartenait.
Ce mariage témoignait de cela, et il n’en avait que plus d’importance.

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Davor
Que de monde, que de monde. Davor esquissa un sourire, devant cette assemblée dont il ne connaissait pas la moitié des membres qui la composaient. Au signal du Duc, il entra dans la chapelle en compagnie de sa douce Kalimereth, lui tenant tendrement la main. Jour de bonheur pour son Cousin, qui avait l'air plus que fort occupé devant tant de monde à saluer, aussi resta-t-il à l'écart bien tranquillement, s'asseyant sur le premier banc venu.

Le Baron regarda Daien partir en compagnie de Sandy en plein milieu de la cérémonie et retint un léger soupir, adressant un regard d'encouragement à son ami. Il reporta ensuite son attention sur la cérémonie, pensant au cadeau qu'il avait prévu de faire à Jehan. Cadeau original, mais il ignorait si cela lui ferait plaisir ou non.

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olivyaa
Encore et toujours en retard... Cela devenait une maladie chez la Comtesse... Le poids des années commençait à se faire sentir, trop de perte de personnes qu'elle aimait, trop de travail, elle était fatiguée. Mais aujourd'hui c'était une journée particulière, son ami se mariait, elle ne pouvait se permettre de louper cet évènement. Aussi, elle était revêtue de ses plus beaux atours.

Elle sortit de son carrosse et se dirigea vers la Chapelle, elle aperçut nombre de personne qu'elle connaissait, la cérémonie commençait, elle s'installa à la première place qu'elle trouva pour ne pas perturber la cérémonie, elle irait saluer les personnes présentes plus tard
petronille.
Pssst Jo ! ... Jordan ....

Peine perdue. Malgré sa tentative discrète, Pétronille vit sa marraine passer à deux pas d'elle, sans que celle ci ne l'aperçoive, visiblement préoccupée de caser vite-fait sur un banc les deux marmots dont elle était flanquée.
Deux ? Mais d''où sortait le deuxième ?
En tout cas, de voir Jordan en robe lui fit tout bizarre. Elle était superbe mais cela faisait à Pétronille comme d'avoir perdu un petit peu de sa jeunesse. Il était loin le temps où la grande voyageuse ne quittait pas ses braies "parceque c'est plus pratique". Une grande bouffée de nostalgie la prit soudainement au souvenir de son premier voyage sous la protection de sa marraine qui l'instruisait patiemment des choses de la vie. Jordan avait tant bu le soir de leur arrivée à Argentan que sa fillotte avait dû quasiment, sous les quolibets des habitués du lieu, la porter dans l'escalier de l'auberge pour gagner leur chambre, tâche extrèmement laborieuse pour la frêle jeune fille qu'elle était et qui lui avait demandé beaucoup, beaucoup de persévérance.

Bah, tant pis, elles se verraient après la cérémonie
wantaka
Wantaka regarda la réaction des fidèles, puis elle fit un court sermon :

Mes enfants, vous venez d’entendre la parole de Dieu. Et que nous dit-elle, cette parole ? Que le mariage n’est pas en engagement pris à la légère. Il va vous imposer des sacrifices. Vous devrez être à l’écoute l’un de l’autre, pour vous soutenir dans les bons mais surtout dans les épreuves. Et c’est ce qui fait la différence entre les animaux et les hommes. Dieu bénit cet amour pour le rendre fécond et vous donner des enfants. Des enfants de Dieu. La vie, ce n’est pas comme les vaches que vos paysans emmènent au taureau juste pour augmenter votre cheptel. La vache se moque bien de savoir si vous la faites saillir par des taureaux différents. Pour les hommes il n’en est rien. Aujourd’hui vous vous donnez l’un l’autre, et personne ne devra venir s’interposer entre vous. Ne prenez pas exemple sur tous ceux qui courent amants ou maîtresses. L’amour de Dieu est conditionné à une vie vertueuse, et c’est seulement à cette condition que vous pourrez espérer atteindre le paradis. Soyez donc vertueux et aimants. Soutenez vous dans les difficultés, et profitez ensemble de vos joies. Ainsi votre vie recevra la récompense promise par Dieu à ses fidèles croyants. Amen.

Wantaka laissa la maîtrise chanter un chant de grâce , puis elle appela les témoins près de d'elle CHORALE

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Jehan de Proisy
Jehan écouta la diaconesse et ses paroles trouvèrent largement écho en lui car cet engagement était pour lui un acte essentiel et non une simple formalité. Son amour pour la belle Leello dépassait l'entendement tout simplement. Il lui semblait qu'il n'existait que pour la rendre heureuse et voir à jamais le sourire sur son visage.
Lorsque la chorale entama son chant, le Dies Irae, il eut du mal a ne pas montrer son émotion. Les paroles s'envolaient pures et claires sous la voute de la chapelle et il était sûr qu'elle atteindraient le Tres Haut. Il eut envie de se joindre à la chorale pour honorer l'esprit divin mais s'en retint pas sur que sa voix soit aussi stable en ce moment que celle des chœurs.

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leello
La cérémonie continuait, et Leello savourait ces instants magiques. Puis la Chorale, et là elle se laissa envahir d'émotions et ses yeux brillaient.

Jehan était tout près d'elle, tous deux attendaient cette union depuis si longtemps.

Elle écoutait la diaconesse, et se retrouvait dans ces paroles. Un sourire s'afficha sur ses lèvres car rien dans cet engagement ne semblait représenter un effort pour elle, simplement parce qu'elle aimait Jehan de tout son être.

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Thomaslatapie
Thomas fit un sourire en voyant sa fille. La puce se mis a ses coté et écouta gentiment. Il écouta sa sœur Wantaka. Il suivit toute l'histoire jusqu'à :

Citation:
Et que nous dit-elle, cette parole ?


Il y eu un arrêt et Thomas en profita pour y mettre son grain de sel.

- Elle dit que j'ai faim. Afaim

Il croisa les bras et commençais vraiment a avoir faim.

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Aux grands maux, les grands remèdes
Ensemble nous déplacerons des montagnes
Cristòl
Les témoins furent appelés près de l'officiante ; les témoins vinrent. Du moins, le Chevalier des Pyrénées, Cristòl de Sìarr, l'un des rares Méridionaux de l'assemblée, et sans nul doute le plus avare de paroles de tous.
Pourtant, si on lui demandait ce qu'il pensait de Jehan de Proisy, sans doute n'y aurait-il pas d'homme plus éloquent que lui pour l'éloge de son ami.

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Landelin
*Quelle jolie cérémonie!* pensa Landelin

Il regretta d'être arrivé un peu en retard. Son retard l'ayant empêché de se mettre dans les premiers rangs!
Heureusement, la chapelle n'était pas immense et il pouvait quand même distinguer ce qu'il se passait dans le Choeur de l'édifice.

Lors d'un chant, il aperçut à quelques rangées de lui, son ex-Frère Raphael83. Il semblait avoir vieilli!
Puis Le Sire de Crespin se demanda s'il savait qu'il avait, lui aussi, abandonné l'Ordre des Hospitaliers...
Jehan de Proisy
Le Fortunat sourit en voyant s’approcher son premier témoin. Ou plutôt non il le sentit plutôt qu’il ne le vit…Cela remontait à leur rencontre les deux hommes se comprenaient souvent sans même échanger la moindre parole. Allez savoir pourquoi il en était ainsi un seul regard avait suffit entre eux pour que les doutes qui avaient assailli le jeune cadet, au moment de son admission, se dissipent et laissent la place à une conviction profonde.

Pour qui ne connaissait que de loin Jehan son entrée dans l'Ordre aurait pu sembler à une recherche d’un quelconque prestige. Lourde erreur d’appréciation. En fait il portait en lui certaines des valeurs hospitalière bien avant son entrée dans l’Ordre. Il les avait gardé et voire renforcée en s’en mettant en retrait…Sans doute que, sans l’envoi par le Très Haut d’un ange à ses côtés, son veuvage l’eut il incité au recueillement en une quelconque abbaye ou en un lieu propice à la méditation loin du tumulte de la vie qu’il connaissait de par ses fonctions de Chancelier…
Il avait d’ailleurs gardé le secret projet de rejoindre son parrain si la vie ne lui donnait plus de raison solide d’avancer.

Leello était arrivée, partageant ses valeurs, et surtout lui donnant l’envie de partager le reste de son existence avec elle. La vie semblait si facile avec Lee, les choses devenaient si simples qu’il en était encore étonné…

Il attendit son second témoin et non des moindres. On était sur un autre registre que celui de la complicité naturellement virile avec un homme. C’était une communion de l’esprit et, songeant aux attaches, indirectes certes mais multiples, de ce témoin avec les Hospitaliers Jehan sourit. Décidément il ne quitterait jamais tout à fait l’Ordre, tout au moins de cœur.

La femme qui allait s’avancer pour témoigner de son engagement à lui envers Leello était une amie. Pas de ces amis qui passent dans votre vie et se fondent dans la multitude lorsque le temps sécoule, non, non. Même si leur relation était plutôt épistolaire elle existait bien et l’estime mutuelle régnait entre eux.
On aurait pu d’ailleurs comparer cela à une affection fraternelle. Il suffisait que l’un des deux soit dans les soucis l’autre le sentait et un courrier arrivait comme par enchantement…
D’une droiture inattaquable, Ysandre de Mistra imposait le respect par sa seule présence. Froide et hautaine de prime abord, il fallait avoir la patience de l’écouter de lui parler pour que s’instaure un climat de confiance. Et là on découvrait alors la richesse intérieure de la personne et on en restait, tout comme cela était arrivé à Jehan, captivé.
A force de parler ils s’étaient trouvés une kyrielle de points communs. Jehan, bien entendu, avait usé courtoisement de son charme tout en sachant la Dame engagée et avait pu constater que, tout comme lui, la parole donnée par Ysandre n’était pas vaine chose.
Cela au lieu de le rebuter lui avait permis de passer à un autre registre dans ses relations avec elle. Celle de l’amitié sans aucune arrière pensée et la liberté d’échanger leurs vues des choses de la vie d’une province. C’est d’ailleurs grâce à elle qu’il avait pris la décision de briguer les voix de son peuple. Elle avait vu ses doutes et ses craintes et avait su lui montrer la route lui permettant de s’engager.
Aussi qu’Ysandre accepta de témoigner de son engagement était pour Jehan un honneur.

Pour lui ses deux témoins étaient l’assurance, pour la future Vicomtesse, que jamais, fusse sous la pire des tortures, il ne renoncerait à elle que cela soit dans la richesse comme dans la pauvreté, dans la santé comme dans la maladie.
En outre mais cela tous, excepté justement les deux témoins, l’ignoraient, Jehan – avec un caractère entier un peu rigoriste – avait décidé qu’en dehors de Leello, plus aucune femme ne trouverait grâce en tant que telle à ses yeux. Ô certes il continuerait à les regarder voire à les apprécier mais toutes entreraient inéluctablement en concurrence avec l’épouse et perdrait d’avance le duel de la comparaison. De cela ces deux amis allaient témoigner.

Un rai de soleil décida à ce moment de traverser un vitrail et de venir se poser sur le couple assis le nimbant d’un halo de lumière et le visage de Jehan s’éclaira, ses yeux pétillèrent comme ce vin nouveau, venu de la Champagne et un sourire s’afficha tandis qu’il admirait l’ange qui se trouvait à ses côtés. Tout son être en fait lui criait : Lee je t’aime….

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