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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Gbe
[à Verdun]

Margès de Beaurepaire et Gratien du Bas Ermitage avaient reçu missive de leur ami Uriel. Celui-ci les invitait à ses noces avec la duchesse Sybille Von Frayner.

Ils s'activèrent donc tous deux pour se préparer au voyage. Aachen était quand même à deux jours de route pour autant que le rythme soit soutenu.

S'adressant à sa douce Margie :


Et bien très chère, nous ferons halte demain soir dans une auberge aux abords d'Aachen. Ceci nous permettra de nous préparer et de revêtir nos plus beaux atours pour céléber l'union de notre ami Uriel avec sa promise.

Nous aussi bientôt mon ange ...


D'un sourire entendu, il s'activèrent et se mirent en route.

[Au petit matin, dans une auberge d'Aix-la-Chapelle]

Nuit douce et reposante après deux jours de trajet. Margès et Gratien rendirent grâce au Très Haut pour dès à présent célébrer ce jour de fête.

Gratien revêtit des vêtements sobres dans une tonalité générale beige. Une ceinture d'étoffe jaune ceignait sa taille.

Margie apparut resplendissante dans une robe lila.

Vous êtes superbe. Le temps de n'a pas de prise sur vous ma douce. Mais il est temps, allons-y !

Gratien prit la main de son amie et ils se mirent en route pour la cathédrale.

[aux abords de la Cathédrale]

En arrivant sur le parvis ils constatèrent une allée et venue conséquente de carrosses. Les soieries fines et les riches toilettes émergaient à chaque fois en un fin bruissement.
Il s 'agissait, il est vrai, d'un mariage de rang.

Margès et Gratien reconnurent quelques têtes. Ils saluèrent ainsi leur vidame, Monseigneur Mun Von Frayner.

Ils apperçurent aussi quelques frêres et soeurs d'armes, le sergent Jewak, le cadet Heliona, ...

Tout en montant les marches, ils saluèrent quelques autres verdunnois. Le sieur Caohim ainsi que Dame Lavania et sa nombreuse progéniture.

Que de monde !

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Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Garde épiscopale - Cadet - Saint-Empire - Duché de Lorraine - Verdun
Slarkoss
Sancy, tôt le matin
Le geant barbare n'avait daigner se lever ce matin malgrés les supliques d'Isis et les coup de pied qu'elle lui avait mit pour recupere son chemisier de voyage sur lequel l'auroch s'etait endormit par inadvertence.Il fut toutefoisreveiller par des bruit a l'exterieur. Il se pencha alors par la fenêtre et vit un carosse sur le depart.
Encore en partie dans le monde des reves, il apperçut un homme qu'il avait deja vu avant aider isis et barberine a monter dans le carosse ... Cela ne le choca pas plus outre mesure. Et s'etirant il retourna vers le lit pour se recoucher. Mais la un trait d'inquiétude le parcourrut et le reveilla definitivement. Qu'est ce que Isis faisait dans un carosse au aurores ? Qu'est ce que s'etait que se manège ? Et pourquoi n'avait il pas ete réveillé ? Il se précipita a nouveau vers la fenetre pour tenter de heller les voyageurs. Mais le carosse passait alors la herse d'entree du castel. Il jura comme jamais il n'avait encore jurer et sortit de la chambre vetu en tout et pour tout de ... rien. Il avait juste sa lourde hache a la main. Ses deux molosse de guerre qui ne le quittait plus, le suivirent. Les servantes qu'il croisa sajs les voir se mirent a rougirent de le voir ainsi vetu.

Peine perdue pour lui il se retrouva seul dans la cours. Le nuage de poussière soulevé par le carosses étaitt maintenant hors de porter de ses jurons et autre cris. Il rentra dans la demeurent et chercha apres la suivante d'Isis. Il la trouva et la questionna sur ce qui ce passait.

Le colosse se precipita alors dans la chambre ou il s'habilla pour le voyage. Une lourde cape de fourrure composé de la "criniere" d'un bison européen, son pantalon ou venait reposé sa lourde ceinture de cuir ou tronait sa griffe de combatet son épée, ses bottes, et ses gant de cuire renforcé par de la maille et une chaine. Il prit son heaume et se rua au ecuries. La il ne prit meme pas attention a ce qu'il faisait. Il scella tornade comme le lui avait apprit Isis et celui ci ce laissa etrangement faire.malgrés leur leçon qui avait ete quelque peu houleuse. Il monta l'animal et partis au triple galot a la suite du carosse. son lourd bouclier dans son dos et sa hache reposant dans un etuit de cuir et de fourrure a la scelle de sa monture. Les deux chiens de guerre courraitent à sa suite.


Sur la route

Il suivait la piste du carosse. Bientot le soleil montant de plusen plus haut venait doucement chauffer le torse du barbare dont l'apparition actuel aurait inquièté le plus aguérrit des voyageurs. Il avait accrocher dans les sacs a l'arriere de sa scelle des vetement de rechange plus approprié au oieu ou il se rendait que Lizbeth lui avait fournit. Elle etait prevoyante cette femme il faudrait qu'il pense a la remercier a son retour.

Au bout de plusieurs heures de gallot inniteromput il apperçut uen auberge. La piste qu'il suivait le couduisait a la cours interieur de celui ci. Il arriva au moment ou tous descendait du carosse. Son aspect n'était pas ce qu'on pouvait appeler des plus rassurant. Il tira sur les rennes pour faire stopper Tornade qui se cabra sous l'effet de l'action et s'arreta face au occupant du vehicule qi venait de descendre.

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Nemo Me Impune Lecassit

"(...) Si tu trouve que la violence ne résout rien, c'est que tu ne tape pas assez fort (...)"
Spectralya
La jeune Duchesse vivait des moments difficiles en ce moment et avait un peu la tête ailleurs. Elle avait reçue une invitation à se rendre à Aix-La-Chapelle pour le mariage de son très cher ami. Ils ne s’étaient pas beaucoup vu ces derniers temps et elle se devait d’être là. Elle ne pouvait pas passer à côté d’un tel événement. Elle rangea la missive et nota la date dans son calepin de rendez-vous, réservant la journée pou y être.

Le jour venue, elle s’était levée très tôt, s’était préparée pour l’occasion, revêtant sa plus belle robe pou être à la hauteur de ce mariage. Elle prépara tout ce dont elle avait besoin pour ce long voyage et se mit ensuite en route. Elle ne connaissait pas très bien cette route et espérait ne pas se perdre en chemin. Elle s’y rendit le plus rapidement possible. Mais sa crainte devint réalité, elle se rendit compte que avait dû se tromper de route à la croisée puisqu’elle semblait s’éloigner de la civilisation plutôt que de se rapprocher.

Elle rebroussa chemin et tourna vers l’autre route en retrouvant la croisée. Elle fit un bout de chemin et aperçut enfin le clocher de la Cathédrale. Elle augmenta la vitesse de croisière afin d’y arriver au plus vite. L’attroupement se faisait déjà sentir. Elle était en retard de toute évidence. Elle soupira, et alla mettre sa monture en retrait, près des installations prévues à cet effet et s’avança ensuite vers les autres invités.

Elle autour d’elle, elle en reconnaissait certains, d’autres étaient inconnus. Elle s’avança parmi eux, saluant ceux qu’elle connaissait en leur faisant une bise, les autres, en leur faisant un sourire et un signe de tête pour les saluer au passage.
Munella_von_frayner
Munella était arrivée tôt pour assiter à l'union de Sybille et de son fiancé Uriel. Elle avait grand soin pour se vêtir , profitant de cette céremonie pour voir ou revoir des membres de sa famille.

Elle regardait la foule en souriant et chercha son père . Elle ne connaissait que peu de personne , mais elle était heureuse d'être la.

Ses pensées se perdirent dans les derniers événements
Isis25
Sancy, tôt le matin.

Isis se réveilla difficilement. Lisbeth, sa fidèle servante, avait déjà préparé un petit en cas et finissait de préparer les vêtements pour le voyage.
Isis se leva tout de même et poussa son géant afin qu'il se réveille aussi.
Mais non rien à faire, il ne faisait que grogner.
Elle lui souffla sur la figure, l'embrassa puis n'y tenant plus elle lui mit des coups de pieds pour récupérer son chemisier de voyage.
Elle grogna elle aussi mais quand elle fut prête elle alla tout de même lui faire un tendre baiser avant de rejoindre Fiha et Barberine qui l'attendait pour partir.

Elle monta dans le carrosse, non sans avoir jeter un coup d'œil vers la porte, espérant tout de même qu'il viendrait les rejoindre.
Mais non, elle fit un soupir de tristesse et s'installa dans le carrosse.
Isis s'enroula dans une couverture, se blottit dans un coin du carrosse et finit par se rendormir.



Sur la route.


Le silence s'était installé dans le carrosse. Seul le soupire de tristesse qu'Isis faisait de temps en temps troublait ce silence.
Puis, le soleil vint réchauffer l'intérieur de ce dernier et ses occupants.
Ils se réveillèrent doucement alors que le carrosse s'arrêtait à destination.

Comme ils descendaient, Isis se retourna comme si elle avait senti quelque chose. Un cavalier arrivait au grand galop suivit par deux énormes molosses.
Elle avait reconnut l'étalon mais aussi les deux chiens qui suivaient. Seul le cavalier lui mettait le doute.
Lorsque le cavalier enleva son heaume.Elle fit un grand sourire en voyant son bien aimé.
Elle attendit que les deux chiens se calment et elle se précipita vers lui et lui sauta au cou, heureuse qu'elle était, qu'il se soit enfin décider à venir les rejoindre.

Elle lui prit la main et l'entraina dans l'auberge à la suite de Fiha et Barberine afin qu'ils puissent se restaurer et se changer avant d'aller à la cathédrale d'Aix.
Amazone1ere
Amazone avait fait un long voyage depuis Nancy. Beaucoup de péripéties, de tristesse avaient accompagnés son voyage. Elle était proche d'Orléans quand elle recût une missive l'invitant à venir assister au mariage de son parrain. Elle décida d'y assister. Elle détacha Furie de la roulotte et partit au triple galop en direction de la cathédrale.

Quelques jours plus tard, elle arriva à Aix-la-Chapelle. Elle partit dans une auberge pour se subtanter et se laver puis elle alla à l'église. Beaucoup de monde était déjà arrivée. Elle salua tout le monde. Elle vit au loin sa grande amie Marie. Elle partit en sa direction quand tout à coup son coeur se mit à battre la chamade. Léo...... Léo était là! Et il n'était pas seul. Elle resta un moment sans bouger, ne sachant que faire. Allait-elle le saluer comme si de rien n'était? Allait-elle l'ignorer? Ou bien allait-elle se jeter dans ses bras et lui dire que tout ce qu'elle lui avait dit était faux? Elle secoua la tête pour faire fuir la dernière idée. Il était malheureusement trop tard pour lui avouer qu'elle l'aimait toujours. Un sentiment de tristesse et de désespoir sembla vouloir l'envahir mais elle essaya de ne rien montrer.

Elle prit enfin son courage à deux mains et alla le saluer.


Bonjour mon an... Léo!

Elle se retint à temps de ne pas l'appeler comme elle adorait l'appeler. Mon ange. Oui Léo serait certainement son ange pour la vie. Mais il lui fallait se faire une raison. Il était marié et appartenait à une autre femme. Aujourd'hui était un jour heureux pour son parrain qu'elle adorait. Il allait enfin se marier avec la femme chère à son coeur et pour lui, elle arborerait son plus beau sourire.
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Amazone1ere de son vrai nom Eowynn de Galway
Heliona
Héliona saluait toutes ses connaissances, elle se dt même qu'elle connaissait plus de gens qu'elle ne le pensait, lorsqu'elle aperçut au loin arriver Titca et Eloin.
Elle s'empressa d'aller rejoindre ses soeurs de l'abbaye, se faufilant entre les invités qui étaient de plus en plus nombreux. C'était pas si mal tout compte fait d' être petite


Soeur Titca, Soeur Eloin, je suis contente de vous voire !

Elle baissa la voix, toute gênée lorsqu'elle se rendit compte qu'elle était entrée dans la cathédrale.
Elle mit la main devant sa bouche, lachant un petit
Oups...
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Leo_de_wissocq
Léo saluait tous ses amis, et toutes les connaissances de Liz, un sourire aux lèvres pour célébrer l'événement qui allait avoir lieu. Une foule d'invités étaient déjà arrivée et alimentait une atmosphère riche en retrouvailles. Il reconnut sa marraine, et quelques religieux qu'il avait rencontrés lors de ses retraites à Noirlac. Il leur adressa un petit signe de la main en guise de salut, repoussant à la fin de la cérémonie leurs retrouvailles.

Léo entendit soudain une voix familière et se retourna pour saluer Amazone. Ils ne s'étaient pas vus depuis leur séparation qui avait eu lieu quelques temps auparavant, lors d'un voyage. Il n'ignorait pas qu'ils seraient un jour ou l'autre amenés à se recroiser, et à repenser, ne serait-ce quelques instants, à la relation qu'ils avaient entretenue pendant quelques mois. Aujourd'hui beaucoup de choses avaient changé, et Liz faisait à présent parti de sa vie. Léo savait que l'annonce de son mariage en avait surpris plus d'un, et devina qu'Amazone avait dû être sacréement stupéfaite lorsqu'elle avait reçu la missive destinée à lui révéler cette nouvelle. Il ne releva pas le lapsus d'Amazone, et lui répondit, avec beaucoup de respect:


Bonjour Amazone. J'espère que vous avez pu voyager sans heurt pour arriver jusqu'à ici.

Il tourna alors la tête vers Liz, et fit les présentations. Ce genre de rencontre était en général assez pesante, surtout la première, mais Léo ne souhaitait pas qu'un malaise s'installe entre eux trois. Au contraire.

La cérémonie n'allait sans doute pas tarder à commencer, les premiers invités pénétraient déjà à l'intérieur de la Cathédrale, à la recherche d'un endroit ou s'installer.
Free_de_chalomee
[A Epinal]

Le calme était revenu dans la villa « promesse », les jours s’écoulaient paisiblement mais ce matin une certaine fébrilité était revenue.

Free s’était levé de bon matin, laissant Théo avec les petits et les affaires à finir de préparer. Il avait embrassé et câliné tout le monde avant de sortir travailler à l’écurie et à la forge.
Il devait préparer la carriole, vérifier toutes les attaches, les renforcer si nécessaire. Il n’était pas question d’avoir le moindre incident avec ses trois trésors à son bord.

Puis il devait atteler Viven dessus et la charger des bagages et surtout de la malle des affaires des bébés et des tenues pour la cérémonie.
Aujourd’hui il partait pour Aix, assister au Mariage de leurs amis Uriel et Sybille.

Une longue route les attendait, il fallait se dépécher ...
Uriel
[Cathédrale d'Aix-la-Chapelle, aux aurores]

Le soleil s'était levé de bon matin, trainant dans son sillage les chants d'oiseaux inhérents au printemps.
Uriel l'avait regardé apparaître derrière les toits des imposantes bâtisses situées autour de la place.
Lorsque les premiers rais vinrent frapper le plus haut clocher, il ferma un peu les yeux, respirant la fragrance de cette journée si spéciale.



Déjà des personnes courraient dans tous les sens, les uns pour ouvrir leur commerce les autres pour préparer les marchandises ; des serviteurs en livrée faisaient les premières courses pour leur maîtres.
Une troupe de la maréchaussée, portant l'uniforme aux armes de la ville, parcouraient la place.

Le Premier Archidiacre de Trèves se leva et traversa nonchalamment cette dernière, ne pensant pas à grand chose hormis Sybille.
Il monta la volée de marches et arriva sur la parvis, se tournant pour embrasser du regard le paysage de la ville en pleine effervescence.

Il était plus que temps de se préparer, d'enfiler vêtements de cérémonie et bottes. Son esprit vagabonda à nouveau vers les vertes vallées lorraines, celles qu'il avait tant parcouru, sur son bon vieux cheval. D'ailleurs, il faudrait penser à lui accorder un peu de repos, à Jax, car le temps marquait peu à peu son emprise sur l'animal ... il passerait des jours heureux à Herbéviller. Quant à lui, il s'accommoderait bien d'une nouvelle monture, un brave cheval de trait bien costaud. Oh certes il se ferait encore réprimander par la Duchesse pour son manque de convenance en ce domaine. D'ailleurs, cela le fit sourire ... comme il aimait la taquiner avec cela.
Il revint quelque peu à la réalité ... les premiers invités allaient arriver d'une seconde à l'autre et il était encore habillé comme un paysan - non que cela le dérangea mais il n'osait même pas envisager de mettre le costume qui avait été prévu pour la cérémonie.

Uriel pénétra donc dans la Cathédrale, trempa ses doigts dans le bénitier et se signa. Remontant l'allée centrale, il salua la statue d'Aristote avant d'aller faire une génuflexion et réciter une silencieuse prière à la gloire du Très-Haut. Il se releva, puis distraitement, contourna l'autel pour tourner les pages du livre des vertus. Un instant, il faillit éclater de rire ... il n'allait pas officier pour son propre mariage ... non ça pas question, tellement habitué à se place de ce côté de l'autel et être la maître de cérémonie, il était un peu décontenancé de recevoir lui-même le sacrement qu'il donnait si souvent.

Il traîna encore un peu, comme si il attendait quelque chose ... oui, celle qu'il attendait n'allait pointer le bout de son nez avant un moment. N'était-il pas de coutume que la mariée arrive en dernier. Son frère Arman la conduirait probablement à l'autel.
Dernier soupir, respiration lente et posée, il ferma à nouveau les yeux, profitant de la quiétude des lieux.

Il mourrait d'envie d'aller s'installer sur la parvis et d'accueillir les invités, mais l'heure n'était pas là ...



[Dans la sacristie]

Privilège d'un clerc, il profita ainsi pour se changer dans cet endroit l'abri dans la Cathédrale. Une certaine nervosité commença à le gagner, ses mains devenaient froides et restaient cependant assez humides.
Il commença à ajuster ses vêtements, prêt enfin, à sortir ...
Mun
[Vittel]

Pestant de plus en plus ne voyant aucunes des portes s'ouvrir les ouvrant violament n'y trouvant aucun de ses enfants.
Du linge de maison des vêtements se trouvant dans toute la pièce .
Sautillant sur une jambe tout en enfilant ses bottes.
Fit donner les ordres pour que le carrosse soit prêt.
Se promettant de les sermonner dés qu'ils les verraient.

Rentrant dans le carrosse se laissant tomber sur une des sièges en velours après avoir claqué la porte , celui ci se mit en route vers la cathédrale.
Les heures passaient et le vieux qu'il était devenu ne démordait que ses enfants soient partis sans lui.
Passant la tête fessant des reproches au cocher qui ne semblait point y mettre lassez de vivacité .


[Aix]

Plusieurs heures passèrent avant que le fer des chevaux ne résonne sur les cailloux de la place.
S'étant légèrement assoupi il parti dans ses rêves. Du temps ou il n'avait que peu de scrupules . Les femmes tournant autour de lui comme des papillons qui allaient se bruler les ailles.

Se souvenant d'Alystrina sa cousine, de corset et de dague tirée,... et surtout de Syb si jeune et lui inconscient en ce temps prêt à braver l'autorité parentale et,.... léger craquement de bois se retrouvant collé contre une des parois du carrosse le sortant en une fois de son rêve . Maudissant les trous laissé par l'hiver rude dans les routes.
Entendant le cocher s'époumoner en criant

Place Place .

Le Duc n'en pouvait plus, ouvrant la porte s'accrochant comme il pouvait aux bannières de Vittel qui pendaient sur les côtés du carrosse arriva près du cocher . Un regard noir vers lui, celui ci lui donna les rennes et se recula de côté sachant qu'il n'avait plus rien à faire ou dire .
Mun serra les rennes entre ses doigts puis d'un mouvement sec vers l'arrière fit arrêter les quatre chevaux.
Laissant tomber les lanières de cuir voyant la foule qui se pressait les carrosses qui arrivaient . Son regard fut attiré par un homme encapuchonné semblait attendre quelqu'un.
Se détournant de la personne il se redressa et se mit debout sur l'assise en bois.
Cherchant sa fille et son fils du regard.
Repoussant le manteau écarlate sur ses épaules, qui l'ennuyait .
La tenue de Vidame était bien plus simple.

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Liz_de_wissocq
Ils s’apprêtaient à passer sous le porche de la Cathédrale quand Leo s’arrêta brusquement et s’adressant à une femme qui venait de le saluer d’une voix peu assurée, lui dit :

Bonjour Amazone. J'espère que vous avez pu voyager sans heurt pour arriver jusqu'à ici.

Elle lâcha un instant le bras de Leo pour le laisser échanger quelques mots, bras qu’il reprit immédiatement en lui présentant Amazone, la femme avec qui il avait eu une relation pendant quelques temps et qui la regarda un instant, les yeux plein de tristesse et de colère.

Liz comprenait qu’Amazone leur en veuille, et intérieurement, elle lui souhaitait sincèrement de pouvoir un jour enfouir le souvenir de Leo tout au fond de son cœur et s’ouvrir à un autre homme qui lui amènerait bonheur et sérénité retrouvée.

Elle la salua avec toute la retenue qui s’imposait et attendit que Leo l’emmène à l’intérieur de l’édifice, la cérémonie allait bientôt débuter.
Amazone1ere
Amazone salua la femme qui avait réussi à convaincre Léo de l'épouser. Elle la regarda. Elle ne pouvait pas lui en vouloir d'aimer un homme tel que Léo. Qui ne l'aimerait pas? Elle n'en voulait pas à Léo de l'avoir épousé. Amazone lui avait menti en lui disant qu'elle ne l'aimait pas mais qu'en savait-il? Aujourd'hui, il lui faudrait faire le deuil de Léo et commencer à voir l'avenir sans lui. Le temps lui permettrait un jour d'estomper la douleur mais jamais elle n'oublierait Léo. Elle échangea donc quelques banalités d'usage avec Liz et s'esquiva vers Marie pour ne pas se mettre à pleurer sur le gâchis de cette histoire.

Bonjour ma Marie. Tu vas bien?
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Amazone1ere de son vrai nom Eowynn de Galway
Ellebasi40
"Au dispensaire à Verdun"

Finissant de préparer les remèdes pour la mère et la fillette ,le plus qui me troubler était l'état d'Ambre,en allant les voir je les laisserais en très bonne main.
Finissant de soigner son bras et posant le cataplasme et le banda.

Embrassant le doux visage de la fillette et de sa mère Angel et sourit a son fiancé Duissane.

Zut en attendant le pas de Saint-preux ,je suis meme pas prête en se dépêchant de se préparer ..
Passant devant lui et lui sourit en guise d'excuse en voulant dire je me dépêche en l'embrassant..

Entrant dans la chambre se lava et se se prépara pour partir en se coiffant avec une longue tresses et le ruban de la meme couleur que la tenue rose ciel ..
Le voyant patienté je me dépêcher de partir en me retournant une dernière fois je sais qu'elles sont entre bonne main, soucieuse tout de meme.


"Au abord de la cathédrale"

En chemin nous arrivâmes sur le parvis de la cathédrale et voyant sortir des personnes que nous connaissons et d'autre pas en cherchant des yeux son frère Nico ..

Elle le repère mais trop loin pour y arrivé sens se faire remarquer et resta au coté de Saint-preux et fit la bise a Isis et Slakoss quand nous arrivâmes a leur coté et attendîmes que la cérémonie commence
Eusaias
Sa « favorite » était passé le chercher dans la matinée afin d’essayer son costume pour le mariage. Il s’était prêté au jeu sans rechigner, sachant que ses goûts vestimentaires étaient ceux d’un rustre, il approuva le fait qu’elle décide. Aliénor avait bon goût et pour preuve elle lui avait demandé de l’accompagner, d’être son cavalier pour le mariage de ses amis. Le voyage s’annonçait long, malgré la charmante compagnie de sa cavalière. Ils avaient opté pour prendre quelques gardes afin d’assurer leurs sécurités et surtout pour faire bon genre. Hélas, à peine avaient-ils quitté Dijon, que la garde commençait à chantonner :

Et quand viendra le temps
où trompes sonneront
Au dernier Alahau, quand nos tambours battront
nous lèveront bannières aux ducs bourguignons
Pour aller à la guerre donner des horions. *


Le temps de fulminer le balbuzard sortit la tête du coche pour leur lancer :

« Bougres d’andouilles ! Nous allons à un mariage ! »

Il reprit place convenable et offrit un sourire à la Cosnoise. Les soldats, reprirent alors :

Joyeux enfant de la Bourgogne,
Je n'ai jamais eu de guignon.
Quand je vois rougir ma trogne,
Je suis fier d'être bourguignon.
Et je suis fier (ter) d'être bourguignon.**


Ce n’était pas encore ça, mais c’était bien mieux. Le Balbuzard scrutait l’évêque et cavalière. Sa robe, la mettait en valeur et si elle n’était pas femme d’église, le Duc Bourguignon se serait bien empressé de lui conter fleurette. Il usa d’une ou deux fourberies, comme celle qui marchait à chaque fois.

Oh regardez ma belle cet étrange animal là-bas.

Montrant au loin un bosquet, il attendit qu’elle se lève et se penche pour voir le dahu. Ainsi les yeux onyx purent se glisser dans le décolleté. Sourire niais sur son visage, le Bourguignon appréciait déjà ce mariage.

Aix la Chapelle.

Pour la première fois de sa vie, le Duc tenta de passer pour sage et chercha la discrétion. Il offrit son bras à la belle avant de s’engouffrer dans les lieux. De droite et de gauche il scruta les visages cherchant quelques « alliés » afin d’être en groupe. Se fût néanmoins sa cavalière qui remarqua la Dame de Railly en premier et les guida tous deux sur elle pour la saluer. Echanges de courtoisie, sa porte parole adorée et peut être future maitresse si elle épouse Arquian se montra surprise de les voir ensemble. La blonde, leur fit révérence et hop, un second décolleté dans lequel ses yeux se glissèrent. La journée serait bonne, il ne pouvait que le jurer.

Le bonjour, belle enfant, comment vous portez vous en ce jour ?

*Cette chanson bourguignonne remonte au Moyen-Age, à l'époque à laquelle le Duché de Bourgogne était à son apogée.
**Cette ancienne chanson des vignerons bourguignons est une ode à leur région et à ses richesses vinicoles innombrables

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