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[RP] : Mariage de Sybille et d'Uriel

Ivrel_samford


-Dépêche-toi bon sang, je crois que ça a commencé !

Ivrel courait sur le parvis de la cathédrale et entraînait dans son sillage son ami Coemgen.
Les dalles de pierre raisonnaient sous les pas des deux hommes en retard.

Coemgen, entre deux soupirs, et non sans malice :

-C’est surtout la fin qu’il ne faudrait pas louper non ? J’adore ces petits « oui » exprimés souvent comme à regret, je me marre.

-Arrête de dire n’importe quoi, et puis tu vas bien te tenir cette fois-ci pas comme à Noirlac ou tout le monde t’a vu perché dans la charpente. J’aime beaucoup frère Uriel et je ne veux pas d’esclandre compris ?

-Oui, Oui, tu m’prends pour qui à la fin.

Ils sautèrent les dernières marches qui les menaient dans la Cathédrale . La musique les arrêta d’un coup dans l’antéglise. La grande nef se déroulait comme un grand tapis de soie fleuri sous leurs yeux, ; y’avait du monde et du beau, les atours polychromes des belles dames rivalisaient d’éclats chatoyants et lançaient des flammèches irisées sur les grandes colonnes de pierre froide. On avait disposé des fleurs en bout de chaque travée de banc, l’instant était solennel, magique, et même Coemgen, pourtant assez rustique, resta bouche ouverte et les yeux ronds.

-On fait quoi ?

-On dérange pas, je remonte sur le bas-côté, à droite, suis-moi sans bruit.

Mais Coem, l’homme des bois, marchait déjà comme un automate et s’engagea sous la grande nef, des têtes se tournèrent à son passage, l’homme en vert comme une feuille égarée sur des pétales virevoltait en caressant les fleurs du bout de ses doigts émeraude. La grand’nef l’avala tout rond.
Sur le bas-côté et remontant parallèlement à son ami Coemgen, Ivrel s’emmêlait les yeux dans des chapeaux à plumes qu’il aurait aimé voir moins touffus, des chignons trop hauts, de Pise, des mousselines blanches à faire rêver les hommes perdus, on lui cachait des visages, des connus, et un adoré...


-Wamarine, ma fée, où vous cachez-vous ? dans le plus beau de ces paniers de roses j’en suis certain.
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Sabifax
[A coté de la cathédrale]



A la base son intention était louable: Prendre soin de sa monture et de celle de sa compagne de chevauchée. Il s'était donc dirigé vers l'écurie proche de cette petite taverne qu'il avait repéré. Quenotte, la jument tête de mule de Cyann et Éole, son frison que la belle avait amoureusement offert au jeune homme avaient bien droit à un peu de repos. Surtout que Sabifax était loin d'être un cavalier émérite et ne ménageait pas son monture.

C'est là que l'histoire se complique un peu, mais je vous jure qu'elle s'est déroulée exactement comme suit. En entrant dans l'écurie, il se fait de suite aborder par un palefrenier très loquace bien que s'exprimant dans un jargon incompréhensible pour le jeune homme. Après maintes palabres et gesticulations, Sabifax en avait déduit que l'écurie était exclusivement réservée aux clients et n'avait d'autres choix - pour le bien être de leurs montures - de devoir consommer un tantinet. Il hésite, il ne vient pas quand même de se taper des heures de route à dos de cheval pour rater la célébration. Bref! Cruel dilemme pour le jeune homme qui se rappelle alors la tête qu'a fait sa blonde professeure d'équitation quand il avait oublié de s'occuper de la monture comme il se doit... même si il avait eu une excellente excuse. Un frisson lui parcourt l'échine... est-il prêt à risquer de subir le courroux de la blonde ???

Peut-être! Ben....Oui.. Il avoue, il aime bien la voir en colère... C'est pas son coté masochiste mais il trouve sa C... adorée tout aussi ravissante avec son rire grelot que quand ses yeux virent au bleu tempête ou s'illuminent pour lancer des éclairs ( malheureusement pour le gourmand ils sont pas en chocolat). Mais là, il ne s'agit même pas de ça... c'est tout autre chose. Il lui a quand même promis de toujours bien s'occuper de sa monture et une promesse faite à l'amour de sa vie, c'est sacré...


C'est donc ainsi que Sabifax a pris quelques affaires puis a confié les montures à un garçon d'écurie et s'est retrouvé assis devant une table qui lui ouvrait grand les bras alors que les cloches de la cathédrale s'envolaient dans les airs. Contrairement à son habitude et malgré sa réputation, il essaya d'être raisonnable - Pas si fou... Uriel lui avait écrit que du coq au vin serait servi à la réception qui suivait le mariage... - et il passa commande en pointant du doigt un seul tonneau. Je vous ai bien dit qu'il était raisonnable... il ne prête même pas attention aux charcuteries pourtant tentantes et aux plats mijotés dont l'odeur commençait à taquiner ses narines très sensibles. Non... juste une petite bière. Petite ? Petite... peut-être pour les locaux, mais c'était pas une petite chopine qui arriva. Au contraire, il crut d'abord que les teutons lui apportaient dans un pichet de quoi servir toute une tablée de buveurs, sauf que là... il était seul. Oh qu'il fut surpris, remarquant à peine le charmant sourire que la serveuse lui adressa. Malgré les années d'expériences de buveur de bières, celle là... il ne pouvait pas se permettre de la caler.

Il soupira, bien conscient de la situation dans laquelle il se trouvait sans l'avoir cherché. Il regarda sa bière et commença à la boire avec l'envie de vite retrouver au plus vite une blonde autrement plus pétillante.



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Slarkoss
Halte à l'auberge

Isis lui prit la main et l'entraina a sa suite dans l'auberge. Elle semblait si heureuse qu'elle le tira literalement vers l'interieur. Si bien qu'il vit se rapprocher le dessus de porte dangereusement il du son salut a un acrobatie pour evité de se manger mechament le chambrale supperieur.

Ils s'approchèrent d'une table ou était déà assis Barberine et Fiha. il eut un petit sourire amusé et les salua tout deux.

On leur apporta alors a manger et a boire. Comme a son habitude l'auroch ne cacha pas son appetit et engloutit les uns apres les autre les plat qu'on lui tendait.
S'en suivi alors une sceance dont il se serait bien passé. il lui fallut se changer et s'habiller pour cette ceremonie. Il dut etre trainer de force par Isis pour venir se changer. Il aurait prefere y allez comme il etait en pantalon torse nu sa cape de fourrure ses botte et ses bracelet de force et son heaume. Mais Isis le foudroya du regard quand il lui annonça. Puis elle lui murmura quelque chose a l'oreille. Il la suivit docilement avec un large sourire aux levres. Il avait des affaire de prévue. Lizbeth etait une femme admirable qui avait su prevoire. elle avait mit dans les sacoche de tornade ce qu'il fallait au géant pour se changer. Lorsqu'Isis sortit de la malle du carosse des vetement pour lui, il eclata de rire. qu'est ce qu'il allait faire avec ce genre de vetement sur le dos. D'abord il etait trop petit pour lui et sa se voyait et jamais au grand jamais il n'aurait mit s. Il regarda dans la sachoche et sourit. Decidement la jeuenservante de sa compagne etait un vrai tresor. Elle lui avait mit son uniforme d'aparat. Il l'enfila.
Bien qu'isis soit un peu deçue, elle retrouva vite le sourire en voyant son geant dans son unniforme d'apparat. Elle le regarda sous toutes les coutures et remit un pli de la chemise en place.

Ils descendirent alors rejoindre Fiha et barberine dans la cours.Tout le monde se retrouva dans la cour. On leur proposa alors de monter dans le carosse. Slarkoss montra les dent comme un chien l'aurait fait pour montrer son desaccord. Les raisons etaient multiple. Il monta alors en scelle.

Aix la Chapelle

Ils chevauchaient a une allure soutenue. Il avait remit son heume et s'etait emballer dans sa cape de fourrure pour ne pas se salir avec la poussière. il avait passé une seconde cape a isis pour ne pas qu'elle non plus subisse les haléa du voyage.
La Cathédrale se dessinait a l'horizon. Pas besoin d'etre debvant pour savoir qu'elle serait combleet pour la trouver. il suffisait de suivre le peuple et les carosse qui s'y rendait.
Arrivée devant la cathédrale, il l'aida à descendre de cheval. Elle rejoignit Fiha et Barberine pendant qu'il laissait Tornade au palefrenier de service.
EIl constata que la foule etait nombreuse et si il ne voulait perdre sa compagne il avait tout interet a se depecher. il retira la cape de fourrur et son heaume qu'il rangea soigneusement a l'abrit dans le carosse ou il enferma ses deux molosse pour veiller sur le vehicule et Tornade ainsi que ce qu'il contenait.
il se precipita bousculant le monde pour rejoindre sa douce

Lorsque les cloches se mirent à sonner, Isis sa main et il entrèrent dans la cathédrale.

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Nemo Me Impune Lecassit

"(...) Si tu trouve que la violence ne résout rien, c'est que tu ne tape pas assez fort (...)"
Barberine



Entrée dans la cathédrale

Barberine accrochée au bras de Fiha ouvrait la marche à Isis et Slarkoss.
la foule était impressionnante, et on ne pouvait avancer à quatre de front.
Il fallut s'arreter à l'arrivée de la Cardinale qui devait officier à ce mariage.
Les quatre amis purent enfin entrer dans la cathédrale, se pressant vers l'avant pour joindre leurs places. En foulant les dalles de l'allée centrale, ils s'indiquaient les uns les autres les amis qu'ils pouvaient reconnaitre.
Un sourire à Tophe, un autre à Caoi, un signe de tête vers Adelphe, Vivlyne. Il s étaient trop nombreux ou trop loin , la cathédrale était très vaste.
Enfin assise, Barberine continuait à scruter autour d'elle.
Tiens Bambou, très élégante, au bras de son Prom.
Un sourire, un petit signe discret, les embrassades viendraient plus tard.
Un grand silence se fit soudain, puis la musique retentit.
Prenant le bras de Fiha , Barberine se retourne pour admirer l'arrivée de la mariée, magnifique dans sa robe rouge, l'air très émue.
Elle se penche vers Isis en lui murmurant :
Elle est belle n'est ce pas !

Son bras se fit plus pesant sur celui de Fiha, elle le regardait plus émue qu'elle ne l'aurait, voulu, se demandant si la vie un jour leur offrirait enfin ce bonheur, si le destin lui permettrait de marcher vers l'autel, pour y attendre, comme le faisait Sybille en ce moment, que son futur époux la rejoigne. A cette évocation, une larme perle à sa paupière, larme qu'elle dissimule bien vite en baissant la tête.
Elle s'exhorte silencieusement à la patience. Elle n'avait pas eu à, se plaindre de son, destin jusqu'à maintenant, il lui suffisait d'espérer , et de garder la foi. En relevant la tête, elle sourit pleine de confiance vers Fiha, se préparant, avec toute l'assistance, à entendre les promesses des deux fiancés.

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Sybille_von_frayner
Nerveux ? Ecaterina leur demandait si ils étaient nerveux ! Grand Dieu oui qu’ils étaient nerveux ! La preuve en était : le cœur de la jeune duchesse battait à tout rompre !

Sybille fut un peu étonnée de voir la Cardinal vêtue d’une robe aussi... festive… Pourtant elle connaissait bien Son Eminence et son amour des extravagances. Elle aurait dû se douter que cette dernière, pour leurs épousailles, se vêtirait du tout dernier chic anglais…

La future mariée, transie d'émotion, esquissa un sourire à l'intention d'Ecaterina. Puis, tout en resserrant l'emprise de sa main sur celle de son aimé, elle approcha le visage vers celui de son amie. Elle lui murmura doucement, confidence pour confidence :


- Je crois pouvoir affirmer que nous sommes particulièrement émus et nerveux en effet… Et c'est peu de le dire...

Regards et sourires complices, tant à Ecaterina qu'au futur mari. Tout en elle vibrait d'émotion dans l'attente du oui tant convoité depuis de si longs mois.
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Palogar
[Aix-la-Chapelle]

Le voyage fût long depuis Toul jusqu'à Aix mais se déroula sans problème majeur.
Arrivé à Aix, il avait surtout fallu trouver une auberge où laisser son fidèle destrier. Cette chose habituellement banale (trouver une auberge dans une grande ville) prit finalement beaucoup plus de temps que prévu : toutes les auberges semblaient complètes...
Pestant contre ces satanés aubergistes qui n'étaient même pas fichus de lui trouver une petite chambre et un box pour sa monture, Palogar finit par trouver une auberge où il restait de la place.
Mais celle-ci était pratiquement à la périphérie de la ville. La cathédrale où il devait se rendre était en plein cœur de la ville...
Il partit au pas de course en direction de la cathédrale...

[Parvis de la cathédrale, Aix-la-Chapelle]

Enfin...

Palogar arriva quelque peu essoufflé alors que les cloches commençaient à sonner.
Il entra dans la cathédrale, et comprit à ce moment pourquoi il avait eu tant de mal à trouver une auberge : il y avait foule. La foule des grands jours avec manifestement de nombreuses personnes de qualité.

Reprenant son souffle, il prit place en cherchant quelques visages connus.

Il vit Bambou et Barberine et leur fit à toutes deux un signe discret et puis bien sûr son regard se porta sur Uriel et Sybille.

La mariée était ravissante toute de rouge vêtue. Le marié splendide lui aussi...
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Graoully
L'abbé avait pris place dans le choeur, et avait suivi le mouvement de foule qui entrait dans la cathédrale. Il avait suivi les futurs mariés du regard quand ils avaient remontés la nef chacun de leur côté.
Il entendit crier un nom qu'il connaissait bien au dehors. Son regard croisa celui de son greffier. Le cardinal de Sévillano était arrivé. Seulement, elle avait le léger inconvénient d'avoir été exclue dernièrement de la Curie Romaine, et n'y avait été ré-intégrée que peu de temps avant ce moment. L'annonce spécifiait bien que l'enquête n'était pas tout à fait terminée, et ne la ré-intégrait qu'à un bas degré du cardinalat.
L'inquisiteur et son greffier étaient donc aux aguets pour voir entrer cette personne, savoir comment elle paraitrait tout au long de la messe.
Ils se levèrent tous deux au moment où celle-ci gagnait l'autel. Ils fermèrent leur visage à ces impressions, pour afficher tous deux un sourire ne laissant rien passer de leurs réflexions.
Sa mitre sur la tête et sa crosse à la main, l'évêque salua le cardinal d'un geste de la main, tandis que le greffier baissait légèrement sa tête en signe de respect.
Ils étaient prêts à suivre le début de cette messe de mariage.

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Uriel
[Cathédrale d'Aix, près de l'Autel]





Uriel entendit l'annonce de la venue de Son Eminence Ecaterina ; il fut tout à coup rassuré car il la savait fort prise avec de nombreux dossiers à Rome, et si la faveur que lui avait fait son amie était chère à son coeur, il aurait bien compris qu'elle ne puisse faire la route.
Mais elle était là ; serrant à nouveau la main de son aimée, les grains de son sablier s'écoulaient peu à peu, les rapprochant peu à peu de cette union qu'ils attendaient tous deux depuis des mois.

La Cardinal parvint à leur hauteur et le Premier Archidiacre de Trèves mit un genou au sol pour la saluer, respectueusement et avec toute la déférence due à son rang.
Ils n'étaient pas ici dans un palais privé où les convenances tombaient et où ils riaient bien souvent ensemble sur des sujets aussi divers que variés.

Entendant la remarque de Sybille, il lui sourit et reprit après elle.



Oh si Eminence, mais nous le cachons bien, cet instant sera la consécration de notre bonheur.


Ecaterina avait fait fort pour sa tenue, au moins avec elle dans un débat ou une réception, on ne s'ennuyait jamais.

Bien évidemment, Uriel avait laissé toutes les consignes pour que tout soit prêt sur l'autel. Il avait même vérifié les derniers détails avant d'aller s'habiller.
Il fallait bien avouer que l'homme ne laissait que peu de choses au hasard lorsqu'il s'agissait des sacrements, tout se déroulait en général très bien.

Enfin ... le grand moment arrivait.
Tipoison


Tipoison arriva la mine réjoui ,mais il y avait tant de monde qu' elle se fraya un chemin parmi les gens de toutes sociétés ,bonne ou moins bonnes,
elle voyait tous les souriants visages au fur et à mesure de son avancé,

c' était vraiment un grand jour,

elle prit place et admira la cathédrale avec des yeux d' enfant emerveillé ,c' était grandiose ,tous ces magnifiques vitraux ,ces dorures, et cet architecture conçue pour que le son puisse s'épanouir d' un bout à l' autre de la cathédrale la laissait sans voix,

elle tenta quand meme de voir à travers tout ce monde son ami Uriel ,l'heureux marié,elle tendit le cou à droite ,à gauche mais ne vit pour le moment que des personnes se serrant la main et autres accolades,

elle attendit donc patiemment sachant qu'une fois la messe commencée,elle saurait ou poser les yeux :devant l'autel...


Jewak13
Jewak était impatient que la cérémonie commence, pourtant il n'était pas le marié...Alors qu'est-ce que devait ressentir son ami Uriel !!!

La cathédrale ne cessait de se remplir.
Les mariés était maintenant présents, magniquement vêtus tel un prince et sa princesse bien aimée.

C'est alors qu'arriva la maîtresse de cérémonie SE Ecaterina. En voyant sa tenue toujours au dernier cri de la mode, il ne pu s'empêché d'esquisser un petit sourire en coin.
Encore une idée très originale de notre chère Eminence Ecaterina.

La cérémonie allait pouvoir commencer avec pour fin le moment préféré de Jewak: le OUI !!! Moment qu'il émeut beaucoup et qu'il affectionne particulièrement (surtout quand les concernés sont de très bons amis) car c'est un joli symbole d'amour, de partage, et de communion dans un tout nouveau couple.
Isis25
Entrée dans la cathédrale:

Isis, tenant toujours la main de son bien aimé, arrivait tant bien que mal à suivre Fiha et Barberine.
Ils durent se mettre de coté pour laisser passer la Cardinale.

Avançant doucement vers l'entrée de la magnifique bâtisses, ils purent enfin entrer dans la cathédrale, ou les nombreux invités étaient déjà installés.
Isis aperçut de loin des visages qu'elle n'avait pas vu depuis bien longtemps dont une personne avec qui elle n'avait pas que de bons souvenirs.
Elle jeta un coup d'œil à Slarkoss un peu inquiète. Elle savait qu'il avait fait un énorme effort pour être présent avec elle à cette cérémonie.
Elle le lui en était reconnaissante et lui avait dit quelques petits mots doux à l'auberge pour le remercier d'être là.

Ils avaient enfin trouvés leur place et s'installèrent tout en regardant autour d'eux les personnes présentes.
Faisant un sourire aux uns, un signe de tête aux autres.

Puis un grand silence se fit et la musique retenti.
Isis se serra un peu plus contre son géant et lui serra un peu plus fort la main tant elle était émue par l'évènement.

Sybille arriva au bras d'un des ses frères qui la conduisait jusqu'à l'autel.

Elle sourit à la remarque de Barberine.

Oui, elle est magnifique.

Isis poussa un léger soupir.
Ce n'était pourtant pas au premier mariage qu'elle assistait, mais celui-ci lui tenait peut-être plus à coeur que les autres.

Bien des souvenirs lui revinrent en mémoire. Souvenirs qu'elle chassa en secouant la tête.
Elle se mit sur les pointes des pieds et murmura quelque chose à son géant.
Elle lui fit un sourire complice et attendit que la cérémonie ne commence enfin.
Webix.d.azayes
C'est vrai que la route fut longue depuis l'auvergne mais enfin arrivés à destination, ils se rendirent vers la nef où devrait se tenir l'office. Tant de gens, de monde. Webix était impressionné.

Alivianne a écrit:
Viens proche de moi Webix, je pense que la cérémonie n'est pas encore commencé


Le jeune homme obtempéra a sa mère et se posa près d'elle, il ne connaissait tous ces gens que de nom, il ne savait pas comment s'y prendre ni trop comment se tenir.

Posé là près de sa mère, le jeune homme attendait la suite de la cérémonie.
Adso


Adso avait eu du mal à se décider à répondre positivement à l'invitation... Non pas qu'il n'avait aucune sympathie pour le marié, bien au contraire, mais justement, en tant que Grand-Maître de la Fierté Célibataire, il ne pouvait se résoudre à voir un ami se laisser passer la corde au cou... Mais bon, il s'était laissé fléchir. Et c'est en trainant les pieds qu'il était monté sur sa mule, et qu'il avait pris le chemin d'Aix-la-Chapelle...

Après quelques égarements, habituels pour Adso qui avait toujours autant de faciliter à trouver son chemin, il était enfin arrivé.
Ecaterina
Ce n'était plus la Cardinal qui se tenait devant ce couple amoureux, en cet instant? C'était la vieille dame qui était au service de l'Église depuis bien longtemps, qui était seule et fatiguée. Fatiguée d'être seule, fatiguée du poids qui pesait sur ses épaules.

C'était aussi une vieille femme heureuse de voir que ce don du ciel si grande qu'est l'Amour, planait en cette cathédrale. Elle était convaincue que si le Très Haut devait se manifester ici, se serait dans le regarde de ses deux amis, emplit d'amour de respect et de quelque chose de transcendant.

Elle avait entendu au début de son séminaire que l'Amour expliquait tout et c'est en ce jour, devant ce couple qu'elle comprit cette phrase.

Un air rêveur flotta quelques chose secondes sur ses lèvres avant qu'elle ne reprenne rapidement contenance en souriant.
Elle embrassa la foule du regard puis prit la parole de sa voix ferme mais douce, un peu usée par le temps et les discours.


Bienvenue à tous. Bienvenue en cette cathédrale qui accueille aujourd'hui ce couple désirant de s'unir devant le Très Haut.
Je suis triplement heureuse.

Heureuse en tant que Cardinal, car il est toujours bon de voir que les gens désirent s'unir devant leur Maître, sous son œil vigilent et plein d'amour.

Heureuse en tant que personne de voir deux personnes s'aimer tellement qu'elle ne peuvent imaginer passer une seule minutes de plus loin de l'autre.

Heureuse enfin, en tant qu'amie, car Uriel et Sybille sont mes amis les plus proches. Comment ne pas être emplit de joie en voyant que leur amour a triomphé de tout et qu'il les a mené ici en ce jour.
Wamarine
La jeune mariée passait à la hauteur de Wamarine et l'on pouvait lire sur son visage un grand bonheur mêlé d'anxiété. Logique ! Un tel jour dans la vie d'une femme ne pouvait la laisser insensible. Ne dit-on pas " le plus beau jour d'une vie " ! En haut de l'allée, près de l'autel, Uriel attendait. Dans la cathédrale, l'instant solennel imposait le silence mais les regards, avides de curiosité, suivaient la future mariée comme pour que ce moment s'imprime à jamais dans la mémoire des amis des époux à venir.

Cyann n'arrivait pas, elle était partie de un bon moment mais Wamarine lui gardait toujours deux places près d'elle. La brunette se demandait où elle avait bien pu passer ..... Peut-être était elle au fond à une autre place, n'ayant pas trouvé le temps de se rapprocher ? Wamarine la cherche du regard discrètement d'abord, puis se tourne, à droite à gauche et enfin se retourne carrément vers l'entrée de l'édifice .... personne ! Son regard fait encore des va et vient parmi tous les gens qui sont là quand elle aperçoit un visage qui semble chercher lui aussi du regard ..... puis un second .... deux visages qu'elle connait si bien. Wamarine se demande si elle rêve ou non. Pourtant ses yeux y voit bien. Son coeur s'emballe et elle ne peut contenir sur son visage un sourire heureux et surpris. Ivrel ! Ivrel est là avec Coem. Wamarine le regarde la chercher, sourit et le trouve superbe. Quelle surprise ! Une envie folle de partir en courant se jeter dans les bras de son fiancé s'empare d'elle, mais elle arrive à la réprimer, difficilement mais la réprime quand même, la situation ne permettait pas de se laisser aller. Soudain, la voix de la Cardinale retentit dans la cathédrale. Perturbée par l'arrivée d'Ivrel et Coem, Wamarine n'avait pas vu que la mariée était déjà près de l'autel. La cérémonie commence. Alors dans le silence de la cathédrale mais le plus discrètement possible et assez visible tout de même pour qu'Ivrel et Coem la remarquent Wamarine lève une main en agitant dans les airs ses mitaines en dentelles.

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