Chaos
Grognement bestial qui couvre un instant le silence pesant créé par cette réplique. La main se resserre sur le cuir chevelu malmené. Elle se moque de lui, ouvertement. Les choses prennent un nouveau visage ; il ne semblait pas avoir le contrôle total de la situation, sinon, comment pourrait-elle demander autre chose que sa pitié ? Ne pas maitriser la situation lui déplaisait, lui l'égocentrique qui veut que les gens fuient sur son passage en ramassant leurs mollards ; mais paradoxalement, il aimait cela, car après tout, si personne ne lui tenait tête de temps en temps, il finirait par s'ennuyer.
Chaos saisit fermement le bras de la jeune femme, prit appui sur ses jambes pour décoller sa hanche de son corps, et la retourna sur le dos en lui tirant les cheveux, sans ménagement, avant de se rasseoir aussitôt sur elle, sans autre cérémonie. Il était maintenant allongé au-dessus d'elle, le thorax à quelques centimètres de la lame, invisible ; sa main tirait la tête de sa victime en arrière, tandis que, guidé par la chaleur de son corps, il lui murmura au creux de l'oreille : A défaut d'mon visage, c'est mon nom qui s'ra gravé dans ta mémoire, attaché au souvenir d'cette nuit où tu m'as rencontré...
Ses lèvres vinrent ensuite goûter à la peau de son cou offert, réduit en esclavage ; du bout de la langue, il espérait souiller cette partie de son corps, il imaginait le dégoût sur son visage ; tandis que sa main libre avait trouvé les liens retenant les braies de sa -future- victime, avant de s'en saisir à pleine main, et de les arracher, puis de tirer sur le vêtement, mettant d'avantage en contact les deux corps qui s'affrontent dans de fréquentes agitations.
La bouche sadique continuait son voyage sur l'épaule dénudée, laissée à l'abandon par une chemise gisant à quelques mètres d'eux, dans l'ombre ; goulument, il lui mordilla l'os, avant de glisser plus bas sur elle. Sa main, plus malicieuse, caressait lentement l'intérieur de ses cuisses après avoir descendu les braies jusqu'à ses genoux, et remontait maintenant tout en finesse sur le coquillage cloisonné, avant d'essayer d'en forcer la serrure, sans délicatesse ; tous les moyens étant bons pour arriver à ses fins.
Après avoir laisser l'emprunte de ses dents sur sa poitrine insolente au seul sens du toucher, le brigand remonta ses lèvres exploratrices jusqu'au visage maintenu en arrière depuis tout ce temps. Elle avait bien essayé de se redresser, mais les cheveux qu'il tenait fermement étaient solidement attachés à son crâne. Le jeune homme, en proie à ses plus bas instincts, glissa sa hanche entre les cuisses écartées de force ; il lui murmura ensuite le nom qu'elle ne devait pas oublier : Chaos d'Erzulie Dantor ; simultanément, il lui donna un violent coup de hanche, souillant la jeune femme jusqu'à son être le plus profond, sans se rendre compte qu'une lame était plaquée contre son plastron.
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Chaos saisit fermement le bras de la jeune femme, prit appui sur ses jambes pour décoller sa hanche de son corps, et la retourna sur le dos en lui tirant les cheveux, sans ménagement, avant de se rasseoir aussitôt sur elle, sans autre cérémonie. Il était maintenant allongé au-dessus d'elle, le thorax à quelques centimètres de la lame, invisible ; sa main tirait la tête de sa victime en arrière, tandis que, guidé par la chaleur de son corps, il lui murmura au creux de l'oreille : A défaut d'mon visage, c'est mon nom qui s'ra gravé dans ta mémoire, attaché au souvenir d'cette nuit où tu m'as rencontré...
Ses lèvres vinrent ensuite goûter à la peau de son cou offert, réduit en esclavage ; du bout de la langue, il espérait souiller cette partie de son corps, il imaginait le dégoût sur son visage ; tandis que sa main libre avait trouvé les liens retenant les braies de sa -future- victime, avant de s'en saisir à pleine main, et de les arracher, puis de tirer sur le vêtement, mettant d'avantage en contact les deux corps qui s'affrontent dans de fréquentes agitations.
La bouche sadique continuait son voyage sur l'épaule dénudée, laissée à l'abandon par une chemise gisant à quelques mètres d'eux, dans l'ombre ; goulument, il lui mordilla l'os, avant de glisser plus bas sur elle. Sa main, plus malicieuse, caressait lentement l'intérieur de ses cuisses après avoir descendu les braies jusqu'à ses genoux, et remontait maintenant tout en finesse sur le coquillage cloisonné, avant d'essayer d'en forcer la serrure, sans délicatesse ; tous les moyens étant bons pour arriver à ses fins.
Après avoir laisser l'emprunte de ses dents sur sa poitrine insolente au seul sens du toucher, le brigand remonta ses lèvres exploratrices jusqu'au visage maintenu en arrière depuis tout ce temps. Elle avait bien essayé de se redresser, mais les cheveux qu'il tenait fermement étaient solidement attachés à son crâne. Le jeune homme, en proie à ses plus bas instincts, glissa sa hanche entre les cuisses écartées de force ; il lui murmura ensuite le nom qu'elle ne devait pas oublier : Chaos d'Erzulie Dantor ; simultanément, il lui donna un violent coup de hanche, souillant la jeune femme jusqu'à son être le plus profond, sans se rendre compte qu'une lame était plaquée contre son plastron.
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