Tristan.
Appartements du duc et de la duchesse de chiny- hebeviller
Encore un mariage, les noces se succedaient a une vitesse deraisonnée, celui la avait une saveur particuliere, il reprenait peu a peu ses forces le printemps arrivant. La douceur maternelle de sa soeur et la presence de son epouse et de ses filles l'aidait a reprendre ses esprits et ses forces.
Sa soeur ne le lachait pas, oui il avait perdu sa mere mais elle et siva compensé bien largement son absence qui en ce jours lui pesé.
le souvenir laissa la place a la joie quand il repensa aux chamailleries d'antan, de ses courses effreinées dans les couloirs de chiny ou de l'aigle. Ces moments de plaisir qui laisserent la place a la séparation malgré eux.Les souvenirs revenaient depuis son retour en lorraine le laissant a la fois nostalgique et heureux que les images reviennent enfin.
Heureux de ce mariage qui ressemblait au sien, la victoire de l'amour sur la raison, la sincerité plutot que les fiefs. Ce mariage serait sans doute un succes.
le duc avait enfilé l'habit de lumiere aux couleurs de chiny, la tronait devant ses yeux deux couronnes celle de sa mere defunte et l'autre specialement faite pour son epouse. Apres avoir offert la deuxieme a son epouse, il les laissa elle et onaelle finir de se preparé. Enlevant catherine victoire enorig du berceau il l'emmena avec lui jusqu'au appartements de sybille tenant le present de l'autre main
Privilege grandiose de pouvoir penetré impunement dans ses appartements, il entra en compagnie de sa fille souriant
Tu es radieuse ma soeur! je t'amene ta niece, j'espere que celle ci va apaisé ton anxieté sourire je t'amene egalement un present qui devrait te faire plaisir la couronne de mere, elle est a toi desormais
un instant de silence se passa quand il repris la parole
Me laissera tu le privilege de t'emmené jusqu'a l'autel?
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Encore un mariage, les noces se succedaient a une vitesse deraisonnée, celui la avait une saveur particuliere, il reprenait peu a peu ses forces le printemps arrivant. La douceur maternelle de sa soeur et la presence de son epouse et de ses filles l'aidait a reprendre ses esprits et ses forces.
Sa soeur ne le lachait pas, oui il avait perdu sa mere mais elle et siva compensé bien largement son absence qui en ce jours lui pesé.
le souvenir laissa la place a la joie quand il repensa aux chamailleries d'antan, de ses courses effreinées dans les couloirs de chiny ou de l'aigle. Ces moments de plaisir qui laisserent la place a la séparation malgré eux.Les souvenirs revenaient depuis son retour en lorraine le laissant a la fois nostalgique et heureux que les images reviennent enfin.
Heureux de ce mariage qui ressemblait au sien, la victoire de l'amour sur la raison, la sincerité plutot que les fiefs. Ce mariage serait sans doute un succes.
le duc avait enfilé l'habit de lumiere aux couleurs de chiny, la tronait devant ses yeux deux couronnes celle de sa mere defunte et l'autre specialement faite pour son epouse. Apres avoir offert la deuxieme a son epouse, il les laissa elle et onaelle finir de se preparé. Enlevant catherine victoire enorig du berceau il l'emmena avec lui jusqu'au appartements de sybille tenant le present de l'autre main
Privilege grandiose de pouvoir penetré impunement dans ses appartements, il entra en compagnie de sa fille souriant
Tu es radieuse ma soeur! je t'amene ta niece, j'espere que celle ci va apaisé ton anxieté sourire je t'amene egalement un present qui devrait te faire plaisir la couronne de mere, elle est a toi desormais
un instant de silence se passa quand il repris la parole
Me laissera tu le privilege de t'emmené jusqu'a l'autel?
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