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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

....marie....
ça pour du monde ...il y en à....

Marie avait un peu le tournis, trop de foule, trop de visages de souvenirs pas toujours des plus heureux dailleurs.
Elle se concentra vers la nef pour suivre la ceremonie qui allait débuter sans tarder en regardant de temps à autre vers Ama à ses côté pour s'assurer qu'elle tienne le coup.
Ce sentir seule au milieux de cette foulle était paradoxale mais c'est ce qu'elle recentait à se moment precis, un vide, une abscence...toujours la même.

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Barberine


Halte à l'auberge

Aidée par Fiha, les deux amies étaient donc descendues du carosse, Barberine avait profité de cette opération pour dérober discrètement un baiser à son bien aimé.
bras dessus bras dessous ils s'approchaient de l'auberge, devisant gaiement, mais Barberine sentait bien qu'Isis était sur le qui vive, et n'avait pas trop envie de plaisanter.
Au moment où ils s'engouffraient dans la salle pour se restaurer, ayant laissé les chevaux sous bonne garde avec un de quoi boire et manger, une cavalcade et les bruits de sabots retentirent dans la cour pavée de l'auberge. Au tressaillement d'Isis, Barberine compris qu'il se passait un évènement que cette dernière attendait depuis le départ de Sancy.
Elle lache le bras de son ami avec un petit clin d'oeil et la voit se précipiter ver le cavalier qui arrivait en trombe.

Avec un sourire elle murmure à Fiha

Laissons les, ils nous retrouveront dans 5 mn, allons plutôt chercher de quoi arroser les provisions qu'on nous a préparées à Sancy.

Ils s'attablent avec appétit, Isis et Slarkoss les rejoignant aussitôt. les deux hommes se saluèrent, Barberine embrassant affectueusement le géant qui avait ravi le coeur d'Isis
Le repas achevé, chacun retira de la grande malle les habits de cérémonie, qui lui était destinés, habillage pretexte à un peu d'intimité pour chacun des deux couples.
mais l'heure de la cérémonie approchant il fallait repartir sans tarder.

Les deux femmes se complimentaient mutuellement sur leur tenue, et jetaient un dernier oeil critique à celle de leur compagnon, rectifiant le tomber du pourpoint, le pli de la chemise et sans plus tarder Barberine et Fiha s'installent dans le carosse attendant qu'Isis décide si elle finirait le voyage en leur compagnie pour ne pas gater sa robe, ou sur le dos de Tornade avec slarkoss.
Enfin chacun se mit en route. Ils étaienpressés d'arriver à destination

Aix la Chapelle

La fin du voyage fu trapide.
Ils arrivèrent à Aix, ville fort encombrée par l'arrivée de tous ces invités, venus là pour se joindre au bonheur de Sybille et d'Uriel.
Ce n'était pas la peine de connaitre la ville, il suffisait de suivre les autres attellages, et on se retrouverait devant la cathédrale.
Les équipage avançaient lentement, les chevaux piaffaient, les cochers tiraient sur les rènes et parlaient pour retenir les bêtes effrayées de tant de remue ménage
Enfin ce fut leur tour, Barberine soulevée dans les bras puissants de Fiha, se retrouva sur le sol.
Tentant en vain de reconnaitre du monde, elle pressa le mouvement les entrainant sur le parvis.

Il était temps, les cloches se mirent à sonner à toute volée. La cérémonie allait commencer. Ils salueraient leurs amis et connaissances plus tard.

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Sybille_von_frayner
Cette fois, on y était. La musique retentit dans l’immense bâtisse, et les voix angéliques vinrent flatter l’oreille de Sybille…

A cette douce mélodie, le cœur de la duchesse se gonfla d’émotion. Elle se souvint alors avoir promis à Uriel que cette fois, rien ni personne ne les obligerait à reculer le moment tant convoité… A moins bien sûr que le ciel ne leur tombe sur la tête ! Par chance, il était resté à sa place ! Grasce soit rendue à Aristote !

Auprès d’Arman, elle se mit à trembloter tant l’émoi était profond. Il avait très certainement dû s’en rendre compte car il serra son bras un peu plus fort sur le sien, comme pour lui dire…


« Aller ma Belle ! Ton rêve va enfin prendre forme ! »

Puis elle vit Elendra et Ike se mettre en marche, le cœur vaillant, la tête haute, devant tout ce monde ! Ils paraissaient tellement insouciants, à peine impressionnés, si mignons dans leurs belles tenues de fête. Sybille ne put réprimer un sourire face à ce si joli tableau.

Puis elle sentit Arman tirer doucement sur son bras. En plein rêve, Sybille réalisa soudain qu’il lui fallait aussi prendre le chemin de l’autel.

Elle inspira profondément pour se donner du courage et, s’avança fièrement au bras de son frère adoré, d’un pas lent et posé. Elle déglutit en voyant tous ces regards posés sur elle. Pourvu qu’elle ne fasse pas de faux pas et ne s’écroule au beau milieu de l’allée centrale !

Elle reconnut des visages familiers. D’autres par contre lui étaient inconnus. Mais elle savait que tous étaient réunis pour les accompagner sur le chemin de leur bonheur. En cela, elle était reconnaissante de la présence de chacun.

Mais doucement, au fur et à mesure de son avancée vers l’être aimé, les visages se firent de moins en moins nets. Petit à petit, elle oubliait l’anxiété, et toutes ses pensées convergèrent vers lui. Elle n’entendait ni ne voyait plus rien, à part lui… Et comme dans un rêve cotonneux, Arman la laissa à Uriel, par devant tous, face à l’autel.


- Te voila arrivée ma belle, ce fut un plaisir!

Elle adressa un sourire à Arman et lâcha doucement ce bras qui la soutenait depuis de longues minutes.

Le regard de l’étoile croisa celui de l’ange… Ses lèvres charnues esquissèrent un sourire. Elle le trouva magnifique. Elle avait le cœur au bord des yeux mais aucune larme ne coula. Ce jour était jour de fête ! Jour de joie et de promesse !

Elle murmura, sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche, un
« je t’aime » tendre et amoureux. Puis elle prit la main de son promis et tous deux se présentèrent face aux prie-Dieu, prêts à recevoir le sacrement du mariage.


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Sebastienpirlet
Soudain, les portes s'ouvrirent et Elle entra dans une robe rouge comme une rose, plus belle que jamais. La beauté et la grâce de la Duchesse n'était plus à démontrer, tout comme la prestance du futur marié, qui attendait à l'autre bout de la Cathédrale. Son coeur se serra quand la musique commença, tandis que tous les regards se tournaient vers Sybille, lui ne pouvait s'empêcher de repenser à cette soirée où il l'avait croisée par hasard près de Nancy, elle avait alors la même allure princière, la même beauté, peut-être un peu moins solennel qu'en cet instant. Il s'imaginait à la place du marié, se replongeant dans les souvenirs de son propre mariage, plusieurs années auparavant.
Il y avait tant de regards portés sur elle, elle était en ce instant le centre de l'attention d'une foule impressionnante massée au sein de la Cathédrale. Verrait-elle qu'il était là ? Se demanda-t-il alors qu'elle commençait à avancer. Elle avait eu raison, mile fois raison, mais aujourd'hui il ne pouvait que sentir un frisson parcourir son échine, symbolisant ce qu'il ressentait et que nulle autre qu'elle ne pourrait comprendre. Il rejoignit Sabifax et Cyann, sa soeur, qui devait deviner la complexité de ce qu'il éprouvait en cet instant. Il était partagé entre le souhait, brûlant, qu'elle le voit et qu'ils échangent un dernier regard, et l'envie qu'elle l'oublie, pour son bonheur à elle, pour son bonheur à lui. Il était fort à parier qu'en cette journée déjà, les sentiments commenceraient à s'étioler pour finir par disparaître d'ici quelques jours, semaines. C'est ce qu'il pouvait espérer de mieux, toute autre issue étant impossible.

Il leva les yeux vers le plafond, majestueusement soutenu par les colonnes de l'édifice gothique. Cette impression de hauteur ne faisait que renforcer son propre vertige, le sentiment de commencer une chute qui ne devrait s'achever qu'au terme d'un profond travail de réflexion. Ces puissants arcs boutés, éternels, d'une force capable de traverser les siècles et les millénaires, comme si c'était l'évidence, rendait ses propres contradictions plus pénibles, plus difficiles à accepter. Saurait-elle construire un édifice aussi solide ? Il l'espérait de tout son coeur, de chaque parcelle de son corps, car de toutes les femmes, elle méritait amplement le bonheur. Lorsqu'elle se retourna, il crut croiser son regard, mais son imagination devait lui jouer un tour, il n'était déjà plus qu'un lointain souvenir, de ceux que l'on raconte les longues soirées d'hivers au coin du feu.
Il avait longtemps cru que c'était un combat passion contre raison qui avait fait rage, mais il s'était trompé, c'était un combat entre deux passions, et c'est la passion qui avait remporté. Mais une autre. Il ne savait toujours pas aujourd'hui faire la différence entre ces deux feux distincts, seul l'avenir pourrait répondre à ses questions.

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Toutes nos passions reflètent une étoile... chaque étoile a un sens
Vivlyne
Les gens ne cessèrent d'arriver. Des carrosses arrivaient, repartaient formant un balais incessant... un brouhaha devant le parvis, comme un essaim d'abeilles... que de monde! La cathédrale pourrait-elle contenir toutes ces âmes? Elle ne sut le dire... Puis entourée de ses amis(es), elle jetait des regards de temps à autre, voir si dans la foule, elle ne connaissait d'autres personnes qu'elle aurait croisées lors de ses voyages. Mais non! C'est alors que les cloches se mirent à carilloner. Il était temps de prendre place en la cathédrale.

Devant le bénitier, elle ota ses gants, trempa ses doigts et se signa. Suivant les avancées des gens, elle finit par trouver une place, non loin de ses amis.

Une musique s'éleva et Uriel apparut. Elle ne l'avait jamais vu habillé ainsi. Il resplendissait. Puis ce fut l'entrée de sa promise et là, les chuchotis cessèrent, comme si la cathédrale elle-même retenait son souffle. La future mariée fit son apparition. Vêtue d' une robe rouge, Sybille éblouissait l'allée qu'elle remontait au bras d'un homme. Ce dernier, devant l'autel, la libéra. Les futurs époux étaient divinement beaux. On pouvait presque sentir leur amour, amour qu'ils allaient unir pour l'éternité.

La cérémonie allait pouvoir commencer...
Ecaterina
[Rome]

La dernière séance de la Curie venait de se terminer assez tard dans la soirée. La Cardinal était exténuée car les débats avaient été longs et houleux.
C'est telle un fantôme qu'elle marchait dans les rues de Rome vers sa ville prés de la place d'Aristote. Elle saluait machinalement d'un hochement de tête les personnes, connues ou non, qui lui témoigner leur affection et leur salutation.

A peine venait-elle d'arriver chez elle qu'elle croisa son secrétaire qui dictait des ordres au cocher et à toute la domesticité. Surprise d'un tel manège, Ecaterina s'approcha de lui.


Que faites-nous mon bon Igor? Où allez-vous?


Le secrétaire secoua la tête, sourit puis se dit que décidément sa vieille maitresse ne changerai jamais.

Vous n'avez quand même pas oublié que vous devez célébrer le mariage de vos amis Uriel et Sybille, dit-il d'un air ironique.

Tout en éclatant de rire, la Cardinal fit la fausse choquée avant de répondre:

Bien sûr que non voyons. J'étais juste surprise que tout ne soit pas déjà prêt.

Tous deux savaient très bien qu'elle avait oubliée, en raison de la tonne de travail qu'elle avait. Ils éclatèrent de rire puis Igor retourna à ses occupations alors qu'Ecat' entrait pour prendre un verre de vin avant la longue route qu'elle devait faire.


Elle redescendit quelques minutes aprés. Les malles étaient toutes chargées, Igor et Berthe ( sa dame de compagnie) l'attendaient dans le coche.
Sa garde personnelle était en place, les fanions de leur maitresse bien en évidence en tête et en queue de cortège.



[ En chemin - Dans la campagne impériale]

Cela faisait déjà plusieurs heures que le voyage avait débuté. Afin de ne pas perdre plus de temps, les chevaux étaient changés régulièrement et on avait décidé de ne pas s'arrêter pour la nuit.
C'est donc un équipage somnolent qui se pressait sur les routes impériales menant à Aix-la-chapelle.


[ Aix-la-chapelle]
Estaphios






Estaphios avait fait un long voyage depuis son cher Bearn. Mais l'invitation que son enseignant lui avait envoyé lui avait fait chaud au coeur, et il avait décidé de tout faire pour se rendre à ce moment clef de sa vie.

Oh...bien entendu, il ne connaissait que très peu Uriel, qui était pour lui le Doyen intouchable du Séminaire de NoirLac. Et il connaissait encore moins sa future épouse, si ce n'est que de nom. Mais peu importe: quand le Curé d'Orthez était invité, il acceptait car cela signifiait que l'on souhaitait sa présence.

Le voyage fut parfois rude, et l'Oriental fit d'ailleurs halte à l'abbaye cistercienne pour couper ce périple. Après plusieurs jours et nuits sur les routes de France, le Novice Cistercien passa la frontière du Saint Empire non sans ressentir un petit pincement au coeur: voilà bien des années que le clerc n'avait pas posé le pied sur le sol impérial, depuis son époque savoyarde qui lui est si chère.

Aachen...la voie impériale vers la ville capitale...les institutions du Sring, l'Empereur...les souvenirs se mêlaient dans la tête du Curé, qui arriva plus vite qu'il ne le pensait en vue de l'immense Maison de Dieu.

La foule était immense, et Esta' se fraya un chemin avec difficulté pour aller prendre place sur les bancs de la Cathédrale. C'est ainsi, au milieu d'une foule impressionnante , presque effrayante d'ailleurs, que le Curé vit la mariée s'avancer vers l'autel...

Chevalier_dide
Une importante foule de personne s’avancer en direction de la cathédrale, la place fut remplis en quelques minutes à l’ouverture des portes.
D’un regard discret en direction des invitées, il s’avança dans l’imposante cathédrale.

L’homme exista un moment, puis d’un geste le blondinet dévoila sa tunique et sont visage aux invitée et s’installa non loin de l’autel à coté d’une colonne.
Après tout nous sommes dans la maison du très haut et rien ne pouvais lui arrivée en cette demeure.

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Uriel
[Cathédral d'Aix, à l'autel]


Alors qu'il attendait patiemment, le futur marié reçu quelques bises et congratulations de la belle Théo.

Merci Théo, je l'espère de tout coeur !

Puis vint son témoin, sa soeur dans la Foy, avec qui il avait déjà tant partagé, joies et peines, une amie comme on en trouvait rarement.

Merci ma soeur, mais ne t'éloigne pas trop de l'autel, car je gage que tu dois intervenir ...

Nouveau sourire, il ne savait pas exactement comment allait se dérouler la cérémonie, mais toujours était-il qu'il apprécierait l'avoir à ses côtés, en ce moment.





Majestueuse.

C'était le seul mot qui lui parvenait à l'esprit. L'espace d'un instant, le monde autour de lui devint comme flou, il apercevait les gens comme des ombres, les colonnes de la Cathédrale n'existaient plus et il n'était même plus certain d'encore toucher le sol.
De fait, il la voyait se déplacer lentement, comme si elle était portée dans les airs, telle un ange descendu du Paradis.

Uriel respirait lentement, calmement, tandis que l'apparition avançait vers lui, escortée par un homme et des formes plus petites ...
Arrivée non loin, il leva les yeux clairs vers son visage opalin, un frisson lui parcourut l'échine tandis qu'il plongeait dans l'océan turquoise de son regard si profond.
Instinctivement, il tendit la main et toucha la soie de ses doigts et un sourire se dessina sur ses lèvres.

Le monde reprit alors de sa couleur, la cathédrale se reconstruisit autour de lui, les gens apparurent, comme dans un comte de fées.
Un homme assis au premier rang : Fedy ... son cher ami avait pu venir, un homme que la vie n'avait pas gâté ; il le savait si malade et pourtant, il était là. Un signe de tête, un nouveau sourire pour lui signifier o combien il était heureux qu'il soit là.
Il regarda alors le cavalier de Sybille qui n'était autre que son frère Arman.
S'inclinant, pour le remercier aussi, il lui dit alors :


Ne t'en fais pas, mon frère, ce diamant ornera mon firmament.
Dans la nuit sombre, il éclairera ma route, étincelant.
J'en prendrai soin comme la prunelle de mes yeux.
Et ce tant que le souffle me sera donné par Dieu.


Toujours, Fedy et Arman lui avaient fait confiance, et il n'avait pas l'intention de les décevoir.
Tournant alors la tête vers sa Sybille, son âme soeur, il n'y avait nul mot à dire, aucune expression à prendre pour lui exprimer son amour.

Du coin de l'oeil, il vit les enfants de Lavania qui étaient restés admirablement sages, tandis que les dernières personnes qu'il attendait avaient fait leur apparition dans la foule. Il appréciait vraiment de voir tous ces visages.
Imprimant une délicate pression des doigts sur ceux de son aimée, il se tourna vers l'autel : ils étaient enfin prêts ...
Adelphe
Adelphe s'était levé du bon pied ce matin là, le soleil brillait de toute sa clarté,les oiseaux chantaient et déployaient leurs ailes. Tout était réuni pour que cette journée soit parfaite. Lorsqu'il reçut la l'invitation par Uriel Adelphe fut très heureux et ne manquerait pour rien au monde le mariage de 2 personnes qu'il connaissait mais qu'il ne voyait plus rarement. Près à partir pour la cérémonie, il tata ses vêtement afin de bien constater qu'il avait tout sur lui et qu'il ne lui manquait rien. L'homme était désormais prêt et put prendre la route en direction de l'église. Sur le chemin il repensait à tout les bon moments qu'il avait passé avec ces 2 anciens Verdunois. Arrivé devant l'édifice ,Adelphe se rendit compte qu'il y avait une foule déja devant celui-ci. Ne savant pas vraiment ou se mettre dans cette marée humaine l'homme chercha des personnes qu'il connaitrait et les saluait d'un geste amical. Par la suite, il poussa la porte de l'église prit l'eau bénite et s'assied au bord d'un banc. Il attendit avec beaucoup d'impatience l'union de 2 être très sympatiques et qui s'aiment tendrement.
Isis25
Halte à l'auberge

Ils entrèrent dans l'auberge main dans la main.
Isis souriait de bonheur. Elle se sentait heureuse d'être entourée de gens qu'elle aimait et qui était pour elle sa famille.
Elle fut d' autant plus heureuse lorsqu'elle vit son géant et son frère se saluer en souriant.

Après s'être restaurer, chacun allèrent se changer pour la cérémonie.
Quand Isis fut prête elle regarda son géant sous toutes les coutures et remit un pli de la chemise en place.
Tout le monde se retrouva dans la cour et se complimentèrent sur les toilettes.

Puis, vint le moment du départ. Isis savait que Slarkoss ne monterait pas dans le carrosse. Il en avait de bien mauvais souvenirs et avec sa carrure, il ne serait pas très à l'aise.
Elle se tourna vers son frère et alla lui faire une tendre bise sur la joue


Je vais avec mon géant, mon frérot.
On se retrouve à la cathédrale.

Elle fit également une bise à Barberine et lui fit un clin d'œil complice.
Puis, Isis rejoignit son bien aimé près de Tornade auquel elle caressa l'encolure en guise de bonjour.


Aix la Chapelle

Bien installée derrière son bien aimé, Isis posa sa tête contre son dos.
Elle ne regardait pas le paysage qui défilait devant ses yeux heureuse qu'elle était d'être là avec lui.
Arrivée devant la cathédrale, il l'aida à descendre de Tornade et Isis rejoignit Fiha et Barberine pendant que Slarkoss laissait Tornade au palefrenier de service.
Elle regardait un peu tout le monde afin de voir si elle reconnaissait des personnes.

Lorsque les cloches se mirent à sonner, Isis fut surprise. Elle prit la main de son bien aimé et ils suivirent Fiha et Barberine dans la cathédrale.
Liz_de_wissocq
La foule des invités s’était tue comme par magie lorsque Sybille, devancée par deux bambins, franchit la grande porte de l’édifice et s’avança dans le couloir central en direction de l’autel où l’attendait Uriel. La musique qui venait de retentir donna quelques frissons à Liz qui resserra sa main sur celle de Leo. Cette magnifique mélodie se fondit doucement en une autre, celle que le clapotis de l’eau murmurait contre la coque du bateau sur lequel Leo et elle s’étaient unis pour la vie. Les voûtes de la cathédrale se transformèrent soudain en un ciel bleu nuit, comme celui qui avait semblé leur envoyer ses étoiles pour illuminer leurs yeux quand ils avaient prononcé un « Yes I will », gage de leur engagement éternel l’un pour l’autre.

Liz leva les yeux vers Leo, se pencha vers lui et murmura : Viens, mon cœur, allons attendre les jeunes mariés dehors, nous les féliciterons plus tard, je n’en peux plus de cette foule et de certains regards que je sens portés sur nous.

Elle se leva en faisant le moins de bruit possible, contourna le pilier, suivie de Leo qui s’était levé d’un même mouvement, un sourire aux lèvres qui exprimait toute la reconnaissance qu’il ressentait pour elle d’avoir pris les devants pour le soustraire à cette cérémonie. Sur la pointe des pieds, ils sortirent sur le parvis baigné de soleil, espérant l’un comme l’autre que Uriel ne leur tiendrait pas rigueur d’aller l’attendre sous les marronniers.
Poupounet
Parvis qui devenait de plus en plus tendu, non elle ne se laisserai pas prendre au piège du "Poup est au milieu et doit trancher". Après tout elle était là pour le mariage d'Uriel et elle ne se laisserai pas démontée par l'affaire Théognis. Qu'ils se débrouillent tiens. A chaque fois c'était pareil, elle se retrouvait au milieu de deux personnes qu'elle appréciait. Non, un mariage puis une soirée, voilà comment elle avait envisagé ce voyage. Elle voulait s'amuser et danser, c'est bien pour cela qu'Eusaias était son cavalier.

On y va mon cher ? Il ne faudrait pas trop trainer devant l'église non plus.

Ni une ni deux, elle embarqua son duc dans l'église afin de trouver une place confortable pour suivre la cérémonie. Ils s'installèrent discrètement sur un banc, là où il y avait de la place, après tout le principal était d'avoir une place. Elle avait délaissé tout le monde et comptait profiter du moment.
Bambou57
Une fois arrivés à l’auberge ils prirent chacun une chambre, elle entra dans la sienne et posa ses affaires sur le lit, elle déplia sa robe pour enlever les plis, et pour qu’elle soit impeccable pour ce grand jour

Elle alla se rafraichir un peu, et enfila sa robe, sa femme de chambre n’étant pas là, elle eut quelques difficultés à la fermer mais y parvint tout de même.

Elle entendit frapper discrètement à la porte de sa chambre, Prom venait la chercher, elle entendit les cloches sonnaient au loin. Ils se dépêchèrent de partir vers la cathédrale.

Ils entrèrent dans l'édifice où il y avait énormément de monde et s’installèrent là où il y restait de la place. Elle aperçut au loin Barberine qui devait être déjà arrivée depuis un moment

La musique se mit à jouer et elle vit arriver Sybille magistrale dans sa jolie robe rouge, elle marchait au bras de son frère, et alla rejoindre son futur époux.


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Ecaterina
[Aix la chapelle]

Enfin ils étaient arrivés. Comme à son habitude, la grande ville était toujours en mouvement, avec ses marchands, ses crieurs, ses voyageurs.
Elle ressemblait à une grande fourmilière où chacun se croise et se recroise.

Le clocher de l'imposante cathédrale était visible dés l'entrée dans la ville. C'est donc vers ce point que l'équipage se dirigea aussi vite que le permettait la foule opaque et constante.

Enfin elle vit les portes de la cathédrale. Le coche s'arrêta devant celles-ci. Il y avait déjà foule en ce jour de mariage.
La Cardinal descendit lentement de son coche puis s'arrêta,bloquée par la foule. Les gardes descendirent de suite de leurs montures puis tout en frayant un chemin à leur maitresse hurlaient:

Place, place. Laissez passer son Éminence Ecaterina de Sevillano Réaumont. Elle va être en retard.

Pressée, la cardinal prit quand même le temps de saluer les personnes présentes puis de bénir ce qui le demandaient.

Enfin c'est vêtue de sa somptueuse robe de cérémonie qu'elle arriva enfin à entrer.
Elle avait décidé de ne pas mettre ses habits de cardinal, mais sa robe blanche, car quoi de plus normale lorsqu'on célèbre l'union de deux personnes aussi pures.




Elle remonta lentement l'allée centrale, hochant la tête pour saluer les personnes présentes, dont des membres de sa famille.
Elle passa devant Uriel et Sybille, doigts et nerveux devant l'autel. Elle leur fit un clin d'œil puis leur chuchota:

Désolé d'être en retard. J'espère que vous n'êtes pas trop nerveux.
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