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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Wonderanny
Mars et ses nombreux mariages !

Quelques jours avant un nouveau mariage : Décidemment, la famille s’était passé le mot pour organiser un véritable marathon ! Foulaient ils l’épuiser à courir les routes ainsi ?

Quitter Paris et l’hôtel Azayes à la va vite. Organiser le départ, faire charger les nombreuses malles et le plus difficile : rattraper les serviteurs, visiteurs des soirées parisiennes profitant de l’absence de la grande pour faire la tournée des tavernes. Prendre enfin la route à toute allure pour pouvoir faire une halte reposante de quelques jours en Bourbonnais-Auvergne, reprendre linges frais et forces... Enfin juste ce qu’il faut. Le temps était compté car en ce mois de Mars, les routes pouvaient être tout à la fois praticables ou enneigées. Il ne fallait donc point tarder à reprendre le coche. Cela n’amusait guère la Blanche que de reprendre la route dans cette inconfortable boite, pour des contrées qu’elle ne connaissait que peu, pour un voyage qui lui paraissait interminable. De nouveaux chevaux au départ, blancs, il va s’en dire, changés en cours de route au gré des haltes dans les auberges, courte pause, quelques heures puis repartir de plus belle.

Aix enfin est annoncée, plus que quelques heures avant que de rejoindre la cité. Elle sera en retard, cette fois ci cela était sur. Dernier arrêt dans une auberge pour troquer habit de voyage pour quelque chose de plus féminin. Sortir du coffret martelé quelques bijoux précieux qui orneront la robe de belle coupe qu’elle a choisie pour l’occasion. Enfermer les boucles brunes rebelles dans une coiffe légère avant que d’observer le visage blafard et épuisé que lui renvoie le reflet de la glace. Se pincer les joues dans l’espoir de ramener quelques couleurs. Soupirs insatisfaits. Plus le temps de faire dans la coquetterie à présent.

Quatre chevaux bruns, à l’arrivée, écumant, firent halte devant la Cathédrale de la cité inconnue. Maladroitement, peu habituée à se mouvoir rapidement attifée d’une robe, la Dame des Dames s’extirpe du coche avec quelques difficultés. Relever le menton en bas des marches tout en espérant que personne n’aura observé cet écart, tour circulaire des prunelles pour observer la place. Plus le temps pour observer l’architecture ou la populace. Se retourner et saisir à pleine mains des pans de la robe pour monter presque quatre à quatre les marches menant au lieu Saint.

Prendre une profonde inspiration avant que de pousser tout doucement la lourde porte et se glisser en le sein du Saint. Papillonner des paupières quelques instants, s’habituant à la lueur douce du lieu. Pourvu qu’il ne soit point trop tard… Aux paroles entendues, à voir l’assemblée réunie, suivre et se placer contre la froide paroi. Inspirer les senteurs d’encens, s’imprégner de l’ambiance. Reconnaître Sybille là bas au loin, facile, au vu de la vive couleur qu’elle arbore. Esquisse d’un sourire avant que de poursuivre la périlleuse avancée. Mode invisible la Dame des Dames… c’est point gagné tant la foule est dense en ce jour. Voilà un mariage qui s’annonce des plus heureux. Caler contre un pilier, vue plongeante sur l’autel, prier un court moment avant que de plonger son regard dans l’assemblée y recherchant famille ou amis qui ont du eux aussi faire le chemin pour rejoindre Aix…

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....marie....
Marie soupira en entendant Ama.
Un de ces soupirs venus du fond de l'âme...


Oh que oui, comme je les envie...je sais que je ne devrai pas mais...

La brune regardait avec convoitise ces deux êtres qui allaient s'unir à jamais, elle leur souhaitait tout le bonheur du monde mais ne pu s'empécher de songer à LOng et à ce qu'elle aurais souhaitait le plus au monde à cet instant précis... tenir sa main...juste ça...
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Konrad_slayerstone
Konrad se trouvait toujours à côté de Delhie. Les invités arrivaient au fur et à mesure. Il sentit Delhie lui donner un léger coup de coude lorsque la mariée fit son apparition. Et encore un autre lorsque ce fut le tour du marié. Konrad admirait les riches toilettes portées par les deux amoureux qui allaient bientôt convoler en justes noces. Mais il aimait bien ces tenues....chez les autres. C'est vrai qu'il étaient beaux à votre, c'était même un émerveillement.

Il se tourna vers sa voisine qui semblait mal à l'aise en cet instant. Ou du moins troublée par cette cérémonie. Il lui prit la main, comme on prend la main d'une amie, pour essayer de la rassurer. Même si sans vouloir le montrer, son affection pour elle était peut-être au delà de l'amitié simple.


Ehhh, sois pas si impatiente que ça. On va bien trouver une bière à se jeter derrière la cravate après le mariage. Tu crois qu'ils n'en boivent pas????? Arrête, dis pas ça !!!!!!!!!!!!

Mais il sentait bien que c'était autre chose. Lui aussi ressassait son passé. Il essayait de l'oublier. Être ici n'était pas une sinécure pour ceux qui ont le coeur brisé. Tous deux étaient dans la même souffrance. mais ils se devaient de faire bonne figure. Ils étaient là pour assister à une union. A l'union de deux être qui s'aiment. Il se tourna de nouveau vers son compagne de voyage.

Laissons le passé là où il doit être Delhie. Ne crois tu pas que nous pourrions de nouveau regarder vers l'horizon. Sans crainte?
Jade.de.sparte
Ils étaient enfin arrivés ! Le trajet, bien que fort long, ne lui avait paru durer que quelques instants tant la compagnie s'avérait des plus agréables. Et sur le parvis de cette magnifique Cathédrale d'Aix-la-Chapelle, la ravissante rousse s'apprêtait à faire son entrée au bras de cet homme élégant qu'elle accompagnait avec joie. La foule était tellement compacte que la damoiselle de Sparte n'avait eu aucun autre choix que de s'accrocher fermement au bras de celui-ci afin qu'il la guide dans les premiers rangs auprès de sa famille. Ceci n'étant point l'unique raison car ne connaissant personne dans cette assemblée, elle aurait pu facilement se confondre, ce qui l'aurait profondément navrée, cherchant davantage à faire une première impression favorable.

Lorsque Flavien Von Frayner l'avait invitée au mariage de sa marraine et parente, la damoiselle de Sparte s'était sentie flattée, n'était-ce pas une première incursion au sein de sa famille ? Elle savait que cette invitation ne représentait pas uniquement un juste retour des choses suite à la présence du jeune homme à son propre baptême, puisque chaque événement semblait être une occasion supplémentaire, toujours appréciée, voir même recherchée, pour se voir. Mais chacune de ses possibilités requéraient une forte ingéniosité de la part de la jeune fille car les déplacements ne pouvaient se faire sans une escorte dûment approuvée par ses parents. Ayant appris que son oncle avait été invité par le marié, la ravissante rouquine était parvenue à convaincre sa mère qu'elle accepte de la laisser partir avec le jeune Von Frayner, son oncle et sa tante, Seigneur et Dame de Vandancourt et de Essert.

Elle n'était pas sans ignorer que des regards curieux se portaient sur eux, pendant qu'ils avançaient dans la foule et que le jeune homme saluaient ses connaissances, se demandant sûrement qui était la damoiselle à son bras, ce qui n'était pas sans la faire sourire, profondément curieuse de nature, elle aimait également la susciter chez les autres. Toutefois Jade Von Dumb de Sparte s'inquiéta légèrement en voyant le visage préoccupé d'un homme qui ne pouvait autre que le Duc de Vittel, instinctivement elle lissa sa robe d'une subtile teinte lavande, comme si un pli sur celle-ci puisse y changer quoi que ce soit, puis posa ses yeux bleus en direction du fils, un regard doux et empreint de complicité alors qu'un sourire illuminait son visage délicat. La jeune fille, bien que soucieuse, ne le laissait point paraître, seule la pression de sa main qui s'accentuait sur le bras de Flavien Von Frayner pouvait la trahir. Elle ne doutait point de ses charmes, ni de ses talents et mérites, encore moins de ses origines, mais elle avait remarqué sur le visage de ce dernier quelques appréhensions qui avait provoqué son hésitation. Il la présenta officiellement et Jade ne put que sourire à sa remarque sur sa magnificence, se demandant si elle devait attendre qu'on lui adresse la parole mais, impétueuse, elle se lança, oubliant alors d'ajouter que son père adoptif était également Baron de Mouthe


Vostre Grasce, vous me voyez ravie de faire votre connaissance. C'est un honneur d'enfin vous rencontrer.

Jade se montra brève, n'ayant nullement l'intention de monopoliser la conversation pendant une longue période puisque la cérémonie allait débuter, son regard allant du père au fils.
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Leo_de_wissocq
Léo referma doucement la porte de l'église, pour ne pas interrompre la cérémonie et pour ne pas que leur absence soit remarquée. Cependant, peu se rendraient compte de leur départ, la foule d'invités étant trop vaste. Tout en avançant vers les marronniers, Léo passa son bras autour de Liz et posa sa main sur son épaule. Il lui jetait de temps en temps quelques regards complices, heureux d'avoir pu s'échapper de la Cathédrale qui promettait une belle messe, mais qui l'aurait probablement amené dans un état de profonde léthargie. En effet, il avait parfois des problèmes de concentration, et s'il ne s'était pas laissé emporté par la solennité du mariage, il aurait été tenté de discuter avec ses voisins ou de faire quelques bêtises, pour se distraire. Mieux valait-il s'échapper quelques instants.

Ce mariage est aux antipodes du notre, tu ne trouves pas?


Ils marchaient tranquillement, profitant des premiers rayons du printemps, s'éloignant lentement de la structure imposante de la Cathédrale. Ils y reviendraient, quand la cérémonie prendrait fin, pour aller féliciter les mariés. Qu'il était agréable de se promener sous ce ciel si clément, auprès de l'être aimé. Léo pensait à leur retour à Epinal, aux premiers projets qu'ils allaient mettre en place. Il pensait à Uriel, qui allait goûter, tout comme lui, aux joies du mariage.
Free_de_chalomee
Free se tenait un peu en retrait, il avait hérité des deux enfants tandis que Théo fonçait dans la foule pour saluer tout le monde à sa façon.

Les enfants dans les bras, il ne voulait pas trop se mêler dans la foule houleuse. Il saluait d’une inclinaison de tête et d’un sourire tous les regards connus qu’il croisait.
Il pourrait leur parler après la cérémonie quand l’attroupement serait moins important.
En attendant, il s’était fait une petite place à l’arrière de la cathédrale pour toute la famille d’où il pouvait voir tout ce qui se passait sans soucis.

Il avait vu passer tous les grands noms et ses amis de Lorraine et d’ailleurs. Il attendait, comme tous, le début de la cérémonie.
La magnifique mariée avait fait son entrée jusqu’à l’autel et cela ne devrait plus tarder.

Pour faire patienter les petits, il leur montrait les vitraux et les statues de la cathédrale. Puis il leur avait chanté des chansons gaies de marin pour les bercer.
Ils se moquaient bien de tout le protocole et comme des enfants pleins de vie qu’ils étaient, ce n’étaient pas facile de les faire patienter.

Bercés par leur père et ses chansons, ils s’étaient endormis, malgré le bruit, dans les bras de celui ci.
Free avait rejoins Théo sur le banc qui était revenu se reposer un peu, le dos endolori par le poids de sa nouvelle grossesse.
Elle s’était appuyé contre son épaule et attendait patiemment la suite de l’événement.

Les deux enfants dans les bras qu’il continuait de bercer et sa Théo contre son épaule, Free comprenait tout le sens des mots, soutien de famille …

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Ivrel_samford
Et puis cette petite main en l’air comme un papillon blanc en vol au dessus de l’assemblée religieusement muette. On se recueille, des dames rêvent et d'autres : - ils sont si beaux les mariés - certes, moi je serais plus belle encore quand viendra mon tour, elle a de la chance pff, lui est peut-être un peu trop petit non ? mais bon, si gentil. Sourires béats, larme à l’œil, les doigts se croisent et se tordent sur des genoux trop serrés, alors on y est, rien n’est venu interrompre cette union.

Ivrel s’approche de sa rose Wamarine, elle a toujours ses yeux verts et ce port de tête altier reconnaissable entre tous. -excusez-moi, il enjambe gracieusement les gens de la travée, écrase des pieds trop pointus - désolé, non pas sur vos genoux, je vais un peu plus loin, s’aperçoit à ce moment-là que Coem n’est plus dans ses pas, mais sous la nef. Sam lui fait de grands signes et lui demande d’approcher en montrant du doigt Wam qui maintenant baisse la tête, les gens râlent un peu. Madame de Siorac toujours aussi gracieuse…


-Belle journée ma reine, j’ai eu peur de ne jamais trouver ma rose parmi toutes ces belles plantes. Il l’embrasse sur le nez. Mais comment saviez-vous qu’on venait ? Ces deux places libres près de vous ? Coem arrive, j’espère sans encombre. Ses chuchotis montaient très haut comme pour aller se cacher entre les pierres.- Ils sont si beaux tous les deux n’est-ce pas ? Et le blanc de la cardinale contraste si bien avec le rouge de la robe de la mariée ou l’inverse tenez, mais moi je sais qui est la plus jolie dans cette cathédrale. Il chuchote toujours en écoutant d’une oreille distraite les psalmodies. - Avez-vous trouvé facilement une auberge ? C’est fou le monde qu’il y a en ville, notre Uriel est un petit cachotier, lui si discret, avoir autant d’amis, je suis bien heureux de le voir si amoureux, regardez le. Il souriait aux anges, perdu dans ses pensées, écoutant Wamarine et reprit comme pour lui-même – le monde à l’envers ce sont maintenant les hommes d’Église qui se marient plus vite que leurs ouailles. Au même moment, il croisa les yeux d’Uriel et lui fit un petit signe de la main. Mais les chaises grincent à côté voilà Coemgen et son grand arc.

-Wam t’étais où ? On te cherche depuis deux jours ! Allez pousse tes fesses sur l’autre chaise prends vite la place au milieu.

Chut, un peu moins de bruit devant s’il vous plaît !
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Liz_de_wissocq
Le bras de Leo autour d'elle, Liz respirait doucement l'air printanier tout en écoutant les paroles qu'il prononçait tout en marchant:

Ce mariage est aux antipodes du notre, tu ne trouves pas?

Levant la tête, rayonnante, Liz hocha la tête de haut en bas:


Oh oui, complètement différent mais même si celui de Sybille et Uriel est un très beau mariage, entourés qu'ils sont de tous leurs parents et amis, j'avoue que pour rien au monde je n'échangerais le nôtre contre le leur. Notre mariage ne ressemble à aucun autre, notre vie ne ressemblera à aucune autre

Ils iraient bien entendu féliciter les mariés et saluer tous ceux qu'ils n'avaient pas eu l'occasion d'approcher quand les portes de la Cathédrale se rouvriraient, laissant se déverser sur le parvis la foule compacte qui pour le moment encore, se serrait sur les bancs de l'édifice.

En attendant, enlacés, ils avançaient vers une nouvelle vie à deux qu'ils s'étaient promis de rendre merveilleuse l'un pour l'autre.
Mun
Père me cherchez vous ?! Allons ne soyez pas en colère, l’essentiel c’est d’arriver à l’heure. D’ailleurs où se trouve les futurs mariés ?
Fit sursauter Mun qui cherchait une place ainsi que ses enfants.
Regard sévère un instant puis intrigué par la personne au bras de son fils.


Je vous présente Jade von Dumb de Sparte, fille du comte de Sochaux et de la vicomtesse de Rochefort su Nenon, Leif et Katarina von Dumb de Sparte. Une demoiselle dont vous ne pouvez qu'admirer la magnificence... N'est ce pas?
Le regard interrogateur
Mmmmmm de Sparte me dites vous mon fils, j'ai connu il y a un temps un membre de sa famille.
Mais bon

Un peu moins énervé tout en regardant la charmante demoiselle.

Nous en reparlerons mon fils.
Vostre Grasce, vous me voyez ravie de faire votre connaissance. C'est un honneur d'enfin vous rencontrer
Heureux de vous rencontrer damoiselle.
Cherchant toujours sa fille parmi la foule qui prenait place.
Il est vrai que le premier contact était froid mais l'endroit n'était pas aux présentations.


Se penchant vers son fils
Tu as de la chance elle semble de bonne famille,bien éduquée et ravissante mais cela ne pardonnera pas ton retard ainsi que de m'avoir laissé venir seul en carrosse.
Nous devrions être devant

Mun se redressa et se dirigea vers une des places libres tout en regardant son fils et la damoiselle qui l'accompagnait . Si Elou avait été là il aurait été calmé de suite par ces paroles.
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Barberine


Dans la cathédrale

Un silence religieux était palpable. Chacun attendait le début de la Cérémonie.
Quand la Cardinale, sompeueusement vêtue, presque trop, s'adressa enfin aux mariés, elle serra un peu plus fort la main de Fiha dans la sienne, et esquissa un petit sourire en levant la tête vers lui, après qu'il ai répondu en entrelaçant leurs doigts.

Elle repensait à leur première rencontre. Elle n' imaginait pas ce jour là qu'il saurait trouver le chemin de sons coeur et que leurs destins seraient liés.

La cérémonie se déroulait, mais son esprit était ailleurs.
A peine sentit elle sa voisine tressaillir.

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Delhie
Mais qu’est ce qu’il lui raconte le Konrad? Si il veut la déprimer en la refaisant repenser a son mariage alors qu’elle est tranquillement en train de réprimander on foutu fœtus, il s’y prend comme il faut. Laissez le passer où il doit être, regarder l’horizon, ect. que des foutaises tout ça.
Que du frais pour le moment, et puis d’abord, qu’on ne lui en parle plus. C’est si dure de faire semblant de croire a on masque de « tout va bien je vais bien » tout en la laissant ruminer a souhait a l’intérieur ?

Alors pour toute réponse le pauvre Konrad plein de bonne intention ne reçoit d’un soupire lasse après un haussement d‘épaule. Au milieu du quelle la gasconne bascule la tête en arrière.
Et là alléluia, au milieu de la foule d’invités à l’envers _ bah oui la tête en arrière, bref _ un visage amicale.
Un mousse, la mousse.

Hop là, d’un coup d’un seul la miss se redresse pour observer l’arrière de la salle.
C’est bien oui, là, tout a font, le nouveau curton arrivé en retard, on se refait pas.
Mousse, la mousse. Nouvel homme d’église, ami de son époux certes, mais qui a sauvé la vie a la gasconne en Berry il y a pas si longtemps. Juste avant qu’il ne décide d’aérer ses bijoux de famille sous la soutane, a l’époque où il portait encore une épée. Elle a bien rétrécit depuis, bha oui, il y a du coutant d’air sous la soutane, ça caille.

Trop heureuse de voir un visage familier la voila qui lui envoi des signaux discret … enfin quand je dit discret c’est discret selon delhie qu’est plutôt du genre éléphant dan un magasin de porcelaine.
Bras qui s’agitent,
psss et coucou silencieux fusent jusqu’à ce qu’elle puisse attirer son attention.
Puis articulant exagérément afin de laisser lire sur ses lèvres.


On … se .. Re-trou-veuh … a-près … la … cé-ré-mo-nie.

Grand sourire de la brunette satisfaite de sa discutions silencieux qui conclue par un clin d’œil.
Icie
[Quelque part en Aix La Chapelle]

C'est encore loin mère?

Enième question, enieme réponse.

On arrive, ma chérie, ce n'est qu'à quelques lieus.

Les portes franchies les enfants avaient le front collé aux vitres du carosse. Nahysse était excitée comme puce, ne cessant de tirer la manche de sa cousine pour lui montrer une fenêtre, une échoppe ou un saltimbanque. Agnes sortait à peine d'un sommeil agitée.
La comtesse Icie de Plantagenet songeait qu'il serait bien assez tôt de calmer les fillettes.

Le voyage avait été pretexte à quelques leçons d'histoire et de géographie mais aussi la visite d'amis. De chateaux en châteaux, ils avaient mis plus de temps que prévu mais la fatigue et l'ennui en avait un peu été ecartés.


Nahysse, dis moi si Gauvhin est toujours en tête? Je m'inquietes de notre retard. Et nous devons encore nous changer à l'auberge.............

Soupire

Son fils avait mené l'escorte depuis le Poitou de main de maitre. Nul incident, pas de brigand, Icie était satisfaite de constater que les leçons de ses maitres avaient porté leurs fruits.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!
Cyann
Un pied sur la marche, Cyann, est entre deux mondes.
Celui du dedans. L’église, lieu sacré aux hauts plafonds en ogive, aux murs ornés de vitraux chatoyant, à l’autel drapé de blanc et orné de majestueux bouquets de fleurs de ce début de printemps. Lieu de silence religieux, animé, vivant, palpable. Lieu ou deux êtres qui se font face, nerveux et impatients, tout à la fois. Vêtus de beaux atours aux couleurs de la passion. Rouge Rouge Rouge comme le sang. Et cette tension qui monte, ce lien qui se tisse, trame, tisse la toile de la vie.
Et celui du dehors. Le parvis animé de l’église, léger fourmillant ; puis, la rue bruyante et sale, et au delà, juste en face, l’auberge avec son écurie et Sabifax sans doute, son aimé quelque part.

Mais que peut il bien faire ? Il devrait déjà être là la cérémonie va commencer et il n’est a toujours pas arrivé.

Alors que faire ? Longer l’allée discrètement et s’asseoir auprès de Wawamarine pour ne pas rater une miette de la cérémonie ? Ou chercher Sabifax ? Tout de même il devrait être revenu ça ne prend pas tout ce temps de placer deux chevaux en sécurité. Quelque chose a dû tourner de travers…. Mais quoi ? Il ne s’agissait tout de mesme que de placer les bêtes… Et le juge n’a sûrement pas besoin d’elle. Elle s’en fait trop, c’est certain. Après tout, que peut-il bien arriver dans une auberge aussi fréquentée que celle sise en face de la cathédrale d’Aix ? Cyann roule des yeux océans puis, avisant le déroulement de la cérémonie sort en marmonnant entre ses dents


Si je presse le pas, j’ai le temps de revenir avant qu’Ecatérina ait finit tout son blabla. Et au moins j’en aurais le cœur net.


La blonde soulève ses jupons et traversent la rue pour rejoindre les écuries. Elle avise un palefrenier.


Bonjour, vous avez vu un gars les cheveux couleur de mi
… enfin clair, grand comme ça à peu près


* Cyann refelchit un isntant devnat la tete medudé du gars *

avec deux chevaux un frison et une jument tachetée

Le visage du palefrenier s’éclaira

vi m’dame les deux chevaux sont la bas

oui mais le bonhomme ?

L’homme entre deux âges montra du doigts une porte qui menait à l’auberge, Cyann suivit le doigts et atterrit dans la salle commune de l’auberge et voit enfin Sabifax, face à elle, attablé devant une énorme chopine. Cyann fronça ses sourcils blonds sentant le rouge lui monter au visage et la moutarde -que Dijon n’a pas encore inventé- au nez.

Oh vous ! Et dire que je me suis inquiétée de ne pas vous voir revenir ! Quelle sotte ! Priez que grâce à vos …péchés, je n’ai rien raté de la cérémonie !

Tout en parlant, elle s’approche de la tablée et lorgne l’énorme chopine pleine de mousse. Ses papilles gustatives s’agitent, trépignent, c’est toute son enfance et sa jeunesse tout prés de l’abbaye qui remonte .. un appel … elle saisit la chopine et en boit la moitié cul sec puis repose bruyamment la chopine…


Bien, sur ce je vais écouter nos amoureux se dire oui.
Vous venez ou restez là à cuver tout seul ?


Elle le regarde et soulève un sourcil blond, un coin de sa bouche plein de mousse blanche
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Rédactrice en chef de l'AAP FRANCE & SRING
Titca
Le nez en l'air, la Dame admira chaque détail sans se soucier vraiment du reste, Thomas avait accepté de prendre place dans le fond ce qui l'arrangea grandement ! Souriante elle avait lâché son bras et c'était assise sur l'un des bancs prenant garde toutefois à ne pas abimé sa robe. Une fois chose faite, Tit avait déposé sa besace à sa gauche au pied du bois et tourner la tête en direction de son Suzerain pour lui adresser un petit sourire qui sonnait assez faux. Il y avait bien trop de monde à son gout et la foule n'était pas vraiment l'environnement dans lequel elle préférait évoluée, tout le monde bavardait à droite et à gauche, le bruit amplifiée par la grandeur du lieu devenait bien vite un énorme capharnaüm et sans compter que la moitié des paroles prononcées ne trouvaient jamais de réponse. Bref, du fond de la cathédrale elle était bien plus à son aise et si un à moment ou un autre l'atmosphère l'étouffait la sortie n'était pas bien loin.

La Dame ce pencha pour communiquer à son ami, ses peurs... Mais une douce musique la fit taire. Le moment était venu, elle allait enfin découvrir cette femme nommée Sybille. Ce penchant un peu pour voir les portes elle attendit entre excitation et curiosité. Ainsi donc c'était-elle ? Tit pencha la tête et regarda la demoiselle avancée le long de l'allée, elle était belle, noble cela ce voyais sans aucun doute, mais quel genre de noble ? Tit avait bien envie de poser la question directement à son suzerain, mais cela lui parue un peu déplacée. Quand celle-ci fut passée, Titca retrouva une position confortable et attendit le début de la cérémonie. Avec un peu de chance Uriel lui présenta sa douce plus tard ? Ce retournant, elle remarqua l'arrivée de son évêque et sourit rassurée de voir qu'il ne ce n'était pas perdu en route, après quoi elle se replongea dans l'observation des lieux.

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Nahysse
[Quelque part mais pas encore arrivées]

On arrive, ma chérie, ce n'est qu'à quelques lieues.

La fillette se mordilla la lèvre inférieure pour se retenir de soupirer. C’était mal élevé pour une jeune fille de soupirer.
Ses yeux bleus se perdirent dans le paysage.
Elle n’avait qu’une envie : courir tout en sautillant sur un pied à chaque pas.
Sans vraiment s’en apercevoir, ses petites jambes se balancèrent, ses talons frappant chacun leur tour sous son siège.
Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da. Ta Da.


Nahysse, dis moi si Gauvhin est toujours en tête? Je m'inquietes de notre retard. Et nous devons encore nous changer à l'auberge.............

Une mission ! La gamine prenait très au sérieux ce que lui demandait sa mère et s’appliquait toujours à bien le faire.
Ni une ni deux, elle colla son petit visage à la vitre de la voiture comme précédemment. Son nez ressemblant à celui d’un cochon pour celui qui l’aurait regardé depuis l’autre côté de la vitre. Mais il n’y avait personne pour observer ce spectacle.
Non, décidément, elle n’arrivait pas à voir son frère.
Nahysse se mit à genou sur son siège, coinça un petit bout de langue au coin de sa bouche et tira de toutes ses forces pour ouvrir la fenêtre.
Enfin, son petit minois passa à l’extérieur de la voiture.
D’abord les yeux fermés, Nahysse ne put rien voir, juste sentir le vent jouer avec ses boucles blondes. Petit à petit, elle ouvrit un œil, puis l’autre. Rien en vue. Enfin, il ne lui semblait pas voir son frère.
Petit froncement de sourcils, sa main vint se coller en paravent sur son front afin de mieux y voir.
Toujours rien.
Déçue, la fillette reprit sa place, les joues rosies par le vent mordant des premiers jours de printemps, et les cheveux en bataille.
Une moue de déception se dessina sur son doux visage.


Je ne le vois pas, mère. Est-ce que ça veut dire qu’on est encore loin ?

Zut de zut ! Elle avait hâte de montrer comme elle avait grandie à son cousin Eloy. A coup sur elle l’avait rattrapé. Il ferait moins le malin !
Et puis, elle ferait une tellement belle révérence à la mariée, que le bouquet serait à elle, et sa maman serait très fière d’elle.

Toute à ses pensées, la fillette referma la fenêtre qu’elle avait ouverte et retapa ses jupes comme une grande. Son regard azur se leva vers sa mère, implorant le ciel pour qu’ils arrivent bientôt. Elle avait vraiment besoin de bouger.

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