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[RP] Terrain de joute ~~ Finale

Ombeline
Après une petite pause en sa tente, et une légère collation, Ombeline était revenue sur la Lice, armurée de la tête aux pieds. Elle retira son heaume afin de mirer les premiers combats. Le premier l'étonna, elle aurait parié sur Brune, toujours se méfier des apparences. Elle applaudissait encore les deux jouteurs quand les deux suivant prirent place sur le terrain. Au vu des deux personnalités qui allaient s'affronter, cela risquait d'être intéressant. Là, pour sur, elle ne prendrait même aucun pari, les deux étaient certainement de force égale et tout aussi stratège. Le premier assaut ne donna rien, par contre le second, wuhuhu, le fracas métalliques de la lance contre l'écu adverse retentit. Cela ne rigola pas, pioufffff. Elle put voir le Comte de Ponthieu à terre et entendre Rufus déclara Lndil vainqueur puis le nom des suivants.

Elle applaudit les deux précédents vainqueurs et observa avec grande attention les suivants, un p'tit noeud à l'estomac. Son tour arrivait sous peu. Elle ne pensait pas être encore en course et plus on avant dans le temps, plus elle sentait son endurance diminuer. Elle n'irait sans doute pas jusqu'au bout, la fatigue serait là.
Lou n'avait pas tord, grgrgr, qu'est-ce qu'il pouvait l'agacer d'avoir raison à ce sujet. Oui, elle avait un peu trop profité des p'tits fours ... Et alors, y'avait pas de mal, bon sang de bonsoir et pis flûte, après tous ces mois de privation, tous ces semaines à passer son temps qu'à ses entrainements et courir partout, zut de zut, quelques p'tits fours, c'était peu tout de même ... mais oui mais voilà, hein, les p'tites poignées étaient là, quand même et le souffle plus difficile, quoique tout dépendait de l'activité mais bref, non de non ... Elle allait devoir s'y remettre, déjà la Lieutenant n'arrêtait pas de l'inciter à tester avec plus d'assiduité ce satané parcours chronométré à la caserne ... parcours des enfers oui .... ggrgrgr quelle vie ... Ce sont les cris de la foule qui la fit sortir de ses tergiversations. Le Comte avait gagné ? Elle zieuta la Lice afin de le voir en selle, la lance en l'air, vainqueur face à Jehanne mais euuuu ... Ecarquillement des mirettes .... Kesakoooo ???? Jehanne avait remporté la joute face à Smurf ? Mais, eu eu ce n'était pas possible que cela .... Elle a une force herculéenne, crénom d'une bobine. Bondiousss, comme dirait le Ruru ... Guère le temps de s'en remettre que déjà Lou la rouspétait de se dépêcher afin de rejoindre son poste de combat.


Eu ouioui, j'y vais, j'y vais. Hum, Lou, as-tu vu Jehanne ??? Bigre, je ne sais ce que ça va donner là, mais je ne le sens guère si je devrai m'affronter à elle plus tard ... Clair qu'elle va me démonter, crénom d'une bobine dis donc, elle est fortiche !!!

Elle ne put en rajouter, qu'il claqua la croupe de Tonnerre pour le faire avancer.

Ça va, ça va, j'y vais, ralalala.

Ombeline respira un grand bol d'air puis mit son heaume. Elle tint fermement sa lance et mira son adversaire. Elle ne le connaissait que trop peu mais il avait pu montrer qu'il ne serait point facile à battre. Elle avait pu l'observer face à sa suzeraine. Elle espérait mettre à profit ce qu'elle avait appris lors de cette rencontre ainsi que le coup de pouce de Lou. Ben ça, si elle gagnait, il pourrait lui dire et redire qu'il n'y était pas pour rien. Elle esquissa un sourire en songeant aux minutes précédentes de préparation avec lui. Flûte, à rêvasser, elle venait seulement de se rendre compte que Rufus agitait son foulard. Fichtre ! Elle lança Tonnerre au galop mais le temps de bien abaisser son arme et tout le toutim, elle laissa une belle brèche à son adversaire. Ses mains se crispèrent aux rênes, et ses tympans vrillèrent sous le coup de l'impact, elle faillit chanceler mais réussit à tenir bon. Tonnerre hennit sous l'assaut, tout en secouant la tête nerveusement. A moitié remise, elle entendit Rufus beugler.

Olalala ça va, ça va, j'y retourne. dit-elle sous son heaume et repartit prendre place mais était déjà une peu moins rassurée là.

La jeune femme fixa le chiffon et partit au triple galop au signal. Toutefois, tête à la joute ou pas, elle ne fit mouche mais remercia le ciel d'être encore visée sur sa selle, quoique ... bon signe ou mauvais signe ? Elle ne saurait dire. ... Était-ce reculer pour mieux sauter ? ... Stratégie de son adversaire pour tester son stress ? Ben, non de non, parbleu qu'elle était à cran là, oui, si elle ne se calmait pas, c'était fichu. Elle dut talonner Tonnerre un peu plus rudement qui ne semblait guère vouloir retourner en piste ... Elle réussit finalement à reprendre sa position pour être fin prête à ce troisième assaut. Tonnerre était encore plus nerveux qu'au début. Elle flatta l'encolure de sa monture afin de la rassurer et se rassurer aussi par la même occasion. Allez, ça passe ou ça case comme on dit. P'tit coup d'oeil vers son escuyer du jour, et concentration, concentration !!!

Au signal, Ombeline s'élança, abaissa et pointa rapidement sa lance. Sa lance vola en éclat en percutant l'écu de Yliano ...Les ondes de l'impact lui remontèrent dans l'épaule, à la vacheeee, s'époumona-t-elle la-dessous, tirant d'un coup sec sur les rênes involontairement...Geste qui énerva de plus bel, le destrier qui n'avait vraiment pas besoin de cela. Tonnerre poursuivit son galop comme un dément malgré les directives de sa cavalière. Le destrier eut bien du mal à obéir à celle-ci. Une légère panique s'empara d'elle à son tour, pas facile de le maîtriser avec cet attirail qui faisait son poids. Elle se voyait déjà chuter. Ses mains se crispèrent de plus belle sur les rênes. Marmonnements et jurons de la jeune femme qui était secoué comme un prunier. Hennissant, Tonnerre tacla le sol de ses sabots pendant qu'Ombeline tâcha de le calmer.


Tout doux, tout doux ... doucement, là, oui allez tout doux, calmeuuu.

Rien à faire, il donna sans cesse plusieurs violents coups de tête ... Bingggggg ... s'ensuit une série de jurons d'Ombeline qui venait là de sentir passer le coup enfermée dans sa boite de fer. Et pis aussi vite qu'il s'était énervé, le voilà qu'il s'apaisa, à rien n'y comprendre.. mais là, elle ne chercha guère plus, hein, une seule idée en tête, poursuivre les tout doux, tout doux, et surtout descendre de là. Tonnerre finit par s'immobiliser. La jeune femme attrapa la main qui vint l'aider à retrouver la terre ferme. Tournant la tête, elle découvrit Lou à leurs côtés. Confuse, elle bredouilla.

J' ne sais ce qu'il a eu ... Peut-être un geste trop brusque de ma part, certainement même. J'lai senti un peu plus nerveux lors du premier assaut, j'aurai du, enfin ... j' suis vraiment pas douée ... Je ...

La jeune femme ne put continuer plus loin. Chaleur, respiration difficile, dans le haut et l’avant de l’épaule et du bras, émotions ... Elle tomba en avant dans les pommes.
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Nefi
débarrassé depuis un moment maintenant de sa carcasse de fer, elle était revenue sur le bord de la lice dans une tenue simple mais plus confortable que cette masse de tôle.
c'est donc quelques peu douloureuse mais plus légère que accompagné de sa fille et d'orick elle apprécia le spectacle des autres concurrent encore en lice. applaudissant les gagnants, stressant pour certain.
vient le tour d'Ombeline, contre yliano. si elle sentit un peu de tension entre la cavalière et le cheval dés le départ, elle en resta muette de stupeur en voyant le drôle de danse qu'ils firent après que yliano ait touché la jeune femme.
soulager de voir la monture se calmer elle parti à la rencontre de la baronne pour voir si tout allez bien. quand elle la vit s'effondrer d'un coup face contre terre. accourant elle fit signe à l'équipe médicale de venir.

omby tu m'entends ?
lou aide moi à lui retirer tout ça et à la retourner tu veux. y a pas moyen de respirer avec cette carcasse.
ensuite on l'emmène à l'infirmerie.

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Leportel62
Voilà c'était autour d'omby. Le combat était tendu. Lou repensa aux instants d'avant où il avait renforcé toute l'armure au niveau de son torse. Il avait enfilé les vieux chiffons entre son corps et l'armure en ayant les mains un peu balladeuses faut-il le reconnaître. La baronne ne disant rien, Lou en avait abusé un peu.

Aprés le premier assaut, Lou constata que Tonnerre n'était pas comme d'habitude.Il n'y réfléchit pas plus longtemps, voyant qu'Ombyne semblait pas trés bien. Il fonça vers elle pour l'aider à descendre. Elle tomba dans les pommes. Nefi arriva au même moment.

omby tu m'entends ?
lou aide moi à lui retirer tout ça et à la retourner tu veux. y a pas moyen de respirer avec cette carcasse.
ensuite on l'emmène à l'infirmerie.


A force de la mettre et défaire, l'armure fut otée rapidement. Il se débarassa aussitôt de tous les chiffons entassés.Un rapide coup d'oeil le rassura un peu, elle ne semblait avoir aucune blessure apparente.

Omby se retrouva rapidement dans ses bras, direction la tente. Son attention fut attiré par le hennissement de Tonnerre. Son regard fut attiré par du sang à proximité de son cheval.

Nefi, dépêches-toi, Omby doit être blessée, il y a du sang prés de Tonnerre.

Arrivés à l'infirmerie et avant de se faire virer par Nefi, Lou finit de retirer l'attirail des membres inférieurs. Il n'était pas médecin mais il n'avait constaté aucune blessure sur Omby. Il regarda Nefi.

Aurait-elle pu vomir du sang? Lou se fit non de la tête, il n'avait rien remarqué dans l' heaume.

Il sortit. En attendant le verdict de la Doc, il fonça vers Tonnerre qui n'avait pas bougé. Il lui enleva aussi ses protections.

Arf.......il constata qu'un bout de bois s'était enfoncé au niveau de son encolure et que du sang coulait par petites saccades. Une artére était légèrement touchée. Il appuya fortement un chiffon dessus et doucement le fit avancer ves la tente de l'infirmerie. Lou lui parlait calmement afin de le rassurer au maximum.

Prés de la tente, il le fit coucher comme il lui avait appris étant plus jeune quand il fallait que quelqu'un puisse monter dessus. Docilement, l'équidé s'éxécuta. I l sursauta un instant, à l'arrivée de Nathy et Killian, tous deux en pleurs.

Dans un mélange de phrases, il comprit les mots blessée, maman, tatie.
Doucement, il mit un doigt devant sa bouche leur faisant signe de faire moins de bruit.

Il éleva un peu la voix, oh! oh! doucement la bleusaille, on est soldat ou on l'est pas. Bon, tout d'abord, trés grande mission de confiance. Il montra la blessure de Tonnerre.

Vous voyez, alors il faut lui parler doucement et le caresser pour le rassurer. Je compte sur vous. Je vais prendre des nouvelles de maman-tatie. A ces derniers mots, ils arrêtérent de pleurer et renifler et commencérent leur 'mission'.

Bon, autre mission délicate, rentrer dans l'infirmerie sans se prendre la tête avec Nefi. Pas gagné ça mais c'est autoritairement qu'il y pénétra, s'approcha d'Omby qui était toujours inconsciente. Il lui prit la main et avant que Nefi ne le fiche dehors en hurlant, il la précéda :

Comment va-t'elle? Question bête étant donné qu'elle était toujours dans le même état qu'il l'avait laissée. S'il te plait, Nefi prend soin d'elle. Peux tu dire à un de tes soignants de me donner de quoi endormir Tonnerre et de quoi le recoudre. Je vais me débrouiller.

Il sortit de la tente et récupéra ce qu'un des soignants lui ramena. Il lui tendit un chiffon qu'il devait lui mettre sur le museau. L'opération fut répétée plusieurs fois jusqu'à ce que Tonnerre semble dormir. Il remercia le soignant, récupéra les aiguilles, fils et pansements lui faisant comprendre que personne d'autre que lui ne toucherait à son cheval. Par contre, il lui demanda une sorte de cicatrisant; il semblait avoir déjà vu Néfi en mettre et ainsi éviter l'infection ou un truc de ce genre là.

Coudre ne lui faisait par peur il l'avait déjà fait sur......un humain.

Bon la bleusaille, maintenant il va falloir sauver Tonnerre. Omby va bien, elle dort pour le moment. Vous allez voir du sang mais il ne faut pas avoir peur. Tout le monde en a même les chevaux. Ecoutez, là ça va couler un peu plus, avec les chiffons, vous épongez le plus possible. Vous êtes prêts Soldats.

Aprés le traditionnel oui chef chef loulou, Lou enleva le morceau de bois de la lance et se dépêcha de recoudre rapiidement. Heureusement, l'artére avait été à peine touchée. Les enfants faisaient le travail avec calme et application. De temps en temps, ils s'essuyaient le front et les habits et bientôt furent couverts de sang.
Il lui semblait sentir une présence derrière lui; probablement un soignant regardant s'il ne commetait pas d'erreur.
Il appliqua le produit ramené sur les points de suture et constatant que cela ne saignait plus, il entreprit de recoudre la plaie, chose qui fut plus aisée. Tant bien que mal, il réussit à lui faire un pansement. Etant certain que l'artêre était bien recousue, il demanderait à Nefi de vérifier la plaie ultérieurement.

Félicitations la bleusaille. Maintenant, il n'y a plus qu'à attendre.

IIl les regarda et sourit de les voir couvert de sang des pieds à la tête.

Arf......si Omby se réveille et qu'elle vous voit comme ça, elle va nous faire un malaise. Au même moment, il reconnut la démarche déglingué du maître des lieux. Il lui fit signe de venir. Le voyant s'avancer, passer par toutes les couleurs er hurler des insultes qui avaient l'air de concerner l'asticot, il lui dit calmement :

La Baronne voudrait que tu les changes, ils se sont un peu amusés. Il regarda les enfants et doucement il dit : ne dîtes rien à Rufus pour Omby.

L'hidalgo repartit au domaine en râlant. Il préférait qu'il ne sache pas pour la Baronne. Il ronchonnait beaucoup mais il savait qu'il adorait sa patronne.

Lou s'allongea prés de Tonnerre en attendant qu'il se réveille et en espérant avoir rapidement des nouvelles d'Omby.......
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Jehanne
Le troisième tour s'annonçait.
Que pourrait-il réserver comme surprise à la jeune femme?
Après un duel avec l'un des plus grand artésien et un autre se terminant à l'épée, il fallait s'attendre à tout...
A tout... Enfin, pas quand même!
Du moins, Jéhanne ne l'espérait pas.

Quel adversaire allait être désigné face à elle?
Elle attendait la réponse qui n'allait pas tarder.
"Smurf"... Le régnant artésien...

Jéhanne devait-elle s'incliner face à lui?
Ou au contraire lui prouver qu'il pouvait être en sécurité avec une armée prête à défier quiconque, malgré l'adversaire?

Elle se rappela certains encouragements et conseils que certains lui avaient donnés et elle s'élança.

Visant l'écu du Comte, Jéhanne s'efforça de se maintenir en selle et réussit à briser sa lance.
Au second tour, la jeune femme se concentra davantage en s'efforçant d'oublier l'identité de son adversaire, ce qui semblait lui avoir été profitable étant donné qu'elle entendit Rufus prononcer son nom.

Elle afficha, satisfaite, un léger sourire en guise de victoire.

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--Rufus
[Loin du chahut ... parti faire le joli cœur ailleurs ...]



***

Après avoir beuglé le résultat, Rufus ne zieutait plus ce qui se passait sur la Lice, la patronne avait remporté la joute, son adversaire semblait bien se porter, tout baignait donc pour lui, mission remplie. Tournant le dos à la Lice, il discutailla ferme avec le jeune tambour. Ce dernier lui vantait les mérites anatomiques d'une jeune donzelle qui venait de lui transmettre un pli à son attention. Le vieux coursier était en pamoison, une admiratrice ... Il avait une admiratrice ... Zety ça, il était devenu un starrrrrrrrrrrr ...
Il reniflait fortement le pli parfumé, le tritura de ses grosses paluches moites puis l'ouvrit sans grand soin, et en prit connaissance. Bondioussss de foutredieu, un rencard !!! Il posa deux, trois dernières questions au jeune tambour sur la bougresse puis détalla comme un lapin sans guère faire attention aux hennissements inhabituels, au loin de Tonnerre.
Ombeline
messagère





Nicolas Eymerich a écrit:


[Nicolas Eymerich VS Brunehautdartois]

Ahlàlà, depuis sa brillante victoire depuis cette gamine de nefi, Nicolas Eymerich se sentait dans une forme incroyable. Il avait vidé deux tonneaux de tastevine et épuisé deux paysannes sans en souffrir le moins du monde, toujours prêt à en découvre avec son prochain adversaire.

Aussi, à l'annonce dudit troisième tour, c'est légèrement titubant, extrêmement exalté et aucunement effrayé qu'il se rendit en lice, toujours engoncé dans son éternelle armure crasseuse. Quand il vit que c'était brune, il se fendit d'un sourire, d'autant que pour caser la généreuse poitrine de la belle dans une armure, il avait fallu agrandir celle ci, de sorte qu'on avait l'impression que la dame d'oblinghem se baladait avec une cible sur elle.

Bref, Tramecourt talonna son destrier, et en réalité totalement éméché, adopta une tactique peu ordinaire et, pour être honnête, totalement suicidaire. Il abandonna son écu en cours de route et détacha sa lance, de manière à pouvoir la lancer comme un javelot. Et quand la belle fut à portée, il la lança comme un javelot, de sorte que le projectile en bois aille se briser sur la poitrine de brune, dispersant de dangereux éclats un peu partout, mais sans blesser personne heureusement, sans que Nicolas Eymerich soit le moins du monde menacé en retour par la lance adverse.

C'est sous les cris d'allégresse, d'enthousiasme et d'étonnement qu'il regagna les vestiaires, une foule de supporters lui courant après, avides d'obtenir le secret de sa technique miraculeuse.
Laureline_squire


Laurie était ravie quelques part que sa maman est perdu les tours de rattrapage aussi.
Malgré qu'elle est cru en sa maman au moment ou celle-ci avait battu elena la petite avait peur qui ne lui arrive malheur et n'aimait pas trop les ordres brusque d'Orick.
En plus de cela, elle avait du manger avec un lance pierre, mais surtout, vraiment le nain grincheux qui servait de vrai écuyer à sa mère n'était pas très gentil avec elle.

Il lui faisait tout faire, la fillette n'avait pas une minute à elle, même pas une seconde pour aller voir ses deux meilleurs amis.

Laurie fut du coup ravi de se poser avec sa mère après l'avoir allégé de tout son attirail de guerrière chevalière.
Je crois que si la blondinette avait su le martyre que ce serait d'être mini écuyère de sa maman elle n'aurait pas forcement accepté.

Sous leurs yeux ébaillient, devant le spectacle la mère et la fille eurent à un moment donné de l'après midi le souffle coupé, Ombeline venait de vivre une un combat fulgurante et sous leurs yeux elle s'écroula.
Laureline avait suivit sa mère mais sans rester trop près, la blondinette était perspicace et avait bien compris que cela pouvait être grave.

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--Rufus
[Les joutes se poursuivent ...]



***

[Demi finale ~~ fin d'après midi ~~ Lndil VS Ombeline]

Rufus venait de tirer au chapeau les noms des concurrents. Une ride d'inquiétude barra son front en lisant le nom de sa patronne... Il n'avait pas repris des nouvelles mais fort peu de chance qu'elle se présente sur le terrain. Toutefois, les règles étaient les règles, il se devait d'appeler les concurrents et d'attendre le délai imparti pour annoncer la suite, sauf si avis contraire... après tout, elle était bien capable de se rendre quand même sur le terrain sur l'adepte de la piquouse s'était éloigné de son chevet... C'est qu'elle pouvait être têtue comme Germaine, sa mule, la patronne.


Zety qu' vl'a le tour donc du Comte d'Avesne et de la Baronne d'Ytres de se présenter sur la LICE.

Citation:
Lndil Voronda, Comte d'Avesne,
Vicomte de Lens, Baron de Saint Nicolas et Seigneur d'Anzy contre Ombeline, Baronne d'Ytres, Dames d'Avesne Lès Bapaume



Première Lance :

Lndil avait pris son poste. L'attente commença sous le soleil qui cognait dur sur la caillasse. Un garnement vint porter missive au Rufus qu'il lu rapidement. Il avait reconnu l'écriture de l'Asticot de pacotille mais fut malgré tout soulagée, de ne pas la voir concourir. D'une voix tonitruante, il beugla à la foule.


Zety donc zune Victoire par Forfait de la Baronne d'Ytres, que le Sir Lndil Voronda, Comte d'Avesne,
Vicomte de Lens, Baron de Saint Nicolas et Seignor d'Anzy s'ra qualifié pour la finale !!!

J'appelle les zuivants à v'nir sur la Lice.


***

[Demi finale ~~ fin d'après midi ~~ Jehanne VS Nicolas]

Après un p'tit mouvement de foule, le calme revint. Les deux concurrents se mirent en position.

Citation:
Jéhanne d'Ysengrin,
Dame de Neuve-Chapelle et de Conteville-Lès-Boulogne. contre Nicolas Eymerich, Seigneur de Tramecourt



Première Lance :

Le signal fut donné, les deux jouteurs se mirent au triple galop, lances furent pointées en avant. L'on pouvait ressentir de part leur attitude, la tension entre les deux concurrents. Le public ne quittait pas des yeux leur favori, priant pour ce/cette dernier(e).

Soudain, un immense BING métallique retentit de part et d'autre de la LICE. Les deux jouteurs se retrouvèrent le séant au sol après un vol plané.

Agitation dans les tribunes, cris ... Rufus beugla comme un beau diable, espérant point de blesser, une de plus, c'était pas bon pour les affaires tout cela. Il se précipita sur le terrain ... L'équipe médicale suivit au pas de course, prête déjà avec les civières. Soulagement, aucun des deux ne semblaient blessés, quelque peu estourbi sans doute ...

Comme il y avait eu chute, Rufus prit son rôle d'arbitre à coeur et alla inspecter les deux lances avec minutie car si aucune n'était brisé, cela pouvait se finir encore pas deux essais ou directement par un duel, cogita-t-il sous son pois chiche. Foutredieu, cette femelle c'est une diablesse, j'voudrai pas la rencontrer au coin d'une rue, elle est costaude la nobliote. Paluches moites, il reprit son inspection et vérifia la seconde lance de cette joute. Ah ben, y avait pas à discuter, celle-là était fichu de chez fichu, complètement brisée.

Prenant la lance en main, il s'avança devant la foule qui pouvait y voir les couleurs du jouteur vainqueur et la leva bien haut tout en prenant la parole.


EUU, ben zen vainquor et qualifié pour la finaleuuu, ben zety Dame de Neuve-Chapelle et de Conteville-Lès-Boulogne, zest dire Dame Jehanne. Le Comte d'Avesne a zintérêt d'assurer, zety que za à l'air d'être zune zacrée adversaire ...

Le temps de boire un p'tit canon, que nos deux jouteurs réajustent leurs armures, et discutaillent stratégies avec leur mesné respective et la finale viendra.
Lndil
Lndil s'en était allé avec sa Belle en direction de leur tente pour profiter de sa victoire.... mais surtout se préparer à la suite... car il ne s'attendait pas à se retrouver en 1/2.
Quand il revint pour ladite demi-finale. Se plaça avec son destrier sur la lice et attendit...
Qu'est ce qu'il faisait chaud sous cette attirail avec ce soleil... plus chaud qu'entre les bras d'Erwyndyll et Aristote sait ce que cela était dure ^^
Il en souria... faut se concentrer


Zety donc zune Victoire par Forfait de la Baronne d'Ytres, que le Sir Lndil Voronda, Comte d'Avesne,
Vicomte de Lens, Baron de Saint Nicolas et Seignor d'Anzy s'ra qualifié pour la finale !!!
J'appelle les zuivants à v'nir sur la Lice.


Bloqué sur place.
Hein quoi...
S'avance à cheval vers Rufus.
Rufus... où est donc ta maîtresse ? qu'a-t-elle ?
Pour qu'Ombeline ne fut pas là, il devait y avoir quelque chose de sérieux se dit il.

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--Rufus


***

Alors qu'il allait prendre sa p"tite pause auprès de la donzelle qu'il avait flairé, il vit venir vers lui, le Comte d'Avesne. Gné, qu'est-ce qu'il m'veut zelui là, zencore, zil a gagné pourtant ... Levant la goule vers lui, il écouta ses dires.

Rufus... où est donc ta maîtresse ? qu'a-t-elle ?

Ben zety za cauze du canasson tout za. Ze qu'dis le papelar envoyé par l'Asticot à la mort-moelle-noeud.

M'enfin,j' crois bien, car j'l'ai pas revu depuis za dernière joute, y avait zaffaire ... zune belle blonde toute zen forme, tout zen ...


Il accompagna ses parlottes de jolis gestes suggestifs, et clin doeil libidineux puis au vu de la trombine du noblio, il termina ses explications.

Brefle, zest pas trop, les mouflets zétaient tout zalopé de sang en blus, ya fallu que j'les change. L'Asticot me les a fourgué dans les pattes.

M'tenant qu' vous m'l'dite ... y'avait bien l'autre jument qu'elle zaurait pu brendre la patronne que le canasson du pique assiette. Zety vrai qu' zety bizarre qu'elle zoit pas v'nue ... M'enfin, j'préfère, j'aime pas la voir la dedans, pas zun truc de femelle tout za.

Les femmes za doit restez za la maizon. za doit s'occupez d'zon homme.

Vous vous rendez compte zon a l'air de quoi là, nous, de se faire battre comme des couillons par zelle ? Zavez vu la nobliotte d'Isengrin, foutredieu, elle t'en a fait valsé plus d'un. Moi, 'j vous le dis, femme za la maizon, et zau lit et basta, y a-t-y pas zun pli. La mienne, faudra qu'elle zy fazze, bonté de mère, qui zest l'homme, zici, zety Rufus ...



Il repartit encore dans des explications rufulesques, faisant divers moulinets du bras pour appuyer ses dires.
Lndil
Ecoutant le baratin de Rufus qui commençait à s'en aller.

Stoooppppp Rfufus.... t'en a pas marre de débiter des âneries ?
Et puis indique moi où se trouve ta maîtresse !


A l'indication, y part avec le cheval... se retourne au niveau de Rufus et lui lance.

Imagine ta vie sans cette femme Nigaud ?
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Leportel62
Lou attendait toujours des nouvelles d'Omby.

Entre temps, il avait écrit sur un parchemin le forfait de la baronne en raison de la blessure de Tonnerre.

Lorsqu'il vit revenir Rufus et les enfants, il se dirigea vers lui et lui tendit le parchemin.

Tiens de la part de ta patronne.

Grognements rufulesques mais pour une fois Lou n'attisa pas le feu. Il savait qu'il adorait sa patronne et ne voulait surtout pas l'alerter.

Il retourna pres de Tonnerre lequel commençait à se réveiller. Il le caressa pour le calmer.

Des bruits de sabots se rapprochaient. Il tourna la tête et remarqua que Lndil se pointait vers la tente. Il continua de s'occuper de son cheval......
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Benjaminp
Benjaminp avait fini par sortir de la tente de l'infirmerie car il ne trouvait pas logique qu'il y ai si peu de blesser.
En arrivant sur le terrain de joute il fit une simple constatation : Il y avait des blessés mais il était soigné ici par les mains expertes de Nefi et de lunadeltounette.
Il se dirigea vers Nefi et lui demanda


Je viens d'arriver faut il de l'aide?
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Laurent_ddv
Laurent martelait à présent l'armure de Jéhanne pour lui redonner sa forme d'origine. Jamais il n'aurait imaginé que des lances en bois puissent à ce point cabosser une armure de cette qualité. L'instant était à la précision: dans une finale, rien ne pouvait être laissé au hasard. Laurent se dit qu'à présent il connaissait bien le corps de Jéhanne et pouvait donc mieux que jamais adapter l'armure.

Le jeune homme rougit à cette pensée qui pouvait tout à fait être mal interprêtée et se dit que non, ce ne serait pas une bonne idée de placer cette remarque à un dîner mondain pour vanter ses talents de forgeron.

Une fois la belle armure retravaillée, Laurent s'appliqua à la faire briller le plus possible. Il fallait que le matériel de Dame d'Ysengrin soit aussi éclatant que possible à la fois pour l'entrée en lice, que pour la victoire finale.
Jehanne
Demi Finale...
Après quelques temps de repos, un nouveau duel allait être lancé...

La jeune femme remercia Laurent pour sa présence, ses compétences et ses conseils puis adressa un sourire se voulant rassurant à Thimothée qui ne se trouvait jamais très loin d'elle.

Le signal fut donné et Jéhanne observa rapidement son adversaire afin de viser au mieux l'écu de celui-ci.

Le bruit qui lui parvint aux oreilles et les vibrations dans sa main lui prouvèrent qu'elle l'avait bien heurté, mais, destabilisée, elle ne put se raccrocher à son destrier et chuta.

Elle ressentit le choc mais aucune douleur vraiment vive... Plus de peur que de mal!

Elle se releva donc alors que Rufus annonçait les résultats.

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