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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Sebastienpirlet
A Chatenoy

Il avait décidé d'y aller seul, accompagné de ses seuls gardes. Il achevait de préparer son cours pour le lendemain quand son secrétaire vint lui dire qu'il allait être l'heure de partir, aussi il se rendit à la salle des bains pour se rafraichir et se changer avant de descendre dans la cours où trois gardes l'attendaient, juchés sur leurs destriers.
Lorsqu'il voyageait sans son épouse, il aimait faire le trajet à cheval et non pas dans un carrosse, aussi monta-t-il son destrier avant de prendre la tête du petit groupe.


A Aix

Après un long trajet et quelques arrêts dans des bourgades, ils finirent par arriver en vue d'Aix. Un noeud commençait à se former dans la gorge du vicomte. Autant il avait pu rester concentrer sur le paysage durant la chevauchée, autant ses pensées étaient désormais assaillent par l'importance de la journée d'aujourd'hui. Il savait que cette journée refermait une page, mais la page suivante n'était pas encore claire dans son esprit. Ces derniers mois seraient ils vite oubliés ? Ce n'était pas possible. Comment oublier tous ces moments, toute cette joie et tous ses sentiments en quelques jours ? Il lui faudrait apprendre à se contrôler le temps que peu à peu, que la vie reprenne son cours et qu'il oublie. Non, oublier il ne pourrait pas, mais que la douleur devienne moins forte, comme en second plan.

La Cathédrale, elle était belle, somptueuse, imposante. Il franchit ses gigantesques portes pour gagner la foule rassemblée dans l'édifice. Cette construction n'avait rien d'humain, comme si elle avait été faite pour des êtres bien plus grands. La folie des grandeurs humaine l'avait toujours captivé, et intrigué. Sans jamais comprendre l'intérêt de telles édifices, il ne pouvait qu'être impressionné par leur beauté et leur prestance. Soudain, la musique interrompit ses rêveries et il pressa le pas pour rejoindre ses amis qui étaient déjà là . Il les salua avant de prendre place et de fixer les portes, attendant son entrée, et la fin d'une histoire, et le début d'une autre.

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Toutes nos passions reflètent une étoile... chaque étoile a un sens
Frederic*guillaume
Entre Herbevillers et Aix

Durant le trajet jusqu'à Aix, Fedy garda obstinément les yeux fermés.
Se détendre pour canaliser et limiter ses toux épuisantes était son seul leitmotiv. Mais aller vous détendre sur une route pleine d'ornières, remué à tout moment dans la calèche !

Et puis ses retrouvailles avec sa soeur et son frère Arman à Herbevillers avaient provoqués en lui émotion et inévitablement une quinte de toux.
Mais Louis et Marion avaient su l'isoler rapidement pour qu'il se calme et surtout qu'il n'inquiète pas l'entourage familial.
En peu de paroles, qui lui déclenchait également ses effroyables toux, le baron de Dounoux et d'Ancerville avait été très explicite vis à vis de ses gens à ce sujet. Le plus de discrétion possible quand à son état de santé.

Quand il avait vu sa soeur apparaitre au bras d'Arman dans le salon d'Herbevillers, il eut un choc.
Elle..... Elle était..... Ma... Gni...Fi...Que....
Il eut du mal à contenir une quinte naissante. Marion se précipita pour lui donner un peu d'eau à boire.
Lily était tout pour lui. Ils partageaient tout ensemble, bonheurs et malheurs depuis toujours. Du moins jusqu'à il y a encore quelques mois.

Mais la maladie avait obligé le jeune homme à se replier en son domaine de Dounoux pour ne pas l'affliger par son état de santé.
La vie sociale de sa jumelle était stridente, stressante et elle avait traversé nombre d'épreuves.
Il avait donc refusé avec force et détermination qu'on l'inquiète.



Aix la Chapelle

Aix ! Fedy ! Nous arrivons enfin !
L'ex commandant de Trèves ouvrit les yeux en entendant Lison. Elle faisait parti des familiers de son enfance. Au service de Lily, elle s'était occupé de lui quand leur mère avait renvoyé la nourrice de Fedy suite à l'affaire des bougies dans la chapelle de Dounoux.

Il lui sourit et croisa le regard bienveillant de Louis.
Frédéric était très lucide sur son état de santé et sur ce que pouvait ressentir ses proches. Il connaissait l'inquiétude de ses gens pour lui.
Il faisait de son mieux pour ne pas être un poids pour son entourage mais la maladie le rendait parfois amer et hargneux. Il s'en voulait mais n'y pouvait pas toujours grand chose.

Le carrosse s'arrêta sur le parvis de la cathédrale.
Le portillon s'ouvrit et Louis descendit le premier. Le serviteur qui avait voyagé au côté du cocher était déjà là.

Frédéric se souleva aidé par Lison et Marion et sortit soutenu dehors par Louis et le valet.
Il leva un instant son visage pour admirer l'édifice. Il sentit monter en lui une forte et intense émotion : son amour pour Le Très Haut, l'église, la garde.... Servir....! Du passé maintenant...
Le jeune homme lutta pour refouler les sentiments de peine, de regrets, d'abandon de sa carrière, de ses hommes, de sa deuxième famille....
Il baissa la tête, regarda un instant le sol pavé, inspira longuement puis souffla doucement pour évacuer ce stress.

*Aujourd'hui, Fedy, c'est un heureux jour ! Un jour béni pour Lily, pour Uriel ! La joie doit primer sur tout. Ils doivent être entouré de sourires, de regards d'amour et de soutien. Ressaisis toi et réjouis toi avec eux !*
Pensées auquelles le jeune baron frère de la mariée se raccrocha pour définitivement effacer toute autre émotion négative.

Les deux hommes aidèrent Fedy à monter les marches de la cathédrale mais le baron les repoussa doucement à l'entrée de la cathédrale.
Louis fit un signe au serviteur de rester légèrement en retrait. Il savait que Frédéric ne voulait pas qu'on le voit diminuer. Pour protéger sa soeur...

Frédéric préféra prendre les allées latérales pour remonter jusqu'à l'autel. En les parcourant, il vit le monde qui se trouvait là. Il reconnut quelques visages Lorrains et de Verdun. Mais aussi des gardes épiscopaux et en particulier Margès qui avait si souvent pris de ses nouvelles. Il en eut chaud au coeur.

Arrivé à l'autel, il découvrit celui qui serait dans quelques minutes son beau frère.
Uriel ! Son ami ! L'un des rares qu'il avait.

Frédéric sourit en le dévisageant. Le regard du futur époux scrutait l'entrée de la cathédrale dans l'attente de "l'apparition".
Puis leur regard se croisèrent.
Frédéric lui fit un immense sourire et doucement, en guise de salut, inclina la tête pour la relever et finir par un clin d'oeil complice.

Le jeune baron aurait souhaité s'installer avec discrétion mais cela était guère possible quand on est suivi d'une cour de serviteur et médicastre.
Il se dirigeait vers un des fauteuils réservés à la famille mais à une extrémité pour pouvoir s'éclipser si son état le lui imposait quand il vit sa grand mère.

Il se devait d'aller la saluer. Il adorait cette femme.
Leurs rencontres, bien trop rare au goût de Fedy avaient toujours été empruntes d'amour, de tendresse et de complicité.
Il se redressa et faisant un signe à Louis et Marion pour qu'on le laisse aller seul, il se déplaça jusqu'à sa grand-mère, s'inclina avec respect et déférence devant elle et finit par un gros baiser sur sa joue.
Quelques mots échangés, puis il rejoignit son fauteuil.

Quel bonheur de s'asseoir ! Fermer les yeux... Juste un instant....
Puis les rouvrir... Sourire à ceux qui le dévisageaient, incliner la tête vers ceux qui le saluaient de loin.... Donner le change....

Et reprendre des forces !

La musique débuta.
Tous les regards se tournèrent vers l'entrée de la cathédrale.
Petit moment pour fermer les yeux un instant. Souffler, récupérer, tenir, se battre, pour elle, pour lui....
Tristan.
Sur le parvis

Il s'amusait de la voir anxieuse, lui qui devait toujours se canalisé ne le pouvait pas ces derniers, heureux pour elle. Son visage fermé a l'habitude semblait de nouveau serein. IL avait meme delaissé la canne qui le soutenait depuis des semaines. Les retrouvailles et le voyage lui faisait grand bien pour le plaisir de son epouse.

Des sourires complices s'echangerent entre eux

Je suis tout à la fois, folle de joie, et morte de trac !

Ne t'inquiete pas ma belle ont est tous la pour toi et pour lui!

- Je... Que faut-il faire ? Je suis perdue...

Il retint un eclat de rire amusé, puis sourit

Hum........ voyons........... tu es sur le parvis d'une cathedrale pour ce qui va etre le plus beau jour de ta vie........ alors on va essayé de marché jusqu'a l'autel sans trebuché et apres il va falloir dire non........ euh oui!

Quand elle parla de ne pas courir il lui chuchotta

Tu es sur! si on faisait une course je suis sur que tu perd! je te pari une mirabelle! que je gagne !

Il reprit son serieux ponctué par un "allons y"

Ils empreinterent l'allée centrale doucement au rythme de la musique qui donné a cette cathedrale une profondeur immense. il avait l'habitude de notre dame. la charme imperiale de celle ci le rendit a son tour anxieux et recueillit. Des saluts de la tete ponctuerent le passage des personnes qu'il connaissait. des champenois des lorrains tous ici pour les celebrés. Quand il vire fedy il se regarderent inquiet. Puis leur regard se porterent sur uriel qui attendait.

Un bref sourire complice

Voila notre diamant........ prend en soin!

Puis lachant le bras de sa soeur il lui chuchotta

Te voila arrivé ma belle, ce fut un plaisir!

Il alla rejoindre onaelle et siva attendant la suite de la ceremonie

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--Elendra
La petite Elendra regardait la grande dame qui avait une très jolie robe. Une robe bien plus jolie qu'habituellement, elle avait l'air plus grande même!

La fille de Lavania souriait à la duchesse qui vint les voir, toute fière de sa jolie robe et des deux petits couettes que sa maman lui avait faite. Et tandis que celle-ci parlait avec sa maman et s'occupait de sa petite soeur, Elendra regardait les grandes portes.

Ele fut cependant sortie de ses pensées enfantines par la voix de la duchesse. C'est donc sous ses judicieux conseils qu'Elendra s'occupa une nouvelle fois de son rôle de grande soeur et pris la main de son petit frère. Habiller tout chic pour cet événement.

Tout groit... répétat-elle à son petit frère en se mettant à sautiller sur place.

Faut tu n'écoute Ake! Quand tu n'entend la musique, tout groit! On va voir Ruhiel. Pi maman l'a dit y faut faire des beaux souhihes! Tu n'en rappelles toi?

Son petit frère n'avait pas l'air de trop trop écouter... Mais lorsqu'il entendit la musique commencer à jouer, il se mis à bouger la tête de droite à gauche ainsi que ses petits pieds et ses petites fesses.

Elendra pour sa part, elle qui était un peu plus vieille se mis à avancer, tirant sur la main du Ike qui cessa de danser. Cependant sa démarche restait un brin amusante. On avait l'impression qu'il se retenait de danser, trop concentré à mettre un pas devant l'autre et à regarder tous ces gens.

La fillette fit un beau sourire en voyant sa maman et sa petite soeur pas trop loin et lui fit un petit coucou, puis observa un moment tous les gens qui étaient présent. La dite maman, eut alors l'impression à cette instant que la petite allait s'arrêter nette. Elle lui fit donc un sourire rassurant, ferma son poing et lui leva son pouce, pour lui dire: Lâche pas ma poulette! T'es la meilleure, maman est fière de toi!

Ainsi, la petite continua a avancer tranquillement, puis au moment où elle eut finit de scruter les deux rangés de chaque côté, elle regarda en avant et lorsqu'elle vit Uriel, elle lui fit un beau gros salut de la main, faisant bouger les deux petites couettes frisées alors que sur son visage un autre sourire apparaissait.

Elle eut alors l'envie de se mettre à courir, mais se retenue au dernier moment, sa maman avait dit: doucement!

Bardieu
A Aix.

Après une quinzaine de jour de voyage depuis Noirlac, le recteur cistercien arriva dans la ville d'Aix la Chapelle, la cité impériale. Il était heureux d'arriver enfin, surtout qu'il avait du retard. Une casse sur une roue du vénérable carrosse avait provoqué l'immobilisation près de Paris de deux jours.
L'état des routes dans le nord du pays empêchait de rattraper le retard en voyageant à marche forcée.
Après avoir été inspecté à l'entrée de la ville, Bardieu pu entrer dans la cité de Charlemagne, qui était une des villes les plus récentes et les plus belles du saint Empire.

Arrivant à pied devant la cathédrale, il s'agenouilla et récita une petite prière.


Aristote, bénit soit notre foi et bénit soit ce mariage auquel je viens assister. Puisse notre foi prolonger la joie de ce mariage.

Se redressant avec quelques difficultés, le recteur cistercien entra dans l'édifice par la grande porte, mais s'éclipsa aussitôt par un passage pour ne pas rester dans le grand axe. En effet, il tenait à ce que sa présence soit aussi discrète que possible.

Enveloppé d'une soutane avec son capuchon, Bardieu resta dans le fond de la salle. Il y trouva un siège et regarda la scène depuis son coin sombre.
Theoxane_de_chalomee
Théo était de mauvais poil... fatiguée du voyage, transie de froid et grognon ! Les jumeaux avaient râlé eux aussi tout le long de la route... pas fait pour améliorer l'humeur de la Chalomée... Heureusement que Free chapeautait tout ça avec bonne humeur, remontant le moral de ses troupes ! ^^

Le parvis de la cathédrale était glacial, plein de courants d'air... brrr... temps de chien ! humeur de chien ! Mais heureusement mariage pluvieux, mariage heureux ! Déjà au loin on apercevait les rayons de soleil, qui, obstinés, tentaient une percée et y arriveraient sûrement ! Elle s'empressa d'emporter les bébés à l'abri des vieux murs de pierre...

Théo avait une seconde bonne raison de bougonner, elle était engoncée dans sa robe ! boudinée à l'extrême ! cette troisième grossesse promettait de se faire joyeusement dans le poids et l'ampleur !!! Au grand bonheur de Free ^^

Lorsqu'elle aperçut tout ce monde apprêté et pomponné, ce ne fut pas pour lui rendre sa charmante humeur habituelle... "allez... c'est parti pour les ronds de jambe.... grogna t-elle en forçant le passage jusqu'à la grande porte, un bébé dans chaque bras et petit bidon tout rond en avant !

Mais finalement, sa bonne nature revenait au fur et à mesure qu'elle allait avant dans la cathédrale... Apercevant ça et là bien des têtes connues, elle ne pouvait que s'arrêter pour distribuer baisers et chaleureuses poignées de main...


Bonjour ! bonjour ! Liz ! Léo ! Félicitations à vos deux ! Grib ! cesse de loucher sur le vin de messe ! Baloo ! Salut héros ! bien rentré ? Jo !!! Cao ! Nico ! Salut Baron ! Viv !! Isis ! ah ! je reconnais ton ami ! je ne l'ai croisé qu'une fois pourtant !

Elle salua gaiement Barberine, qu'elle ne connaissait que très peu, mais qu'elle admirait pour sa légendaire patience avec le "p'tit juge" ^^

Mun ! ravie de vous revoir, ça fait bien longtemps ! Embrassez mon Guisounet préféré dès que vous le verrez !^

L'atmosphère se réchauffant plus elle avançait, le sourire la reprenait petit à petit...
Elle alla même faire une bise à cette bonne vieille Ecat ! qu'elle s'abstint de nommer, ne sachant plus si elle devait lui donner du "Monseigneur" ou autre civilité qu'elle ne savait ! plutôt que de faire une bourde... une bisouille remplaçait avantageusement les mots !^^ (pardon à genoux Monseigneur, je m'en sors comme je peux^^)

Puis elle marqua un temps d'arrêt...
EL ???... ça alors ??? mais...? .... je te croyais mort ?^^ Tu m'as plutôt l'air en bonne santé ? ^^

Elle s'empressa ensuite d'aller embrasser le fiancé... "kikou Uriel ! ^^ te voilà donc sur le devant de la scène à ton tour ^^ tu vas voir ! ça change tout ! ^^

La mariée se préparait à faire son entrée, Théo fila s'installer pour ne rien louper de l'arrivée de l'héroïne du jour..

C'est alors qu'elle l'aperçut..... ***roulement de tambour***
.... Incroyable !!! je rêve tout debout !??? "IL" est là ??? Elle planta alors les bébés dans les bras de son époux, pour foncer sur l'évêque de son coeur !! Mon parraaaaaaaaaiiiinnnnn !!!! mon petit parrain à moi !!!! Mais que tu m'as manqué !!!! souffla t-elle en embrassant Monseigneur Joce.... ^^
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Cyann
[Parvis de la cathédrale, Aix-la-Chapelle]

Arrivée de Cyann et Sabifax ou Comment arriver à l'heure et finir ne retard ...

Aix la Chapelle … bruyant, sale et malodorant comme toute les grandes villes soupire Cyann que Sabifax a tiré du lit où elle dormait –ronflait aurait dit celui-ci mais , il parait qu’il est mauvaise langue – paisiblement après une longue soirée de travail. Seule oasis de lumière et de calme, l’immense et majestueuse cathédrale qui finit par se dessiner dans le champs de vision du couple et étale ses frasques de pierres et ses envolées lyriques vers des cieux aux couleurs mordorées en ce matin de mars.

Une chance qu’il n’y ait rien à brouter dans ces villes

dit la plantureuse troubadour en tirant sur les rênes de sa monture pour éviter un gamin traversant la rue sans crier gare et une charrette à bras pleine de choux

ainsi Quenotte ne ralentit pas l’allure par ses essais incessants de brouter ici ou là. C’est toujours çà de gagner sur son caractère retorse et pour l’heure
je crois mon cher sabifax que nous sommes même dans les temps

La jeune femme sourit, quelque peu échevelée par leur chevauché matinale, et regarde la foule déjà présente et reconnaît à peu prés tous les visages lorrains ou étrangers, seuls un ou deux lui sont inconnus. Elle est impressionnée et se demande me s’il n’y pas plus de mon qu’à son propre mariage avec Ylanis. Elle se plonge un moment dans ses pensées, un bord de plage là bas du coté de Bertincourt… Et puis la fin tragique. Elle secoue ses nattes blondes et se tourne vers son compagnon qui lui dit de sa voix grave et douce à la fois à nulle autre pareille pour éveiller en elle moult émotions frétillantes comme des gardons dans le sillon du rigailou

Si vous souhaitez... je m'occuperai aussi de votre monture, laissez la moi et je vous rejoins dans quelques minutes.

C’est très gentil à vous mon a … dorable écuyer

La jeune femme vire au coquelicot, elle a retenu de peu ces mots qui lui sont aussi naturels que de boire de la mirabelle. Elle lâche un petit rire en grelot

Je vais aller saluer tout le monde enfin .. pas tous il me faudrait la journée et je doute que Sybille et Uriel soit en état de supporter une telle attente .. j’imagine bien Uriel dans ses petits souliers à faire la prière pour se donner une constance et à ne pas arriver à se concentrer, à trépigner à râler contre les retardataires puis à se morigéner en se disant que la patiente est le première vertue du diacre… rire de la blonde troubadour*

Quand à la douce et fière Sybille .. mon Dieu je n’ose imaginer les stupeurs et les tremblements ! Vous croyez qu’ellea passé l’âge des "et si je marchais sur ma traine et que je m’étalais sur le parvis ? et si je tombais dans les pommes ? Et si il disait non ?


La jeune femme un sourire tendre à ses lèvres framboises tend les rênes à Sabifax et le regarde s’éloigner plongée dans ses souvenirs de conversation avec Sybille, la femme … Elle sourit heureuse qu’elle ait trouvé sa voix.

Cyann replace ses rubans bleus d’un geste nonchalant et avance à travers les allées saluant les uns et les autres, elle les connaît tous, pour ne pas retarder évènement, elle se contente d’un salut du menton mais, son regard cherche une amie chère… Elle oblique tout à coup et se dresse devant une autre jeune femme.


Wawamarine mon amie !
Je suis si heureuse de vous retrouver !


Elles papotent animée,s cela fait si longtemps qu’elle ne se sont pas vues, tout juste quelque lettres échangées. La cérémonie risque fort de commencer, le silence se fait les gens s’assoient et Sabifax n’est toujours pas revenu des écuries. La blonde fait la moue et dit de sa voix claire et chantante

Wawa pouvez-vous me gardez ma place et celle de Sabifax, je vais vite le chercher...

La jeune femme survole l’allée centrale de son pas preste et léger, elle ne voudrait pas rater l’entrée de Sybille et d’Uriel pour rien au monde…

Et au moment même ou elle va la franchir la porte s'ouvre , aellelouia se dit la blonde espérant là un signe divin. La jeune femme vire au coquelicot et s'écarte précipitamment, c'est Elle,a la mariée, au bras de son .. frère ? Ll n'est plus temps de chercher Sabifax, elle reste dans le coin tapie ; juste à l'entrée et regarde la duchesse déambuler d'un air assurée vers l'autel ou attend un Uriel un rien nerveux....


flute me voilà coincée ici !

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Rédactrice en chef de l'AAP FRANCE & SRING
Wamarine
Wamarine était arrivée assez tôt pour se glisser dans cette foule de gens qui attendait avec impatience l'arrivée de la mariée, sûrement pas autant que ne devait l'attendre le futur époux qui se tenait tout près de l'autel. Furtivement elle se glisse dans l'allée centrale à la recherche d'une place assez acceptable pour voir correctement la cérémonie. La jeune femme salut qui d'un hochement de tête qui d'un sourire les personnes qu'elle croise même si elle ne les connait pas. Certains visages gracieux lui renvoie le salut par une inclination ou un sourire. Finalement elle s'engouffre entre deux bancs et s'assoit, arrange sa toilette qu'elle a prévu avec soin pour un tel jour, enlève ses mitaines en dentelle et les pose sur réticule posé lui-même sur ses genoux.

Wawamarine mon amie !
Je suis si heureuse de vous retrouver !


Surprise la brunette se retourne. Mais oui .... Cyann est là !!!

Cyann ! Quelle surprise ! Moi aussi je suis bien heureuse de vous voir ici !

Wamarine est presque soulagée de croiser un visage connu et heureuse de voir son amie Cyann qu'elle n'a plus vu depuis pas mal de temps.

Aussitôt la discussion va bon train pour le peu de minutes qu'elles se consacrent avant que la poétesse blonde ne s'éloigne en lui recommandant de garder deux places, une pour elle et une pour Sabifax. Ah Sabifax !! Wamarine va-t-elle enfin connaître celui qui fait battre le coeur de son amie ? Aussitôt dit, aussitôt fait ! La brunette pose sur le banc sur le banc près d'elle, ses mitaines à droite et son réticule à gauche en arborant un grand sourire à ses voisins qui par savoir-vivre avait laissé un peu de place entre elle et eux même et qu'elle s'octroie d'autorité, mais toujours avec le sourire.

Mais soudain un brouhaha et toutes les têtes se tournent vers l'entrée du bâtiment, les sourires s'affichent et les chuchotements circulent à vive allure. La mariée vient de passer l'entrée au bras d'un homme que Wamarine estime bien jeune pour être son père, mais peut-être n'est-ce pas son père justement !!

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Elenion
Elenion fit un grand sourire à Théoxane, le genre de sourire qu'on accompagne du signe de la victoire. Un air de dire : "je suis plus dur à crever que du chiendent". Il lui dit à voix basse.

J'ai des rêves à accomplir ma grande! Et si je mourrais je resterais en ce monde en esprit frappeur diraient les mauvaises langues impies! Je ne sais trop pourquoi mais les terres impériales me redonnent ce fort sentiment d'arrogance née qui était mien en Lorraine... Si ce n'est la terre c'est l'atmosphère... Si ce n'est ça...

Il regarda autour de lui d'un air blasé.

Suis mon regard...

Puis il reprit son sourire avant d'afficher un air sérieux, un doigt sur les lèvres en signe de silence, capuchon sur la tête et son autre main montrant sa médaille de prêtre.

Je n'ai plus le droit d'être ainsi. Et il lui fit un clin d'œil malicieux.
Mun
Ne voyant aucun de ses enfants.
Mun sauta de colère du carrosse tout en envoyant les rennes vers le cocher renversant une des personnes qui venait avec un panier rempli de miche de pain.

S'était vraiment pas la journée cette cape qui l'ennuyait plus que tout . Mais pourquoi il avait pas mis sa tenue de Vidame. Au moins le métal était froid mais pas aussi incontrôlable. Tirant une bonne fois sur le nœud qui la liait à son cou, il l'envoya à l'intérieur du carrosse.
Se penchant pour ramasser les miches de pain et les déposer dans le panier et s'est là que sa couronne tomba sur le sol la rattrapant d'une main tout en se tournant vers le cocher qui avait repris sa place.

Et bien dédommage la boulangère

Reposant sa couronne de Vidame sur la tête voyant le cocher donner quelques écus à la dame .
Secouant la tête un peu pour être certain qu'elle tienne bien le Duc de Vittel se dirigea vers les marches du parvis. Il y avait foule se croyant devant la tente ou l'on servait à manger.
Froncement de sourcils regard sévère poussant un peu .
Mun entra dans la cathédrale enfin cherchant toujours ses enfants.

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Dame_oisele
Oisèle avait entraperçut son frère, il avait l’air un peu nerveux d’être au centre de tant d’attention… Elle sourit et remontant la nef avec la foule, elle tenta de se rapprocher de l’autel… Il y avait vraiment foule et elle avait toute les peines du monde à arriver jusque là… Elle en profita pour regarder a droite et a gauche la cathédrale qu’elle ne connaissait pas vraiment. Elle était splendide et la décoration pour ce moment merveilleux avait été tout spécialement accordée avec attention… Des fleurs blanches avaient été reliées sur les bancs avec de grands rubans et de gros bouquet de fleur attendaient les jeunes fiancés près de l’autel, et le doux parfum de quelques lys entremêlé de celle des roses émaner avec délicatesse…. L’émotion s’empara de la jeune Archevêque… Elle arriva juste à tant pour glisser un petit mot à son frère de cœur et lui déposer un baiser sur son front, tel une grande sœur pour lui redonner un peu de confiance…

Mon frère, je te souhaite tout le bonheur du monde, que le Tres Haut bénisse cet instant merveilleux… Je suis tellement heureuse pour vous deux….

Puis elle se mit un peu à l’écart car la cérémonie commença par une musique douce accompagnant deux jeunes enfants jusqu'à l’autel près du jeune fiancé…



Alivianne
AIX
La route fut longue depuis le Bourbonnais auvergnat, la grande tante de la mariée avait fait le déplacement avec du retard. Alivianne était reconnu pour son retard légendaire. L'important c'était d'y être avait-elle dit à son fils adoptif Webix qui avait su l'accompagné. L'accompagnait également Eloy sûrement sa future fiancée Appolline.

Elegie la fiancé d'Alban était aussi du voyage. Alban occupé à sa charge de conseiller dans le duché comme vice duc, avait souhaité qu'elle le représente.

Bref le clan Azayes était venu et tout ça pour la belle Sybille qui méritait tellement de belle chose.


L'important c'est d'y être se disait-elle. Espérons que le retard ne soit pas tant que cela.

Cette lointaine nièce, "Sybille "la duchesse de la tour d'Auvergne l'aimait beaucoup. Elle était discrête dans une famille qui bougeait tellement. Le sang de sa nièce Enorig bouillait dans leur veine et avec un mélange pûre Vonfrayner, le cocktail méritait le détour.

Après un bain dans une magnifique auberge et une belle robe. Alivianne se fit accompagné par Webix et pénétrèrent dans la belle cathédrale d'Aix.

Eloy et Appo arriveraient quelques minutes après. Eloy fidèle à lui-même voulu absolument voir si la bière était bonne à l'auberge où ils avaient déposé leur bagage.

Elle fit le signe de la croix et pris une place parmis les autres invités.

Viens proche de moi Webix, je pense que la cérémonie n'est pas encore commencé lui chuchotta-t-elle
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Eloy_dazayes
Aix

Encore un voyage...
Oh, pas qu'il allait s'en plaindre, loin de là, même, mais disons que c'était surtout les cérémonies qui l'embêtait le plus...
Il faut dire que, des heures assis dans une église n'avait rien de réjouissant à ses yeux heureusement que...

Oui, car il faut bien un "heureusement" ! Sinon quel intérêt ?
Donc, heureusement qu'il était accompagné de son aimée, Appolline, la douce Appolline...

Il ne connaissait point le Saint Empire et donc encore moins Aix, mais bon, il découvrirai, comme souvent, si le coeur lui en disait.

Enfin, cette cérémonie là, il se devait d'y assister, on mariait une de ses lointaines cousines, de celles qu'il avait aimé à embêté plus jeune, une de plus diraient certains, mais ce ne sont que des mauvaises langues, na !

Et de savoir qu'elle se mariait, l'avait, euh... Etonné ? Surpris ?
Non, ravi en fait, elle méritait de connaître le bonheur, et surtout de le vivre, comme tout à chacun sur cette terre...

Donc, après avoir goûté à une bière, normal, faut boire ce qu'on vous propose pis c'est pas poli de refuser ce qu'on vous sert, il alla s'endimancher, enfin, essayer de paraitre propre sur lui pour aller à la cérémonie.

Sur le Parvis de la Chapelle, il tenait, fièrement à son bras, celle qu'il espérait un jour deviendrai son épouse.
Oh, oui, ça il était fier, en effet, il l'aimait, et ça rien ni personne ne pourrait le changer.

Ils s'avancèrent donc dans l'édifice, et vinrent s'assoir à coté de sa mère et de son frère.
Machinalement, il remua du derrière, pestant contre les bancs en bois, mais bon, il tenta de se tenir tranquille, oui, mais combien de temps ?
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Amazone1ere
La musique se fit entendre. Bientôt, celle que tout le monde attendait, l'étoile du ciel d'Uriel allait faire son entrée. Elle regarda son parrain, ravie de son bonheur. Elle remarqua au loin sa cousine Marjolainne qu'elle salua d'un signe de tête ainsi que Cyann, Sabifax, Cléo, Sebatienpirlet, Spectralya..... et tant d'autres. Amazone se pencha vers Marie:

Uriel et Sybille sont vraiment très appréciés, ne trouves tu pas?? Je crois n'avoir jamais vu autant de monde pour un mariage. Il faut dire qu'ils dégagent tellement de bonté autour d'eux, que je n'en suis pas étonnée.

Amazone regarda autour d'elle, non sans jeter un coup d'oeil discret en direction de Léo et sa femme. Elle avait eu tellement d'espoir...... Elle chassa ses idées noires et sourit, heureuse pour son parrain et cousin, Uriel.
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Amazone1ere de son vrai nom Eowynn de Galway
Olivier54000
Le trajet depuis Epinal n'avait pas été des plus commodes, et Olivier mit quelque temps à se redonner une allure un peu plus civilisée.
Il avait laissé sa monture se reposer à l'écurie, alors que ses deux volatiles avaient disparus depuis bien longtemps, quasiment depuis son arrivée. Sans doute avaient-ils réussi à chaparder quelque poule ou lapin dans une basse-cour...

Arrivé sur le parvis, il ne put s'empêcher de lever la tête afin d'admirer la majesté de l'édifice. De nombreuses personnes étaient encore dehors, mais il se contenta d'un bref salut de la tête, pressé d'entrer afin de rejoindre sa dulcinée, qui il n'en doutait pas l'avait encore une fois précédé.

Pénétrant dans la cathédrale, ses yeux s'habituèrent rapidement à la semi-obscurité des lieux et il repéra de nombreuses têtes connues. S'il se mettait à toutes les saluer, la cérémonie serait terminée avant qu'il ait réussi à s'asseoir, et là aussi il se limita à de discrets signes de la main tout en remontant l'allée centrale à la recherche de sa tendre et douce.

Il l'aperçut bien vite et vint rapidement s'asseoir à ses côtés, non sans déposer un rapide baiser sur ses lèvres. Il devrait s'en contenter pour le moment, le futur marié venait de faire son apparition.
Olivier prit la main de sa compagne et la serra fort contre lui. Depuis qu'ils étaient ensembles, ils avaient assisté à pas mal de cérémonies, et il savait que celles-ci avaient toujours un fort impact sur la jeune femme.

Attendant l'arrivée de Sybille, il se prit à s'imaginer à la place d'Uriel, attendant l'arrivée de sa promise...
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